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00:00C'est-à-dire qu'il y a un
00:02parce qu'il y a une équilibre.
00:04Alors, on va aller au deuxième point.
00:06125 milliards d'euros
00:08pour les députés
00:10il faut que Farbongom
00:12s'occupe de l'affaire
00:14pour qu'elle s'engage dans le combat.
00:16D'abord, il faut savoir
00:18que l'affaire, si on regarde
00:20le CIM, il y a un minimum
00:22donc il faut qu'on parle beaucoup
00:24de vérité
00:26pour qu'on puisse soutenir
00:28l'affaire Farbongom
00:30et la situation actuelle.
00:32Parce qu'on croit
00:34que c'est une politique.
00:36C'est-à-dire qu'il n'y a personne
00:38pour liquider quelqu'un
00:40comme Ousmane Sonko.
00:42C'est-à-dire qu'il faut
00:44qu'on parle beaucoup
00:46pour que l'affaire
00:48s'engage
00:50pour qu'elle s'engage
00:52dans l'affaire Farbongom.
00:54Mais ce n'est pas le cas.
00:56Ce que l'on voit, c'est la participation.
00:58Si on regarde
01:00l'affaire Farbongom,
01:02il y a des anciens ministres
01:04du groupe président Macky Salle.
01:06L'ancien premier ministre
01:08a aussi participé.
01:10Le président Macky Salle
01:12a aussi participé à l'affaire Farbongom.
01:14Il y a aussi
01:16des groupes
01:18parlementaires.
01:20Mais on sait aussi
01:22qu'il y a des politiques
01:24qui sont en train
01:26d'apporter leur soutien
01:28à l'affaire Farbongom.
01:30Mais ce qu'on voit
01:32dans l'affaire Farbongom,
01:34c'est qu'elle n'est pas prête
01:36à sortir de l'affaire.
01:38Elle est en train
01:40d'apporter des cadeaux
01:42à l'affaire Farbongom.
01:44Le principal concerné
01:46est qu'elle dit que tout ceci
01:48n'est pas possible.
01:50Elle dit qu'elle est prête
01:52à sortir de l'affaire
01:54et qu'elle n'a rien à craindre.
01:56Ce qu'on sait, c'est qu'elle est prête
01:58à sortir de l'affaire.
02:00C'est-à-dire qu'elle n'a pas
02:02un centime à prêter
02:04à l'affaire Farbongom.
02:06Elle n'a même pas le droit
02:08d'apporter des cadeaux
02:10à l'avocat.
02:12C'est ce qu'on voit
02:14dans l'affaire Farbongom.
02:16Il y en a quatre
02:18qui sont en train de sortir.
02:20Le maitre
02:22Pascal Gomis
02:24a constitué
02:26des avocats.
02:28Pour l'instant,
02:30il n'y a pas de défense.
02:32Au-delà de l'aspect politique,
02:34il a dit qu'il n'a pas le droit
02:36d'apporter des cadeaux
02:38à l'avocat.
02:40C'est ce qu'on attend.
02:42C'est ce qu'on doit faire
02:44à l'Assemblée Nationale.
02:46Nous avons commencé
02:48avec le député
02:50de l'Assemblée Nationale.
02:52C'est ce qu'on attend.
02:54On voit que
02:56la mobilisation
02:58est très forte.
03:00Il y a des anciens ministres
03:02comme le pape Malik Ndour
03:04et beaucoup d'autres.
03:06Il y a aussi le maitre
03:08Moussa Bokar Tcham.
03:10Ils ont tout apporté.
03:12La mobilisation
03:14est très forte.
03:16Qu'est-ce qui s'est passé
03:18au cours
03:20de ce processus
03:22de liquidation?
03:24La mobilisation
03:26est très forte.
03:28Depuis le siège
03:30de l'Assemblée Nationale en 2019,
03:32le président
03:34de l'Assemblée Nationale
03:36a annoncé
03:38qu'il avait gagné
03:4058%.
03:42La mobilisation
03:44et l'enthousiasme
03:46sont très fortes.
03:48Il y a eu des événements
03:50mais la mobilisation
03:52est très forte.
03:54Je crois
03:56qu'à part le président
03:58de l'Assemblée Nationale,
04:00personne n'a pu
04:02mobiliser.
04:04Il y a des anciens
04:06ministres et des alliés.
04:08Il y a beaucoup de choses
04:10à faire.
04:12La mobilisation
04:14est très forte.
04:16Je crois que
04:18le combat
04:20ne s'arrête pas ici.
04:22Si quelqu'un veut
04:24politiser le combat,
04:26il a le droit.
04:28Le premier ministre
04:30a dit
04:32lors de sa campagne
04:34qu'il allait
04:36politiser.
