Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 11/02/2025.
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00:00Il y avait un match franco-français à Barrage Allais qui s'est joué à Roudourou entre Brest et le Paris Saint-Germain.
00:05Bon, Paris était archi-favori, Paris a gagné 3-0 et donc quasi qualifiés pour les huitièmes de finale.
00:12Les images avec vous Romain.
00:13On a vu une démonstration parisienne ce soir du côté de Guingamp face à Brest donc en Barrage Allais de cette Ligue des Champions.
00:18Ça commence par un pénalty frappe de Dembélé et la main de Pierre-Les Méloux.
00:23Pénalty pour le Paris Saint-Germain et 1-0 grâce à Vittinia en toute sérénité à la 21e minute.
00:28Brest qui réagit, la tête de Simas sur le poteau à la 35e minute.
00:322-0 juste avant la mi-temps, le rush de Dembélé qui frappe au premier poteau.
00:38Et Dembélé qui va être plus prompte que la défense brestoise à la 66e minute pour s'offrir un doublé.
00:44Quinze buts sur les huit derniers matchs pour Ousmane Dembélé.
00:47C'est absolument allurissant donc victoire 3-0 du Paris Saint-Germain avant le retour au Parc des Princes.
00:52La victoire du Paris Saint-Germain ce soir, est-ce une vraie performance ou un train qui arrive à l'heure ?
00:57Cette question, deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
00:59Attention, un chroniqueur caché va arriver. Jingle !
01:05Un train qui arrive à l'heure, c'est le spécialiste du duel perdu, Grégory Schleder.
01:10Vous le connaissez tous, on l'adore.
01:12Et le chroniqueur caché est notre envoyé spécial.
01:16Regardez comme il est content de vous affronter.
01:19C'est Giovanni Castaldi, le Brett Sinclair de l'équipe du soir.
01:23Il attend son train.
01:27Bonsoir Giovanni, ça va ?
01:29Et Sesson, toi bien ?
01:31Bonsoir mémé, très bien et vous ?
01:33C'est une vraie perf pour vous, Giovanni.
01:37Vous allez défendre ça, un train qui arrive à l'heure pour Grégory Schleder.
01:43Je vais faire démarrer, j'allais faire démarrer Giovanni, mais on me dit fais démarrer Greg.
01:47Greg, un train qui arrive à l'heure, pourquoi ?
01:51On en avait parlé avec Giovanni, j'ai regardé les 3 dernières semaines de conférence de presse des Brestois et des Ricrois.
01:56Et j'ai trouvé beaucoup de défectisme.
01:58Il ne cache pas que c'est difficile, il ne cache pas que son équipe est usée.
02:01Tu as l'impression qu'il soit un petit peu au bout du rouleau de scotch.
02:05Et finalement, il s'est passé exactement ce qu'on attendait aujourd'hui.
02:09C'est-à-dire en face tu as une équipe qui est en pleine bourre, qui monte en régime, qui peut se permettre de gérer les temps de jeu.
02:14Et en face tu as une équipe qui est au bout de son histoire.
02:17Je n'avoue rien à la performance du Paris Saint-Germain, mais ça m'a semblé totalement aligné avec ce qu'on pouvait attendre.
02:23A vous Giovanni, une vraie performance, qu'avez-vous constaté sur le terrain ?
02:30Pour moi c'est une vraie performance, parce que si on regarde à chaque fois les confrontations entre Brest et le Paris Saint-Germain,
02:35Brest embête beaucoup ce PSG.
02:38Sur les deux dernières saisons, c'est 8 buts marqués, ce soir il y a un clean sheet.
02:41Donc déjà c'est quelque chose de pas anodin.
02:43N'oublie pas que dans cette rencontre, le Paris Saint-Germain, en début de seconde période et en fin de première,
02:47il y a des poteaux qui sont un petit peu bousculés par Brest.
02:50Et moi j'ai trouvé que Paris, ce soir, avait joué avec de la maîtrise, de l'efficacité.
02:53Ils avaient fait un vrai gros match de Coupe d'Europe à l'extérieur.
02:56Donc dans une saison où le Paris Saint-Germain a été tant décrié, d'avoir ce type de prestations à ce moment-là, c'est une vraie perf.
