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00:00Gauthier Lebray nous faisait un point à l'instant, il nous disait l'immigration légale 500 000 personnes tous les ans.
00:05Il faut additionner les premiers titres de séjour, on est à plus de 300 000, et l'asile, on est à un peu moins de 200 000.
00:13Vous avez 500 000 personnes qui rentrent de manière légale sur le territoire français chaque année.
00:17C'est un record le chiffre de l'année dernière, depuis 1945, c'est intéressant de mettre deux chiffres en parallèle.
00:23On n'a jamais fait aussi peu de bébés depuis 1945 et on n'a jamais autant accueilli d'étrangers depuis 1945.
00:30Là, vous avez un projet de société, c'est-à-dire que, par exemple, la gauche ne supporte pas les politiques natalistes,
00:36expliquant que c'est des politiques misogynes qui renvoient les femmes à leur utérus.
00:39Je rappelle que François Hollande a supprimé tous les avantages fiscaux pour les parents, et qui poussait donc à faire des bébés.
00:47Donc, les Français n'ont jamais fait aussi peu de bébés et les Français n'ont jamais autant accueilli d'étrangers.
00:54Qu'est-ce que vous voulez dire par là ?
00:56C'est-à-dire que je vois bien une partie de la gauche qui, au lieu de lancer des politiques natalistes,
01:01préfère combler le manque de main d'œuf, par exemple, par des étrangers.
01:06Vous êtes dans la théorie du grand emplacement, là.
01:08C'est ce que je voulais...
01:09Non, c'est purement factuel, ce que je viens de dire.
01:10Oui, mais il y a plein de gens, de plein de Français, qui ne veulent pas faire certains boulots.
01:14Oui, mais pourquoi tu dis ça ? Je dis juste...
01:17Quand Mélanie, elle régularise 400 000...
01:19Elle l'a choisi, oui, elle l'a choisi.
01:22Et en parallèle, elle met en place une politique nataliste qui, si elle était mise en place en France,
01:27on dirait que c'est une politique d'extrême droite.
01:30C'est marrant que tu dises « c'est très intéressant ta manière de réagir ».
01:32Tu dis tout de suite « grand emplacement », comme ça, comme si j'avais bien un truc horrible.
01:37Je ne fais que citer deux chiffres.
01:39C'est un peu tombé.
01:40Je ne fais que citer deux chiffres.
01:41C'est une espèce de méthode pour confisquer le débat, empêcher le débat.
01:45Je dis juste deux chiffres.
01:47C'est toujours les mêmes méthodes.
01:48Je ne suis ni pour le grand emplacement, ni pour le grand effacement à la Mélenchon.
01:51Je suis entre les deux, moi.
01:53Formidable que tu ne sois pas pour le grand emplacement, comme Jean-Luc Mélenchon qui maintenant...
01:56Non, il est grand pour le grand effacement, Jean-Luc Mélenchon.
01:57Non, et pour le grand emplacement, il l'a dit depuis deux jours.
01:59L'effacement de la France.
02:00Depuis deux jours, il est pour le grand emplacement, il l'a dit.
02:02Il ne le soit pas, Gauthier, parce que c'est intéressant que tu sois politique familiale.
02:05Mais je suis de gauche.
02:07Moi, je serais favorable à une allocation familiale dès le premier enfant.
02:11Je suis favorable à un grand plan pour la petite enfance dans notre pays, pour les places en crèche,
02:15pour les crèches en entreprise.
02:17Et il y a aussi des voix à gauche qui...
02:20minoritaires aujourd'hui dans le NFP.
02:22Parce que si tu parles de politique nataliste à Marine Tondelier, tu es hermisogyne.
02:25Si tu parles de politique nataliste à Samuel Rousseau, tu es un fasciste.
02:29Si tu parles de politique nataliste à qui que ce soit, à la France Insoumise, tu es d'extrême droite.
02:33Il faudrait une grande politique de la France.
02:34Moi, je ne prends que deux chiffres, et je demande aux gens de réfléchir à ça.
02:38Prenez les deux chiffres, Gauthier, prenez les deux chiffres.
02:42Le simple fait de citer deux chiffres pour Géraldine Maillet à ma droite,
02:48C'est bien la première fois qu'il y a quelqu'un qui est à ta droite ?
02:52Non, mais il y a vous !
02:56Il n'y a pas une sanction pour ça, chef ?
02:58Non, mais il parle géographiquement.
03:00Non, mais au sens géographique.
03:02Ok, Géraldine Maillet, qu'est-ce que vous allez chercher là ?
03:04Au sens géographique, moi je ne cherche plus rien depuis très longtemps.
03:06Géraldine, non mais ça, ce n'est pas vous.
03:08Non, c'est vrai, c'est pas moi.
03:10Maintenant, dans le débat, Cyril, le simple fait de citer deux chiffres, vous voyez, on est déjà complotiste.
03:13Exactement, c'est ça qui est bon.
03:16Le sous-jacent.
03:18Ça se sent comme ça.
03:20C'est factuel, les Français n'ont jamais autant accueilli d'étrangers,
03:24la France n'a jamais autant accueilli d'étrangers de manière légale depuis 1945,
03:28et on n'a jamais fait autant de bébés.
03:30Qui nous dit ce qu'il pense de Géraldine Maillet ?
03:32Hier, c'était toi, Olivier !
03:34Exactement, est-ce qu'elle fait du mal à la natalité, Géraldine Maillet ?
03:36Zéro, là ?
03:3880, 20, 39, 21 ?
03:40Dites-nous ce que vous en pensez, si on parle de l'entendu.
03:42Dites-nous ce que vous pensez de la réaction de Géraldine Maillet,
03:44qui est tout de suite montée sur ses grands chevaux.
03:46Pour des faits.
03:48Alors, on va rappeler ce qui s'est passé pour nos auditeurs,
03:50pour qu'ils puissent bien rappeler,
03:52pour qu'ils puissent bien appeler et nous dire ce qu'ils pensent de Géraldine Maillet.
03:56Géraldine Maillet, alors je pose cette question aux auditeurs d'Europe.
04:00Trouvez-vous que Géraldine Maillet fait mal à la natalité en France ?
04:03Et est-elle allée trop loin ?
04:05So far away.
04:07On est déjà en train de vous appeler pour vous donner une réponse.
04:09So far away from L.A.
04:11Est-ce que je peux résumer ce qui s'est passé ?
04:14Non, ça ne va pas être neutre.
04:16On va faire le résumé de gauche et le résumé de droite.
04:18Ça ne va pas être neutre.
04:20Donc, Gauthier Lebrède a donc rappelé, de manière très synthétique,
04:25la réalité démographique française,
04:28en rappelant que depuis 1945, nous étions vraiment sur une situation extrêmement dégradée.
04:34Et il a mis en pendant à cette situation,
04:37un score historique concernant l'immigration dans notre pays.
04:41Et il y avait comme un petit sous-texte,
04:43puisque les Français ne veulent plus faire d'enfants,
04:46c'est la population étrangère qui va les faire.
04:48Alors, ce n'est pas tout à fait ça.
04:50C'est complètement ça.
04:52Vivi, il n'y a que le résumé.
04:54J'avoue, c'est plutôt honnête.
04:56C'est vrai.
04:58Il manquait un élément, c'est l'attitude de Géraldine Maillet.
05:01Ça, je n'avais pas de mots pour la décrire.
05:03C'est principal.
05:04C'est l'attitude de Géraldine Maillet.
05:05Vous pouvez d'ailleurs réagir sur Europe 1.
05:080,1, 80, 20, 39, 21.
05:10Dites-nous ce que vous pensez d'elle en général, bien entendu.
05:13Ça va être catastrophique.
05:15Vous allez perdre les auditeurs.
05:17Bien entendu, des questions qu'on se pose tous.
05:19Géraldine Maillet va-t-elle trop loin ?
05:21Géraldine Maillet a-t-elle franchi la ligne rouge ?
05:25Géraldine Maillet est-elle responsable de la natalité en France ?
05:29De la dénatalité.
05:31Exactement.
05:32Est-ce que je peux faire un petit résumé, Cyril ?
05:34Bien sûr.
05:35C'est un moment choquant de dire que nous venons de vivre tous collectivement.
05:38Moi, j'en ai les poils.
05:40Souvent, Cyril, vous parlez très justement du terrorisme intellectuel.
05:45Cette manière de confisquer le débat, de l'empêcher.
05:48Ce goût de la censure qui, on le savait, venait de la gauche,
05:53mais désormais vient du centre.
05:55Nous avons assisté à un moment d'infrémissement despotique.
06:02Je vais simplement rappeler deux chiffres.
06:05Depuis 1945, les Français n'ont jamais fait aussi peu d'enfants.
06:14Pourtant, autour de cette table, ce n'est pas faute d'essayer.
06:16À qui dites-vous ?
06:18Depuis 1945, les Français n'ont jamais autant accueilli d'étrangers de manière légale.
06:26C'est intéressant de voir que d'un côté, on a des Français qui ne font plus d'enfants,
06:30et de l'autre, on a la France qui accueille de plus en plus d'étrangers de manière légale.
06:35Et j'ai ajouté à cela, à gauche, et c'est revendiqué comme tel,
06:39je l'ai entendu dans la bouche d'élu de gauche,
06:42au lieu de dire qu'il faut une politique nataliste pour que les Français fassent plus d'enfants,
06:46qui serait donc de la misogynie parce qu'on renvoie leurs femmes à leur utérus,
06:50on demande à un politique de gauche comment on va faire puisqu'on va manquer de main d'oeuvre,
06:54qui va payer les retraites ?
06:57Là où le politique de gauche répond, il faut faire venir des étrangers qu'on régularise,
07:02qui payent des impôts en France et qui payeront les retraites à la place des enfants français
07:08qui ne vont pas voir le jour parce qu'ils ne vont pas être conçus.
