• il y a 18 heures
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 06/11/2024.

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Sport
Transcription
00:00C'est l'été du soir, bonsoir à tous et bienvenue, le score de la soirée pour les clubs français, 1 à 2.
00:18Eh oui, défaite du Paris Saint-Germain contre l'Atletico de Madrid de Luzon, but de Correa à la 93ème minute, même 94ème minute.
00:26Ce qui n'arrange pas évidemment les affaires du Paris Saint-Germain.
00:29Et puis Brest est 4ème ce soir de la phase de ligue, un succès à Prague face au Sparta de Luzon.
00:35Brest, vous ne rêvez pas, peu se penser, est 4ème de la phase de ligue.
00:39On en parle ce soir en compagnie d'une présidente, eh oui, qui a été élue au premier tour ce soir, Mélisande Gomez.
00:45Face à vous Présidente, il y a Stéphane Ville, Jérôme Alonso, Dave Apadou et Nabil Djelit.
00:50Bonsoir Messieurs, Dames.
00:51Bonsoir Mémé.
00:52Citoyens, bonsoir.
00:53On a toujours ce petit décalage.
00:55Nabil, bonsoir Général.
00:57Salut les amis.
00:57Salut.
00:58Sorti du côté du Parc des Princes, juste un petit sentiment avant de découvrir les images de cette nouvelle défaite, de cette deuxième défaite.
01:07La fin de journée du Paris Saint-Germain, qui veut commencer ?
01:09Le chaos, là c'est le chaos.
01:11Franchement, ce que vivent les supporters de Paris ce soir, c'est un chaos.
01:13C'est prendre ce but-là face à une équipe qui n'a pas attaqué, qui n'a pratiquement eu aucune occasion,
01:18et qui à la 95ème minute vient vous crucifier.
01:22Là, il y a un côté, le ciel vous tombe sur la tête.
01:24On va prendre le pouls de Jérôme Alonso au cas où, notre Paris.
01:26Il n'y a plus de pouls.
01:27Il n'y a plus d'Alonso.
01:29Non, pendant le match, on se disait, allez, ça va faire demain pour Paris, quand même à l'arrache, parce que c'est vrai qu'il y avait eu quelques velléités.
01:37Mais tu te dis, à la fin de la journée, tu regardes un peu ce calendrier hyper favorable, où tu vas commencer ta campagne, cette nouvelle phase de…
01:44De ligue.
01:45De ligue, comme on dit.
01:46Où tu vas recevoir trois fois, sur les quatre premiers matchs, tu reçois qui ?
01:50Jérôme.
01:51Jérôme.
01:52PSV.
01:53PSV.
01:54Et l'Atletico qui, franchement, est plus l'ombre de ce qu'il était.
01:57Sur ces quatre matchs-là, trois au parc, tu n'as pas un attaquant qui a marqué.
02:02Et tu as un but de toi, c'est Hakimi.
02:06Et un cadeau du gardien à la dernière seconde.
02:09Ça veut dire que finalement, ce soir, tu prends un coup sur la tête.
02:12Mais quand tu analyses froidement ce qui se passe depuis deux mois maintenant, tu te dis, oui, on est très déçu.
02:19Il est déjà dans l'analyse.
02:22Juste un petit truc comme ça.
02:25Je reste sur la dernière image, forcément, parce que c'est le dernier sentiment.
02:29C'est Donnarumma, pour le coup, qui n'est pas bon sur le deuxième but.
02:34Mais on peut effectivement tomber sur lui.
02:37Ce qu'on va faire en partie, j'imagine.
02:39Mais on peut aussi se dire qu'il a le droit d'avoir des coéquipiers qui marquent des buts.
02:42Voilà, tout simplement.
02:44Virginie ?
02:46Moi, je vous demande un sentiment.
02:48Il a besoin d'être rassuré.
02:50C'est la confusion des émotions, en fait.
02:53Virginie, vous n'avez pas de confusion, vous n'avez pas d'émotion.
02:57Vous êtes dans votre rôle de nous raconter cette rencontre en 30 secondes chrono, pour le droit à l'info.
03:01C'est à vous, Virginie.
03:02Ça partait bien pour les Parisiens dès la 14e, avec un ballon perdu par l'Anglais.
03:07Sous le pressing de Dembélé, qui décale Zahir Emery.
03:10Le contrôle, la feinte et puis le petit piqué.
03:12Beaucoup de sang-froid de la part du jeune milieu de terrain.
03:14Mais la réponse est immédiate, avec une frappe de Simeone repoussée par Donnarumma.
03:17Nuno Mendes se manque au dégagement.
03:19Ça revient, côté Atlético.
03:21Simeone retente sa chance.
03:22Coup de billard, puis demi-volée de Molina dans le petit filet.
03:25Et puis la douche froide au parc, juste avant le coup de sifflet final.
03:29Le but de Correa, servi par Griezmann sur un contre-éclair.
03:32Paris s'enfonce ce soir.
03:34On attendait, on espérait un décollage du Paris Saint-Germain vers l'Océan.
03:38Est-ce la confirmation ce soir d'un déclassement européen ?
03:42Oui ou non ?
03:44Habillage à la parisienne.
03:45A vous de jouer, Henri.
03:47Est-ce que ce soir, on assiste à la confirmation d'un déclassement européen du Paris Saint-Germain ?
03:51Oui ou non ?
03:52Je ne vois pas comment on peut dire non.
03:54On va chercher peut-être le non.
03:55Oui ou non ?
03:56Je le pensais déjà.
03:57Donc oui, c'est qu'une confirmation.
03:58C'est le contraire.
03:59Confirmation, confirmation.
04:00A l'évidence.
04:01A l'évidence.
04:02A l'évidence.
04:03A l'évidence, présidente.
04:05Un petit peu.
04:06J'aurais bien voulu avoir un duel.
04:07Je suis assez déçue de mes électeurs.
04:09Pour avoir voté pour moi, je n'allais pas avoir à avoir non plus à des prix Nobel.
04:13Vous partagez le sentiment d'un ville-peuple ?
04:16Déclassement.
04:17Est-ce qu'ils étaient dans le top 8 européen avant ?
04:19Non.
04:20Donc déclassement, ça veut dire quoi ?
04:22Ça veut dire qu'ils sont…
04:23Ils sont demi-finalistes en titre.
04:25Oui, mais bon.
04:26Ils n'étaient pas considérés comme dans le Gotha du Gotha.
04:29Non, mais ce n'est plus un chapeau 1, quoi, en fait.