03:04Bravo, vous avez un chrono dans la tête.
03:07Prends-les en de la graine, cher Amixem.
03:09Quand il est sur le plateau, il dépasse tout le temps.
03:12Il faut le laisser là-bas. Dès qu'il fait un duel, il faut le sortir du bateau.
03:15Il est face à l'horloge de la gare de Saint-Brieuc.
03:17Donc c'est beaucoup plus facile dans ces conditions-là.
03:20Le président dit que vous êtes vachement meilleur en voile spéciale.
03:23Donc on va peut-être vous laisser du côté de Saint-Brieuc.
03:25Non mais les compteurs sont mal faits.
03:27Ce sera le nomade de l'équipe du soir.
03:30Giovanni, vous êtes présent avec nous. Le président va trancher. Vrai perf ou un train qui arrive à l'heure ?
03:36Je trouve qu'ils ont tous les deux raison.
03:39Je ne voyais pas Brest faire quelque chose ce soir.
03:42Je les trouve un petit peu fatigués, un petit peu épuisés de cette campagne européenne.
03:49Face à un PSG qui est en pleine bourre en ce moment et qui marche sur tout le monde.
03:56J'avais un peu de mal à voir Brest performer ce soir.
03:59Ils se sont un petit peu accrochés.
04:00Même si je n'ai pas retrouvé cette équipe que j'avais vue pendant la Ligue des Champions.
04:05Mais j'ai vu aussi une belle performance de Paris.
04:09Mais je m'y attendais un peu.
04:11Je m'attendais un peu à ce genre de match, à ce genre de résultat.
04:14Donc plus pour Grégoire.
04:19Les copains, j'ai quelques stats qui me parviennent.
04:21Le match était à 18h45.
04:23C'est drôle, le PSG n'a perdu aucun de ses 31 derniers matchs contre Brest.
04:26Toute compétition confondue.
04:2823 victoires, 8 nuls.
04:31C'est le truc d'Octave.
04:32Établissant la meilleure série d'impossibilités de son histoire.
04:34Contre un même adversaire.
04:35Merci mes amis.
04:38Moi j'aime bien ça.
04:39Ce que nous dit Johan là.
04:41Vous vous attendiez à quoi ?
04:43Avant le match ?
04:44Où le match a eu lieu ?
04:45Est-ce que c'est le truc que vous attendez ?
04:47Oui, c'est conforme.
04:48Et en plus il y a une stat qui vous manque.
04:51C'est que le budget de Paris c'est 19 fois celui de Brest.
04:56Il devrait y avoir 19 buts d'écart.
04:57Donc c'est une très grosse perte de Brest.
05:01Sur un match, non.
05:02Mais sur une saison.
05:04Dans une saison.
05:05Et ce match arrive au bout d'une phase de ligue.
05:08Une phase de, comment on dit ?
05:09Phase de ligue.
05:10De ligue des champions, je ne m'y fais pas.
05:11Phase de poule.
05:12La phase de ligue cette année.
05:13Oui, c'est une phase de ligue.
05:14Phase régulière.
05:15Phase de ligue plus longue.
05:17Où ils doivent mettre ce barrage.
05:20Et dans un championnat où il n'y a pas de week-end off pour eux.
05:22Parce que, je veux dire, même le match de Nantes.
05:24Il faut aller.
05:25Ils sont rincés et saurés.
05:27C'est vrai que Greg l'a dit.
05:29Les dernières conférences de presse laissaient transpirer ça.
05:31Et au moment où Paris...
05:33Tu crois vraiment.
05:34Honnêtement.
05:35Moi quand je regarde ce match.
05:36Je ne sais pas ce que je me suis dit.
05:37Il y a une différence technique incroyable.
05:39Elle est partout.
05:40Quand tu parles du budget.
05:42Là on est dedans.
05:43Il y a des joueurs.
05:44Ils ne sont pas...
05:45Moi je trouve qu'ils ont mis à peu près leurs ingrédients.
05:47Ils ont peut-être été un peu moins percutants qu'à l'ordinaire.