07:11Voilà ce que j'ai simplement dit, c'est purement factuel.
07:14Et là, Géraldine Maillat m'a dit « Tu fais la théorie du grand remplacement ! »
07:18Alors que je prenais simplement un exemple factuel.
07:21Je remarque jusque sur le grand remplacement qui, avant, n'était évoqué que par la droite,
07:27de la droite de l'échiquier politique et Eric Zemmour, et où on parlait de théorie complotiste.
07:32Aujourd'hui, Jean-Luc Mélenchon, ça fait deux jours, il est encore en meeting ce soir,
07:37qu'il parle de grand remplacement, qu'il reprend le terme et qu'il dit qu'il le souhaite.
07:41Il le souhaite ! On ne lui dit pas que c'est un complotiste.
07:44Il dit « Je souhaite », au moins c'est clair, c'est ce que je viens de vous dire.
07:47Les Français ne font plus de bébés, on fait venir plus d'étrangers
07:50et donc, pour lui, c'est un remplacement de population.
07:52Et oui, il va avoir lieu, a-t-il dit à Eric Zemmour.
07:54Il y a un garçon aussi qui a participé à la dénatalité, c'est Alain Juppé, il faut le rappeler.
07:58Moi, je me souviens, quand ma fille est née, quand on est marié...
08:01Qui est la personne ?
08:03On est toujours sur l'antenne de repas.
08:05Toujours dans « Marche sur la tête », on a été piraté, les mecs.
08:07Se vérifier, s'il vous plaît. Il y a de la friture sur la ligne.
08:10C'est important de le rappeler, Alain Juppé, je vous signale, quand il est arrivé au gouvernement en 1995,
08:15eh bien, il a enlevé... Quand on était marié avec un enfant, ça faisait trois parts.
08:20Quand il est arrivé, il a dit « Désormais, ça ne fera qu'une demi-part, un enfant. »
08:23Eh bien oui, je suis désolé, mais ça change la feuille d'impôt.
08:26Quand on est marié avec un enfant, ou marié... Voilà.
08:29Mais non, c'est important de le rappeler.
08:32Allez, il y a des gens qui veulent réagir, bien sûr.
08:36Ah, il y a des gens qui veulent réagir sur Géraldine Maillet.
08:4101-80-20-39-21, on vient de vous rappeler les propos de Géraldine Maillet.
08:47On va dire... Est-ce qu'on peut considérer ça comme un dérapage ?
08:52Elle vous choquait ?
08:54La pauvre Géraldine...
08:56J'écoute, j'écoute, j'écoute.
08:58Géraldine, il y a certainement des auditeurs qui sont d'accord avec vous.
09:00Moi, par contre, je veux bien que Géraldine me réponde sur le fond.
09:02Et là, ça va peut-être être plus compliqué.
09:04Avec des arguments.
09:05Elle peut vous répondre, Géraldine.
09:06Alors, Géraldine Maillet, est-ce que vous voulez nous répondre sur le fond ?
09:08Déjà, je veux savoir si Gauthier a fini son stand-up ?
09:10Bien sûr qu'il a fini.
09:11Il est terminé ?
09:12C'est tout pour lui.
09:13Il va y avoir un contracte, une première soirée.
09:15En fait, moi, je comprends très bien quand tu dis et quand tu donnes les chiffres de l'immigration.
09:19C'est implacable.
09:20Ce sont des chiffres, ce sont des données.
09:22Mais comment veux-tu forcer les Français à faire des enfants s'ils ne veulent pas faire des enfants ?
09:26Ah non, mais tu ne forces personne.
09:28Tu donnes des avantages aux Français qui feraient les enfants des avantages fiscaux.
09:33Fiscaux, comme je viens de parler.
09:34Et on voit que ça a des résultats.
09:35Dans plusieurs pays du monde, ça a des résultats.
09:37En Hongrie, il y a des avantages colossaux pour les couples qui font des enfants.
09:41Il y a des avantages fiscaux et ça a relancé la natalité.
09:43Donc toi, tu crois qu'on fait des enfants uniquement pour ça aujourd'hui ?
09:46Que parce qu'on a des avantages fiscaux ?
09:48C'est vraiment intéressant, Géraldine.
09:50Parce qu'à chaque fois, tu viens avec des arguments où tu es choqué.
09:53Non, je te demande.
09:54Je pose une question vraiment naïve.
09:56Je te donne un fait.
09:57En Hongrie, il y a eu des avantages fiscaux colossaux pour les couples.
10:00Pas pour les homosexuels, mais pour les hétéros.
10:02C'est même pas le sujet de la fois.
10:04C'est une vision de la vie.
10:07Mais c'est quand même dingue.
10:09A chaque fois, puisque tu n'as aucun argument sur le fond.
10:13Elle a changé de sujet.
10:15Je ne te parle pas des homosexuels en Hongrie.
10:17On pourrait parler des homosexuels en Hongrie, si tu veux.
10:19On n'en parle pas.
10:20Mais là, il vous parle de la natalité.
10:22Ce qu'il y a d'intéressant, c'est savoir si...
10:25Vous nous direz tout à l'heure ce qu'il y a d'intéressant.
10:27Je te donne un exemple.
10:28Vous allez donner un exemple tout à l'heure.
10:30Vous savez comment ça coûte un ananas sur l'antenne ?
10:32Moins cher, visiblement.
10:35On ne paye que ce qui marche.
10:38Je vous le dis, vous calmez les mecs.
10:40Moi, j'en ai assez.
10:42Ils me payent en deux bouteilles d'eau.
10:44Et du gel hydroalcoolique.
10:46Voilà en quoi je suis payé.
10:47Et on n'a même pas eu tous une bouteille d'eau aujourd'hui.
10:49Parce que j'ai appris qu'on venait nous piquer nos bouteilles d'eau.
10:50Non, ce n'est pas vrai.
10:51Je vais me donner une enquête.
10:52Je vais savoir de quoi il s'agit.
10:53Pour vous dire, on nous paye en bouteilles d'eau aussi.
10:55Je peux vous le dire.
10:56C'est incroyable.
10:57C'est incroyable.
10:58Merci, en tout cas.
10:59On va en parler dans un instant.
11:00Dites-nous ce que vous pensez de Géraldine Maillet,
11:02responsable de la dénatalité en France.
11:0401 80 20 39 21.
11:07Europe 1.
11:0816h18.
11:09On marche sur la tête.
11:11Cyril Hanouna.
11:12On est très très heureux d'être avec les auditeurs d'Europe 1.
11:14Tous les après-midi.
11:1501 80 20 39 21.
11:17Vous nous appelez.
11:18Il y a énormément de gens qui tiennent pour responsable Géraldine Maillet
11:21de la dénatalité en France.
11:23Ces gens veulent s'exprimer, bien entendu, sur Europe 1.
11:25Je suis en train de me renseigner sur...
11:26Ce sont les bienvenus.
11:27Et Gauthier Lebray a de nouveaux éléments.
11:29Dans un instant également, on aura des indiscrétions sur le dîner d'hier.
11:33Le dîner qui fait énormément parler Bruno Reynon.
11:35Le dîner qui fait énormément parler Bruno Rotailleau.
11:37Laurent Wauquiez.
11:38Bruno Rotailleau qui commence à faire beaucoup de bruit.
11:42Il y a énormément de gens qui commencent à dire
11:44que ce ne serait pas le favori pour 2027.
11:47On en parle de plus en plus.
11:49Est-ce qu'on va avoir une nouvelle gardé-chef à droite ?
11:51Exactement.
11:52On va en parler dans un instant.
11:53Olivier Lartigolle est là.
11:54Fabien Lequeuvre se réveille gentiment.
11:59Gauthier Lebray est présent.
12:01Géraldine Maillet travaille sur des chiffres
12:03qu'elle ne donnera jamais.
12:05Qu'on ne lui laissera pas la chance de donner.
12:08Merci.
12:0901, 80, 20, 39, 21.
12:11On va prendre des auditeurs en ligne.
12:13Ah, il y a Asilane.
12:15Vous la connaissez ?
12:16On l'a déjà eue.
12:17Incroyable.
12:18Qui voudrait donner son avis sur Géraldine Maillet.
12:20Pas mal de gens qui appellent sur la natalité.
12:22J'aimerais bien les avoir là.
12:23Judith, Kader Dali, Asilane bien entendu.
12:27Tous les gens qui veulent s'exprimer sur Géraldine Maillet
12:29sont les bienvenus sur Europe 1.
12:32Géraldine Maillet, voilà.
12:34Il y a pas mal de gens qui réagissent sur les réseaux
12:36qui disent que la dénatalité,
12:38aujourd'hui, ça rime avec Maillet.
12:40Merci.
12:42C'est un beau slogan.
12:43Merci.
12:44Gauthier Lebray, des nouveaux chiffres
12:45viennent de tomber, des nouvelles infos.
12:46On parlait de la politique nataliste
12:48de Viktor Orban en gris.
12:50Les résultats ne sont pas encore colossaux.
12:52Mais ça frémit.
12:54Confirme.
12:56Parce que pour l'instant, ça n'a pas encore...
12:58Il y en a un qui veut s'en inspirer.
13:00Donald Trump veut s'en inspirer.
13:01Et France Info a fait un reportage.
13:03On ne peut pas dire que ça soit une radio de droite.
13:06A part Radio Vatican.
13:08Je trouve frappant l'exemple qu'ils ont pris.
13:10Marton a 34 ans.
13:12Il est chercheur en physique dans un institut d'Etat.
13:14Sa femme est médecin généraliste.
