Le 12 décembre 1988, Sylvie Reviriego a tué sa meilleure amie, Françoise Gendron. C'est ce qu'elle a avoué aux hommes de la PJ de Tours. Mais lorsque les psychiatres l'examinent pour évaluer sa responsabilité, Sylvie leur dit ne se souvenir de rien. Maître Catherine Lizon-Croze revient sur sa ligne de défense.
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00:00Sylvie Raviriego, la presse l'appelait la dépeceuse de Tours, elle a commis l'impensable.
00:08Il faut dire que son crime est abominable.
00:10Elle l'a tué et découpé en morceaux.
00:12Comment peut-on passer de meilleur amie à bourreau sanguinaire ?
00:16Elle me dit, j'ai décidé de la mettre au four et la faire cuire à 350 degrés.
00:22Comment bascule-t-on ainsi dans la folie ?
00:24C'est une malaise mentale.
00:26Pour moi, ça ne peut pas être ma fille qui a fait une chose pareille, vous comprenez.
00:30Sylvie a-t-elle été victime de ce qu'on appelle une psychose médicamenteuse ?
00:33Ou mérite-t-elle de passer une bonne partie de sa vie en prison ?