04:38Mais
04:40il faut avoir
04:42l'adhésion
04:44de la majorité sénégalaise.
04:46Si on fait comme
04:48nous l'avons fait,
04:50le combat ne s'arrête pas ici.
04:54Il y a aussi
04:56une politique.
04:58Mais
05:00il y a des arguments
05:02qui sont très forts.
05:04Notre défense
05:06est que
05:08tout le monde
05:10doit payer.
05:12Il y a
05:14un état
05:16mais tout le monde
05:18doit payer.
05:20C'est une allusion
05:22à Tahirou
05:24Sarr.
05:26C'est une
05:28allusion à
05:30la société
05:32financière
05:34de Tahirou Sarr.
05:36Il faut
05:38faciliter
05:40les marchés
05:42et les rétrocommissions.
05:44Je l'ai entendu dire
05:46que si on ne travaille pas,
05:48on ne peut pas payer.
05:50Le président
05:52m'a dit
05:54qu'il n'y a pas de problème
05:56entre le président de la République
05:58et le président de la République.
06:00Parce que
06:02le président de la République
06:04n'a pas de problème.
06:06C'est ça.
06:08C'est ce qui
06:10permet à
06:12les gens d'avoir accès
06:14par rapport au président de la République.
06:16Je ne suis pas un
06:18peu comme vous.
06:20Donc,
06:22c'est une allusion à
06:24les avocats.
06:26Aujourd'hui,
06:28on a installé la commission
06:30et la procédure
06:32pour que les gens
06:34puissent entendre.
06:36Donc,
06:38on va
06:40faire des arguments
06:42pour que les gens
06:44puissent entendre.
06:46Je pense que
06:48la politisation
06:50n'a pas
06:52abaissé les considérations.
06:54Je pense que
06:56le président de la République
06:58n'a pas fait sa part.
07:00Parce que
07:02les discours du Sénégal
07:04ne sont pas
07:06dans le même contexte.
07:08Ce n'est pas parce qu'il n'a pas fait sa part
07:10qu'il a été attaqué.
07:12Je pense que c'est sur la base
07:14d'un rapport.
07:16C'est une présomption d'innocence.
07:18C'est lui qui l'a fait.
07:20Il ne faut pas
07:22viser les militaires
07:24ou les partis politiques.
07:26C'est le rapport qui fait
07:28qu'il n'a pas fait sa part.
07:30C'est la présomption
07:32d'innocence.
07:34Il n'a pas fait sa part.
07:36Je pense que
07:38les gens
07:40ont entendu
07:42que
07:44Ousmane Sonko
07:46est derrière tout ça.
07:48Il a dit que
07:50quand il allait au Grand Théâtre,
07:52il n'était plus là.
07:54Quand il allait au Folé, il n'était plus là.
07:56Il n'a pas voté.
07:58Qu'en pensez-vous
08:00de l'amitié entre
08:02Ousmane Sonko et Farbongom?
08:04On ne peut plus
08:06croire que c'est lui
08:08qui a publié ce rapport.
08:12C'est une amitié politique.
08:14Cela peut bien se comprendre.
08:16Parce que Ousmane Sonko
08:18est un victime pastif.
08:20Il exerce le pouvoir.
08:22De l'autre côté,
08:24Farbongom s'est dit
08:26qu'il n'allait pas
08:28s'occuper de ses affaires.
08:30Mais ce qui se passe
08:32dans la Guinée, c'est un autre sujet.
08:34Il faut rappeler
08:36ce qui s'est passé.
08:38On croyait que
08:40Ousmane Sonko n'allait pas être candidat.
08:42C'est ce qu'on nous a dit.
08:44Il ne peut pas être candidat.
08:46Il ne sera pas candidat.
08:48On s'est dit qu'il n'allait pas
08:50s'occuper de ses affaires.
08:52C'est ce qu'on s'est dit.
08:54Il y a un VD de Farbom qui l'a annoncé.
08:56Exactement.
08:58C'est dans l'affaire Agissa ou Mambaigne.
09:00C'est ce qu'on s'est dit.
09:02C'est ce qui s'est passé dans le passé.
09:04Tout le monde sait
09:06que ce sont des politiciens
09:08qui parlent de leurs affaires.
09:10Mais ce qui doit se passer
09:12c'est la justice.
09:14Parce que si quelqu'un
09:16a l'occasion de dire
09:18qu'il y a de la politique
09:20il doit le faire.
09:22J'ai eu l'occasion de le faire
09:24quand le président Pastèque
09:26a fait une campagne.
09:28Il a dit qu'il allait faire
09:30ce qu'il pouvait pour le faire.
09:32Si Farbom est venu
09:34il a dit que
09:36il n'avait rien à voir avec la politique.
09:38C'est ce qu'il a dit.