13:16Non seulement ils ont obtenu un crédit immobilier
13:18pour faire agrandir leur petite maison,
13:20mais ils ont aussi décroché un deuxième crédit
13:22qui s'appelle le Prébébé.
13:23A l'époque, ils avaient deux enfants.
13:25Il a fallu signer un contrat avec l'Etat.
13:27Il parle de qui là ?
13:29Arthur Martin.
13:31Dans ce contrat qui permettrait d'obtenir ce nouveau prêt,
13:33ils s'engageraient à avoir un troisième enfant
13:35comme l'explique Martin.
13:36On a eu le Prébébé.
13:37C'est environ 25 000 euros.
13:38Ça s'ajoute au prêt de 25 000 euros
13:40qui s'appelle le Choc.
13:41Le Prébébé, on peut le dépenser comme on veut.
13:43Mais le Choc, c'est seulement pour acheter
13:45ou construire un logement.
13:46Et si on s'engage à avoir trois enfants,
13:47les crédits se transforment en dons.
13:49Vous voyez, ça c'est France Info
13:50qui est allée sur place en Hongrie.
13:52Et voilà, ça marche.
13:54Pour les femmes de moins de 30 ans.
13:56En Hongrie, c'est pour les femmes de moins de 30 ans
13:58la politique de natalité.
13:59Ça veut dire qu'à partir de 31 ans,
14:01t'es sur une voie de garage
14:03et tu ne comptes pas.
14:04La politique de natalité
14:05qu'a instauré M. Orban,
14:07c'est pour les femmes de moins de 30 ans.
14:08Je ne sais pas où tu vois ça.
14:09Je ne sais pas où vous voyez ça, Géraldine Mailly.
14:11Je ne sais pas où vous voyez ça.
14:12De qui ?
14:13C'est le papa, c'est normal.
14:14Arthur Martin.
14:16Il était dans les Machines à laver avant.
14:18Je vais vérifier ça.
14:20J'entends très bien le lien un peu simpliste
14:22mais qui existe
14:23et que fait en tout cas Gauthier Lebré
14:25entre l'immigration
14:28c'est le manque d'arguments.
14:29entre l'immigration et les immigrés
14:31qui feraient beaucoup de bébés
14:33contre ou à côté de...
14:35Je n'ai même pas dit ça.
14:36J'ai dit qu'on remplace
14:38le manque d'enfants
14:40en faisant venir plus d'immigrés.
14:42C'est exactement ce qu'il a dit.
14:43Tu as dit tout à l'heure sous-entendu
14:44les immigrés font des bébés
14:45et pas des français.
14:46Je n'ai même pas dit ça.
14:47Je n'ai même pas prononcé cette phrase.
14:48En tout cas, Olivier l'a dit
14:50et tu as dit que ce n'est pas si mal résumé que ça.
14:52Déjà, il faudrait avoir
14:54les chiffres
14:56pour les enfants d'immigrés en France
14:58mais je n'ai même pas mis le débat
15:00sur ce créneau-là.
15:02C'est toujours pareil.
15:03On ne peut pas débattre
15:04parce que tu me fais dire des choses
15:05que je n'ai pas dites.
15:06Tu as donc dit qu'on fait venir des immigrés
15:08parce qu'on ne fait pas assez de bébés.
15:09C'est exactement ce qu'il a dit.
15:11Il se trouve qu'on le fait en même temps.
15:13Je ne pense pas qu'il y ait de volonté
15:14d'Emmanuel Macron de faire cela.
15:16Mais à gauche, on te dit très clairement...
15:18Là, vous venez de dire un truc
15:19volonté d'Emmanuel Macron.
15:20Volonté d'Emmanuel Macron.
15:21Je pense qu'il laisse faire les choses comme ça.
15:23Vous voyez bien qu'il n'y a pas de volonté.
15:25C'est un oxymore pour vous Cyril.
15:27Volonté d'Emmanuel Macron.
15:29Comme tu me disais.
15:30Franchement, volonté d'Emmanuel Macron.
15:32C'est compliqué de débattre
15:33parce que tu me fais dire des choses.
15:34Un, que je n'ai pas dite.
15:35Et deux, tu n'as pas d'argument chiffré
15:37face à ce que je te mets devant les yeux.
15:40Il y a juste deux phénomènes qui se croisent.
15:42Elle nous fait ce qu'on appelle dans le métier.
15:44Elle nous fait une Mbappé
15:46quand elle parle d'Mbappé au PSG.
15:47C'est exactement pareil.
15:48C'est la même.
15:49Mais ce que je parle,
15:50ce sont deux phénomènes.
15:51J'entends ton phénomène.
15:52Il y a deux phénomènes.
15:53On n'a jamais fait aussi peu de bébés depuis 1945.
15:55On n'a jamais accueilli autant d'immigrés depuis 1945.
15:58Et la gauche te dit que c'est très bien.
16:00Face au manque de bébés,
16:02il faut faire venir plus d'étrangers.
16:04C'est dit texto.
16:05C'est encore dit texto par Jean-Luc Mélenchon
16:07qui dit maintenant que c'est un grand remplacement
16:09et qu'il le souhaite.
16:10C'est tout.
16:11C'est factuel ce que je te dis.
16:12Mais je pense que tu oublies là-dedans,
16:13gauche droite et tout ça,
16:14la vision de société aujourd'hui des femmes.
16:16Les femmes aujourd'hui,
16:17elles veulent travailler.
16:18Elles veulent s'émanciper.
16:19Elles veulent avoir un bébé,
16:21non pas comme avant à 22 ans.
16:23Ma mère m'a eu à 17 ans
16:24ou à 23 ans, 24 ans,
16:26mais pourquoi pas à 35 ans, 36 ans, 37 ans.
16:28C'est-à-dire qu'on est aussi dans un projet
16:30de société occidentale aujourd'hui
16:32qui est très, très différent
16:33de certains pays aujourd'hui.
16:35En Afrique, par exemple, en 2050,
16:37il y aura un milliard de personnes en plus.
16:40Nicolas Sarkozy dit quoi là-dessus ?
16:42Nicolas Sarkozy dit quoi là-dessus ?
16:43Il dit que la crise migratoire n'a pas commencé.
16:46Il a raison.
16:47Qu'est-ce qui va se passer ?
16:48Qu'est-ce qui va se passer ?
16:49Les Français font plus d'enfants
16:50et que la crise migratoire n'a pas commencé.
16:52De facto, la population va changer.
16:54Tu penses qu'en nous donnant des avantages fiscaux
16:57et en donnant des voitures gratos avec des bonus,
16:59tu penses que les femmes vont pouvoir faire des bébés ?
17:01C'est ce qu'a fait Orban.
17:03Orban donne 7000 euros pour une voiture 7 places.
17:05Est-ce que tu penses que ça,
17:06ça va inciter les femmes à faire des bébés ?
17:07Ça frémit en Hongrie.
17:08En Italie, c'est la politique aussi
17:10qui met en place Giorgia Meloni.
17:11Elle est encore plus à la ramasse que nous
17:13pour les bébés en Italie que la France.
17:14Géraldine Maillet, arrêtez de dire…
17:16Je vais m'en occuper, laissez-moi là.
17:18Je vais m'en occuper parce qu'on ne veut plus
17:19d'entendre des synopsis parallèles.
17:21Géraldine Maillet, on voit bien que ça frémit en Hongrie.
17:25En Italie, dans tous les domaines,
17:29ils sont en train de nous mettre une dérouillée.
17:31Vraiment, je vous le dis,
17:32bientôt ils vont se moquer de nous.
17:34Darmanin va là-bas pour apprendre
17:36comment ils ont fait au niveau de la justice.
17:38Pour vous dire, pour l'Italie,
17:39ça y est, c'est devenu nous…
17:40Le modèle.
17:41C'est fini.
17:42Elle vient de le mettre en place,
17:43on va voir si ça marche.
17:44On va voir si ça marche.
17:45Au moins, elle fait quelque chose.
17:46En tout cas, elle fait quelque chose.
17:47Bravo, c'est ce que j'allais dire Gauthier.
17:49Géraldine Maillet, elle est baba devant Emmanuel Macron.
17:52Ça fait 8 ans qu'il ne fout rien.
17:55Emmanuel Macron avait dit qu'il le ferait.
17:57Ton président chéri, il avait dit qu'il le ferait.
17:59Il a dit qu'il ferait tout.
18:00Il avait parlé de sursaut démographique.
18:02Je ne pense pas qu'il faut qu'on ait
18:03beaucoup d'enfants pour un acte personnel.
18:04S'il vous plaît, Géraldine Maillet.
18:06Il ne faut plus avoir d'enfants ?
18:07Pas beaucoup.
18:08Elle en veut.
18:09Arrêtez.
18:10La crise économique, l'écologie.
18:12C'est terminé.
18:13Deux enfants par famille, ça suffit l'argent.
18:16Je suis contre les familles nombreuses.
18:17L'enfant est l'avenir de l'homme.
18:18Qui va payer les retraites ?
18:19L'enfant est l'avenir du pays.
18:21Entendre des choses pareilles.
18:23S'il vous plaît, les deux, merci.
18:24Stop.
18:25Géraldine Maillet, elle nous en a mis plein les oreilles.
18:27Je préfère être sourd comme Valérie Ménaim.
18:29Elle revient lundi.
18:30Franchement, je préfère être sourd
18:32que d'entendre ce que dit Géraldine Maillet.
18:34C'est horrible.
18:35C'est terminé.
18:36C'est insupportable.
18:37Et puis, Emmanuel Macron, il ne peut pas s'occuper des enfants
18:40et être au péage
18:41pour savoir si le ticket passe ou pas avec le téléphone.
18:43Là, il est sur le péage.
18:44Là, il est sur le triangle du reconcours.
18:46Alors qu'il est avec bouffon fûté.
