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00:00La nuit notamment, il y a 100 mineurs, il y a 2 veilleurs de nuit pour 100 adolescents qui n'ont qu'une envie, c'est normal, c'est leur âge, un peu sortir, vivre, c'est impossible à gérer.
00:13Je comprends l'inquiétude, mais qu'est-ce qu'on en fait des mineurs isolés ? Vous les mettez où ?
00:18Si on met 10, 10, 15...
00:20Le problème c'est qu'ils réquisitionnent tout un hôtel, ça marche comme ça en fait, vous réquisitionnez un hôtel, avec un garde vous ne pouvez pas mettre 10 dans un hôtel, 10 dans un autre, c'est impossible.
00:29Mais ça empêche pas la concertation ?
00:31Tout est une question de nombre, parce que dans les petits villages comme ça, je suis sûr que si tu amènes 5 ou 10 migrants, au contraire ils seront très bien accueillis pour tout le monde, sinon on va vouloir les aider,
00:39mais quand on a 100 qui arrivent sur 2000, tu passes d'un élan de générosité qui aurait pu se créer, à un sens de crainte qui n'est peut-être pas justifiée, mais qui existe.
00:49Excusez-moi, vous dites n'importe quoi, parce qu'en fait c'est impossible, je viens de vous l'expliquer, vous réquisitionnez un lieu, il est entièrement dédié à ces mineurs,
00:57vous ne pouvez pas mettre 5 mineurs là, 5 mineurs là, qui s'en occupe ? Qui tente de les réinsérer ?
01:03Ça demande une concertation.
01:05Gilles Verdez, on ne peut pas mettre 200 migrants comme ça dans une ville.
01:10100 sur 2000, c'est énorme le ratio.
01:12On ne peut pas le mettre sans demander l'avis.
01:14C'est ça le problème dans ce pays, en fait on ne demande plus du tout l'avis aux français sur rien.
01:20Ils font leur vie, mais ils demandent l'avis aux français.
01:23La dernière fois qu'ils leur ont demandé leur avis, c'était après la dissolution de l'Assemblée, ils leur ont demandé leur avis,
01:29et puis après ils ont fait une magouille pour que leur avis ne soit pas celui qui correspond à ce qui arrive à la fin.
01:33Ils ont dit tiens, comme on voit que la... Ah merde, t'as vu l'avis des français ? Ah merde, ce n'est pas ce qu'on veut.
01:40Bon, on va régler ça, on a deux semaines pour gérer ce truc-là.
01:44Donc voilà, ils ne demandent jamais l'avis des français.
01:48Non, voilà, Gilles Verdez, franchement, Gilles Verdez.
01:53Les lois et tout ce qui est fait actuellement en France, on voit bien qu'en France, tout est fait actuellement au dépit du bon sens.
02:02On voit bien que rien ne tourne rond.
02:04Donc on voit bien qu'il faut tout changer.
02:06Donc même ça, il faut changer.
02:08Tu ne peux pas mettre à dégât un village de 2000 habitants sans migrants et sans mineurs isolés.
02:14Non mais c'est n'importe quoi.
02:16Mais c'est n'importe quoi.
02:17Donc voilà, quand tu nous dis que ce n'est pas possible, à un moment, de toutes les façons, il faut tout changer.
02:22Tant qu'il n'y aura pas un mec qui va arriver en France et qui va dire chut, on enlève tout, on repart.
02:27On repart de zéro parce que rien ne va.
02:29Et je te dis, rien ne va.
02:30Donc voilà, je peux te dire qu'on ne pourra pas avancer.
02:32Mais ce n'est pas un mec comme toi qui va le faire, ça c'est sûr.
02:34Non mais le problème, si vous voulez, au-delà des mineurs isolés, c'est qu'aucune ville ne veut les recevoir en général.
02:41Et les centres de rétention, c'est pareil.
02:43Aucun maire n'accepte les centres de rétention.
02:45Alors tout le monde en parle.
02:46Il faut créer des centres de rétention.
02:48Tout le monde refuse.
02:49Les mecs, en France, je l'ai déjà dit, on aide tout le monde sauf les Français.
