Une polémique secoue Grenoble École de Management (GEM) après la diffusion de vidéos montrant des étudiants lors d’une soirée, arborant des blackfaces et tournant en dérision la religion musulmane.
Ces actes, qui incluaient des prières simulées et des sourates diffusées en arrière-plan, ont provoqué une vive indignation sur les réseaux sociaux et dans l’opinion publique.
Les vidéos, capturées lors d’une soirée organisée dans le cadre de la campagne pour le Bureau des étudiants (BDE), ont été diffusées sur les réseaux sociaux fin novembre.
Elles montrent des étudiants se déguisant de manière stéréotypée et se livrant à des actes perçus comme une moquerie raciste et islamophobe. Ces images ont immédiatement suscité l’indignation des internautes et des associations de lutte contre les discriminations.
Face à la controverse, la direction de GEM a publié un communiqué condamnant fermement ces actes, qualifiés de « honteux, irrespectueux et intolérables ». L’école a également annoncé des mesures disciplinaires à l’encontre des étudiants impliqués et a signalé l’affaire au procureur de la République.
Cependant, le parquet de Grenoble a décidé de classer l’affaire sans suite, estimant que les vidéos ne permettaient pas de caractériser une infraction pénale, notamment d’injure publique ou de provocation à la haine raciale.
Cette décision a suscité des critiques, notamment de la part des associations et militants qui dénoncent un manque de fermeté face à des comportements qu’ils jugent intolérables.
Deux listes candidates au BDE, impliquées dans cet incident, ont été interdites de poursuivre la campagne électorale.
L’école a réaffirmé son engagement contre toutes formes de racisme et d’islamophobie, soulignant que de tels comportements allaient à l’encontre de ses valeurs fondamentales de respect et de diversité.
Cette affaire relance le débat sur le rôle des grandes écoles dans la sensibilisation à la diversité et au respect. Plusieurs voix appellent à des formations obligatoires sur ces thématiques, afin de prévenir ce type de comportements à l’avenir.
Alors que l’indignation reste vive, GEM a annoncé vouloir renforcer ses actions de sensibilisation et revoir les protocoles encadrant les campagnes étudiantes pour éviter que de tels événements ne se reproduisent.
Grenoble École de Management (GEM) est sous le feu des projecteurs après la diffusion de vidéos montrant des étudiants se livrant à des actes de blackface et à des moqueries envers la religion musulmane.
Face à l’indignation générale, l’établissement a réagi rapidement via un communiqué et un tweet de son compte officiel.
Dans un message publié sur Twitter, la direction de GEM a déclaré :
> "La Direction de GEM vous confirme que des mesures disciplinaires fermes ont été prises dès ce matin. Soyez assuré que nous sommes tout autant choqués et scandalisés que vous par ces vidéos honteuses, irrespectueuses et intolérables."
Ce message vise à apaiser la colère suscitée par ces act
Ces actes, qui incluaient des prières simulées et des sourates diffusées en arrière-plan, ont provoqué une vive indignation sur les réseaux sociaux et dans l’opinion publique.
Les vidéos, capturées lors d’une soirée organisée dans le cadre de la campagne pour le Bureau des étudiants (BDE), ont été diffusées sur les réseaux sociaux fin novembre.
Elles montrent des étudiants se déguisant de manière stéréotypée et se livrant à des actes perçus comme une moquerie raciste et islamophobe. Ces images ont immédiatement suscité l’indignation des internautes et des associations de lutte contre les discriminations.
Face à la controverse, la direction de GEM a publié un communiqué condamnant fermement ces actes, qualifiés de « honteux, irrespectueux et intolérables ». L’école a également annoncé des mesures disciplinaires à l’encontre des étudiants impliqués et a signalé l’affaire au procureur de la République.
Cependant, le parquet de Grenoble a décidé de classer l’affaire sans suite, estimant que les vidéos ne permettaient pas de caractériser une infraction pénale, notamment d’injure publique ou de provocation à la haine raciale.
Cette décision a suscité des critiques, notamment de la part des associations et militants qui dénoncent un manque de fermeté face à des comportements qu’ils jugent intolérables.
Deux listes candidates au BDE, impliquées dans cet incident, ont été interdites de poursuivre la campagne électorale.
L’école a réaffirmé son engagement contre toutes formes de racisme et d’islamophobie, soulignant que de tels comportements allaient à l’encontre de ses valeurs fondamentales de respect et de diversité.
Cette affaire relance le débat sur le rôle des grandes écoles dans la sensibilisation à la diversité et au respect. Plusieurs voix appellent à des formations obligatoires sur ces thématiques, afin de prévenir ce type de comportements à l’avenir.
Alors que l’indignation reste vive, GEM a annoncé vouloir renforcer ses actions de sensibilisation et revoir les protocoles encadrant les campagnes étudiantes pour éviter que de tels événements ne se reproduisent.
Grenoble École de Management (GEM) est sous le feu des projecteurs après la diffusion de vidéos montrant des étudiants se livrant à des actes de blackface et à des moqueries envers la religion musulmane.
Face à l’indignation générale, l’établissement a réagi rapidement via un communiqué et un tweet de son compte officiel.
Dans un message publié sur Twitter, la direction de GEM a déclaré :
> "La Direction de GEM vous confirme que des mesures disciplinaires fermes ont été prises dès ce matin. Soyez assuré que nous sommes tout autant choqués et scandalisés que vous par ces vidéos honteuses, irrespectueuses et intolérables."
Ce message vise à apaiser la colère suscitée par ces act
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