04:30Parce qu'ils sont quand même chapeau 1 sur les tirages.
04:32Ils sont peut-être de série n°1, quand même, le Paris Saint-Germain.
04:34Ils ne sont plus chapeau 1, en fait.
04:35Je pense qu'en novembre, on en a vu déjà des clubs galérer.
04:38Des gros, d'ailleurs.
04:39Pas plus tard qu'hier soir.
04:40Des gros qui galèrent à cette période de la saison.
04:42Alors, c'est vrai que maintenant, il y a une nouvelle formule.
04:43Mais attendons de voir février.
04:44Je n'ai pas l'impression que le PSG était un cadreur d'Europe avant.
04:48On sait déjà que le casting est moins clinquant et que ça peut faire des différences.
04:52Dans le contenu, il n'y a pas…
04:54Ce n'était pas catastrophique, dans le contenu de ce match.
04:56Non, parce qu'avant, tu disais…
04:57Il y a beaucoup de délire.
04:58Avant d'être un cadreur, tu te disais, ok, c'est une équipe qui va faire quart de finale à coup sûr, quand même, chaque année.
05:02Non.
05:03Mais il y avait des accidents.
05:04D'ailleurs, ce n'était pas le cas.
05:05Non, ce n'était pas le cas.
05:06Plus ou moins, tu le dis.
05:08Jérôme, il y avait une constante, quand même, dans l'histoire européenne du Paris Saint-Germain,
05:11récente et ancienne, c'est à domicile.
05:14C'est ultra solide.
05:15C'est très, très rare pour Paris.
05:17Paris ne perdait quasiment jamais à domicile.
05:19Là, ils font trois matchs à domicile, comme tu l'as dit, sur les quatre premiers.
05:22Ils en gagnent péniblement un à la 95e sur un cadreur.
05:26Là, il y a un vrai questionnement.
05:28Ça, c'est un phénomène vraiment nouveau pour le pays.
05:30Et puis, tu peux le tourner dans tous les sens.
05:31À un moment, tu peux dominer autant que tu veux.
05:34Tu peux avoir les productions autant que tu veux entre tes 30 mètres et les 30 mètres adverses.
05:39À un moment, à ce niveau-là, ça se joue quand même dans les surfaces.
05:43Et quand ton gardien n'est pas décisif dans cette compétition particulièrement,
05:48je ne parle pas de la Ligue 1, je parle dans cette compétition qui est friable,
05:51en tout cas, il a introduit un doute, et là, encore un peu plus ce soir.
05:54Et que celui qui te colle 44 buts est parti, et qu'on t'a fait une théorie de quatre mecs
06:00qui vont marquer 12 buts et ça fera la rue Michel, non.
06:03En vrai, non.
06:04À ce niveau-là, non.
06:05Il te faut des mecs pour finir.
06:06Il te faut des mecs dans la surface.
06:07À un moment, c'est ça, parce que les centres qui passent, etc., on se dit
06:10« Ah, c'est dommage, il avait bien centré, machin ».
06:13Mais à l'arrivée, il faut quand même quelqu'un qui rôde, qui flaire, qui a ce truc-là.
06:16Il se trouve qu'il était là l'an passé, qu'il est parti, qu'ils ont estimé
06:21qu'ils ne devaient pas le remplacer.
06:23Bon, très bien.
06:24Moi, je compte pas dessus.
06:25On est déjà parti sur le mercato d'été, les stratégies, choses comme ça.
06:29Ah, mais vous vouliez quelque chose.
06:31Excusez-nous d'avoir un petit peu de hauteur et de recul.
06:33Oui, mais non, il veut qu'on reste au rat du gazon.
06:35Alors, s'il vous plaît, laissez un petit peu le niveau.
06:37Vous êtes partis trop fort.
06:38On est partis un peu vite.
06:40On va revenir au rat du gazon grâce à Giovanni Castaldi, l'homme qui voit les actions
06:46comme ça en direct.
06:47Giovanni, bonsoir.
06:48Vous savez que vous êtes filmé.
06:49On vous voit, on se voit, n'ayez crainte, vous êtes à l'antenne.
06:52Giovanni, il y avait un phénomène à la fois de sidération au début de l'émission.
06:56Puis finalement, on commence à en parler.
06:59Et finalement, tout s'explique.
07:02Les mêmes mots font les mêmes résultats.
07:05Est-ce que vous avez eu le sentiment de revoir déjà le match de Ligue des Champions
07:10typique du Paris Saint-Germain cette saison, mon cher Giovanni ?
07:13Oui.
07:15Bonsoir, mémé.
07:16Bonsoir à tous.
07:17Oui, oui.
07:18Pour le coup, le sentiment que le PSG domine se crée.
07:21Beaucoup de situations.
07:23La seconde période, elle est totalement à son unique.
07:27Luis Enrique, miracle, fait rentrer Randall Kolomoigny en plus.
07:31Donc, il termine en 4-4-2.
07:33Il y a plein de situations, plein d'occasions.
07:35Le sentiment de sidération, il est dans les deux surfaces.
07:38C'est-à-dire que tu te dis que ce n'est pas possible de rater autant d'occasions,
07:41que c'est rocambolesque, que c'est sidérant.
07:43Là, la dernière d'Hakimi, juste avant la relance à la main d'Oblak.
07:46C'est hallucinant.
07:47Tu te dis qu'ils sont maudits.
07:49Tu as même parfois un peu de peine pour eux.
07:51Parce que si Vitinha avait un peu plus de courage durant la rencontre
07:54et qu'il n'avait pas commencé à faire des transversales à la 80e,
07:57le nombre d'appels qu'ont fait Mendes, Barcola, Dembele, Hakimi,
08:01même Warren Zaheri qui a plongé dans la surface, c'était un peu écœurant.
08:06Il se démène, il court dans tous les sens.
08:08Cette équipe, elle a une âme, elle a une énergie.
08:11Au stade, c'est communicatif.
08:14Maintenant, ça m'embête de le reconnaître.
08:17Moi, j'adore ce que produit le PSG.
08:20Mais Dave a un peu résumé.
08:21Il faut être clinique dans les deux surfaces de la réparation.
08:23Donnarumma n'a rien à faire du match.
08:25Il prend deux pions.
08:26Et en face, ça ne marque pas.
08:28Deux surfaces de vérité.
08:30Le Real de Benzema et Courtois a gagné avec des champions comme ça.
08:33Giovanni, vous étiez déjà en chemin dans l'éditorium.
