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Alors qu'un jihadiste français exige son rapatriement, Eric Revel réagit : «Ce monsieur est parti combattre aux côtés des ennemis de la France». 

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00:00On marche sur la tête, pardonnez-moi, mais attendez, il y a la Cour européenne des droits de l'Homme qui va peut-être condamner la France si on refusait de réaccueillir quelqu'un quand même qui était parti faire le djihad, c'est pas n'importe quoi faire le djihad.
00:15Et au prétexte qu'il serait français, on va devoir peut-être le réaccueillir sur notre sol.
00:20Et je ne peux pas m'empêcher de penser à l'affaire de cet influenceur algérien qui pourtant avait un passeport algérien et qu'on a été incapable de réexpulser en Algérie alors que la Cour européenne des droits de l'Homme nous imposerait, elle, de réaccueillir des gens dont le but était de semer la terreur en France au nom du djihad islamique.
00:42Mais on ne peut pas continuer comme ça, pardonnez-moi. Qu'on se pose la question pour des enfants nés de djihadistes, femmes, hommes, bon, on peut se poser la question, mais ce monsieur, il est parti combattre aux côtés des ennemis de la France, ceux qui veulent imposer l'islamisme le plus radical, voire même de poser des bombes en France.
01:05Mais c'est absolument sidérant. J'espère que l'État, si la Cour européenne des droits de l'Homme devait nous condamner, l'État français taperait du poing sur la table et montrerait que quand on a de la volonté politique, condamné ou pas par la Cour européenne des droits de l'Homme, on impose sa direction.

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