Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 10/12/2024.
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00:00Gagné, pas d'autre option. C'est le discours tenu par Luis Enrique hier en conférence de presse.
00:06Il adore et il vit pour ces matchs-là.
00:10Alors moi personnellement, j'aime beaucoup ce genre de match.
00:14Comme l'année dernière à San Sebastian, à Dortmund ou encore à Barcelone.
00:18Ce sont des matchs où il n'y a qu'une seule option, gagner.
00:21Aucun autre résultat ne nous intéresse.
00:23Ce match a des odeurs de finale et j'aime ça. Cela est parfait.
00:28Il en a connu, comme il vient de l'évoquer, quelques-uns de ces matchs couperets dans sa carrière.
00:33Match retour face au Paris Saint-Germain en 8e de finale de Ligue des Champions 2017.
00:37Forcément, vous l'avez en tête, il est alors l'entraîneur du Barça.
00:41Le PSG s'était imposé 4-0 à l'allée, mais c'est un Luis Enrique gonflé à bloc.
00:48S'ils nous en ont mis 4, nous pouvons leur en mettre 6.
00:51Nous n'avons rien à perdre et surtout, nous avons énormément à gagner.
00:56Je ne suis pas très politiquement correct et je me moque de l'histoire comme de ma première chemise.
01:04Mais je suis convaincu qu'à un moment du match, nous en serons proches.
01:08C'est ma conviction depuis 2 ou 3 semaines.
01:14Luis Enrique est un brin visionnaire.
01:16Autre match capital avant Dortmund la saison dernière.
01:19Le PSG joue sa qualification en 8e de finale.
01:23Cela n'est jamais arrivé que le club se fasse éliminer en face de groupe depuis les débuts de l'ère catarienne en 2011.
01:29Là encore, assurance totale.
01:33Nous avons l'habitude des grands matchs.
01:35Nous connaissons l'enjeu et le match de demain ne fera pas exception.
01:38Nous savons tous comment jouer.
01:40Nous sommes capables de gagner ce match et nous nous sommes conditionnés pour le faire.
01:44Luis Enrique en conquête.
01:46Cette fois-ci, les Parisiens sont sonnés après une défaite à domicile face au Barça en quart de finale.
01:52Ils jouent de nouveau leur survie comme confiance renouvelée du coach.
01:57Toute l'équipe est prête. Demain, nous allons le faire.
02:01Nous souhaitons chacun rejoindre les demi-finales.
02:04Nous avons le besoin et l'ambition de passer.
02:06J'espère et je crois que ce sera un grand match de football.
02:10Toujours positif, toujours déterminé, Luis Enrique ne laisse jamais planer le doute avant un match crucial.
02:16Voilà pour ce très intéressant récapitulatif.
02:19Parce qu'il a quand même cette expérience-là.
02:21Est-ce que pour lui, c'est l'heure de vérité ?
02:23Regardons vos ardoises.
02:24Voyons voir ce que vous m'avez répondu.
02:26Oui, probablement.
02:27Il est l'heure.
02:28Mais avec le jeu de mots sur le « l'heure ».
02:30Évidemment, Vincent Deluc.
02:31Il est chiant et doué.
02:32Non pour Émilie.
02:34Officieusement oui.
02:36Pas encore officiellement.
02:38Et si.
02:39Parce qu'évidemment, on parle espagnol, Raphaël Sebaoune.
02:42Ludo Bragnac.
02:44Il est convaincant ou pas dans un vestiaire, Luis Enrique ?
02:46Et quand les joueurs regardent la conf, quand ils parlent.
02:48Vous, là, vous n'avez pas été dans le vestiaire.
02:50Mais est-ce que vous, vous le trouvez convaincant en tant que joueur ?
02:54Ça ne dure qu'un temps, en fait, le côté laboratoire, expérimentation.
03:00Il y a ce côté excitation au début de découvrir des nouvelles choses,
03:03de découvrir des nouveaux postes, des nouvelles associations, des nouvelles affinités.
03:06Donc ça, ça fonctionne trois, quatre mois.