08:41Racontez-nous le but du 2-1.
08:43Vous êtes resté un petit peu pour palper l'ambiance ?
08:45Est-ce que vous avez vu des réactions parisiennes ?
08:47Des joueurs, des choses comme ça ?
08:52Pour donner les coulisses de l'équipe du soir,
08:54on m'avait dit « prends ton temps, on ouvre par Brest ».
08:56Ce qui a été brillant.
08:57Félicitations au Brestois ce soir.
09:00J'ai pris le temps, j'ai regardé.
09:02Les joueurs de l'Atlético, on a l'impression qu'ils ont gagné avec des champions.
09:06C'était la folie, ça partait dans tous les sens.
09:08Et les Parisiens, il y a un sentiment d'abattement, de sidération.
09:12Je l'ai décrit, mais je l'ai redécrit.
09:14Juste avant, il y a la situation d'Hakimi qui centre.
09:18A mon sens, je pense qu'il peut finir.
09:20Tu as la relance d'Aublac.
09:22Je me dis pourquoi il fait ça ?
09:23Ils doivent être contents de faire un partout.
09:25Il joue le contre.
09:26Et là, il y a le but.
09:27C'est la sidération la plus totale.
09:29Il n'y a pas eu de sifflet de la part du Parc des Princes.
09:32En plus, sur les dix dernières minutes, le parc a été un peu sporifique ce soir.
09:36100 balles, 100 brases et à fond vers cette équipe.
09:38Parce qu'ils voient que les garçons donnent de l'intensité.
09:40Ils font tout pour marquer.
09:42C'était pire que la douche froide.
09:44C'était le centre de clim.
09:46Il y avait 45 clims ce soir au Parc des Princes sur le but de l'Atlético.
09:50En général, vous êtes court-vêtus.
09:52Vous pouvez prendre une petite grippe.
09:53Couvrez-vous quand vous assistez au match du dimanche.
09:55C'est révélateur ce qu'il dit sur la réaction du public.
09:57Sur le fait que le public considère que Paris fait leur match.
10:02Ils font leur match pour l'instant.
10:04Je suis surpris qu'on dise quand même qu'il manque quelque chose.
10:07J'adore ce qu'a fait Paris ce soir.
10:09Je suis surpris qu'on puisse dire ça sur l'impression.
10:12Ils font un bon match face à une équipe qui est l'ombre d'elle-même.
10:15Mais ils n'ont pas fait un grand match.
10:17Ils ont été, évidemment, comme malheureusement...
10:20Est-ce qu'ils peuvent vraiment faire mieux ?
10:22Ce n'est pas des démonstrations de foot.
10:25Par exemple, on était ensemble.
10:27Je pense que c'était pour le match d'Arsenal.
10:29Tous tombaient sur le PSG.
10:31Mais moi, je disais qu'en fait, non.
10:33Ils sont à leur niveau.
10:34Ils ne sont pas passés à côté de leur match.
10:36Contre Arsenal, tu avais une question d'intensité.
10:38Je suis d'accord.
10:39Oui, mais ce que je veux dire, c'est qu'on était tous...
10:41Ça, tu peux toujours le mettre au niveau.
10:43Je ne suis pas sûr.
10:44Je ne pense pas que, tel qu'il est construit,
10:46ce PSG soit capable, sur l'intensité, d'aller matcher Arsenal, Inter.
10:50Je ne parle même pas de Liverpool, etc.
10:52Et je crois que, sur la qualité de réalisme clinique,
10:56on l'a dit, le gardien, on le connaît.
10:58On peut même écrire le scénario du match avant.
11:00Non, mais attends.
11:01Ça commence à remettre les choses dans leur contexte.
11:03Il faut arrêter.
11:04Quel contexte ?
11:05Il a gagné un euro tout seul, quasiment.
11:06Depuis qu'il est là...
11:08C'est une question de contexte.
11:10Le contexte parisien, il est nul.
11:12Il est nul à Paris.
11:14Je veux bien que tu le défendes.
11:15C'est la même chose avec le PSG.
11:17C'est l'entraîneur qui est nul.
11:18C'est les joueurs qui sont nuls.
11:19Parce que Donnarumma est bon.
11:20Finalement, ils sont bons.
11:21Donnarumma, c'est un grand gardien, bien sûr que oui.
11:23Ah bon ?
11:24À Paris, en Coupe d'Europe,
11:25le nombre de qualifications qui coûtent ?
11:27Je te parle de lui intrinsèquement.
11:29Moi, je te dis qu'à Paris,
11:30je veux bien qu'il soit bon.
11:31Il était très bon à Milan.
11:32Il est très bon avec la nationale.
11:34Il est mauvais à Paris.
11:35C'est comme Tourelle à Paris.
11:36Il n'avait pas le niveau de gagner
11:37les Ligues des champions.
11:38Parce qu'il était nul, Tourelle.
11:39Il allait en finale, Tourelle.
11:40Mais il allait en finale, Tourelle.
11:41Il ne mélange pas tout.
11:42Non, mais c'est toujours pareil.
11:43Non, mais Donnarumma n'est pas décisif
11:44en Ligue des champions.
11:45Mais pourquoi ?
11:46Est-ce qu'il a été bon ce week-end ?
11:47Ah bah non, il n'a pas joué.
11:48Ah bah non, parce que c'est bien les gardiens.
11:50Ah, parce que c'est ça qui fait
11:51qu'il n'est pas capable d'arrêter une frappe.
11:53Moi, je suis convaincue
11:54que si tu mets un gardien en confiance,
11:55il va être meilleur
11:56que si tu ne le mets pas en confiance.
11:57Mais il était en confiance.
11:58Non.
11:59Mais tu rigoles ou quoi ?
12:00Quand tu joues en club,
12:01il n'est pas en confiance, Donnarumma.
12:02Pourquoi il n'est pas en confiance ?
12:03La deuxième saison qu'il est là,
12:04tu sens bien qu'il n'est pas en confiance.
12:05Ça se voit dans son attitude.
12:06Quand tu parles à des mecs en Italie
12:08qui sont ses entraîneurs
12:09ou qui sont entraîneurs des gardiens,
12:10ils disent qu'il n'a pas la même attitude
12:11sur les centres au premier poteau.
12:12Il n'a pas la même attitude
12:13sur les centres en retrait.
12:14Il n'a pas la même attitude
12:15sur les sorties aériennes.
12:16Ce n'est pas le même joueur.
