• il y a 15 heures
Et votre rendez-vous sur Top Fm cet après-midi 7 sur 7 à partir de 17h30 Pour le décryptage de l’actualité ce vendredi, retrouvez Jasvin Sok Appadu et Jimmy Jean-Louis et leurs intervenants pour débattre de plusieurs thèmes dont : (i) L’avenir de la radio face aux défis technologiques (ii) Les polémiques entourant les dépenses électorales (iii) La demande d’une commission d’enquête sur la BAI par Salim Muthy (iv) La participation américaine dans les négociations sur les Chagos, entre autres Vos interventions également sur le 213 7777, 213 7777. Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 10.

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00:00:00Et Anne, nous vous prenons plusieurs thèmes, parmi l'avenir de la radio, les polémiques entourant les dépenses électorales.
00:00:06Nous, il y a aussi cette question de Chagos et quelques polémiques qui nous viennent.
00:00:10D'ailleurs, beaucoup de ces questions ont été abordées durant votre émission avec la tournée générale,
00:00:17l'interview exclusive qu'ils font gagner avec la tournée générale, M. Gavin Glover, senior counsel.
00:00:22Et puis, nous vous présentons également un peu la situation de l'ex-BAI et de NAPFL qui s'allient multiplier et continuent à mener ce combat.
00:00:32D'abord, l'avenir de la radio face aux défis technologiques, où il y a une grande expérience dans la radio.
00:00:37Pareil comme à Mofi, il y a une grande expérience dans la radio.
00:00:41Qui ne peut pas dire ce que la radio a apporté à la population de Jasvin?
00:00:45Bonjour, je m'appelle Mokou Roujou et j'ai une plus grande expérience que moi à la radio, certainement.
00:00:50Mofi a commencé en 2009.
00:00:54A l'époque, nous nous rappelions que la radio était l'outil principal pour que les gens puissent entendre notre voix.
00:01:00C'était une solution à tous les problèmes.
00:01:03Je me rappelle à l'époque que les gens avaient des problèmes, oui, avec les téléphones de radio, je peux le dire.
00:01:09Les téléphones de radio étaient un outil pour qu'ils puissent entendre notre voix, mais aussi pour résoudre leurs problèmes.
00:01:15Au fil des temps, ils ont évolué.
00:01:18Il y a eu une fin d'arrivée du digital.
00:01:21Mais quand même, il faut dire que la radio reste l'accompagnement de plusieurs Mauritiens.
00:01:31En fait, la radio, quand elle a été lancée, ça a été aussi une thérapie pour beaucoup de gens qui avaient besoin de parler, de dire ce qu'ils en pensaient.
00:01:38Et des émissions comme ici même, « Causer de ma paix » avec Lévée-Maurice, amènent une nouvelle ère de démocratie
00:01:45par rapport à un agrandissement même de l'espace démocratique avec Habib Moussaïb et puis par la suite avec Lévée-Maurice.
00:01:54Je crois qu'il y a aussi une question qui est posée aujourd'hui.
00:01:57Beaucoup de radios, de petites radios en France et ailleurs, ont roulé même sans les ressources humaines,
00:02:03parce qu'ils ont dit qu'avec ces affaires AI et les robotiques qu'il y a là, donc c'est ça un petit peu la crainte.
00:02:07Mais quand même, ça a fini par être balayé d'un revers de la main.
00:02:10Je pensais qu'à Maurice, le contexte mauricien, la sensibilité mauricienne,
00:02:15est quelque peu différent et il demande toujours des ressources humaines,
00:02:19parce que la population est connectée avec les bandes d'humains qui sont présentes, suivent au niveau de la radio, avec toute l'équipe.
00:02:29Peut-être qu'on profite de cette occasion pour remercier tout le personnel de TOP FM qui se dévoue,
00:02:34qu'on est là matin, midi et soir, pour donner des émissions de qualité à tous les Mauriciens,
00:02:41et aussi non seulement à travers la radio, mais aussi sur toutes nos plateformes digitales.
00:02:47Jasmine.
00:02:48Effectivement, Jimmy.
00:02:49Moi, j'ai fait une réflexion ce matin.