09:40C'est ce qu'il a dit.
09:42Je pense que
09:44tout ce qui s'est passé
09:46doit se passer.
09:48Parce que le Sénégal
09:50n'est pas capable de faire
09:52ce qu'un homme politique peut faire.
09:54Il doit se défendre
09:56politiquement.
09:58Il ne peut pas se défendre
10:00alors il doit s'accepter
10:02qu'il peut faire ce qu'il veut.
10:04C'est ce qui s'est passé
10:06dans le passé.
10:08Je pense qu'il faut
10:10mettre en place
10:12ce qui s'est passé
10:14dans le passé.
10:16C'est ce qu'on peut savoir dans le temps.
10:18Aujourd'hui, il faut un préjugé de naissance.
10:20Personne ne va l'accepter.
10:22Si c'est le cas,
10:24personne ne peut dire que Farbom a fait
10:26ce qu'il a fait.
10:28Mais dans le temps,
10:30je pense que Farbom
10:32avec ses avocats
10:34peut-être qu'il a fait
10:36quelque chose de juridique
10:38et que l'avocat
10:40n'a pas le droit
10:42de dire ce qu'il a dit.
10:44Je sais qu'on peut
10:46l'accepter.
10:48Mais on ne peut pas
10:50le laisser faire.
10:52Est-ce qu'il peut
10:54dire qu'il a fait
10:56quelque chose
10:58contre Farbom et la procédure
11:00de l'assemblée?
11:02Je ne sais pas
11:04s'ils respectent
11:06l'accord qu'ils ont reçu.
11:08Je ne sais pas
11:10s'ils respectent
11:12l'accord qu'ils ont reçu avec Farbom.
11:14Je ne l'ai pas vu.
11:16Si c'était un politique,
11:18je ne l'aurai pas vu.
11:20Il y a des choses
11:22que je ne peux pas
11:24raconter.
11:26Je ne peux pas
11:28raconter
11:30ce qui s'est passé.
11:32Je ne peux pas
11:34raconter ce qui s'est passé.
11:36Je ne peux pas
11:38raconter ce qui s'est passé.
11:40Le logement et
11:42les mobilisations politiques
11:44ne sont pas importants pour nous.
11:46On est tous en colère.
11:48On veut se défendre
11:50et protéger nos valeurs
11:52mais on ne l'a pas fait.
11:54Il faudra que l'on se le fasse mieux.
11:56Je ne sais pas
11:58par où est que Farbom
12:00se trouve.
12:02Leloi pour les parlementaires
12:04se trouve il n'y a pas la moindre
12:06idée de sa présence.
12:08C'est pour ça qu'on est là-bas, il n'y a pas de pièges justificatifs pour pouvoir le faire.
12:13La procédure est en cours, le ministre de la justice saisit l'Assemblée nationale.
12:19Il est au coeur de tout ça, le procureur de la république, le procureur de la république, le pôle financier.
12:27Il est au coeur de tout ça car c'est lui qui est le ministre de la justice.
12:31Et si c'est le ministre de la justice, il doit s'exécuter auprès du président de l'Assemblée nationale.
12:35Le procureur de la république est l'avocat de l'Assemblée nationale.
12:40C'est lui qui a découvert ce qui s'est passé à l'Assemblée nationale.
12:44C'est lui qui nous a fait croire qu'on n'est pas encore là.
12:47On va donc se mettre à l'aise.
12:50Mais on ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
12:55On doit se demander si les procédures ont été respectées ou non.
13:00En toute sincérité, je n'ai jamais vu ce qui s'est passé dans les procédures.
13:04On va donc se demander si tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
13:13Mais c'est la politique qui est au coeur de tout ça.
13:17Il faut comprendre qu'on ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
13:25On peut même se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
13:32Je pense qu'on ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
13:38Mais on peut se dire que c'est la politique qui a fait ça.
13:44On ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
13:51Mais on ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
13:57On doit donc se poser sur les deux côtés.
14:01Par contre, il y a d'autres cas qui ne sont pas nécessaires.
14:10Il faut qu'on encadre ces cas-là.
14:12Parce qu'on ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
14:21Si on avait calculé que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale il y a 30 ans,
14:27tout ceci n'aurait pas pu se passer à l'Assemblée nationale.
14:29Depuis que l'opposition est en pouvoir, on n'en a pas entendu parler.
14:35Mais on ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
14:40Même si on ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale,
14:47on doit se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
14:49On ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
14:55Mais il faut s'en occuper pour les autres.
15:00Ce qui est enceint est le vrai, et nous sommes une nation.
15:04On ne peut pas se dire que tout ceci s'est passé à l'Assemblée nationale.
15:08Il faut donc réfléchir à notre discours et à ce qui est censé se passer à l'Assemblée nationale.