02:52Ça devrait être le slogan de ce pays.
02:54On devrait le mettre sur notre drapeau maintenant.
02:56Ce n'est plus liberté, égalité, fraternité.
02:58On aidera tout le monde sauf les Français.
03:00Vous allez voir, je pense que c'est vraiment, pour moi, c'est le slogan qui marche en ce moment.
03:03C'est incroyable.
03:04Tout le monde.
03:05Non mais c'est vrai.
03:06On n'aide que ceux.
03:08En fait, les Français, ils se sentent abandonnés.
03:12Mais on aide tout le monde.
03:15D'accord que vaut mieux 5 mineurs isolés ou 5 migrants dans 20 villages que 100 dans un.
03:21Mais vous les mettez où ?
03:22Arrête de gueuler là.
03:23Excusez-moi alors.
03:24Vaut mieux en mettre 5 dans 20 villages où ils seront bien accueillis,
03:28où les gens auraient un élan d'inégalité et ils les aideraient, plutôt que 100 dans un seul.
03:31Non mais ce qu'il dit en fait, lui, c'est qu'il dit qu'on dé-requisitionne tout un hôtel.
03:34Voilà.
03:35Donc c'est ce qu'il dit en fait.
03:36Il n'y a pas que des hôtels à réquisitionner.
03:38Il dit des bêtises en fait.
03:42C'est que si tu réquisitionnes un hôtel, oui forcément.
03:45Mais comme j'ai dit tout à l'heure, il faut tout changer.
03:47Il faut tout revoir.
03:49Et je suis désolé, à un moment...
03:52Il faut tout revoir parce qu'on voit dans des documentaires des fois,
03:57on voit des Français qui bossent, qui habitent dans leur voiture.
04:00Et là, on dit, il y a 100 personnes qui vont arriver, qui dorment à l'hôtel et qui vont aller à l'hôtel.
04:04C'est normal.
04:05Il y a plein d'SDF qui aimeraient bien qu'on réquisitionne un hôtel.
04:08C'est pour ça qu'il faut tout revoir.
04:09Parce que moi, je prends 100 SDF et je les mets dans un hôtel, je peux te dire oui.
04:13Et il y a même des gens, je te le dis, il y a des Français qui se saignent.
04:17Tu as vu ce qu'on a dit hier ?
04:18Le 16 du mois, tu as vu combien il y a de Français qui sont dans le rouge à la banque ?
04:21Ils aimeraient bien que je les recherche à l'hôtel aussi.
04:23Ils aimeraient bien qu'on leur prenne un hôtel.
04:24Qu'ils se disent, au moins, tu sais quoi ? Au moins, je suis à l'hôtel.
04:27Je ne vais pas payer le loyer.
04:28Mais Gilles Verdez, tu es vraiment tout ce qu'il ne faut pas faire en fait.
04:32Tout ce qu'il ne faut pas faire et tout ce qui est fait dans ce pays, tu le représentes.
04:35Je suis désolé.
04:36Gilles Verdez, en fait, tu continues à respecter et à continuer sur la même route
04:44que ce qui a fait qu'on est aujourd'hui dans la merde dans laquelle on est.
04:48Et toi, tu continues.
04:49Ça, on ne peut pas.
04:50Les mecs, il faut d'abord aider.
04:53Je te le dis, moi, quand je vois des Français qui travaillent
04:55et qui, le 15 du mois, sont à découvert et ne peuvent rien faire,
04:58moi, j'aimerais bien aider ces gens-là.
05:00Et leur dire, tiens, on va réquisitionner un hôtel.
05:02On va réquisitionner un immeuble.
05:03Oui, là, je suis d'accord pour des gens.
05:05Voilà, c'est bon.
05:06Merci.
05:07Il faut savoir un truc, c'est que les migrants passent avant les personnes
05:10en situation de handicap pour les demandes d'HLM.
05:13C'est clair.
05:14C'est bien que vous le lisez.
05:15C'est ça, c'est clair.
05:16Non, mais c'est vrai.
05:17Pour les demandes d'HLM, est-ce que vous vous rendez compte ?
05:18Non, mais quand je vous dis que dans ce pays, on marche sur la tête,
05:20il y a tout à revoir.