05:50T'as vu leurs 20 premières minutes ?
05:52Ils avaient peur.
05:53Oui, j'ai tout vu.
05:54Oui, oui, oui.
05:55Ils avaient pris 5 qu'à 10 jours.
05:57Moi je trouve que c'est un train qui arrive à l'heure.
05:59Mais il ne faut pas sous-estimer pour autant ce que fait le Paris Saint-Germain en ce moment.
06:03Je trouve qu'ils atteignent un niveau.
06:05Parce qu'évidemment, ils n'ont battu que Brest.
06:07On pourrait se dire ça.
06:08Ils n'ont battu que Brest.
06:09Mais ils ont quand même du pas d'âge.
06:11Ils ont une qualité technique en ce moment.
06:13Oui, mais ce soir pas dans la performance.
06:15Non, non, non.
06:16C'est là où ils sont forts pour Paris.
06:18Je trouve que c'est vraiment le côté technique.
06:20L'ensemble des joueurs.
06:21Le développement du jeu.
06:22Il y a eu un but.
06:23Le deuxième but.
06:24Le deuxième but qui symbolise ça.
06:26Je pense que Giovanni va nous le dire.
06:28Mais ça doit être assez impressionnant.
06:29Technique en plus.
06:30En direct sur le terrain.
06:31La technique des gars.
06:32Le développement du jeu.
06:33Surtout sur un terrain.
06:34Moi je le trouve quand même très synchronisé.
06:36Ludo, Ludo.
06:37C'est quand même assez impressionnant.
06:38Ludo, je sais que je vous fais patienter.
06:40Mais en fait il y avait une orientation du jeu.
06:42C'est de sa faute.
06:43C'était un numéro 10.
06:44Donc il oriente.
06:45Il dit tiens.
06:46Il explique le ballon.
06:47Il vient dans les zones.
06:48Il fait un appel et puis il a choisi.
06:49Giovanni sur du football pur.
06:51Sur Paris actuellement.
06:52Et ce soir surtout.
06:53Ce soir.
06:54Est-ce qu'il y a une action ?
06:55Est-ce qu'il y a une séquence de jeu ?
06:57Que vous pouvez nous raconter.
06:58Vous vous êtes dit.
06:59Ce soir là.
07:00Comme ça en tribune.
07:01C'est assez vraiment bon.
07:02C'est bon Paris.
07:03Le but de Dembélé en toute fin de première période.
07:10Où justement le Paris Saint-Germain est dans le dur.
07:12Il y a une sortie de balle qui est absolument remarquable.
07:15Et je trouve que ça symbolise.
07:17Et c'est assez marrant.
07:18Parce que l'an dernier.
07:19Je me souviens Mémé.
07:20On a tous fait des débats.
07:21Sur le PSG.
07:22En disant.
07:23Luis Henrique.
07:24Il se plante.
07:25Il veut faire une équipe de possession.
07:26Alors qu'il a une équipe de transition.
07:27Et ce qui m'impressionne.
07:28Dans ce Paris Saint-Germain là.
07:29Maintenant.
07:30C'est qu'ils arrivent vraiment à combiner les deux.
07:31C'est-à-dire qu'ils ont des longues séquences.
07:33De possession.
07:34Incarnées par Vitignac.
07:35Qui a été pour une fois justement.
07:37Récompensé par l'UFA.
07:38Qui a été honnête.
07:39Et qui n'a pas récompensé le double buteur.
07:40Parce que Vitignac.
07:41Ce soir.
07:42Il a été stratosphérique.
07:43Dans tout ce que Johan disait.
07:45C'était hallucinant.
07:46Ils ont des phases.
07:47Où ils épuisent l'adversaire.
07:48Avec des redoublements de passes.
07:49Et ils arrivent très très bien.
07:50A aller chercher à l'opposer.
07:51Les 1 contre 1.
07:52Les transitions.
07:53Donc.
07:54Eric Roy l'a dit.
07:55En conférence de presse.
07:56C'est difficile.
07:57Parce qu'ils savent tout bien faire.
07:58Et ils ont une parfaite gestion.
07:59Du timing.
08:00Et je crois que c'était Stéphane.