18:48Ce qui est désagréable,
18:49c'est qu'il a en effet fait de grosses annonces sur la démographie.
18:52Mais merci.
18:53Non, non, mais s'il vous plaît.
18:54Stop, stop, stop.
18:55Juste, on va se calmer deux petites secondes.
18:57Au moins, quand il donne des exemples,
19:00quand il donne des exemples, Gauthier Lebray,
19:02au moins, il se passe quelque chose.
19:03En Hongrie, on essaie de faire des choses.
19:04En Italie, on essaie de faire quelque chose.
19:06Nous, les mecs, on ne fait rien sur rien.
19:09Et ça plaît à Géraldine Maillet.
19:11Si Emmanuel Macron se présentait une troisième fois,
19:13elle aurait encore voté Emmanuel Macron.
19:15Proposez-moi des gens en face
19:17et puis je verrai si j'ai choisi Emmanuel Macron ou quelqu'un d'autre.
19:19Mais Géraldine Maillet, arrêtez, vous êtes aveuglée.
19:20C'est effrayant, effrayant.
19:21Mais Emmanuel Macron, réveillez-vous.
19:23De toute façon, il ne se représentera pas.
19:24Vous êtes débarrassée.
19:25Vous aussi.
19:26Prenez une autre guimauve.
19:27Oui, prenez une autre guimauve.
19:28Elle va nous sortir Édouard Philippe.
19:29Non, mais sans déconner.
19:31Allez, en confiserie, à tout de suite sur Europe 1.
19:39Il est 16h42 sur Europe 1.
19:40Et c'est vrai qu'on est parti sur un sujet qui n'était pas prévu,
19:43mais qui est très fort.
19:44Et c'est vrai qu'on pense d'abord à une chose.
19:46On fait d'abord, bien sûr, des enfants pour ne pas avoir de crime.
19:48Par amour.
19:49C'est ce que je disais.
19:50Mais aussi, c'est important.
19:51Comme l'a dit Gauthier Lebré,
19:53les enfants sont l'avenir du pays.
19:55Donc forcément, c'est très, très important.
19:57Ce qu'a expliqué Gauthier Lebré en début d'émission,
20:00c'est tout simple.
20:02C'est de la logique.
20:03Il dit qu'on ne fait pas assez d'enfants.
20:05Donc forcément, on est obligé de faire rentrer des gens.
20:08Mais c'est aussi simple.
20:09C'est pas loin.
20:10Les mecs, c'est du bon sens.
20:12C'est du bon sens près de chez nous.
20:14Donc voilà.
20:15C'est tout simplement la vérité.
20:16Gauthier Lebré, il donne des faits.
20:17Il ne donne pas son avis.
20:18Il donne des chiffres.
20:19Et il fait un constat qui n'est pas un avis de sa part.
20:22C'est juste le constat.
20:23C'est un constat.
20:24Voilà.
20:25Donc dans ce constat, Cyril, on est d'accord.
20:28On fait rentrer des gens.
20:29Parce que nous, ici, les Français de souche,
20:32entre milliards de guillemets,
20:33ne font pas assez d'enfants.
20:34Et en même temps...
20:36Même pas les Français de souche.
20:37Pourquoi tu parles de Français de souche ?
20:38C'est toi qui parles des Français de souche.
20:40Arrête de jouer ta mijaurée comme ça.
20:42De l'euphémisme.
20:43Et à côté de ça, dans les EHPAD, aux urgences,
20:47dans les restaurants et tout ça,
20:48il n'y a que des étrangers.
20:49Mais il n'a pas dit...
20:51Quelle vision tu as des étrangers, franchement ?
20:53Il faut les faire rentrer pour prendre les boulots
20:55que les Français ne veulent pas.
20:56Mais bien sûr.
20:57J'ai fait un livre là-dessus.
20:58J'ai fait un livre sur les gens
20:59qui travaillent dans les urgences et dans les EHPAD.
21:01Il n'y a que les étrangers
21:02qui s'occupent de nos vieux, par exemple.
21:04Il y a 6 millions de chômeurs en France
21:05et il n'y a personne...
21:06Tu es trop jeune,
21:07mais va traîner dans les EHPAD.
21:09Va aux urgences.
21:10Je suis trop jeune,
21:11je suis le seul qui donne des gifs.
21:12Ce sont les étrangers qui font les tabous.
21:15Stop.
21:16Tu es trop jeune.
21:17Je déteste ça.
21:18Gauthier, je peux vous dire un truc ?
21:19Oui.
21:20Moi, je suis d'accord avec vous à 100%.
21:22Je vous le dis, Gauthier,
21:23et Gauthier, une fois de plus,
21:25franchement, je vous dis la vérité, Gauthier,
21:27ils n'ont rien compris.
21:28En fait, vous donnez juste des faits.
21:29Mais c'est incroyable.
21:30Ils donnent des faits
21:31et ils montent sur leurs grands chevaux.
21:32Ils n'ont rien compris, une fois de plus.
21:33On dirait quand ils parlent de Mbappé au PSG.
21:35Allez, on a Asiliane qui va donner.
21:36On dirait qu'on a Asiliane qui veut donner son avis.
21:39Oui.
21:40Franchement,
21:41qui veut parler de Géraldine Maillet.
21:43On a les oreilles qui saignent
21:44quand on l'entend, c'est insupportable.
21:46Vous êtes de Marseille, Asiliane.
21:48Oui, bonjour à tous.
21:49Je sais que vous tenez responsable Géraldine Maillet
21:51de la délétalité en France.
21:52Oui, carrément.
21:53Alors, Asiliane.
21:54Bonjour à tous.
21:55Je vous adore.
21:56Je vous écoute tout le temps.
21:57Merci, Asiliane.
21:58Alors, Géraldine.
21:59Bonjour.
22:00Alors, pour commencer.
22:01Bonjour, Géraldine.
22:02Alors, on sent que vous manquez de respect.
22:03Vous parlez comme tous les anciens politiciens
22:05et tous les nouveaux.
22:06À savoir, on ne fait rien.
22:08On ne bouge pas.
22:09On fait l'autruche.
22:10On met la tête dans le trou.
22:11C'est politiquement correct.
22:12Tout va bien.
22:13Mais non, c'est normal.
22:17Quand vous écoutez tout à l'heure
22:19les chiffres qu'a donnés Gauthier...
22:21L'excellent Gauthier.
22:22Mais attendez.
22:23Mais vous devriez me terroriser de ça.
22:26C'est énorme.
22:27C'est monstrueux.
22:28Et encore, Gauthier,
22:30vos chiffres, je les crois.
22:32J'y crois.
22:33Mais je pense qu'il y en a beaucoup plus
22:35que ce que vous ne pensez.
22:36Ça, c'est ce qu'on nous dit dans la presse.
22:38On veut nous rassurer.
22:39Enfin, moi, ça ne me rassure pas.
22:40Mais la preuve, ça rassure.
22:411,2 millions, c'est quand même une estimation importante.
22:46Et ce que disait Gauthier Lemoyne,
22:48c'est qu'il voudrait accueillir des gens,
22:49mais les accueillir dans de bonnes conditions,
22:50même pour ces gens qu'on accueille.
22:51C'est ce que disait Gauthier.
22:53Mais le problème, c'est qu'il faut accueillir les gens,
22:55mais il faut que les proportions restent normales.
22:58Il faut qu'on puisse remettre nos crèches.
23:00Il faut que notre culture,
23:01les gens qui viennent, bien sûr,
23:03mais ceux qui viennent,
23:04respectent notre culture.
23:06Notre culture, ça commence par des...
23:09Oui, Noël, les crèches, les fèves,
23:12on fait toute une histoire parce que...
23:14C'est insupportable.
23:15Il y a un petit Jésus ou un roi dans une fève.
23:17Mais vous, on dit qu'on en arrive...
23:19Non, mais on peut pas en arriver là,
23:21c'est pas possible, il faut que ça s'arrête.
23:22C'est ce que j'ai dit.
23:23Asilien, qu'est-ce que j'ai dit ?
23:24Hier, je l'ai dit, je l'ai dit,
23:26je vous le dis, et ça, c'est insupportable.
23:28Mais ça devient fou.
23:30Je vais vous dire, quand on dit,
23:32on a peur de dire aux gens qu'on est catholique,
23:35chrétien, mais c'est vrai.
23:37Maintenant, vous portez une croix,
23:39vous la camouflez avec un col roulé,
23:41parce que, voilà, vous risquez...
23:43Mais on vit, alors, pour les enfants,
23:45ça se rejoint, hein,
23:47les enfants, mais pourquoi les femmes
23:49ne font pas d'enfants ?
23:50Géraldine, vous prenez un cas
23:52qui est peut-être le vôtre,
23:53mais qui n'est pas général, hein.
23:55Moi, je parle avec beaucoup de gens,
23:57pourquoi ils ne font pas d'enfants ?
23:58Ils ne font pas d'enfants parce qu'ils ont peur.
24:01Non, non, mais parce que les gens ont peur,
24:03les mères ont peur de ce qu'on entend.
24:05Alors, on nous effraie sur le climat,
24:08on nous effraie sur les gens qui arrivent.
24:11Regardez dans les classes.
24:13Mais c'est ça qui me paraît bizarre,
24:15même dans vos pourcentages.
24:17Moi, ma petite fille, dans sa classe,
24:19il y a deux Français.
24:21Et pourtant, elle est dans une classe normale.
24:23Mais ça ne pose pas de problème,
24:25parce que, bon, les gens sont...
24:27Enfin, ça se passe bien.
24:29Mais en France,
24:31on a besoin absolument
24:33qu'on fasse rentrer moins de monde
24:35pour retrouver, en fait,
24:37l'équilibre, notre culture.