05:21C'est-à-dire qu'il faut que le mec…
05:22Ce n'est pas un travail qu'il a à faire, là, aujourd'hui, en France.
05:25C'est le mec qui doit travailler jour et nuit, le mec qui va arriver.
05:28Et l'équipe qui va arriver, je vous le dis, en 2027.
05:30Parce que là, on sait que c'est catastrophique.
05:32Voilà l'exemple type de ce qui se passe en France actuellement.
05:35Quand je vous dis qu'on aide tout le monde, sauf les Français,
05:37c'est le slogan de ce pays.
05:39Vous venez venir en France ?
05:40Ah ben, venez, on va vous aider.
05:42Il y a quoi comme autre pays à qui on peut donner 3 milliards, 2 milliards ?
05:44Il y a qui ?
05:45Qui c'est qui veut des milliards, là ?
05:46C'est qui veut gagner des milliards en France, mais pas pour les Français ?
05:48Merci.
05:49Non, mais c'est génial.
05:50C'est incroyable.
05:51On marche à l'envers.
05:53Il y a un autre scandale.
05:54Il y a un scandale qui va certainement bientôt éclater.
05:56C'est que les migrants qui sont délinquants sont favorisés,
05:59dans leur adaptation en France, aux autres.
06:03Parce qu'à partir du moment où ils font une connerie,
06:05ils vont en prison, la loi veut que dès que tu vas en prison,
06:07on te donne un numéro de sécurité sociale.
06:09Même si t'es étranger.
06:10Donc du coup, ils arrivent en prison, ils ont un numéro de Sécu.
06:12Et le numéro de Sécu, c'est le premier pas, la première marche
06:15pour obtenir la nationalité française.
06:17Du coup, il y a plein de migrants qui rêvent d'aller en prison
06:19pour pouvoir avoir accès aux soins, à la nourriture évidemment,
06:21au numéro de Sécu et bientôt aux papiers.
06:23Donc bientôt, il va y avoir une flambée de la délinquance
06:26pour favoriser l'accès aux papiers.
06:28Ce qui est délirant.
06:29Délirant.
06:30– Je peux me permettre de vous répondre Cyril ?
06:32Non mais sinon...
06:33Non mais il n'y a pas de souci.
06:35– Vas-y, vas-y.
06:36– Il vaut mieux que ces mineurs isolés soient dans un lieu et contrôlés.
06:39Vous les laissez dans la rue ?
06:40Vous les laissez dans la rue ?
06:41– Mais pas du tout.
06:42– Qu'est-ce que vous en faites ?
06:43– Il ne faut pas les faire entrer.
06:44– Excusez-moi, on n'en veut pas.
06:45– Qu'est-ce qu'elle dit Daniel ?
06:46– Moi je dis, on n'en veut seulement pas.
06:47– Ils sont là.
06:48– Il n'y a même pas une personne depuis des années et des années
06:51qu'on voit ces problèmes de mineurs isolés.
06:53Pour des raisons de droit, d'état de droit, on ne peut même pas vérifier.
06:57Il faut qu'ils soient volontaires pour qu'on vérifie s'ils sont vraiment mineurs.
07:00Donc vous vous rendez compte, il n'y a pas quelqu'un qui a les couilles
07:02pour faire ça, pour changer cette loi-là.
07:04Et on en est à se dire, mais où est-ce qu'on va les mettre ?
07:06Mais ce n'est même pas ça le problème.
07:08Le problème c'est que déjà il y en a peut-être la moitié qui sont majeurs,
07:10mais on n'ose pas, on ne leur demande surtout pas
07:13parce qu'on ne veut pas les gêner.
07:14– La centaine de mineurs qui avaient investi la guettellerie
07:16il n'y a pas longtemps, qui avaient investi des lieux,
07:18après 80% étaient majeurs.
07:2080% étaient majeurs après l'enquête.
07:22– C'est ça. Et eux leur intérêt c'est d'être mineurs.
07:24Ils savent que s'ils font une connerie, ils n'auront rien,
07:26on ne peut rien contre eux.