08:01Qui parlait de la qualité de la pelouse.
08:02Honnêtement.
08:03On en a fait beaucoup.
08:04Alors je ne dis pas.
08:05Que c'était une pelouse merveilleuse.
08:06Mais honnêtement.
08:07Ça allait.
08:08Ce n'était pas non plus.
08:09C'était pas non plus.
08:10Un champ de patates.
08:11Donc.
08:12Voilà.
08:13Beaucoup de bruit.
08:14Pour finalement.
08:15Pas grand chose.
08:16Beaucoup de bruit.
08:17Vous avez relégué.
08:18C'est l'habitant ?
08:19Oui.
08:20On marque une petite pause.
08:21Dans quelques minutes.
08:22On va lâcher le dog.
08:23Dans l'arène.
08:24Sur le match.
08:25Et la victoire.
08:26Et puis.
08:27On aura la surprise.
08:28On a convoqué un supporter.
08:29De Brest.
08:30Il s'appelle Marc.
08:31Notre pirate.
08:32Est-il sur la jante ?
08:33On lui posera la question.
08:34Comment va le moral ?
08:35Je le vois dans mon retour.
08:36Petit sourire.
08:37Allez.
08:38A tout de suite mes petits.
08:39Choc.
08:40100% français.
08:41Attendez.
08:42Brest.
08:43C'est incliné ce soir.
08:44Donc.
08:45Au rouleau de roue.
08:46Contre le Paris Saint-Germain.
08:47Avec l'autorisation de Ludovic Corvoignac.
08:48Je donne la main.
08:49A Marc.
08:50Supporteur de Brest.
08:51Ludo il voulait parler de Paris.
08:52Ah non.
08:53Non.
08:54Non.
08:55On va écouter Marc.
08:56C'est bien.
08:57Attendez.
08:58Ludovic.
08:59On va écouter Ludovic Corvoignac.
09:00Je donne la main.
09:01A Marc.
09:02Supporteur de Brest.
09:03Ludo il voulait parler de Paris.
09:04Ah non.
09:05Non.
09:06Non.
09:07On va écouter Ludovic Corvoignac.
09:08Je donne la main.
09:09Attendez.
09:10Ludovic.
09:11Tu vas écouter Marc.
09:12On écoute Marc parce que c'est une autre sensibilité.
09:13C'est le match vu par le coeur.
09:14Et le coeur d'un Brestois.
09:15Je n'ai pas de coeur.
09:16Vous voulez dire.
09:17C'est ça.
09:18Or.
09:19Vous avez le sourire.
09:20Alors.
09:211.
09:22Vous êtes peut-être content de passer à l'équipe du soir.
09:23Si je vous parle du match.
09:24Le sourire est toujours là.
09:25Ou pas.
09:26Marc.
09:27Bonsoir.
09:28Oui.
09:29Bonsoir à tous.
09:30Merci.
09:31Ben oui.
09:32Forcément le sourire il est là.
09:33Même pour le match.
09:34J'ai envie de dire pour commencer.
09:36C'est exceptionnel de jouer pour nous un 16ème de finale de Ligue des champions.
09:40Donc.
09:41Même quel qu'en soit le score.
09:42Le sourire était là.
09:43Et il sera toujours là.
09:44Et il sera là pour le match retour au Parc des Princes.
09:46Marc.
09:47Vous étiez projeté sur ce match.
09:49J'imagine.
09:50Vous étiez au stade.
09:511.
09:52Vous imaginez quel match.
09:53Le match a eu lieu.
09:54Est-ce que c'est exactement ce que vous aviez imaginé ? Ou en pire ? Ou en mieux ?
09:57Ou en machin ?
09:58Marc.
09:59Opinion.
10:00Ben oui.
10:01Forcément on s'imagine des choses.
10:02Parce que l'espoir fait vivre.
10:03Donc forcément on a espéré quand même accrocher un résultat.
10:07Voir même gagner.
10:08On ne va pas se le cacher.
10:09Il faut dire les choses.
10:11On s'attendait forcément à un très gros match.
10:14Un match de Ligue des champions face à une très grosse équipe.
10:17Parce que comme vous avez pu le dire précédemment.