12:17Ce n'est pas le même joueur.
12:18C'est pas le même joueur.
12:19C'est évidemment en partie de sa faute.
12:20On a ce constat aujourd'hui.
12:21Mais comment tu fais ?
12:22Quand toi tu es le PSG,
12:23tu veux que le Donnarumma actuel,
12:24ce soit le même quand tu es fou.
12:25Mais c'est fou.
12:26Mais c'est fou.
12:27Mais c'est fou.
12:29Je déplace le sujet.
12:30C'est vrai.
12:31Mais non.
12:32Je déplace le sujet
12:33parce qu'on est obligé,
12:34vous me lancez sur ça,
12:35ça me passionne.
12:36Et là, on est obligé
12:37de revenir à la direction.
12:38Votre débat au Donnarumma
12:40est intéressant.
12:41Mais le gardien,
12:42tu l'avais.
12:43De quoi tu me parles ?
12:44Le maf ?
12:45Mais ça fait 100 fois
12:46qu'on le dit ça.
12:47Tu l'avais le gardien.
12:48Tu t'es créé un problème
12:49dont tu ne pourras pas te sortir
12:51dans un avenir proche
12:52alors qu'il était résolu.
12:53Donnarumma en deux saisons,
12:55c'est final, demi-final,
12:57décisif les deux fois.
12:58Tout au long.
12:59Navas.
13:00Navas.
13:01Point.
13:02Tu m'expliques ce que tu veux.
13:03Aujourd'hui, on a nos débats
13:04toutes les semaines, c'est vrai,
13:05sur Donnarumma.
13:06Mais le gardien, tu l'avais.
13:07Alors, viens pas me gonfler
13:08avec ton gardien
13:09parce que la boulette,
13:10c'est toi qui l'as fait.
13:11Déjà.
13:12Tu l'avais, déjà.
13:13Et ton gardien, tu l'avais.
13:14Maintenant,
13:15là, sur la gestion de Donnarumma,
13:16là, c'était vraiment le point.
13:17Et je rejoins Méli
13:18sur ce problème précis,
13:20pas sur le niveau du garçon,
13:21mais sur le problème précis
13:23de la soi-disant concurrence.
13:25Un gardien qui n'est déjà
13:26pas très en confiance,
13:28tu lui fais miroiter l'ombre
13:29d'une menace sur lui,
13:30ça ne peut pas être meilleur.
13:31Ça fait trois ans qu'il n'est pas
13:32en confiance à Paris.
13:33Ça n'a jamais marché.
13:35Et pourtant, il n'a personne
13:36dans les pattes.
13:37On lui a même débarrassé.
13:38Il y avait Navas.
13:39Mais on lui a dégagé, Navas.
13:40Il a fait un an seul.
13:41Il a fait un an seul.
13:42Première année avec Navas.
13:43Et il a été bon quand même ?
13:44Non, non, il a fait un an seul.
13:45Navas, ça devient...
13:46Il a fait un an seul,
13:47c'est la moins pire saison.
13:48Et là, il est quoi ?
13:50C'est Safionov qui le terrorise ?
13:52Non, c'est pas Safonov.
13:53Je trouve que c'est une blague.
13:55Mais en attendant, tu fais planer
13:57sur lui l'ombre d'une concurrence.
13:59Pour un gardien qui n'est pas
14:00en confiance, c'est pas bon.
14:01C'est tout ce que je dis.
14:02Je réponds à votre question.
14:03L'analyse du match ce soir,
14:05c'est une erreur de Donnarumma.
14:08C'est lui qui est le responsable
14:09de l'échec.
14:10C'est pour ça que j'ai fait...
14:11Vous l'avez vu, le deuxième but
14:13de Zdejko Madrid.
14:14J'ai commencé par ça.
14:15On fait un détour sur Donnarumma
14:17et Navas avant pour voir
14:18que le problème des gardiens
14:19est aussi un problème
14:20de construction de l'effectif
14:21et que c'est une grave erreur
14:22du PSG et de sa direction
14:23il y a quelques années.
14:24Premièrement.
14:25Deuxièmement, ce soir,
14:26je suis moins sévère que vous
14:27sur le but.
14:28Je pense qu'il peut faire mieux.
14:29Mais ce n'est pas la défaite
14:30de Donnarumma ce soir.
14:31Mais mes amis, revenons
14:33tranquillement sur le match.
14:34Bon début de match de Paris.
14:36Comme d'hab.
14:37Bon début.
14:38Troisième but.
14:39Et puis, tout d'un coup,
14:40je me dis tiens,
14:41le réveil de l'Atlético.
14:42Je commençais à noter
14:43à la dix-septième minute.
14:47Et égalisation de
14:48Hegazian et Molinar.
14:49Après, j'ai noté,
14:50je me suis donné
14:51une question en alerte.
14:52Comment va réagir Paris ?
14:54Ben, Paris, pendant X minutes,
14:57on ne les a plus revues.
14:59À la niche.
15:00Oui.
15:01Ils reviennent en seconde période.
15:02Ils reviennent.
15:03Je vais vous dire,
15:04ils reviennent
15:05à la cinquante-quatrième minute
15:06à qui ils s'entretirent
15:07et puis après,
15:08il y a Dembélé.
15:09Giovanni n'est pas d'accord.
15:10Giovanni n'est pas d'accord.
15:11Franchement, Giovanni,
15:12vous êtes étonnant
15:13parce que moi,
15:14j'aimerais bien quand même
15:15regarder un match avec vous
15:16parce que là,
15:17si vous me dites
15:18qu'après le but,
15:19ils ont continué
15:20à avoir la même entame.
15:22Bon, allez,
15:23je vous donne la main,
15:24mon cher Giovanni.
15:27Je ne vais pas vous dire
15:28que le PSG a été un ogre
15:29après le but
15:30de l'Atlético-Madrid.
15:31C'est juste que
15:32j'ai trouvé l'entame
15:33et Dieu sait que
15:34parfois, je suis sympa
15:35avec le jeu du PSG
15:36aux grands dames
15:37de Stéphane Guy
15:38qui ne comprend pas
15:39pourquoi j'aime bien
15:40cette équipe.
15:41Mais je trouve que
15:42le début de match,
15:43pour le coup,
15:44si Paris a autant déroulé,
15:45l'entame de l'Atlético
15:46dans l'intensité,
15:47ils sont cataclysmiques.
15:48C'est-à-dire que,
15:49je me suis dit,
15:50mais Simeone,
15:51il doit être en train
15:52de devenir complètement dingue
15:53sur son banc.