24:39Et moi, je suis sûre qu'à partir de là,
24:41évidemment, il faut baisser les prix des crèches.
24:43Comme vous voyez, 1 000 euros pour un enfant
24:45pour aller à la crèche.
24:47Même si vous êtes...
24:49Beaucoup de parents n'ont pas de place en crèche.
24:52Hier, j'ai discuté avec une collègue,
24:53elle vient d'être maman.
24:55Ils ont pris une nounou,
24:56parce qu'il n'y a pas de place en crèche.
24:58Et ça coûte encore plus cher, une nounou.
25:00Mais quand vous regardez,
25:02je crois que j'avais lu un article
25:04où il disait que 38% des femmes
25:06ne faisaient pas d'enfants.
25:08C'est la peur de l'avenir.
25:10Mais la peur de l'avenir, il faut le régler.
25:12C'est quoi la peur de l'avenir ?
25:13C'est tout ce qu'on entend,
25:15tous ces effets divers,
25:17tous ces gens qui rentrent,
25:18les QTF qui sont dehors,
25:20on les laisse sortir.
25:22Vous voulez tuer un flic,
25:24vous avez 150 euros d'amende
25:26et vous n'allez pas en prison.
25:28Et par contre,
25:30vous roulez l'État.
25:32Ce n'est pas bien ce que je dis,
25:33mais c'est un exemple.
25:34De 20 euros, là, vous avez un an de taux.
25:36Il y a un gros problème en France
25:38de la justice,
25:40qui n'est pas normale.
25:42Là, je m'agrandis dans tout ça.
25:44Mais en fait,
25:46il faut absolument régler le problème
25:48de l'immigration, c'est une priorité principale.
25:50Et le seul actuellement
25:52qui s'en mêle, c'est Rotaio.
25:54Et là, je dis bravo.
25:56Franchement, ce mec, il en a.
25:58Il y va. Et là, maintenant, il faut arrêter
26:00d'avoir des propos comme ça.
26:02Je fais ce que je veux.
26:04Il a raison.
26:06Qu'est-ce que vous avez dit à Géraldine, Asiliane ?
26:08Je dis à Géraldine
26:10qu'elle doit soutenir Rotaio dans ses propos.
26:12Il a raison sur tout.
26:14Ce type-là, il est bien ouvert.
26:16Mais vous trouvez que, Asiliane,
26:18concernant Géraldine,
26:20qu'est-ce que vous pensez d'elle ?
26:22Écoutez, moi, Géraldine,
26:24je remarque, que ce soit sur votre émission
26:26le soir,
26:28comme là,
26:30Géraldine, elle a un langage
26:32politiquement correct.
26:34Il ne faut pas faire de vagues.
26:36La guimauve, comme j'ai dit à Asiliane.
26:38C'est comme le petit chien dans la voiture
26:40qui bouge la tête.
26:42Asiliane, elle veut nous remplacer Emmanuel Macron par Édouard Philippe.
26:44Non mais les mecs, franchement.
26:46Il faut arrêter, c'est pareil.
26:48Qu'est-ce que vous auriez à lui dire si vous l'aviez devant vous ?
26:50Non mais,
26:52si je l'avais devant moi, je lui dirais
26:54une chose, Géraldine.
26:56On irait déjeuner ensemble, j'espère, pour en parler.
26:58Parce qu'elle a beaucoup de choses que j'apprécie.
27:00Géraldine, quand vous parlez,
27:02en ce moment, vous êtes comme
27:04le petit chien dans les voitures,
27:06à l'arrière, qui bouge la tête.
27:08Oui, parce que
27:10vous ne prenez pas de décisions.
27:12C'est ça.
27:14Je ne suis pas femme politique.
27:16Moi, je prends des décisions,
27:18alors que je ne suis pas un politique.
27:20Thierry va vous accolorar avec Gauthier.
27:22Vous êtes les deux fins.
27:24Parce que Dartigold,
27:26il est comme Géraldine,
27:28Géraldine, un peu.
27:30Lui, c'est moins pire.
27:32On vous embrasse.
27:34On vous embrasse fort, nous.
27:36De tout notre cœur.
27:38Dites-nous ce que vous pensez d'eux.
27:40Je pense qu'il faut
27:42arrêter
27:44cette espèce de langage
27:46transparent.
27:48Il faut y aller.
27:50Je trouve,
27:52Cyril, je ne sais pas ce que vous en pensez,
27:54je trouve que les Français actuellement,
27:56là, ils sont plus...
27:58Ils te remuent plus.
28:00Ils prennent conscience.
28:02Je trouve qu'ils prennent conscience.
28:04Il y a une grosse prise de conscience.
28:06Et surtout, les Français, je les trouve tristes.
28:08J'en ai marre de voir les Français tristes.
28:10Ils ont envie de bouger.
28:12Ils ont envie que ça bouge.
28:14Moi, j'aime la dynamique, en tout cas,
28:16que je ressens en France.
28:18J'aime la dynamique que je ressens.
28:20C'est ce que fait Rotaio.
28:22Je l'ai dit encore hier.
28:24Et j'ai eu énormément
28:26de messages. D'ailleurs, je voudrais remercier
28:28les auditeurs et les téléspectateurs.
28:30J'ai eu énormément de messages concernant
28:32ce que j'ai dit hier sur les racines chrétiennes
28:34de la France. Merci à vous pour tous
28:36vos messages. Et les Français ont
28:38besoin de repères. Et ça, c'est un repère
28:40et un marqueur très fort.
28:42Les adultes ont besoin aussi.
28:44On a besoin de se retrouver dans nos racines.
28:46Et ils ont besoin... Vous savez, Azizianne, c'est comme
28:48quand vous êtes dans une famille ou quand
28:50vous êtes... Regardez, je vais prendre l'exemple
28:52même de Touche pas à mon poste.
28:56Je suis, pour l'instant,
28:58le leader de Touche pas à mon poste.
29:00Et je sens
29:02les chroniqueurs, même malgré ce qui nous arrive,
29:04je vous dis la vérité, je les sens confiants.
29:06Je les sens pas angoissés.
29:08Pourquoi ?
29:10Parce que si vous ne transmettez pas l'angoisse.
29:12Parce qu'ils savent que...
29:14J'essaie de les rassurer.
29:16Comme un chef de famille.
29:18Un président, ça doit être un chef de famille.
29:20On doit se dire, s'il y a un problème,
29:22on peut se tourner vers lui et il aura toujours la solution.
29:24Aujourd'hui,
29:26excusez-moi, mais là,
29:28on a l'impression que quoi qu'il arrive,
29:30on n'a aucune solution. Les Français ne sont pas rassurés.
29:32Quand ils votent pour un président,
29:34c'est leur chef de famille.
29:36Ils se disent, on se tourne vers lui
29:38et on a besoin,
29:40on a confiance en lui.
29:42On se repose sur lui.
29:44Il a un cap, il va le tenir.
29:46C'est comme sur un bateau.
29:48S'il bat au tango, on sait qu'il y a un capitaine
29:50qui va nous faire passer la tempête.
29:52Et là, c'est vrai qu'on est tous inquiets.
29:54On ne va pas se raconter d'histoire.
29:56On voit bien que...
29:58Macron, il ne fait rien à part...
30:00La Vénus de Milo,
30:02qu'est-ce que j'ai dit ?
30:04Si c'est pour nous dire si la Vénus de Milo
30:06va lui remettre un bras ou pas,
30:08franchement, c'est vrai.
30:10S'il lâche au comble, il va lui mettre des lunettes
30:12pour voir si elle va venir nous voir.
30:14Il y a quand même une chose
30:16qui m'interpelle, c'est que justement
30:18vous, vous êtes comme ça, au sang.
30:20Et vous, vous nous boostez.
30:22Vous vous boostez tous, franchement.
30:24Et moi, ce qui me fait peur, c'est quand on voit des gens
30:26comme vous,
30:28qui osent dire les choses.
30:30Regardez l'ARCOM, elle vous tourne dessus.
30:32Pourquoi ? Vous faites des ordres dans tout ça.
30:34Oui, mais enfin,
30:36comment en France, on peut laisser
30:38un organisme comme ça
30:40gérer ?
30:42Mais vous n'êtes pas...
30:44Vous voulez que je vous dise le salaire
30:46du président de l'ARCOM, Roch-Olivier Mestre ?
30:48Il a changé.
30:50Le nouveau, il a l'air sympa.
30:52Il vient d'arriver.
30:54Il a l'air sympa.
30:56Il n'a rien à voir là-dedans, le nouveau.
30:58Mais Roch-Olivier Mestre,
31:00il gagne 9000 euros par mois.
31:02Voilà.
31:04Voilà.
31:06Mais enfin bon, l'ARCOM,
31:08c'est soi-disant...
31:10Merci Agiliane d'avoir été avec nous.
31:12Je vous fais un gros bisou, on vous aime fort.
31:14Merci d'avoir été là.
31:16Merci Agiliane,
31:18merci d'être là, je vous fais d'énormes bisous.
31:20On se retrouve dans un instant.
31:22Allez, Gauthier Lebray, s'il vous plaît,
31:24vous résumez ce qu'a dit Géraldine Maillet
31:26qui a choqué la moitié de la France.
31:28Nous étions...
31:30J'adore cette émission.
31:32Et là, tout le moitié pleure.
31:38C'est ton moment, Gauthier.
31:40C'est les éditeurs qui diront ce qu'ils pensent de Géraldine Maillet.
31:42Responsable des natalités en France.
31:44L'émission en donnant deux chiffres.
31:46Et pour
31:48citer
31:50ma source, c'est Eugénie Bastier
31:52qui en a fait un édito ce matin du Figaro
31:54sur Europe 1.