03:08Au bout de ce laps de temps, soit ça marche.
03:12Et donc, du coup, vous pouvez enquiller sur d'autres choses.
03:15Et vous savez, vos joueurs vous font confiance.
03:17Parce qu'ils disent, attends, il a vu des trucs que nous, on n'a pas vus.
03:19Le coach, il est trop fort.
03:21On va lui donner carte blanche.
03:24Jusqu'à ce qu'il refasse d'autres résultats.
03:26Et six mois après, tu refais le bilan.
03:28Là, en l'occurrence, ça ne marche pas très bien.
03:30Mais ça fait un moment que ça ne marche pas très bien.
03:32Luis Enrique, il est là depuis plus d'un an quand même.
03:34Il a quand même un titre, une Coupe de France, une demi-finale des champions.
03:37Non, non, non, non, non, non.
03:39Bah si.
03:40Excluons ce côté-là.
03:42On avait déjà ces mêmes débats l'année dernière.
03:46Moi, je ne parle pas des résultats.
03:48Lui, il arrive, il dit, moi, je suis Luis Enrique.
03:51Et je vais vous expliquer que je vais vous mettre une patte.
03:53Barcelone ou Paris Saint-Germain.
03:55C'est le message.
03:56On va avoir la possession.
03:57On va écraser les équipes.
03:59On va marquer des buts.
04:00Il va y avoir du spectacle.
04:01Voilà la promesse que nous dit Luis Enrique.
04:04Cette promesse, pour l'instant, certes, on nous expliquera.
04:07On nous expliquera.
04:08Il y a quand même eu la Sociedad, Dortmund.
04:10Le parcours a aidé quand même.
04:13Le Barça quand même.
04:15Forcé de constater qu'on n'est pas vraiment convaincu pour l'instant.
04:17On ne l'était pas et on ne l'est toujours pas.
04:19Et au bout de combien de défaites sur les matchs de ligue des champions ?
04:23Le pourcentage, il est quand même très élevé.
04:25Il est à 35% de victoire seulement.
04:27C'est le plus faible ratio de victoire pour un entraîneur du PSG.
04:29Donc, officiellement, il n'est pas en danger parce qu'il y a le projet.
04:34Le fameux projet.
04:35Moi, je n'y crois pas une seconde.
04:36Je pense que si le PSG ne passe pas, se fait éliminer,
04:39sur cette campagne de ligue des champions,
04:41il va y avoir du grabuge.
04:42C'est sûr.
04:43On ne peut pas repartir.
04:44Il va sauter ?
04:45Je pense qu'il saute.
04:46Je vous le dis, je pense qu'il ne restera pas.
04:47On peut nous vendre le projet deux ans, trois ans.
04:49Si vous ne vous qualifiez pas là, je ne crois pas une seule seconde
04:52que vous aviez le…
04:54Au PSG, il faut un entraîneur qui envoie un message,
04:56qui ait du charisme, qui ait des résultats.
04:58Beaucoup qu'on ratait.
05:00En ayant été figure de proue sur le recrutement avec Campos.
05:05Puisqu'on nous raconte qu'il a quand même beaucoup participé au recrutement.
05:07Il dit oui, il dit non.
05:09Je ne veux pas d'attaquant, je veux un attaquant.
05:10Mais là, c'est un peu tôt peut-être pour juger.
05:12Non, le foot, il faut arrêter de penser qu'on a trois ans.
05:14Ça n'existe plus.
05:15Ce foot-là n'existe plus.
05:17Donc, tu as là l'heure de vérité.
05:19C'est que si le PSG ne se qualifie pas…
05:22Moi, je crois même que le projet rechange.
05:24C'est-à-dire que le truc des jeunes a fini.
05:27On reprend des stars et on repart sur autre chose.
05:29Ludovic parlait d'expérimentation.
05:31Et c'est vrai qu'on en a vu finalement en ligue des champions.
05:33On peut faire deux constats.
05:35Notamment sur la tactique de Luis Henrique, la première.
