L'invité du journal de 20h est le général Hubert Bonneau, qui a occupé le poste de directeur général de la gendarmerie nationale et a également dirigé le GIGN lors des attentats survenus en 2015.
## Anticipation du GIGN face aux menaces
Il y a déjà dix ans, le GIGN avait des raisons de croire que des attaques de ce genre pouvaient se produire en France. Le jour de l'attentat, le 7 janvier 2015, le Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale tenait une conférence en lien avec ces menaces. "Nous travaillons sur l'anticipation au sein du GIGN. Ce jour-là, nous étions tous réunis pour discuter, y compris avec une juge antiterroriste (...) Nous étions conscients de la situation internationale et savions que cela pouvait arriver sur notre sol", déclare le général Bonneau.
## Vigilance face à une menace persistante
Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a souligné le 6 janvier 2025 la nécessité d'intensifier les mesures de sécurité lors des grands événements. "C'est une préoccupation constante. Nous maintenons un niveau de vigilance maximal, surtout en réponse à des incidents récents survenus aux États-Unis et en Allemagne. Le risque terroriste demeure une menace significative", conclut le général Bonneau.
Visionnez l'intégralité de l’entretien dans la vidéo disponible ci-dessus.
## Anticipation du GIGN face aux menaces
Il y a déjà dix ans, le GIGN avait des raisons de croire que des attaques de ce genre pouvaient se produire en France. Le jour de l'attentat, le 7 janvier 2015, le Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale tenait une conférence en lien avec ces menaces. "Nous travaillons sur l'anticipation au sein du GIGN. Ce jour-là, nous étions tous réunis pour discuter, y compris avec une juge antiterroriste (...) Nous étions conscients de la situation internationale et savions que cela pouvait arriver sur notre sol", déclare le général Bonneau.
## Vigilance face à une menace persistante
Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a souligné le 6 janvier 2025 la nécessité d'intensifier les mesures de sécurité lors des grands événements. "C'est une préoccupation constante. Nous maintenons un niveau de vigilance maximal, surtout en réponse à des incidents récents survenus aux États-Unis et en Allemagne. Le risque terroriste demeure une menace significative", conclut le général Bonneau.
Visionnez l'intégralité de l’entretien dans la vidéo disponible ci-dessus.
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00:00L'invité du journal de 20h est le général Hubert Bonneau,
00:03qui a occupé le poste de directeur général de la Gendarmerie Nationale et a également dirigé le
00:09Haine lors des attentats survenus en 2015, il y a déjà 10 ans.
00:13Le Haine avait des raisons de croire que des attaques de ce genre pouvaient se produire en France.
00:18Le jour de l'attentat, le 7 janvier 2015,
00:21le groupe d'intervention de la Gendarmerie Nationale tenait une conférence en lien avec SES.
00:26« Menace, nous travaillons sur l'anticipation au sein du Haine.
00:29Ce jour-là, nous étions tous réunis pour discuter, y compris avec une juge antiterroriste,
00:34nous étions conscients de la situation internationale et savions que cela pouvait arriver si haut.
00:39Notre sol », déclare le général Bonneau.
00:41Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur,
00:44a souligné le 6 janvier 2025 la nécessité d'intensifier les mesures de sécurité lors des Grands.
00:50Accentuant 8,01 milliards, c'est une préoccupation constante.
00:56Nous maintenons un niveau de vigilance maximal.
00:58Surtout en réponse à des incidents récents survenus aux États-Unis et en Allemagne.
01:03Le risque terroriste demeure une menace significative, conclut le général Bonneau.
01:07Visionnez l'intégralité de l'entretien dans la vidéo disponible ci-dessus.
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