10:20Paris est très très fort en ce moment.
10:23On n'a pas le même Paris qu'en début de saison.
10:26Donc on a une grosse machine en face.
10:29Donc ça a été sûr qu'on s'attendait à souffrir.
10:32Donc on a clairement souffert dans les 20 premières j'ai envie de dire.
10:36Après on a cette petite malchance qui fait qu'on prend un péno direct au bout de 15 minutes.
10:43Ben voilà.
10:44Après il y a aussi le tournant.
10:46On aurait pu prendre un tournant tout autre.
10:49Parce que le Donnarumma a failli faire une belle bourne dans les toutes premières minutes.
10:55Donc c'est dommage.
10:57Après forcément c'est pareil.
11:00C'est très fort.
11:01On a essayé de rivaliser.
11:02Après c'est frustrant parce qu'on a le sentiment qu'on aurait pu mieux faire.
11:07Parce que j'ai pas forcément reconnu notre équipe dans les premières minutes.
11:10On s'est un peu réveillé.
11:12Mais on a senti le sentiment d'impuissance.
11:14Parce que c'est très très fort Paris.
11:17C'est un beau match de leur part aussi.
11:20Ils en avaient pris 5 il y a 11 jours du côté de Leblay.
11:25Et à un moment dès qu'ils sont sortis ils se sont fait punir.
11:29Il y a une image employée.
11:31Parce qu'il y a un joli vocabulaire de Greg Schneider.
11:33Ils sont au bout du rouleau de Scott.
11:35Ils sont fatigués.
11:36En tout cas c'est à travers les conférences de presse d'Eric Roy.
11:39Parce que je ne veux pas parler moi.
11:40Mais j'ai vraiment senti en permanence ça.
11:42Merci Greg.
11:43Non mais j'étais en entretien.
11:44Je suis en date.
11:45Je suis partout.
11:46C'est bouclé.
11:47C'est cabot ce soir.
11:49Marc.
11:50Est-ce qu'il y en a un qui vous paraît un peu fatigué par rapport à la vitalité vue depuis le début de la saison ?
11:58Moi je trouve que le milieu est moins dominant.
11:59Je trouve Magnéti moins à moi.
12:01Mais c'est vos impressions que je vois Magnéti.
12:03Non.
12:05Je ne suis pas forcément d'accord avec ça.
12:07Parce que moi j'aurais peut-être plutôt.
12:09Après je ne suis pas le joueur forcément.
12:11Mais j'aurais pu se dire.
12:12Peut-être dépassé par les émotions.
12:14Ou le match du fait que c'est un match à élimination directe maintenant.
12:19Parce que fatigué je ne pense pas.
12:21Parce qu'on enchaîne les matchs.
12:23Il y a la Coupe de France.
12:24Il y a le championnat.
12:25On est quand même bien revenu aussi dans le championnat.
12:27On est qualifiés en Coupe de France.
12:29Et c'est les mêmes joueurs qui jouent forcément.
12:31Donc je ne suis pas forcément d'accord.
12:33Parce qu'après on gagne nos matchs en championnat à la Coupe de France.
12:35Ça tourne bien.
12:37Donc je ne dirais pas forcément que c'est de la fatigue.
12:39C'est juste aussi.
12:41On a eu un très gros Paris Saint-Germain en face.
12:43Il ne faut pas se le cacher.
12:45Ce soir il y avait une bonne classe d'écart.
12:48On a essayé d'exister.
12:50On a fait des potos.
12:52Ça ne nous a pas souris.
12:53Ils ont eu quand même pas mal de contre favorables pour eux.
12:57Donc on a l'impression que rien ne pouvait leur arriver ce soir.
13:00C'est comme ça.
13:02C'est le football.
13:03Maintenant tout n'est pas fini.
13:05Il y a un match retour.
13:06On sait la malchance qu'il peut avoir des fois sur les confrontations comme ça.
13:09À les matchs, à les retours.
13:11On n'a pas oublié les remontadas qu'ils ont eues.
13:13Donc ça peut nous laisser espérer aussi.
13:15On va prendre.
13:17Mais non, fatigué, je ne dirais pas ça quand même.
