Quand j’avais une dizaine d’années, ma sœur Mireille est décédée d’une aplasie médullaire. Aussi niais et présomptueux que cela puisse paraître, plus tard, je décidais de consacrer une grande partie de ma vie à chercher comment éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Bannissant inconsidérément la médecine classique qui n’avait pas su la guérir, je me formais à la médecine traditionnelle chinoise ; puis j’exerçais cette « profession ». N’étant pas médecin, j’étais légalement considéré comme un imposteur. C’est la raison pour laquelle l’ensemble de ces ouvrages s’intitule :
"CONFIDENCES D’UN CHARLATAN"
Constatant les limites de ma pratique, j’acceptais enfin de remettre en cause mes certitudes et mes rejets pour me réconcilier partiellement avec cette médecine que j’avais tant reniée.
L’idée suivante germa dans mon esprit :
« Le plus souvent, nous tombons malades involontairement ; mais si je faisais l’inverse ? »
Quand certaines personnes me confiaient une souffrance physique,
j’essayais alors de déclencher sur mon corps les mêmes symptômes,
en identifiant les liens éventuels de causes à effets.
Au début, je communiquais cette idée. Hélas ! Les contestations ou les admirations m’incitèrent à poursuivre ces expériences secrètement. Elles me permirent de comprendre différents signaux d’alerte du corps, comme la majorité des rêves que nous attribuons généralement à des dérèglements psychiques.
Ne sont-ils pas le plus souvent des avertisseurs physiologiques ?
À cette date, j’ai ainsi pu étudier de nombreux rêves.
J’approche aujourd’hui les 40 000. Loin de moi, l’idée de me mettre en avant, mais simplement montrer que ces résultats sont issus d’une longue recherche.
Essayant de ne pas me laisser influencer par ce que j’apprends, j’applique la méthode empirique suivante :
« Je ne connais rien. Voyons ce que j’observe ! »
À ma connaissance, « toutes » les parties de mon organisme ont souffert de ces expériences.
Mais, j’ai ainsi pu collecter patiemment ces observations dans ces livrets.
Bannissant inconsidérément la médecine classique qui n’avait pas su la guérir, je me formais à la médecine traditionnelle chinoise ; puis j’exerçais cette « profession ». N’étant pas médecin, j’étais légalement considéré comme un imposteur. C’est la raison pour laquelle l’ensemble de ces ouvrages s’intitule :
"CONFIDENCES D’UN CHARLATAN"
Constatant les limites de ma pratique, j’acceptais enfin de remettre en cause mes certitudes et mes rejets pour me réconcilier partiellement avec cette médecine que j’avais tant reniée.
L’idée suivante germa dans mon esprit :
« Le plus souvent, nous tombons malades involontairement ; mais si je faisais l’inverse ? »
Quand certaines personnes me confiaient une souffrance physique,
j’essayais alors de déclencher sur mon corps les mêmes symptômes,
en identifiant les liens éventuels de causes à effets.
Au début, je communiquais cette idée. Hélas ! Les contestations ou les admirations m’incitèrent à poursuivre ces expériences secrètement. Elles me permirent de comprendre différents signaux d’alerte du corps, comme la majorité des rêves que nous attribuons généralement à des dérèglements psychiques.
Ne sont-ils pas le plus souvent des avertisseurs physiologiques ?
À cette date, j’ai ainsi pu étudier de nombreux rêves.
J’approche aujourd’hui les 40 000. Loin de moi, l’idée de me mettre en avant, mais simplement montrer que ces résultats sont issus d’une longue recherche.
Essayant de ne pas me laisser influencer par ce que j’apprends, j’applique la méthode empirique suivante :
« Je ne connais rien. Voyons ce que j’observe ! »
À ma connaissance, « toutes » les parties de mon organisme ont souffert de ces expériences.
Mais, j’ai ainsi pu collecter patiemment ces observations dans ces livrets.
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