15:54Après, c'est Paris
15:55qui remet l'Atlético
15:56dans le match
15:57parce qu'ils se relâchent.
15:58Ils doivent être tellement
15:59soulagés d'avoir marqué
16:00un but.
16:01Pour moi,
16:02la plus grande erreur
16:03de la rencontre,
16:04c'est de concéder ce but
16:05parce que pour une fois
16:06que tu as le bonheur
16:07d'ouvrir le score
16:08après un quart d'heure,
16:09tu dois gérer cette avance
16:10avec de la maîtrise,
16:11avec du calme,
16:12tout seul en concédant
16:13ce but
16:14de manière un petit peu
16:15stupide.
16:16Mais ensuite,
16:17il se trouve qu'après
16:18le but de l'Atlético,
16:19là pour le coup,
16:20l'Atlético,
16:21pendant 30-35 minutes,
16:22ils ont beaucoup mieux défendu,
16:23ils ont resserré,
16:24ils ont été compacts.
16:25Au milieu,
16:26ça s'est resserré
16:27et donc je pense que Paris,
16:28avec les limites
16:29que Dave a décrites
16:30et que je rejoins,
16:31je pense que
16:32quand c'est aussi dur,
16:33aussi compact
16:34et que ça défend aussi fort,
16:35ils ne peuvent pas faire
16:36beaucoup mieux.
16:37Quand l'Atlético a été
16:38de nouveau fatigué,
16:39ils se sont recréé
16:40plein de situations
16:42Comment attaquer
16:43un bloc bas ?
16:44Vous aurez cette question
16:45dans quelques minutes,
16:46je relèverai les copies.
16:47Juste avant,
16:48à la 17ème minute
16:49ou 18ème,
16:50avec l'égalisation
16:51de Molina,
16:52Nuno Mendes
16:53rate sa passe,
16:54rate son contrôle
16:55et puis donc...
16:56Et après,
16:57ça va trop vite,
16:58non ?
16:59C'est juste
17:00cette erreur-là,
17:01il doit dégager,
17:02qu'est-ce qu'il doit faire ?
17:03C'est une grosse erreur,
17:04il y a des grosses conséquences.
17:05Non mais là,
17:06il y a le feu !
17:07Une grosse erreur,
17:08c'est l'erreur de l'anglais.
17:09Non mais l'anglais,
17:10c'est catastrophique,
17:11on va être d'accord
17:12à peu près tous dessus.
17:13Non mais Nuno Mendes,
17:14la balle revient,
17:15elle est un peu savonnée,
17:16tu ne te rends pas la tête,
17:17tu dégages
17:18et tu remontes ta ligne.
17:19Là,
17:20il essaye un contrôle
17:21qui est improbable
17:22et tu ne le sens pas hyper...
17:23Moi,
17:24quand je l'ai revu,
17:25tu as l'impression
17:26même qu'il flotte
17:27un petit peu
17:28sur cette action,
17:29il n'est pas gainé,
17:30il n'est pas...
17:31Il est en arrière,
17:32complètement.
17:33Oui,
17:34exactement,
17:35tu ne le sens pas positionné
17:36pour vraiment prendre en charge
17:37ce ballon.
17:38C'est ça,
17:40ça se voit.
17:41Non,
17:42pour moi,
17:43c'est une énorme erreur.
17:44Alors,
17:45ok,
17:46si le baromètre,
17:47c'est l'erreur de l'anglais,
17:48on va en être d'accord,
17:49c'est moins...
17:50Mais non,
17:51si,
17:52c'est une grosse erreur
17:53parce qu'effectivement,
17:54là déjà,
17:55tu viens de subir une frappe,
17:56dégage ça.
17:57Ce n'est pas une honte.
17:58C'est très étonnant.
17:59Juste les notes,
18:00l'équipe du soir,
18:01est-ce qu'on peut passer
18:02au QR code ?
18:03On se comprend.
18:04Vous allez vers l'équipe Connect,
18:05vous notez Griezmann,
18:06c'était sur tour
18:07du côté du Parc des Princes,
18:08notez Grisou.
18:09Pardon,
18:10Stéphane,
18:11je vous ai coupé.
18:12Ce qui est très surprenant
18:13de la part du Paris Saint-Germain,
18:14parce que l'entame de match est bonne,
18:15ils marquent un but,
18:16un vrai but,
18:17dans le but alors,
18:18aidé par l'adversaire,
18:19enfin c'est un vrai but,
18:20ils l'ont bien exploité,
18:21parfait,
18:22bon travail de Dembélé,
18:23c'est d'être aussi fébrile tout de suite
18:24parce qu'ils ont été
18:25immédiatement fébriles,
18:26ils n'ont pas du tout capitalisé
18:27sur ce point de but.
18:28C'est comme à la fin,
18:29le deuxième but,
18:30ils sont quand même,
18:31ils sont 11 dans la moitié
18:33alors qu'il y a deux joueurs de l'Atletico,
18:35il y a quand même Griezmann et Correa,
18:37qui sont,
18:38qui restent en pointe,
18:40au cas où il y ait une relance rapide.
18:42Donc c'est des moments
18:44où on a l'impression
18:46que l'esprit parisien s'envole.
18:49Juste un mot sur la question.
18:51Non mais vous êtes là,
18:52vous essayez de participer à l'émission,
18:53mais je vais y arriver.
18:55Moi j'ai vu un film
18:56avec Denzel Washington,
18:57je crois que c'était lui,
18:58ça s'appelle Déjà Vu.
18:59Donc ce match-là,
19:00pour moi c'est déjà vu
19:01depuis le début de la saison.
19:03Et quand j'écoute Giovanni
19:06ou d'autres parfois,
19:07j'ai l'impression qu'en fait,
19:08on se contente d'un succès d'estime
19:10de ce Paris Saint-Germain-là.
19:12C'est-à-dire que ça ne fera pas un best-seller,
19:13c'est clair.
19:14En revanche,
19:15comme c'est bien,
19:16c'est appliqué,
19:17ça travaille bien ensemble,
19:18on a des papiers pour nous expliquer
19:19que le contre-pressing c'est fantastique,
19:21et bien quelque part,
19:22on se contente de ça.
19:23C'est comme ça que je le ressens moi.
19:24C'est hyper scolaire,
19:25c'est toujours les mêmes matchs.
19:26Ça se passe à droite
19:27pendant un quart d'heure
19:29et ça renverse rarement sur Barcola.