13:20D'accord.
13:21Très bien.
13:22Mauvaise piste.
13:23Correction.
13:24Il annonce un 4-0.
13:25On va conclure tout de suite cet entretien.
13:27C'était éminemment sympathique.
13:29Merci.
13:30On vous laisse parler.
13:31Au fur et à mesure, on sent que tout d'un coup, vous allez nous sortir la qualification.
13:34Marc, on vous embrasse.
13:35Merci beaucoup de votre passion.
13:37Merci de nous avoir fait partager vos passions.
13:40Merci Marc.
13:42Très bonne soirée.
13:43Merci à vous tous.
13:44Bonsoir.
13:45Bonsoir Ludovic.
13:46Bonsoir.
13:47Vous allez ?
13:48C'est ton moment.
13:49Vous voulez parler de quoi ?
13:50Vous voulez parler du niveau du paris Saint-Germain ?
13:52J'étais un peu à l'inverse de mes collègues qui pensaient que c'était un train qui arrive à l'heure.
13:57Je trouve que c'est une super belle perf du Paris Saint-Germain.
14:00J'écoutais un peu tout ce qui se disait en avant-match.
14:03Comme Greg, j'écoute aussi les conférences de presse.
14:06Lui, il a noté qu'Éric Roy était plutôt pessimiste.
14:09Moi, j'ai noté qu'Éric Roy a vu ça en deux temps.
14:12Lui, il a quand même prôné qu'il voulait rester en vie avant d'arriver sur le deuxième match.
14:17Ça veut dire qu'il comptait beaucoup sur ce premier match et qu'ils allaient envoyer ce qu'ils ont fait pendant une demi-heure.
14:24Après, je ne sais pas ce qui les a...
14:26Je n'ai pas compris pourquoi ils avaient joué le rôle d'observation avec Paris.
14:30Parce qu'ils en avaient pris cinq à dix jours.
14:31Oui, mais au final, quand tu regardes ce match-là, même quand ils ont eu leur bonne période, même s'ils égalisaient un partout,
14:39je me dis que ce PSG-là, il va les ravager.
14:42Il gagnera avec de l'aisance quoi qu'il arrive.
14:45Donc, sur une pelouse pas si belle que ça, quand on connaît la pression qu'il peut y avoir sur Paris à ce moment-là de la saison
14:52par rapport à des 16e ou des 8e, il n'y en a jamais eu de 16e.
14:55On va dire que ça peut être l'équivalent d'un 8e.
14:58Je trouve que la perf, elle est quand même à noter.
15:01Moi, je suis d'accord avec toi sur le contenu surtout.
15:04Et comme l'a dit Éric Roy, je pense que notre coach va le dire face à ce PSG-là,
15:08ils sont capables de garder le ballon, de conserver ce ballon, de faire des attaques placées
15:14et ils sont capables aussi, à des moments donnés, quand toi tu essaies de te projeter un peu plus vers l'avant,
15:19de te contrer, de te faire très mal.
15:20Donc, jouer face à ce PSG-là aujourd'hui, à mon avis, c'est beaucoup plus compliqué que la saison dernière.
15:26Et c'est beaucoup plus compliqué qu'il y a trois mois.
15:29Parce que tu te rappelles, celui qui joue à Arsenal, c'est pas le même.
15:32Après, j'attends de voir ce PSG-là avec cette évolution-là face à ces équipes comme Arsenal,
15:41comme on a pu voir.
15:42Moi, c'est ma grosse expérience.
15:44Là, je suis très intéressé.
15:46Très impatient de voir ce genre de match.
15:50C'est dans le concept, mes amis.
15:51On finit toujours avec le président.
15:53Et après, je lâche, comme ça, nos chroniqueurs, le ville-peuple, pour la suite de l'émission.
15:58Allez, à tout de suite, mes amis.
15:59On aura un petit mot à vous dire sur le diffuseur officiel olympien d'Azone, conseil d'administration extraordinaire demain.
16:05De quoi s'agit-il ?
16:06La suite et les explications, les détails avec Romain Rande dans le Mini-Info dans quelques secondes.
16:10On y va !