05:37C'est d'avoir voulu jouer avec un faux neuf absolument depuis le départ de Kyan Mbappé.
05:41C'est une seule victoire.
05:43En cinq matchs, c'était contre Géron.
05:45Et puis quand les sorties de son 4-3-3, Luis Henrique.
05:48En ligue des champions, il y a eu deux matchs.
05:50La saison dernière, le 4-2-4, 4-4-2 très offensif contre Newcastle.
05:54Ça a été compliqué.
05:56Et puis, lors du dernier match face au Bayern Munich.
05:59Où là, il met quatre milieux de terrain.
06:00Et ça n'a pas marché également.
06:02C'était pour aller un peu plus loin dans ce que disait Ludovic.
06:04C'est l'expérimentation.
06:05Il y a manque de repères peut-être.
06:07Vincent Duluc, c'est un atout Luis Henrique dans un match comme ça.
06:12Parce qu'Alicia nous a montré ces matchs.
06:14Qu'il a su lui et son équipe renverser.
06:16Est-ce qu'il a finalement ce sens du match coupé ?
06:22Ou c'est de la méthode couée ?
06:24Le problème c'est que c'est quelqu'un qui bâtit sa réputation sur la construction d'un effectif.
06:29Sur la construction d'un esprit.
06:31Sur la construction d'un collectif.
06:33Et quand même d'une certaine manière.
06:35Du pressing, de la possession, etc.
06:37Le problème du PSG cette année, c'est pas de ne pas avoir de style.
06:40Parce que le style, on le voit à peu près.
06:41C'est juste que ça ne fonctionne pas.
06:43Et en fait, la limite de Luis Henrique.
06:45C'est qu'en Ligue des Champions, pour l'instant au PSG.
06:47C'est vrai qu'il était demi-finaliste.
06:49Mais le parcours est chaotique.
06:50Si on prend le bilan comptable, ça ne fonctionne pas.
06:52Là, j'ai regardé.
06:53Six victoires en 17 matchs de Ligue des Champions depuis qu'il est là.
06:56Il gagne un match sur trois.
06:58Peut-être un peu plus s'il gagne ce soir.
07:00La moitié de ces six victoires.
07:02C'est les deux contre la Real Sociedad.
07:04Et un contre Gérôme.
07:05Grâce à un cessez à dernière minute.
07:07Donc en fait, les limites qu'ont les joueurs.
07:09Il faut peut-être se poser la question.
07:10Si ce n'est pas aussi une limite qu'un entraîneur.
07:12Vous avez un vrai doute.
07:14Vous partagez ce que disent Ludo et Vincent ?
07:16Emily ?
07:17Je suis obligée de le partager.
07:19Surtout Ludo.
07:20Ma vraie crainte, en plus, elle repose sur le championnat.
07:23Là, les deux dernières journées.
07:25Avec les matchs nuls.
07:26La Coupe de France qui va arriver.
07:27Et pour moi, c'est ce cumul-là.
07:29C'est ce qu'il peut vraiment craindre pour lui.
07:31Il est encore leader ?
07:33Heureusement.
07:34Heureusement qu'il y a ce bassin de poing.
07:36Ce coussin de poing sur lequel il peut s'appuyer.
07:38Parce qu'en fait, si ça ne marche plus non plus en championnat.
07:42Et là, la Coupe de France qui arrive.
07:44Ça peut être vraiment catastrophique.
07:46Vous redoutez le mois de décembre pour lui ?
07:48Voilà.
07:49C'est le fin décembre que je redoute.
07:52Là encore non.
07:53Moi, je crois au projet.
07:55Et je crois qu'il faut du temps, etc.
07:57Le problème, c'est s'il y a la rupture entre les joueurs et le coach.
07:59Là, tu n'en fais plus rien.
08:00Surtout si en championnat, tu n'avances pas.
08:01Toi qui es Paris Saint-Germain depuis longtemps.
08:04On est d'accord que le côté star, il ne vient pas que du Qatar.
08:08Ça a toujours été Strasse et Paillettes, le Paris Saint-Germain.
