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L'ancien président François Hollande juge dans un entretien à La Tribune dimanche, que le PS, qui a choisi jeudi de ne pas censurer le gouvernement, contrairement au reste de la gauche, constitue désormais "le pôle central de l'Assemblée" et a "la clé jusqu'en 2027".

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Transcription
00:00Il a joué un rôle actif en coulisses cette semaine.
00:03François Hollande a défendu la négociation plutôt que la censure.
00:07Aujourd'hui, il persiste et signe.
00:09« Le Premier ministre doit respecter ce qu'il a promis.
00:12À ces conditions, je ne censurerai pas le gouvernement. »
00:15Cette décision du Parti socialiste a fracturé le NFP
00:18et renforcé les tensions avec la France insoumise.
00:21Une rupture assumée par l'ancien président.
00:24« Les socialistes ont pris une décision majeure.
00:26Ils ont récusé la posture de LFI
00:29dont la seule perspective est de bloquer la vie institutionnelle. »
00:32Le député de Corrèze qui cible directement le leader insoumis.
00:36« Monsieur Mélenchon est comme Madame Irma.
00:38Ses prophéties ne se réalisent jamais,
00:40ce qui ne l'empêche pas de les répéter à intervalles réguliers. »
00:43François Hollande défend également les progrès obtenus par le Parti socialiste
00:47qui devient, selon lui, le nouvel arbitre du pouvoir en place.
00:51« L'EPS peut à la fois assurer le présent et préparer l'avenir.
00:55Ils ont la clé jusqu'en 2027. »
00:572027, date de la prochaine élection présidentielle.
01:00François Hollande promet d'ores et déjà deux offres à gauche.

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