31:56Elle a eu l'idée de comparer
31:58les chiffres de la natalité et ceux
32:00de l'immigration. Depuis 1945,
32:02les Français n'ont jamais fait aussi peu
32:04de bébés. Et depuis 1945,
32:06la France n'a jamais accueilli
32:08autant d'immigrés.
32:10Il y a 500 000 personnes.
32:12Si on additionne l'asile
32:14et les premières entrées,
32:16les premiers titres de séjour, 500 000 personnes
32:18qui entrent de manière légale tous les ans
32:20en France. Si on ajoute l'immigration
32:22illégale, on est à 1 million
32:24200 000. Et j'ai mis
32:26ces deux chiffres en rapport sur la natalité
32:28et donc l'entrée des étrangers.
32:30Vous allez aborder Géraldine Maillet quand ?
32:32Pardon, c'est un peu trop tard ?
32:34Eh bien, Géraldine Maillet, le simple
32:36fait qu'on dise qu'il n'y a
32:38jamais aussi peu de bébés et jamais
32:40eu autant d'étrangers, c'est
32:42être du côté du grand remplacement
32:44craint par Éric Zemmour
32:46et voulu par Jean-Luc Mélenchon
32:48qui en parle depuis deux jours.
32:50On ne peut plus parler de simples
32:52données sans tout de suite
32:54tomber dans les arguments moraux
32:56et
32:58le procès en
33:00diabolisation.
33:02Je refuse d'être présente en tenaille entre d'un côté Zemmour
33:04et de l'autre Mélenchon si ça ne m'ennuie pas.
33:06Géraldine Maillet, on vous a assez entendu sur ce sujet.
33:08Il y a des gens qui voudraient dire ce qu'ils pensent de vous.
33:10Merci.
33:12Il y a Claire qui est avec nous.
33:14Claire, Guille de France. Merci Claire.
33:16Claire, n'hésitez pas. Lâchez les chevaux.
33:18Bonjour Claire, merci d'être avec nous.
33:20Merci d'être avec nous Claire.
33:22Bonjour Claire, bonjour Cyril, bonjour tout le monde.
33:24Merci de nous écouter
33:26tous les jours Claire.
33:28Ah oui, j'écoute tous les jours.
33:30Je viens soutenir Gauthier.
33:32Merci.
33:34Je prends d'abord que j'aime beaucoup.
33:36J'ai 68 ans.
33:38J'ai eu un enfant.
33:40Je suis passée de 1 à 3 enfants.
33:42Ça remonte les dernières à
33:4484-83.
33:46J'ai eu des jumelles derrière.
33:48Donc je suis passée de 1 à 3.
33:50On démarrait dans la vie.
33:52Mon mari n'avait pas un très gros salaire.
33:54Moi j'étais au Séné, j'arrêtais de travailler.
33:56Si je n'avais pas eu les allocations
33:58familiales, l'APL,
34:00cette fameuse demi-part
34:02dont Gauthier avait référence et que Géraldine
34:04a balayée comme ça,
34:06je n'aurais pas pu
34:08élever des filles.
34:10Merci Madame.
34:12Et je gardais
34:14des enfants en plus
34:16pour aller bouffer.
34:18Après la situation a évolué
34:20parce qu'à cette époque-là on pouvait évoluer
34:22dans les métiers. Mais je veux dire
34:24que les allocations familiales
34:26m'ont aidée. Et contrairement à ce que Géraldine
34:28pense, qui vit dans un monde
34:30qui n'est peut-être pas
34:32vraiment réel.
34:34Hors sol, comme on dit.
34:36Totalement.
34:38Je voulais soutenir Gauthier
34:40que sans ça, je n'aurais pas pu.
34:42Vous avez remarqué Claire
34:44que moi aussi j'étais complètement d'accord
34:46avec Gauthier.
34:48Vous avez raison, bien sûr.
34:50Et alors,
34:52écoutez, l'avantage à Créteil,
34:54un avantage qui est
34:56formidable.
35:00J'habite plus Créteil, mais Créteil
35:02c'était bien dans le temps.
35:04Grâce à la mairie Créteil,
35:06j'avais droit à une travailleuse familiale
35:08à un franc l'heure
35:10qui me permettait de partir deux heures
35:12dans la journée pour maïrer un petit peu
35:14des chiffres. Parce qu'il ne faut qu'à
35:16s'en rendre compte, moi j'avais
35:1816 couches par jour, 16
35:20biberons par jour, le budget je parle.
35:22Un pot de
35:24poudre de lait tous les 3 jours.
35:26Et là, Géraldine, elle est à côté
35:28de ses pompes.
35:30Apparemment, elle est à côté de ses escarpins.
35:32Est-ce que je peux vous la passer ?
35:34Non, non.
35:38Je suis fan de Claire.
35:40Je suis fan.
35:42Si, je veux bien l'apprendre, mais je veux dire
35:44que ce sont des faits.
35:46C'est des faits.
35:48Je l'ai vécu.
35:50Vous donnez des exemples précis.
35:52Je l'ai vécu.
35:54C'est ce qu'on veut entendre.
35:56Des témoignages comme ça.
35:58Des analyses à l'emporte-pièce.
36:00Exactement. Tandis que là,
36:02ce sont des situations qu'elle ne connaît pas.
36:04Et tout le monde ne passe pas de 1 à 3.
36:06Qu'est-ce que vous en savez, Claire ?
36:08Parce que vous avez
36:10une situation qui est certainement meilleure
36:12que lorsqu'on a démarré nous
36:14en 1976.
36:16Mon mari était technicien.
36:18Après, il a très bien évolué par la suite.
36:20Moi, j'étais assistante dentaire.
36:22J'ai dû arrêter de travailler pour élever mes 3 enfants.
36:24Je pense que la situation est très différente
36:26de celle que vous avez actuellement.
36:28Peut-être que je suis un tout petit peu plus jeune que vous,
36:30mais c'est à la marge.
36:32Je n'ai pas de délit de faciès.
36:34Vous ne connaissez pas mes origines.
36:36Vous ne savez pas dans quelles conditions j'ai évolué.
36:38Je ne parle pas du tout de délit de faciès.
36:40C'est une situation financière.
36:42En gros, vous ne connaissez pas la précarité.
36:44Et toi, tu m'as dit tout à l'heure que j'étais trop jeune
36:46pour connaître aussi ce sujet.
36:48C'est exactement pareil.
36:50Tu n'es pas trop jeune pour connaître les EHPAD.
36:52J'y vais tous les jours.
36:54J'aimerais qu'on ait clair.
36:56Géraldine, ce que je vais expliquer,
36:58c'est que les aides financières,
37:00je ne dis pas qu'on fait des enfants
37:02pour avoir des aides financières, loin de là.
37:04Mon cas personnel,
37:06où je suis passée de 1 à 3, ce n'était pas prévu.
37:08Sans ça, j'aurais été dans la merde.
37:10Complètement.
37:12C'est ça que je veux faire.
37:14Je l'entends très bien.
37:16Effectivement, les allocations, les APL
37:18ou l'admipart, ça a été un facilitateur pour vous.
37:20Mais moi, je ne suis pas sûre
37:22aujourd'hui qu'en 2025,
37:24les femmes ont ce projet
37:26aussi de vie. Projet de vie
37:28de famille, d'émancipation,
37:30envie de travailler,
37:32C'est pas pour autant qu'il ne faut pas donner des aides.
37:34Personne ne force qu'il que ce soit à avoir des enfants.
37:36Mais donnez-nous des aides pour peut-être
37:38favoriser le mouvement.
37:40Je suis passée de 1 à 3.
37:42Félicitations.
37:44Elle a le mépris.
37:46Vous ne sentez pas une pointe
37:48de mépris Claire ?
37:50C'était désagréable.
37:52Gautier et Cyril, je suis
37:54totalement d'accord avec vous.
37:56Merci Claire.
37:58Et moi, elle est juste à côté de moi.
38:00Claire, c'est pas facile
38:02tous les jours.
38:04Merci d'avoir été avec nous.
38:06Je vous fais des gros bisous Claire.
38:08Quel bonheur d'entendre des auditeurs
38:10comme ça. Le vécu, le réel.
38:12Le témoignage, le terrain.
38:14Le terrain, c'est le même pour moi.
38:16Chacun a son terrain.
38:18Moi j'ai mon terrain, Claire a son terrain.
38:20Nos terrains sont aussi valables les uns que les autres.
38:22Ce que je viens d'entendre, Claire,
38:24son terrain, c'est le terrain de la vie.
38:26Et vous, vous êtes à côté.
38:28Sauf que toi, tu niais l'existence de cette réalité-là.
38:30Et tu disais, il ne faut pas donner des aides,
38:32on ne fait pas des enfants pour faire des aides.
38:34Mais personne ne veut forcer
38:36qui que ce soit à avoir des enfants.
38:38Pourquoi tu t'énerves Gautier ?
38:40Tu dis le contraire de ce que je dis depuis deux heures.
38:42Ça commence à me fatiguer.
38:44On va se retrouver dans un instant.
38:46Continuez à nous appeler sur la natalité.
38:48Et bien entendu, on peut parler de natalité.
38:50Si vous voulez dire un petit mot à Géraldine,
38:52n'hésitez pas, bien entendu.
38:54Tiens, je viens de voir, il y a Aya Emry
38:56qui est scandalisée par les propos de Géraldine Mailly.
38:58On le voit dans un instant.
39:00Je fais pire que Olivier hier, je pense.
39:02Je passe une émission tranquille.
39:04Il y a Justine Desardins également
39:06qui est sous son lit actuellement
39:08en entendant ce que dit Géraldine Mailly.
39:10Et on parlera de Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez.
39:12On a toutes ces indiscrétions, bien entendu,
39:14concernant leur dîner d'hier.
39:16On a également Kader Dali qui sera avec nous
39:18et Nicolas qui va nous parler de Géraldine Mailly.