00:02:50Je peux dire que la semaine dernière, nous célébrons aussi la Journée mondiale de 100 téléphones mobiles.
00:02:57Je peux poser la question dans la réaction.
00:02:59Est-ce qu'Andy Moon peut-être est capable de rester sans son radio,
00:03:04parce qu'il y a beaucoup d'Andy Moon qui est dans sa radio,
00:03:06dans son radio, dans l'atmosphère avec sa radio,
00:03:09parce qu'il est connecté avec l'actualité, et aussi connecté avec le divertissement que plusieurs radios de l'île proposent.
00:03:16Nous pouvons rappeler aussi que la première radio privée à Maurice finit d'arriver le 12 mars 2002.
00:03:25Nous sommes arrivés le 31 décembre, ce qui fait que nous avons 22 ans de présence.
00:03:32Contre vent et marée, contre toutes les difficultés que Top FM a pour faire face, nous ne pouvons pas céder.
00:03:39Il nous a fait une mention spéciale quand il nous a parlé de Top FM.
00:03:41Il nous a obligé de faire une mention spéciale pour monsieur et madame Connery,
00:03:46qui a la tête de la radio depuis 22 ans.
00:03:49Contre vent et marée, comme vous l'avez dit,
00:03:51tout le monde connaît l'épisode que Top FM a passé pendant ces dernières années.
00:03:56Même plus.
00:03:57Même plus.
00:03:58Comme il l'a dit, ces dernières années, nous ne passons pas dans un vrai cyclone.
00:04:01Nous nous rappellons d'un cyclone qui nous a fait passer, et même dans le passé.
00:04:06Mais je pense que c'est une bonne chose pour Top FM.
00:04:09Et aussi, nous devons dire que ce n'est pas juste une bonne chose.
00:04:12Il y a des cadres qui ont fait des erreurs, qui ont fait des erreurs, et qui ont fait des erreurs, comment dire.
00:04:18Et ils ont dit que Top FM est toujours là.
00:04:21Nous devons venir avec un nouveau esprit, un nouveau mindset,
00:04:27pour que nous puissions continuer de faire le bon travail que Top FM a fait depuis 22 ans,
00:04:32et pour que nous puissions continuer d'être le soutien de toute la population,
00:04:37en ce qui concerne les bénévoles, etc.
00:04:39D'accord.
00:04:40Et là, je vous propose, Jasvin, d'aller écouter ce qu'a dit Ashok Radha Kizun,
00:04:44ancien président de l'IBI, et également avocat,
00:04:47qui représente la radio privée dans plusieurs affaires en cours, y compris Top FM.
00:04:52Nous allons écouter ce qu'il y pense, selon l'évolution de la radio,
00:04:55et les défis qui peut guetter l'avenir de la radio.
00:05:02La régie, c'est lui qui nous peut écouter Ashok Radha Kizun dans un petit moment.
00:05:08Néanmoins, il retrouve le son à ce qu'il paraît.
00:05:11Mais, comment dire, Jimmy nous faisait aussi ressortir
00:05:16qu'il ne faut pas oublier les affaires à Maurice.
00:05:19Les radios sont rédigées par l'IBI,
00:05:22et nous trouvons que ces derniers temps,
00:05:25nous avons certainement la loi qui vient de passer.
00:05:29Nous ne sommes pas vraiment dans l'intérêt de la radio,
00:05:35en ce qui concerne la licence, le renouvellement de la licence,
00:05:38et aussi les autres aspects qui rendent la tâche le plus difficile
00:05:43au lieu de faciliter la tâche du domaine de la radio,
00:05:47qui fait un travail extraordinaire.
00:05:50D'ailleurs, dans l'entretien qu'ils ont réalisé avec Ashok Radha Kizun,
00:05:54nous connaissons Ishula, parce qu'il nous connait aussi,
00:05:57cette épée de Damoclès qui est avec nous.
00:06:00Est-ce que la régie peut confirmer qu'ils sont capables de l'avance ?
00:06:06Il demande aussi à Digital Team de nous donner tous les sons tout à l'heure,
00:06:12et de préparer ça, parce que c'est l'affaire qu'ils ont besoin.
00:06:17Est-ce que nous sommes capables de bouger sur un autre sujet toujours ?