08:10Donc en fait, tu coupes avec...
08:12Pas d'entendre, quand même.
08:14Borelli, il y a toujours eu Rai.
08:16Ils n'avaient pas l'argent pour les plus grandes salles.
08:18Il y a toujours eu des stars au Paris Saint-Germain.
08:20Le PSG a toujours été Strasse et Paillettes.
08:23C'est l'identité du club.
08:24Tu coupes carrément avec ce qu'est le club.
08:27Avec l'identité de ton club.
08:29Oui.
08:30Et en même temps, n'oubliez pas qu'on a tous applaudi des deux mains
08:32en disant « Ah, enfin ! »
08:34Là où la raison, c'est qu'on disait qu'on empilait des stars
08:36et qu'il n'y avait pas de résultat.
08:38Mais prends pas trois ballons d'or qui se tirent la bourre.
08:43Il n'y en avait qu'un.
08:45Les autres, on aurait bien aimé, mais il n'y en avait qu'un.
08:47Il n'y a pas les trois potentiels ballons d'or dans la même équipe.
08:50Dans мира le professif, il y a Bonnarumma, champion à l'Euro.
08:55Il y a quand même Bent-Bellay, il y a Hernandez.
08:57En soi, tu as quand même des joueurs qui sont ...
08:59Ce n'est pas des stars.
09:01Ce sont des clients européens.
09:05Je viens vous voir dans un instant.
09:08Giovanni, on a suivi toute la semaine.
09:11Les fissures dans le vestiaire.
09:12Où est-ce qu'on trouve ces témoignages ?
09:15Il y a des gens qui ont mis en cause Loïc ou José, qu'on signait dans le journal.
09:20Alors qu'évidemment, toutes ces infos-là, il n'y a aucune tentative de déstabilisation.
09:23Je le répète, parce que c'est gonflant, au bout d'un moment, de lancer de fausses
09:27idées.
09:28Il y a eu un travail journalistique qui a été fait.
09:29Ça peut compter ce soir ?
09:31Évidemment que ça peut compter Greg, parce que c'était effectif du Paris Saint-Germain
09:41et Ludo a commencé à l'amorcer quand il parlait du vestiaire.
09:44Si on est aussi exigeant, aussi dur, aussi inflexible que Luis Enrique, il faut qu'il
09:49y ait les résultats tout de suite, parce que sinon les joueurs se lassent.
09:52Moi, je pense qu'il a commis une faute de management avec Ousmane Dembélé.
09:56Que Dembélé soit sanctionné, repris, il n'y a pas de souci.
10:00Mais l'exclure du groupe, c'était beaucoup trop excessif.
10:04On ne comprend pas pourquoi il a moins de temps le jeu.
10:06Même si Colomogny, je ne vais pas vous dire que c'est Arlingaland ou Kyan Mbappé, je
10:10pense qu'il a le droit de jouer un peu plus de minutes quand on voit ce qu'il fait en
10:14équipe de France.
10:15Donc, quand on est aussi dur, aussi inflexible dans le management et dans la gestion humaine,
10:21il faut qu'il y ait des résultats.
10:22Et quand tu as absence de résultats et que ça se crispe, ce n'est pas bon pour toi.
10:27Moi, je ne pense pas qu'ils soient inquiétés, Luis Enrique.
10:29Je pense que même si le PSG ne se qualifie pas en Ligue des Champions, il sera là la
10:34saison prochaine.
10:35Sur l'histoire des stars et de l'achat, à mon avis, c'est une question d'opportunité.
10:38Si l'été prochain, le PSG peut faire un gros joueur, ils le feront, mais c'est essentiel
10:44pour Luis Enrique de gagner ce soir, bien sûr.
10:46Merci Giovanni.
10:47On rappelle quand même qu'Aldo Guardiola a aussi s'obstiné à ne pas vouloir de neuf.
10:50Il a eu à Londres, il a gagné avec des champions, même s'il a remporté de nombreux titres
10:53en Angleterre.