19:31De temps en temps,
19:32tu as des situations en contre-attaque,
19:33tu as Barcola qui va en 1 contre 1.
19:35Tout à l'heure,
19:36on parlait du Real qui a gagné comme ça,
19:37mais enfin je suis désolé,
19:38Benzema,
19:39ce n'est pas Canguigli.
19:40Il y a un moment,
19:41il faut être sérieux.
19:42Et la salle des machines du côté du Real,
19:43ce n'est pas la même salle des machines
19:44que du côté du Paris Saint-Germain.
19:47Et quand tu dis,
19:48ils perdent le fil,
19:49c'est juste une équipe
19:50qui n'est pas en confiance.
19:51Et là où on est un peu aussi,
19:52dans notre lecture,
19:53on est un peu troublés,
19:54c'est qu'en championnat de France,
19:55il ne faut pas oublier
19:56qu'ils sont premiers du championnat de France
19:57avec 6 points
19:58et ils n'ont pas besoin
19:59de mettre de numéro 9
20:00pour marquer des buts.
20:01Ils sont au-dessus des autres.
20:02En jouant 8 ans par match.
20:03Voilà.
20:04Vous voyez d'ailleurs,
20:05sur ce numéro 9,
20:06une discussion avec Roland Courbis,
20:07je vous en fais part mes amis.
20:08Pour lui,
20:09le numéro 9,
20:10il n'existe pas en fait.
20:11Il utilise son numéro 9
20:12comme un milieu de terrain.
20:13Et résultat des courses,
20:14ce soir,
20:15on va dire combler un peu,
20:16mais l'idée du numéro 9,
20:17c'est...
20:18Il n'a pas de numéro 9.
20:19Il n'a pas de numéro 9.
20:20Pour ce soir,
20:21Donnarumma sauve Louis-Heinriquet.
20:22Parce qu'on va dire
20:23que c'est de la faute de Donnarumma.
20:24D'ailleurs,
20:25on a fait 10 minutes sur lui.
20:26Non mais c'est vrai que...
20:27Je suis d'accord avec Nabil.
20:28Effectivement,
20:29il n'est pas clair
20:30sur le deuxième but de Donnarumma.
20:31Mais collectivement,
20:32il y a des...
20:33C'est un match
20:34qu'on a déjà vu avec Paris,
20:35qu'on a déjà vu
20:36quand il entraînait l'Espagne.
20:37Il ne se passe pas grand-chose.
20:38Il n'y a pas assez de contrôle.
20:39Ça ne va pas assez vite
20:40dans la circulation du ballon.
20:41Tu n'es pas en merveille
20:42à défendre le contrôle.
20:51Qu'est-ce qu'il nous a dit Marquis ?
20:52Petit coup de gueule.
20:53C'est bien beau de bien jouer,
20:54de se créer des occasions.
20:55On progresse sur certaines choses.
20:56Mais on n'arrive pas
20:57à progresser dans l'efficacité.
20:58Dans les grands matchs,
20:59si on fait des erreurs comme ça,
21:00on se fait pénaliser derrière.
21:01Mais on a posé la question hier
21:02à Louis-Heinriquet.
21:03Il y a la suite,
21:04excusez-moi.
21:05Il était intéressable,
21:06votre Marquis.
21:07On n'a plus le droit à l'erreur.
21:08Merci beaucoup, Marquis.
21:09On avait compris.
21:10On va avoir de grands matchs.
21:11Il va falloir prendre
21:12des points importants
21:13pour qu'on puisse se qualifier.
21:15C'est très juste.
21:16S'il ne prend pas de points,
21:17il se qualifie.
21:18D'ailleurs, il a failli marquer
21:19de la tête Marquinhos.
21:20Mais juste devant lui,
21:21il y a Colomwany
21:22à qui on a dit
21:23qu'il fallait être un faux neuf.
21:24Donc, il a fait une fausse tête.
21:25Et il a laissé Marquinhos
21:26en galère.
21:27Il a compris son nouveau job,
21:28Colomwany.
21:29Être un faux attaquant.
21:30Et il l'a exactement fait
21:31dès qu'il est rentré.
21:32J'imaginais le discours
21:33à la pause de Louis-Heinriquet.
21:34Après, on aura le score.
21:35Première occasion,
21:36épreuve.
21:37C'est la première fois
21:38qu'il y a eu
21:40Comment réveiller
21:41nos amis parisiens ?
21:42Comment attaquer
21:43un bloc bas ?
21:44Est-ce que ce soir,
21:45il y avait un double bus ?
21:46C'est un petit truc.
21:47Comment ?
21:48Parce que là,
21:49il y avait une équipe
21:50devant.
21:51Ils ont quand même
21:52monté le curseur.
21:53Oui, exactement.
21:54Parce qu'en seconde période,
21:55par exemple,
21:56Barcola,
21:57franchement,
21:58qui a été transparent
21:59pendant, je ne sais pas
22:00combien de temps,
22:01il y a eu,
22:02il a monté le curseur.
22:03C'est-à-dire qu'il a monté
22:04le curseur
22:05en deuxième période.
22:06C'est-à-dire qu'il a monté
22:07le curseur
22:08en troisième période.
22:09Ça a été transparent
22:10pendant, je ne sais pas,
22:11une bonne partie du,
22:12peut-être,
22:13la première heure de jeu.
22:14C'est pas un dribble réussi
22:15sur un dribble tenté
22:16en première,
22:17mais en troisième période.
22:18Un, ça ne passait pas
22:19de son côté
22:20et deux,
22:21quand il y avait le ballon.
22:22L'air de déjà vu,
22:23exactement les mêmes stats
22:24que contre le PSV.
22:25C'est vrai.
22:26Et sa seconde période
22:27est allée quand même
22:28crescendo
22:29et il a commencé
22:30de plus en plus
22:31à y aller,
22:32à jouer les incontreints.
22:33Il avait l'avantage.
22:34Il se fait quand même
22:35une ou deux situations,
22:36notamment celle
22:37il part plein de balles et il arrive et il enroule.
22:40Bon, alors le gardien peut-être...
22:41Il fait toujours la même chose, non ?
22:42Alors peut-être qu'il y a un peu ce côté un peu répétitif.
22:44Le côté ouvert.
22:45Peut-être qu'il va apprendre à fermer un peu son pied.
22:46Soit le côté fond ligne à la Dijon, là, tu vois, des Houston Brokers.
22:50Ah oui !
22:51Ah, on fait des transitions.