00:06:20Justement, en attendant qu'ils nous gagnent le son de Ashok Radha Kizun.
00:06:25Voilà.
00:06:26Et est-ce que nous sommes capables de passer au deuxième thème, si vous voulez ?
00:06:30Oui, peut-être que nous passons au deuxième thème,
00:06:32mais là aussi, nous vous demandons à la régie,
00:06:35par rapport à la liste qu'ils nous envoient à Yashvi et à Yann,
00:06:40est-ce que nos bannes sont déjà calées ?
00:06:42Est-ce qu'on peut aller sur le deuxième thème ?
00:06:45Donc, il concerne la polémique sur les dépenses électorales,
00:06:50et y est, nous nous trouvons au final en long et en large sur la question Jazvin,
00:06:55avec la tournée générale.
00:06:56Donc, c'est peut-être le premier membre du gouvernement qui a un haut échelon,
00:07:00qui prend une position sur toute la question.
00:07:03Qu'est-ce qu'il y a dans cette polémique concernant les dépenses électorales ?
00:07:07Alors, nous voulons mettre ça en contexte, Jimmy.
00:07:10Nous faisons, je pense, que tous les auditeurs sont au courant,
00:07:13parce qu'ils nous traitent en long et en large dans tous nos bulletins de journal.
00:07:19Et là, la liste des dépenses électorales de chaque député.
00:07:25Ça veut dire, quand un député finit pour être candidat,
00:07:28il y a un délai pour déclencher ça au niveau de la commission électorale.
00:07:32Nous finons par publier, dans un premier temps,
00:07:34toutes les dépenses de tous les membres du gouvernement,
00:07:37et par la suite, nous finons par noter qu'il y a plusieurs membres,
00:07:41cinq ou six, parmi trois ministres et trois députés,
00:07:45qui dépassent le seuil, ça veut dire le plafond autorisé,
00:07:48qui est de 150 000 roupies par candidat, si vous donnez l'alliance.
00:07:54Si vous êtes candidat indépendant, le plafond est de 250 000 roupies.
00:07:59Mais nous finons par noter qu'il y a trois ministres plus trois députés du gouvernement
00:08:06qui dépassent le seuil, le plafond, au-delà de 150 000 roupies.
00:08:10Nous finons par expliquer qu'il y a peut-être une cause,
00:08:13qu'il a raison d'avoir pour qu'il y ait trois députés de l'Association de la construction de l'île Rossette
00:08:18qui soumettent des dépenses au-delà de 150 000 roupies.
00:08:24Et nous trouvons que, selon mon information,
00:08:28je prends conseil avec l'ancien candidat indépendant
00:08:32qui est ministre aujourd'hui dans le gouvernement,
00:08:35c'est-à-dire Raj Pancha, qui est ministre de la fonction publique.
00:08:39L'île était post-candidat en 2019 en tant qu'indépendant.
00:08:42Donc, post-candidat en 2019 en tant qu'indépendant,
00:08:45ce maximum limite est de 250 000.
00:08:48Il a calculé ces dépenses par rapport à ce qu'il a fait en 2019.
00:08:54C'est ce qui amène à ce décolleté qui est néophyte en politique.
00:08:59Il a ainsi fait ces dépenses par rapport à la limite de 250 000 roupies.
00:09:05Et par la suite, une polémique s'est élevée parce que c'est déjà...
00:09:09C'est un paradoxe. Un député indépendant a un droit de dépense
00:09:12plus qu'un député qui doit une partie,
00:09:14alors qu'il peut y avoir une limite par rapport à dépenser une partie pour l'élection.
00:09:18Effectivement, il y a un gros paradoxe.
00:09:20Je vous rappelle que la loi-là date de 1948.
00:09:23Representation of People's Act.
00:09:26Il date de 1948.
00:09:28Le seuil, le plafond autorisé, fin amendé, fin révoit trois fois.
00:09:34Le dernier en date, c'est qu'il ne m'a pas trompé,
00:09:36s'il ne m'a pas fait erreur en 2011.
00:09:39Effectivement, il y avait 150 000 roupies et 250 000 roupies, respectivement.
00:09:44Par la suite, la presse a fait l'état d'un département d'urban dépenseurs.
