Les « drogues du viol » sont des substances utilisées pour faciliter des agressions sexuelles en altérant la conscience ou la capacité de résistance des victimes. Parmi les plus couramment impliquées, on trouve :
GHB (gamma-hydroxybutyrate) : Aussi appelé « ecstasy liquide », il est incolore et inodore, ce qui le rend difficile à détecter lorsqu'il est ajouté à une boisson. Ses effets incluent la sédation, l'amnésie et la perte de conscience.
Benzodiazépines : Médicaments prescrits pour l'anxiété ou l'insomnie, certains, comme le flunitrazépam (Rohypnol), ont été utilisés à des fins criminelles en raison de leurs propriétés sédatives et amnésiantes.
Alcool : Bien que légal et souvent consommé volontairement, l'alcool reste la substance la plus fréquemment associée aux agressions sexuelles, car il peut altérer le jugement et diminuer les inhibitions.
En 2024, le documentaire « Drogues du viol », réalisé par Marie-Christine Noël, a mis en lumière l'utilisation de ces substances dans les agressions sexuelles. La journaliste Marie-Ève Tremblay y explore les différentes substances employées pour droguer des personnes à leur insu et souligne les lacunes dans le soutien offert aux victimes de soumission chimique.
GHB (gamma-hydroxybutyrate) : Aussi appelé « ecstasy liquide », il est incolore et inodore, ce qui le rend difficile à détecter lorsqu'il est ajouté à une boisson. Ses effets incluent la sédation, l'amnésie et la perte de conscience.
Benzodiazépines : Médicaments prescrits pour l'anxiété ou l'insomnie, certains, comme le flunitrazépam (Rohypnol), ont été utilisés à des fins criminelles en raison de leurs propriétés sédatives et amnésiantes.
Alcool : Bien que légal et souvent consommé volontairement, l'alcool reste la substance la plus fréquemment associée aux agressions sexuelles, car il peut altérer le jugement et diminuer les inhibitions.
En 2024, le documentaire « Drogues du viol », réalisé par Marie-Christine Noël, a mis en lumière l'utilisation de ces substances dans les agressions sexuelles. La journaliste Marie-Ève Tremblay y explore les différentes substances employées pour droguer des personnes à leur insu et souligne les lacunes dans le soutien offert aux victimes de soumission chimique.
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