L'ancien patron de l'office central de lutte contre la délinquance itinérante Jacques Morel était l’invité de Punchline WE ce dimanche 9 février sur CNEWS. Il s’est exprimé au sujet des indices dont disposent les policiers au sujet de la mort de la jeune Louise : «Plus personne n'est en garde à vue, l'arme du crime devient vraiment capitale»
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00:00Si vous voulez sur la scène de crime, les premiers éléments d'investigation sont déjà de préserver cette scène de crime
00:08de façon à ce que des enquêteurs spécialisés puissent venir parce que maintenant l'enquête elle est beaucoup scientifique
00:15donc on est capable de se passer même d'informations, la science peut apporter si vous voulez des éléments très précieux
00:22donc il faut protéger cette scène de crime et laisser travailler les spécialistes de la police scientifique.
00:28Une fois que vous avez fait ça, il faut faire une enquête d'environnement et il faut attendre les résultats d'autopsie,
00:35ça a été fait hier, c'est peut-être ce qui fait qu'aujourd'hui on recherche une arme du crime,
00:40c'est qu'hier il y avait deux personnes qui avaient été mises en garde à vue parce qu'elles étaient susceptibles d'avoir approché
00:48cet enfant d'après les vidéos de l'agglomération, maintenant il n'y a plus personne qui est en garde à vue
00:54donc l'arme du crime devient vraiment capitale.