00:09:50Ils trouvent qu'il y a un certain ministre et un certain député du gouvernement.
00:09:55D'ailleurs, Gavin Glover l'a déjà dit.
00:09:57Vous pouvez écouter l'intervention de Gavin Glover encore une fois.
00:10:00Il dit qu'il conseille les ministres pour faire ce qu'ils veulent faire.
00:10:07Je pense que la région a déjà un avis de cela.
00:10:09Si nous sommes capables de nous dire mieux qu'on peut, nous passerons cela.
00:10:14Est-ce qu'on peut écouter maître Gavin Glover sur la question des dépenses électorales ?
00:10:23Maître Achok Radhakrishnan, bon après-midi.
00:10:25Bon après-midi à vous, oui.
00:10:27On fait célébrer la journée de la radio.
00:10:30Aujourd'hui, la radio fait face à plusieurs défis.
00:10:32Comment appréhendez-vous que vous pouvez faire face à des défis technologiques et de l'innovation à venir ?
00:10:39Surtout à cause de l'intelligence artificielle.
00:10:42Comment pouvez-vous créer un service pédagogique et surtout un outil d'aide à la population ?
00:10:47Je pense que vous inquiétez de l'évolution historique de la radio.
00:10:52Depuis ses débuts, quand on a fini ses tests pour Marconi,
00:10:56la radio, au fil des années, a fait face à beaucoup de défis.
00:11:01Déjà, il y a eu un défi quand on a commencé pour adapter la technologie.
00:11:04Deuxièmement, il y a eu un défi quand la télévision est finie, la concurrence.
00:11:09Et puis, il y a eu une évolution au type de transmission, au niveau de la fréquence, analogue, FM, stéréo, etc.
00:11:16L'histoire de la radio, comme si dans ce parcours, il y avait beaucoup de défis à relever.
00:11:21Je ne crois pas qu'il y ait un nouveau défi technologique avec l'avènement de l'AI ou encore la numérisation.
00:11:29Ça pose un problème, mais c'est à la radio, au niveau de la technique et surtout au niveau de sa direction.
00:11:37De maîtrise, il y a de nouveaux outils qu'on peut utiliser, mais sans oublier sa mission principale.
00:11:43Par exemple, je crois qu'avec la numérisation, peut-être qu'on a plus beaucoup de scènes possibles pour faire radio.
00:11:49Peut-être que dans la façon dont on peut transmettre des messages, des informations, collecter des informations,
00:11:55nous pourrions peut-être avoir des mondes plus polyvalents qui pourraient travailler à la radio,
00:11:59pour faire des trois travails en même temps, qui pourraient permettre de parler de la technologie.
00:12:03Ils pourraient avoir des transmissions directes depuis les lives que je fais partout,
00:12:07que j'ai déjà fait, mais je crois encore plus souvent.
00:12:10Donc, il y a un défi énorme, mais c'est un défi qui n'est pas nouveau pour la radio.
00:12:15La radio, c'est un médium qui nous vive et qui nous survive à travers tout son avènement technologique
00:12:21et aussi à travers l'avènement social, qui finalement est un radio contrôlé.
00:12:26Donc, la radio, on ne peut pas croire que l'IPS a un défi.
00:12:29Ils ont déjà amené un défi là, ils ont trouvé une solution,
00:12:33et moi, je crois, je me confie, je suis confiant que dans l'avenir de la radio,
00:12:37il est là pour rester principalement bien dans la chaîne de radio.
00:12:39La radio, quand vous étiez en papier pour la maire,
00:12:41quand vous étiez pour écouter de la radio dans l'hôtel, quand vous étiez pour écouter de la radio.
00:12:45C'est tellement facile d'accès, et pour remplacer ça,
00:12:48on ne peut pas croire de si tôt que de plus tôt,
00:12:51comme si nous craignions aussi que la radio disparaisse.
00:12:53On ne peut pas croire, ça n'est pas arrivé.
00:12:55Quand même, il y a toute cette question que finit avant les élections,
00:12:59surtout avec la loi IBI qui promet de retirer, d'abroger, d'enlever.
00:13:06La tournée générale n'a pas trouvé que ça ne forme pas des priorités.