39:20Je suis indigné des propos de Géraldine Mailly.
39:22Voilà, c'est un petit melting pot
39:24de ce qui va se passer dans un instant.
39:26A tout de suite sur Europe 1.
39:32Je voudrais remercier tous les auditeurs d'Europe 1
39:34d'être aussi nombreux à nous écouter,
39:36nous serons à 80.20.39.21.
39:38On va prendre tout de suite Aymeric
39:40qui est avec nous, qui est scandalisé
39:42par les propos de Géraldine Mailly.
39:44On prendra également Justine qui est dépitée
39:46par les propos de Géraldine Mailly.
39:48Et on prendra Nicolas qui est indigné
39:50par les propos de Géraldine Mailly.
39:52Dans un instant, on prendra également Kader Dali
39:54qui est catastrophé
39:56par les propos de Géraldine Mailly.
39:58Et puis, bien entendu,
40:00dans la dernière ligne droite
40:02de cette émission, on vous dira ce qui s'est passé
40:04réellement entre Bruno Retailleau
40:06et Laurent Wauquiez.
40:08Aymeric, scandalisé.
40:10Bonjour Aymeric.
40:12Bonjour à toute l'équipe.
40:16J'étais sur la route du retour à la débauche
40:18quand j'ai pris le sujet en cours.
40:20Je n'ai pas tous les tenants et les aboutissants
40:22mais j'ai quelque chose
40:24qui m'a fait un peu bondir.
40:26C'est quand Géraldine a dit qu'elle était contre
40:28les femmes qui
40:30avaient plus de deux enfants.
40:32Oui, elle a dit ça.
40:34Je vous confirme.
40:36Elle a même parlé d'un enfant Aymeric.
40:38Après, moi je ne juge pas.
40:40Je ne connais pas la vie personnelle
40:42de Géraldine Mailly.
40:44Pour lui dire
40:46un peu mon témoignage, j'ai 33 ans
40:48et avec mon épouse
40:50on se retrouve prochainement
40:52à 4 enfants.
40:544 enfants en 2025.
40:56C'est du bonheur
40:58mais c'est vrai que c'est aussi
41:00beaucoup de concessions personnelles.
41:02C'était peut-être
41:04plus ou moins voulu.
41:06Aujourd'hui, on travaille tous les deux.
41:08On ne gagne pas des salaires mirobolants.
41:10On ne roule pas sur l'heure
41:12avec les aides de l'État.
41:14Je ne sais pas s'il y a des familles qui
41:16roulent sur les aides de l'État pour faire fonctionner
41:18leur famille. En tout cas, chez nous,
41:20ce n'est pas le cas. On a plutôt intérêt
41:22d'aller bosser le matin
41:24jusqu'à tard le soir
41:26pour pouvoir gratter un peu notre croûte.
41:28En fait, ce que je voudrais comprendre,
41:30c'est pourquoi dire
41:32que je suis contre
41:34avoir deux enfants ?
41:36Je suis assez surpris.
41:38Si je peux me permettre une petite idée,
41:40non, pas que ça.
41:42On la planète.
41:44Je pense à un autre truc, mais je n'ai pas envie de le dire
41:46parce que ça va m'énerver grandement.
41:48Ça rejoint un petit peu ce que je parlais.
41:50Allez-y, au point où on en est.
41:52C'est vraiment nécessairement
41:54ce dont je parlais hier.
41:56Vous voyez ce que je veux dire ou pas ?
41:58Non, je ne sais pas.
42:00Que ça ferait trop famille traditionnelle Capteau ?
42:02Bravo !
42:04Trop conservateur.
42:06Quand j'entends Emmerich,
42:08pour moi, c'est la famille rêvée.
42:10Pour moi, c'est ça.
42:12C'est la France.
42:14Je sens un petit truc comme ça chez Géraldine Maillet
42:16qui me dérange grandement.
42:18Géraldine, vous voulez répondre ?
42:20Bravo Emmerich, si vous avez quatre enfants,
42:22si vous êtes heureux de ça.
42:24Moi, je suis absolument pour que les gens
42:26fassent ce qu'ils veulent, fondent des familles
42:28avec un, deux, trois,
42:30adoptent, pas adoptent. Encore une fois,
42:32chacun fait comme il veut.
42:34Je disais juste que par rapport à ce que disait tout à l'heure Gauthier,
42:36à savoir un sort de lien
42:38comme ça, un petit peu naïf,
42:40un petit peu facile,
42:42me semble-t-il, entre d'un côté l'immigration
42:44et de l'autre côté le fait...
42:46Mais en quoi c'est facile ?
42:48Géraldine Maillet, on a assez d'appels pour aujourd'hui.
42:50Tous les gens sont indignés.
42:52Je n'en peux plus, moi.
42:54C'est la volonté d'une partie de la gauche qui t'explique que le manque d'enfants,
42:56tu dois le contrebalancer en faisant venir
42:58plus d'étrangers pour payer
43:00des beuners.
43:02Quand tu fais des enfants, tu penses
43:04que tu réfléchis à ce que dit la droite ou la gauche ?
43:06C'est un projet de vie, c'est un projet d'amour,
43:08c'est un projet de familialité.
43:10Je ne dois pas dire de gros mots mais c'est compliqué.
43:12Tu me fais dire ce que je ne dis pas,
43:14tu dis que je prends les gens pour des beuners alors que
43:16c'est toi qui parle avec mépris à nos auditeurs.
43:18S'il vous plaît, je rappelle aux auditeurs
43:20qui nous rejoignent à 17h26.
43:22Aymeric, Aymeric,
43:24scandalisé, Justine, indigné,
43:26Kaderdani, catastrophé,
43:28Nicolas...
43:30Je vous le dis, les gens sont...
43:32Géraldine Maillet,
43:34vous vous ressaisissez, Géraldine Maillet.
43:36Ou bien, on va prendre
43:38Valérie Benahim, au moins,
43:40elle n'entend rien, on va parler de natalité.
43:42Elle va dire quoi ? Qu'est-ce que c'est que la fatalité ?
43:44Elle croit qu'on va parler
43:46de fatalité.
43:48On préfère quelqu'un qui ne comprend rien au sujet.
43:50Valérie Benahim est plus pondérée,
43:52elle ne m'aurait pas...
43:54Valérie Benahim,
43:56tu lui dis combien vous avez d'enfants,
43:58elle dit quoi ? Il a mangé du sang.
44:00Ça part dans des trucs, en confiserie,
44:02donc ça n'a rien à voir.
44:04C'est beaucoup plus festif.
44:06Ce que je voulais
44:08vous rajouter,
44:10Cyril,
44:12nous ne sommes pas,
44:14si je puis dire, confessions catholiques,
44:16mais nous ne sommes pas du tout pratiquants.
44:18On vit dans la tradition catholique.
44:20Et il est sûr
44:22qu'on est
44:24à la campagne,
44:26on n'est pas confronté, pour l'instant, à la campagne
44:28sur les sujets d'immigration,
44:30mais quand on se rapproche de plus grandes villes
44:32comme La Roche-sur-Yon, on peut
44:34constater aussi que la population,
44:36elle change et
44:38on peut aussi s'en inquiéter. Je comprends
44:40les auditeurs et toutes les personnes qui se disent
44:42que la population autour de moi, elle change,
44:44elle change depuis des années,
44:46et on peut s'interroger sur le fait
44:48qu'il y a de moins en moins d'enfants
44:50et la richesse de la France,
44:52c'est peut-être l'immigration pour certains,
44:54mais c'est aussi la famille des enfants,
44:56les éduquer, faire en sorte
44:58qu'on les éduque à notre
45:00mode de vie et à nos traditions
45:02françaises.
45:04Merci, merci Emric, bravo Emric.
45:06On a pris
45:08plein les mirettes là, Géraldine.
45:10Merci Emric d'avoir été avec nous.
45:12Un petit message personnel pour vous
45:14et vos équipes,
45:16j'espère vous revoir prochainement
45:18à la télévision après le 28 février
45:20parce que la liberté
45:22d'expression, que ce soit sur Europe 1
45:24ou sur C8, c'est formidable.
45:26Merci Emric, vous savez,
45:28pour l'instant, on est plus...
45:30Les gens n'ont pas voulu sauver la chaîne,
45:32enfin les gens,
45:34les gens qui sont...
45:36La haute autorité, les décideurs,
45:38bien entendu, ils sont là, ils sont sur le Louvre,
45:40ils sont sur la Vénus de Milo, ils vont peut-être lui rajouter un bras.
45:42Merci Emric d'avoir été avec nous
45:44sur Europe 1.
45:48Dans un instant,
45:50dans un instant les chéris,
45:52on aura Justine,
45:54Justine Dépité, Kader Dali
45:56catastrophé, Nicolas
45:58scandalisé, indigné,
46:00Géraldine Maillet fait couler beaucoup d'encre.
46:02Et je vous pose la question
46:04sur Europe 1,
46:0617h39, je vous pose la question,
46:08Géraldine Maillet est-elle responsable de la dénatalité en France ?
46:10Vous nous le dites.
46:12A tout de suite, on revient dans une minute.
46:1817h41 sur Europe 1,
46:20on va prendre juste deux auditeurs,
46:22sur la natalité, voire un, parce que
46:24on va parler de Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez
46:26parce qu'on a les dernières indiscrétions, bien entendu.
46:28Il y a pas mal de gens qui veulent réagir également
46:30à ce dîner d'hier soir
46:32entre les deux leaders de la droite
46:34et on va parler de ce sondage
46:36qui est sorti
46:38et qui montre
46:40que Bruno Retailleau est en train
46:42d'être de plus en plus populaire.