22:52Vous êtes à la maison d'honneur.
22:54C'est pluridisciplinaire, là, oui.
22:55Ou alors soit la Titi Henri.
22:57Oui, c'est ça.
22:58Et les gardiens l'ont, maintenant.
22:59Ils l'ont, oui.
23:00Il va falloir qu'ils apprennent à fermer le pied pour être plus imprévisible.
23:02Oui, mais le fait est, vous parliez sur le fait de comment attaquer le...
23:07Un bloc bas.
23:08Ce bloc bas.
23:09Bon, ben, à partir du moment où on arrive à créer cette situation dans un contraint
23:12parce que leur possession, elle doit quand même, à un moment, servir à ça.
23:14C'est-à-dire créer cette situation dans un contraint et tu as ces joueurs sur les côtés
23:17d'un contraint.
23:18Et c'est...
23:19Là, la situation que je décris, c'est un peu ça, le truc.
23:22Le bloc bas, tu as ça et l'apport d'un milieu supplémentaire.
23:24Oui, tu vas avoir les milieux qui plongent.
23:25C'est son nom.
23:26CF, le premier but.
23:27Voilà.
23:28Voilà, Warren.
23:29De Madrid, ok.
23:30Mais où c'est Leir Henry qui vient quasiment au point de pénalty, terminé.
23:34Donc, ça aussi, pour attaquer le bloc bas, c'est les milieux de terrain plus haut.
23:37Il y a eu quelques frappes de loin.
23:38Il a eu le goût de faire des renversements, mais ce n'est pas assez vite.
23:40Non, renversement ou apport du supplément.
23:41Non, c'est lent.
23:42Il n'est pas présent avec nous, mais il est présent par lui, le Prince Giovanni Castel.
23:45Et il a mis la référence à Olajuwon.
23:50J'ai adoré.
23:51En plus, je sais que Mémé adore Olajuwon et déteste Victor Wembañama.
23:55Et c'est vrai que sur la technique de finition au cercle, il a encore à progresser au NBA.
24:00Bref, par rapport à cette notion de bloc bas, moi, je veux bien ce soir, vous allez
24:05vous amuser à faire le procès de ce pauvre Luis Enrique, qui est évidemment comptable
24:09de la main d'adresse de ses attaquants.
24:11Mais ce soir, moi, j'ai vu, honnêtement, Nuno Méndez, qui n'a pas beaucoup de liberté
24:16depuis le début de la saison.
24:17Ce soir, plusieurs fois, il allait fixer en haut pour mettre des fausses pistes pour laisser
24:20le couloir à Barcola.
24:21J'ai vu Hakimi, Juarez, Zahiri, Henry, tous plonger Marco Asensio, même parfois plonger
24:27Joao Neves, qui plongeait.
24:29Je n'ai pas envie de l'incriminer, mais Vitinha, il faut nous rendre ce joueur, en fait.
24:3560 minutes de Vitinha, ça a été abominable.
24:3845 touches de balle pour faire une passe latérale.
24:41Donc, si vous devez attaquer un bloc bas et qu'à chaque fois qu'il y a un appel, deux
24:46appels, trois appels, votre milieu terrain joue en retrait sur Pacho Marquinhos, vous
24:50ne pouvez pas vous en sortir.
24:51Et Luis Enrique, à qui on a reproché de vouloir un jeu lent de conservation, il devenait fou
24:56sur son bord de touche.
24:57Il devenait malade.
24:58Puisque les schémas de travail sans ballon, honnêtement, ça va en faire bondir certains
25:02sur le plateau, mais ils sont bons de la part du PSG.
25:04Il faut juste que les mecs arrêtent de toucher 45 fois la balle Fabian Ruiz quand il est
25:09titulaire ou Vitinha ce soir.
25:10Et ça, c'est insupportable.
25:11C'est un coach qui est talentueux, c'est un coach qui a tous les bons plans, mais qui
25:15n'arrive pas à appliquer ses plans ou à les faire appliquer à ses entraîneurs.
25:19C'est donc l'opinion de Giovanni Wembi Castaldi.
25:23Attendez, il y a une double dose.
25:25Il me semblerait que Nabil Djelit ait une question à votre rencontre, mon cher envoyé
25:30spécial.
25:31Oui, comme on est dans une période de clarification.
25:34Pas sur James Harden.
25:35Non, mais ne vous inquiétez pas, il a battu les Spurs très récemment.
25:38Bref.
25:39C'était vraiment très intéressant.
25:40Je suis assez d'accord là-dessus.
25:42Je ne suis pas de show ce soir.
25:44C'est une petite blague.
25:46Plus sérieusement.
25:47Enchaîne.
25:48C'est long et fléchant.
25:49J'ai trop de touches de balle.
25:50J'ai trop de touches de balle.
25:51C'est un joueur du PNJ.
25:52Ce soir, c'est un joueur du PNJ.
25:53C'est Vitiglia.
25:54C'est Vitiglia.
25:55Vous êtes les Vitiglia du débat.
25:56Trop de touches.
25:57Allez, on y va.
25:58Allez, on couvre son micro.
25:59Je suis plutôt d'embellé.
26:00Non, plus sérieusement.
26:01Asensio, il a joué ce soir ou pas ? Quel a été son apport en fait ? Asensio ?
26:07Je vous allais m'énerver.
26:11Nabil.
26:12Je t'aime beaucoup.
26:13Vas-y.
26:14Tu m'énerves.
26:15Je ne vais pas t'expliquer.
26:16Je ne vais pas te dire qu'il a fait un grand match, évidemment.
26:20Marco Asensio.
26:21Ça a été frustrant.
26:22Je crois que c'est Dave encore.
26:23Je ne vais pas passer ma soirée à citer Dave.
26:24Mais bon, il est bon.
26:25Il est bon.
26:26Il y a eu pas mal de centres de qualité d'Akimi.
26:27Et c'est vrai qu'on s'est dit qu'un bon petit coup de casque de Randall Colomoigny,
26:31ça aurait pu servir.
26:32Donc, je pense que là-dessus, Luis Henrique, il fait fausse route, qu'il peut très bien
26:36avoir une très bonne équipe avec un vrai numéro 9.
26:39Je pense que Luis Campos, il aimerait bien attirer Goy Querez du sporting.
26:43Je ne sais pas pourquoi Luis Henrique, il n'en veut pas.
26:45Mais il a une clause libératoire.
26:46Il met pion sur pion.