00:13:11Est-ce qu'on peut maintenir la loi de l'IBI qui finit par passer
00:13:16et qui accommode les pètes de Damoclès sur la tête de la radio?
00:13:19C'est la bonne position que je prends par rapport à cet amendement-là.
00:13:23On peut tenir la bonne position.
00:13:25On ne peut pas tenir pas bien l'amendement de la loi.
00:13:28Avec toute la loi, avec le développement de la société,
00:13:30le développement technologique, le développement de la science et tout ça,
00:13:34le développement économique, il y a même une rigole dans la loi CAD.
00:13:38L'IBI, c'est la loi CAD qui demande à être revue régulièrement,
00:13:43adaptée à ce changement de l'environnement de l'océan visuel.
00:13:47Mais on ne peut pas croire, à mon avis, qu'il y a pas mal de changements
00:13:50qu'il faut faire avant-là, initialement dans le sens,
00:13:53comme si de venir élargir l'espace démocratique,
00:13:56pour venir donner plus de facilité aux opérateurs radios de travailler
00:14:01et pour amener l'optimisme et pour amener comme si une démocratie
00:14:06dans le secteur lui-même.
00:14:08On ne peut pas croire qu'il y a pas mal d'amendements à la loi-là.
00:14:11A mon avis, il n'y a pas de différence dans cette CAD-là.
00:14:13C'est plus une CAD répressive.
00:14:15L'idée que je peux dire, peut-être que j'ai regardé ça,
00:14:17j'ai le sens de la loi-là.
00:14:19Il y a toujours un élément répressif là, d'une part, et de l'autre part.
00:14:22Mais dans la loi, il n'y a pas d'élément, il n'y a pas de quelque chose
00:14:25qui fait comme si de nul stimulus, de nul spuiton
00:14:29pour qu'il y ait un vrai développement de la radio,
00:14:32comme un provider de contenu, comme un provider d'assistance,
00:14:36d'éducation, d'information, mais aussi d'un secteur économique
00:14:40qui va créer l'emploi et amener une diversité de types de radios
00:14:44qui est dans nos pays.
00:14:46Pour certains pays, comme moi, ça va être des radios dans un pays
00:14:50qui est moins développé que nous, mais mon pensée,
00:14:53nous encore, on n'a rien par rapport à ce développement-là.
00:14:55Nous, on a fait une démocratie, l'accès à la radio.
00:14:58Pas simplement qu'il y ait un grand opérateur,
00:15:01comme un radio-piste, etc., ou bien un radio-man,
00:15:04mais il y a des gens qui ont fait de la radio,
00:15:06l'université qui a fait de la radio,
00:15:08les groupes sociaux qui ont fait de la radio,
00:15:10mais il faut qu'il y ait une démocratie,
00:15:12l'accès à la radio, pour que tout le monde soit capable
00:15:14de s'en servir, c'est l'objectif le plus élevé.
00:15:17Dans la loi qui tient le passé,
00:15:19s'il y a tout le monde qui fait le problème,
00:15:22est-ce que d'abord, d'un premier temps,
00:15:24il faut éliminer ce monde qui pèse l'eau dans la tête de la radio?
00:15:27Enfin, là, mon réponse, c'est dans la mesure
00:15:29que l'amende, peut-être, il y en a dans toute la loi,
00:15:32il y a un moment où il faut mettre l'amende.
00:15:34Mais l'amende n'est pas la première sanction.
00:15:36L'amende, c'est une sanction ultime,
00:15:38quand il y a du monde qui fait récidiver,
00:15:40récidiver, récidiver une radio,
00:15:42c'est là où il faut remplir une sanction
00:15:44qui est l'essentiel d'une sanction.
00:15:46Mais avant d'arriver à l'ultime sanction d'amende,
00:15:49il y a plusieurs types de contrôles qu'il faut faire.
00:15:52Il y a un contrôle au niveau même
00:15:54de la programmation au commencé,
00:15:56c'est-à-dire qu'il y a un contrôle,
00:15:58mais c'est un droit de regard de l'IBA sur ça.