46:44On va en parler dans un instant. Pour le moment, il y a Justine
46:46Justine qui veut parler
46:48à Géraldine Maillet.
46:50Géraldine Maillet qui a eu des propos incroyables
46:52il y a un instant. Énormément d'auditeurs
46:54se sont mis sur la bande d'arrêt d'urgence
46:56pour nous appeler,
46:58pour essayer de nous dire ce qu'ils pensaient de Géraldine Maillet.
47:00Je vous rappelle, est-ce que Géraldine Maillet
47:02pour vous est responsable de la dénatalité en France ?
47:04N'hésitez pas à dire les mots.
47:06Bien entendu, on est sur Europe 1
47:08et on est d'embarque sur la tête. Justine Desardennes, bonjour.
47:10Oui, bonjour Cyril.
47:12Merci d'être avec nous, Justine.
47:14Merci de m'apprendre au téléphone.
47:16Moi, franchement,
47:18je ne sais pas si je dois rire ou pleurer
47:20en entendant ce langage.
47:22Vous voyez, vous vous levez
47:24tous les matins pour le bleu, le blanc, le rouge.
47:26Moi, tous les matins, je me lève
47:28pour mon fils et mes deux filles.
47:30Vous voyez,
47:32je ne fais vraiment pas partie
47:34des normes que Géraldine donne
47:36parce que j'ai 37 ans.
47:38Mon premier enfant, je l'ai eu à 22 ans.
47:40On s'est vu, je suis venue sur votre plateau
47:42avec mon mari, on est artisans.
47:44On se lève tous les jours pour bosser.
47:46Malheureusement, vous voyez,
47:48à l'heure actuelle, j'ai du mal
47:50à finir les cinq mois,
47:52c'est vraiment dur,
47:54à offrir un avenir à mes enfants,
47:56parce que nous, on doit payer.
47:58C'est justement pour pallier à un Président de la République
48:00qui n'est pas foutu de s'occuper
48:02des problèmes des Français.
48:04L'immigration, c'est très bien.
48:06C'est très bien, l'immigration.
48:08On va pas lui mettre des lunettes.
48:10Non, mais c'est ça.
48:12À un moment donné, il y a des gens
48:14derrière tout ça. Il y a des Français qui bossent.
48:16Et moi, j'en ai marre...
48:18Le péage de Saint-Arnoux, là.
48:20J'en ai marre que
48:22quand on vient dire
48:24nous d'abord, parce que nous,
48:26on se lève le matin, on se crève le cul pour faire compter.
48:28J'en ai marre qu'on vienne nous accuser
48:30d'être misogynes, d'être chrétiens,
48:32d'être des cathoriacs.
48:34Oui, je suis d'origine catholique.
48:36J'ai 37 ans, je suis maman de trois enfants.
48:38Je suis artisan, je me lève tous les matins.
48:40Et oui, peut-être qu'il faudrait moins d'immigration
48:42ou la contrôler pour que nous,
48:44nous, Français de n'importe quelle souche,
48:46de n'importe quelle religion, de n'importe quelle
48:48culture, je m'en fous qu'on soit blanc,
48:50bleu, rouge, vert. Je veux juste
48:52que nous, qui respections ici
48:54les valeurs de la France, on puisse être
48:56dignes et être fiers de ce qu'on fait.
48:58Juste ça.
49:00Justine, franchement, vous avez tellement raison
49:02dans ce que vous dites. Et Justine, je vais vous dire
49:04un truc, dans ce que vous dites, vous m'avez dit, moi je me lève
49:06tous les matins pour trois choses, le bleu, le blanc, le rouge.
49:08Vous vous levez tous les matins pour vos
49:10enfants, votre famille.
49:12Et il y en a, j'ai l'impression que moi
49:14que les décideurs et les
49:16dirigeants de ce pays se lèvent pour une seule chose,
49:18faire chier le monde.
49:20Faire chier les Français et mettre les Français sous l'eau.
49:22Prendre les Français et leur mettre la tête sous l'eau.
49:24On a l'impression qu'ils ne savent pas quoi faire.
49:26Chaque jour, on dirait qu'ils se réveillent, qu'ils se réunissent.
49:28Qu'est-ce qu'on pourrait faire pour faire
49:30chier les gens ? Et chaque jour, ils nous sortent
49:32un nouveau truc.
49:34Et c'est honteux. Et je trouve
49:36après le discours de Géraldine, j'ai rien contre elle.
49:38Il y a nos contraintes.
49:40On n'a rien contre elle personnellement.
49:44Mais Justine, mais nous aussi,
49:46on souffre.
49:48C'est vrai que là, c'est un peu trop.
49:50Et je trouve que le discours des macronistes
49:52à l'heure actuelle, c'est de toujours
49:54détourner le problème.
49:56Géraldine, je pense que si je la connais un petit peu,
49:58elle est contre la concept culture.
50:00Et actuellement, je trouve que faire ça,
50:02c'est détourner le problème
50:04et en créer un autre.
50:06Et je comprends que...
50:08Justine, quand Géraldine Maillet
50:10nous dit... Géraldine Maillet, je l'adore !
50:12Mais c'est vrai,
50:14je l'adore !
50:16Je serai toujours fidèle
50:18à Géraldine, bien entendu.
50:20Mais quand Géraldine Maillet nous dit
50:22la dernière fois, il y a encore quelques semaines,
50:24pour moi, le futur président
50:26de la République, c'est Édouard Philippe.
50:28Vous avez tout dit. Quand vous dites
50:30Édouard Philippe sera pour moi le prochain président
50:32de la République, gardez Emmanuel Macron.
50:34Les gars, si on reste
50:36chez les confiseurs, gardez des guimauves.
50:38Les gars, vous êtes quoi ?
50:40Franchement, Édouard Philippe, il va faire quoi ?
50:42Édouard Philippe,
50:44il n'est même pas capable
50:46de parler de la vitesse
50:48à 80 km heure. Il est parti du gouvernement
50:50à cause de ça.
50:52Mais quand vous dites, même vous, qu'on a besoin
50:54de quelqu'un de ferme
50:56qui remette les choses à leur place,
50:58maintenant, dire ça,
51:00c'est être facho, c'est être réactif,
51:02c'est tout ça. Non, il faut juste
51:04protéger les gens qui vivent
51:06sur le sol de France.
51:08Et même moi, je pèse mes mots, parce que j'ai peur qu'on dise
51:10quand je dis protéger les Français, ça y est,
51:12il y a une vieille réa qui raconte. Non,
51:14pas du tout, je m'en fous de la couleur de peau
51:16et de la religion des gens. C'est juste que les gens
51:18qui se lèvent le matin pour faire vivre
51:20la France, peu importe leur couleur,
51:22qu'ils puissent vivre de leur travail.
51:24Et ce n'est pas une question d'immigration,
51:26et ce n'est pas une question de tout ça.
51:28On est complètement d'accord, Justine, alors.
51:30Et bien, dans ce cas-là, vous voyez qu'on vous dit tout à l'heure,
51:32il faut deux enfants par personne.
51:34Non.
51:36Moi, je ne suis pour aucune norme, aucun
51:38quota et aucune règle. Les gens font
51:40ce qu'ils veulent. Les gens sont choqués.
51:42Et puis, oui,
51:44il faut arrêter de remettre tout sur l'immigration.
51:46Oui, il y a trop d'immigration. Elle n'a pas été contrôlée,
51:48elle n'a pas été régulée.
51:50Je suis d'accord avec vous
51:52sur le fait qu'on se soit servi aussi
51:54de l'immigration pour faire faire
51:56aux gens le travail que nous,
51:58on ne veut pas faire. Et ça continue.
52:00Mais ça, c'est la faute du gouvernement,
52:02des gens que vous défendez, Géraldine.
52:04Quand les Français ne veulent pas faire certaines
52:06tâches, excusez-moi, ce n'est pas de la faute du gouvernement.
52:08C'est la faute du gouvernement.
52:10Quand on cherche dans les épaules du personnel
52:12et que les Français ne veulent pas,
52:14c'est le gouvernement. Justine a raison.
52:16C'est le gouvernement qui doit faire arrêter.
52:18Justine, je vais vous dire pourquoi vous avez raison.
52:20Bien sûr que c'est le gouvernement.
52:22Si pour des travaux
52:24qui sont pénibles,
52:26les Français gagnent un peu plus d'argent
52:28et qu'ils réduisent les charges patronales
52:30et qu'ils réduisent
52:32tout ce qui arrive derrière
52:34et que le net et le brut,
52:36le salaire net et le brut soient à peu près équivalents,
52:38là je peux vous dire qu'on est des Français.
52:40Donc on ubérise les immigrés et on paye plus cher les Français.
52:42Mais Géraldine Maillet,
52:44vous êtes huit ans
52:46d'échec, Géraldine Maillet, ne la ramenez pas.
52:48Je ne fais pas de politique. Non mais si, vous êtes la porte-parole
52:50d'Emmanuel Macron, huit ans d'échec. Je ne l'ai jamais rencontrée.
52:5240 combats, 45 défaites.
52:54Non mais arrêtez, sans déconner.
52:56Oui mais je vous parle
52:58au niveau des idées, au niveau de ce qu'il a fait pour la France.
53:00Et d'ailleurs je pense que c'est précisément
53:02pour tout ce qui est sociétal
53:04que le retailleur a du mal.
53:06En tout cas, on a besoin de quelqu'un
53:08qui ait de la fermeté.
53:10On va en croire les sondages, pour le moment, il n'a pas de mal.
53:12Géraldine Maillet,
53:14pour l'instant, vous êtes dans la spirale
53:16de l'échec.
53:18Restez dans votre spirale de l'échec
53:20et continuez à énerver nos auditeurs.
53:22C'est le feu d'artifice.
53:24Justine, merci d'avoir été avec nous.

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