10:54Il y a quand même une réalité qui fait que c'est mieux pour marquer des buts quand vous
10:57avez des joueurs qui savent le faire.
10:58Nabil, un mot.
10:59Vous avez confiance en Luis Enrique pour ce soir ? Après, pour la suite ?
11:03Non, mais je suis serein.
11:04Ce soir, Paris Saint-Germain va gagner et Ramos va marquer.
11:06J'espère qu'il sera titulaire.
11:07On verra ça dans pas longtemps.
11:09Non, non, non, ce soir, je ne sais pas.
11:12Lui, il a son langage corporel, ce qu'il nous dit en conf, tout ça.
11:16En fait, ce soir, ce qui me rassure, c'est l'adversaire.
11:17Ce n'est pas le PSG, c'est faible, Salzbourg, il faut arrêter.
11:22Quand je vous écoutais tout à l'heure m'expliquer qu'ils sont 25e, c'est normal, il n'y a pas
11:26de joueurs, c'est faux.
11:27Il y a quand même, pour faire beaucoup mieux, tu ne dois pas être avec le dynamo aux adrebes
11:30et j'en passe.
11:31Si ça ne se passe pas bien, tu es 15, 16, 17.
11:36Vous allez me sortir l'exemple du Real, quand ils vont démarrer, ils démarreront et on
11:40sait très bien qu'ils ne seront pas loin d'arriver.
11:41Il ne faut pas traîner non plus à demain, parce que c'est la Talenta et si jamais Paris
11:44gagne et que le Real perd, tu es dans ça.
11:45Entre nous, s'il ne venait pas à démarrer, ce ne serait pas la fin du monde, il gagne
11:48des Ligues des Champions une fois sur deux.
11:49Je ne partage pas votre avis, ça serait la fin du monde.
11:53En tout cas, ça serait la fin de l'entraînement.
11:54Avec un peu de perspective, c'est évidemment pas bon et c'est une mauvaise saison, mais
12:00bon, quand tu rentres dans le club et que tu vas m'amuser, les coupes, tu vois, tu as
12:05une perpétuité.
12:06Là, on n'est pas sur le Real, mais tous ces clubs-là, ils ont une exigence d'être
12:09dans le top 12.
12:10Je vais vous donner un contre-exemple, je me suis mis dedans tout seul, je n'aurais
12:13pu très bien ne pas dire le Real, mais en fait, je ne suis pas d'accord avec le truc
12:17genre « ouais, c'est normal, les équipes, elles sont jeunes, c'est le projet de la
12:21Ligue Psycho ». Non, mais attends, tu n'as pas le droit, les équipes qu'ils ont affrontées,
12:25Girond, ils sont combien en championnat d'Espagne ?
12:26Mais Girond, rappelle-toi le cas Girond.
12:27Encore, ils gagnent grâce à une dinguerie.
12:30Et à la fin du match.
12:34Moi, je rejoins plutôt Ludo que Giovanni.
12:37Je pense que si ça tourne mal, s'il ne se qualifie pas, ça s'appelle une humiliation.
12:43Et tu n'es pas à l'abri d'un coup de sang également.
12:46Parce que oui, donner du temps, ça, c'est une communication.
12:49Est-ce que tu acceptes d'être ridiculisé sur la scène européenne jusqu'à ce niveau-là ?
12:53La question se posera.
12:55Et Luis Henrique, je ne le cède pas, perdra beaucoup de crédit aussi à ce moment-là.
12:59En tout cas, l'ambiance continue de monter avant le coup d'envoi.
13:02Regardez le cortège des supporters parisiens qui se dirigent vers la Red Bull Arena.
13:07On rappelle les supporters parisiens qui sont un petit peu moins de 1 000.
13:11On en attendait 1 500.
13:12Ils seront moins à l'arrivée.
13:14Mais voilà, ces images d'ambiance à quelques minutes du coup d'envoi.
13:18Allez, il est 19h16, pendant que l'ambiance monte partout.
13:22À Guingamp pour le Brest PSV du soir.
13:25Et à Salzbourg pour le Salzbourg PSG.