26:47Il ne pourrait pas faire de mal à cette équipe du Paris Saint-Germain.
26:50On est tous d'accord là-dessus.
26:51Donc, son faux 9, il peut arrêter.
26:53Ça ne dénaturera pas son équipe.
26:55Attendez, Giovanni.
26:56Vous nous lâchez une petite bombe.
26:58Ils sont sur Goy Querez du sporting.
27:01Précision.
27:02Attendez.
27:03Vous nous balancez un truc.
27:04Il faut lui demander si son agent, c'est Mendes.
27:05Tap, tap, tap.
27:06Goy Querez, vous approfondissez.
27:09Qui est son agent ?
27:11C'est ça.
27:12Ça joue.
27:14Georges Mendes, il a quelques numéros de téléphone du côté du sporting.
27:18Ce n'est pas le problème.
27:19Il ne s'en cache pas.
27:21Je pense que s'ils arrivent à sortir et rentrer dans le Colomboigny cet hiver,
27:24possiblement, ils risquent de bouger.
27:27Et Goy Querez, c'est un nom qui revient parfois.
27:30Maintenant, il faut que Luis Henrique valide la piste du numéro 9.
27:33Et ça, ce n'est pas encore gagné, mon cher mémé.
27:35D'accord.
27:36Mais en tout cas, l'indiscrétion est forte.
27:40Est-ce que Goy Querez, il a envie aujourd'hui de venir à Paris ?
27:42C'est le club où il a envie de passer à Paris ?
27:45Il te donne envie de venir financièrement, de toutes les manières.
27:48Il y a tellement de joueurs qu'on pense inaccessible pour le Paris Saint-Germain
27:51qui sont venus.
27:52Mais moi, je me pose quid de la question de Ramos quand même.
27:55Parce que 90 millions, Colomboigny, tu veux l'exfiltrer.
27:58Bon, 90 millions, Ramos, ça veut dire quoi si tu en fais venir un autre
28:02qui va sur le banc ?
28:03Comment tu m'expliques que tu aies mis 180 millions sur deux joueurs
28:05que tu n'utilises pas ?
28:07C'est facile.
28:08Au printemps dernier, c'est facile.
28:10Ni l'un ni l'autre n'ont joué les matchs à élimination directe.
28:13Ramos, il a fait six minutes.
28:15On était déjà dans le Mercato.
28:17Ramos, il m'a débuté les palus.
28:18Silence, mon cher Nabil.
28:20Un point sur le classement.
28:21Après quatre journées, on est à la mi-temps.
28:24On est à la pause de cette phase de Ligue.
28:26Un point sur le classement côté français.
28:29On a Monaco qui est troisième avec dix points.
28:32Juste devant Brest qui est quatrième avec dix points aussi.
28:35Virtuellement, les deux clubs sont qualifiés pour les huitièmes.
28:38On a Lille qui est quatorzième avec sept points.
28:41Virtuellement qualifiée pour les barrages.
28:43Et on a Paris avec cette défaite ce soir
28:45qui est vingt-cinquième avec quatre points
28:47et qui est virtuellement éliminée.
28:50Regardez la liste des clubs à six points.
28:53Bayern, Real, Benfica, Milan.
28:55C'est pas la bonne nouvelle pour Paris.
28:57Exactement.
28:58Prochain adversaire, le Bayern à Munich.
29:02Ce sera à la fin du mois, le 26 novembre.
29:04Puis après un déplacement à Salzbourg.
29:07Qui a gagné ce soir.
29:10PSG, Manchester City.
29:12Le dernier match à domicile dans cette phase de Ligue.
29:14C'est plus ce que c'était Manchester City.
29:16Et puis un petit déplacement à Stuttgart.
29:18C'est plus ce que c'était David.
29:20Quand tu vois l'Atletico de Madrid ce soir.
29:22C'était un monstre.
29:23Je sais bien que c'était un monstre.
29:25Ils sont quand même en fin de règle.
29:27J'arrive à comprendre l'esprit d'Habilia.
29:30On se croirait dans Star Trek.
29:32L'Atletico de Madrid de ce soir.
29:34C'est pas insurmontable.
29:36C'est l'équipe que Lille est allée battre chez elle.
29:38Il y a deux semaines.
29:40C'est pas un monstre européen.
29:42On se fait un fantasme d'une équipe qui n'est plus ce qu'elle était.
29:44C'est ça le problème.
29:46Les trois que tu reçois.
29:48Sur le planning, tu ne mettais pas Arsenal.
29:50Je suis d'accord.
29:52C'est objectif rempli.
29:54Zéro point pour Arsenal.
29:56C'est bon.
29:58Gérard.
30:00Parfait.
30:02On est bien.
30:04Après, tu reçois le PSV.
30:06C'est propre.
30:08L'Atletico qui s'est fait taper par Lille.
30:10Ce soir, ce que je vois, c'était bien.
30:12L'Atletico s'est fait taper par Lille.
30:14C'était bien.
30:16Ils ont fait ce soir l'Atletico à Paris.
30:18Ce que Lille leur a fait il y a 15 jours.
30:20On peut avoir une double lecture là-dessus.
30:22On a nos croyances.
30:24C'est des top clubs.
30:26On les imagine très fort.
30:28Le PSG est bousculé.
30:30Quand tu fais remarquer que le Real,
30:32le Milan et tous les autres sont dans la zone
30:34du Paris Saint-Germain.
30:36Le PSG est un peu en retard sur ces équipes-là.
30:38Mais ces équipes-là sont en train de faire
30:40une Ligue des champions.
30:42Pas très éloignée du Paris Saint-Germain.
30:44Je ne parle pas du contenu.
30:46Tu as l'opposition du PSG qui arrive.
30:48C'est une opposition qui n'est pas confortable.
30:50Manchester City est 10e.
30:52Il va vouloir sécuriser sa place dans les 8.
30:54Pour ne pas se retrouver à jouer
30:56dans le barrage de janvier-février.
30:58Ils ne vont pas se rajouter ça.
31:00Le Bayern est en difficulté.
31:02Le Bayern, c'est à la fin du mois.
31:04Il va tout de suite savoir.
31:06Exactement.
31:08Ce n'est pas une bonne nouvelle.
31:10Malgré tout, ça reste une grosse équipe.
31:12Et Stuttgart, quand tu les vois,
31:14tu vas chez eux. C'est très compliqué.
31:16Il est là le problème.
31:18Il est moins sur les points qu'en Paris
31:20que sur le calendrier qui l'attend.

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