07:28– Elle est toujours occupée d'ailleurs par les 300 migrants aussi.
07:30Tout a été annulé jusqu'au 24 janvier.
07:32Mais Gilles Verdez il dit d'accord, il faut les laisser là-bas tranquille.
07:35On va fermer un théâtre.
07:37Mais Gilles Verdez est content, donc si Gilles Verdez est content,
07:40pourquoi je ne suis pas contre Gilles Verdez, ce que je veux dire,
07:42parce que pour moi Gilles Verdez juste il représente,
07:45il représente ce qu'il fait aujourd'hui,
07:47ce qui est pour moi le fléau de la France.
07:49C'est vraiment pour moi, c'est son idéologie.
07:51Et ce qu'il représente c'est le fléau français aujourd'hui.
07:53– La copine huit minutes va exploser.
07:55– C'est vraiment, c'est un fléau, je le dis, c'est un fléau.
07:58Et les Français commencent à en avoir vraiment ras-le-bol, je vous le dis.
08:01Et quand ils entendent des discours comme ça, ça les rend fous, croyez-moi.
08:05Mais Gilles Verdez, c'est pas lui, il est très sympa, Gilles Verdez.
08:09C'est un amour, regardez, tranquillement dans les transports en commun,
08:13comme son rêve.
08:15– Il n'habite pas, il est en France.
08:17– Non mais il est très sympa Gilles Verdez.
08:19Mais ça représente ce qui fait qu'aujourd'hui la France est dans cette situation actuelle.
08:26C'est des gens comme ça.
08:28– Et la solution de Georgia Meloni, qu'est-ce que vous en pensez ?
08:30C'est de faire des camps, des camps, carrément des camps,
08:33pour les migrants en Albanie.
08:35Où elle leur donne 200 millions à chaque fois
08:37pour que l'Albanie reçoive les migrants.
08:40– C'est une solution en tout cas.
08:42– Pourquoi est-ce que ça les tentera moins d'aller en Albanie ?
08:44– C'est une solution, après nous il faudrait qu'on trouve des solutions aussi.
08:46Mais nous il n'y a aucune solution, tout est dans l'air.
08:48Vous n'avez pas vu, il y a des solutions sur rien.
08:50– Non ?
08:51– Tout est dans l'air, n'importe quoi, il n'y a même pas de budget pour la France.
08:53On ne sait même pas quel est le budget de la France pour l'année prochaine.
08:55On va être obligés de prendre celui de l'an dernier, pour vous dire.
08:58– Oui mais s'ils font à chaque fois des motions de censure.
09:00– Exactement, mais tout reste dans l'air.
09:02Mais bon, ce n'est pas de notre faute si, je vous le dis,
09:05on n'a pas eu de gouvernement à cause de la dissolution.
09:07Il ne fallait pas non plus aussi que votre ami, je ne sais pas si c'est votre ami ou pas,
09:10Gabriel Attal ou…
09:12– Je l'ai rencontré une fois ici.
09:14– Moi aussi, je l'aime bien comme ça.
09:16Gabriel Attal ou des gens qui…
09:19Quand je vois…
09:21On a vu ce qui s'est passé entre les deux tours,
09:23on a compris pourquoi aussi aujourd'hui on est dans cette situation aussi.
09:26Il n'y a rien qui s'est détaché.
09:28Et d'ailleurs pour moi, et même le Président l'a avoué,
09:30la dissolution était quand même une énorme connerie.
09:32C'est vraiment pour moi une énorme connerie.
09:34– Ça c'est clair.
09:35– Ça restera dans les annales de la connerie.
09:37– C'est des accords d'entre-deux.
09:38– Même le Président l'a dit.
09:40Ça franchement, je ne sais pas qui lui a dit de le faire.
09:44Mais bon, à mon avis…
09:45– Lui ?
09:46– Non, non, non.
09:47Il y a des gens qui l'ont poussé aussi à le faire.
09:51Allez, merci en tout cas.
09:53On va voir, tiens, le sondage.
09:54On va voir si Gilles Verdez est toujours dans les choux.
09:56Plus que jamais, merci.
09:57Allez.
09:58– Sous-titrage ST' 501