00:16:00Ensuite, vous avez, par exemple, avant,
00:16:02une radio d'après l'IBA,
00:16:04qui croit qu'elle fait une affaire
00:16:06qui n'est pas visible selon la loi,
00:16:08on rappelle l'autre, on donne une lettre d'arrêt,
00:16:10on fait une réunion de travail,
00:16:12on donne peut-être un warning souple,
00:16:14en verbal, dans une réunion, dans un comité.
00:16:16Et puis, c'est autour de la radio
00:16:18que le PSC, dans son sens,
00:16:20ne peut pas croire qu'il y a de l'amende.
00:16:22Là, maintenant, peut-être qu'il n'y a pas d'amende,
00:16:24mais c'est l'application qui devient une application
00:16:26plus judiciaire, c'est une application
00:16:28plus comme si objective.
00:16:30– M. Ashok Radhakishun, merci pour toutes ces précisions.
00:16:33Je me rappelle qu'il est ancien président de l'IBA
00:16:36et qu'il est également avocat
00:16:38de radio privée à Maurice.
00:16:40– Merci. – Merci.
00:16:42– Bon après-midi.
00:16:44– Voilà, beaucoup d'informations à retenir
00:16:46dans ce que M. Ashok Radhakishun dit.
00:16:48Elle nous fait une intervention de son,
00:16:50c'était pas le... nous nous râtelions d'aller là,
00:16:52c'est une partie maintenant.
00:16:54Donc, Jasvin, beaucoup de choses
00:16:56qu'il mette Radhakishun,
00:16:58qui souvent représente l'intérêt de la radio
00:17:00devant la justice.
00:17:02Qu'est-ce qu'il veut retenir?
00:17:04– Il veut retenir une chose
00:17:06qui est très importante,
00:17:08qui est l'importance de la radio.
00:17:10C'est qu'il faut que les gens soient
00:17:12capables d'écouter la radio.
00:17:14Les gens sont capables d'écouter la radio
00:17:16avec la technologie des outils.
00:17:18Mais aussi ne pas prévenir
00:17:20sur le point de vue
00:17:22de la nouvelle loi qu'il mette.
00:17:24– Mais maintenir ce point
00:17:26qu'il nous dit avant,
00:17:28avant aussi,
00:17:30et après l'adoption de la loi.
00:17:32C'est-à-dire que
00:17:34l'épée du dame anglaise
00:17:36qui s'est représentée pour la radio.
00:17:38Et les d'accord avec la loi,
00:17:40mais pas sa qualité.
00:17:42– Effectivement, comme on l'a dit,
00:17:44il ne faut pas oublier
00:17:46qu'il y a aussi
00:17:48et il ne faut pas oublier aussi
00:17:50dans quel contexte,
00:17:52quand cette nouvelle loi est venue.
00:17:54Et qui a payé cette nouvelle loi.
00:17:56Et là, nous trouvons que
00:17:58pendant la campagne électorale,
00:18:00le Premier ministre, le docteur Navirambula
00:18:02a dit qu'il pourrait amender cette nouvelle loi
00:18:04pour arrêter de faire dominer
00:18:06avec la radio, la presse, etc.
00:18:08– Avec des billets.
00:18:10– Avec des billets capables d'amender.
00:18:12Mais ce que nous ne comprenons,
00:18:14c'est parfois une partie de la priorité du gouvernement.
00:18:16Et il faut probablement
00:18:18qu'il s'oppose au coup
00:18:20des autres mandats de cinq ans.
00:18:22Mais entre-temps, comment vous dire,
00:18:24le fils est resté pareil, Jimmy.
00:18:26Et pareil, la licence-fils
00:18:28pour les licences est restée la même.
00:18:30Les billets pour les licences
00:18:32sont venus un an.
00:18:34Mon pensée, c'est bizarre.
00:18:36– Il faut calquer l'autre.
00:18:38Par exemple, on a donné un contrat
00:18:40à MTC pour la gestion
00:18:42de la piste du Champ-de-Mars.
00:18:44Ça fait 25 ans.
00:18:46Parce qu'aucun business n'est capable
00:18:48de calquer un business model
00:18:50lors d'un an.
00:18:52Et peut-être que c'est un peu
00:18:54le business model dans lequel
00:18:56Poubzin a évolué
00:18:58pour la licence de la radio.
00:19:00Nous bougeons sur l'autre thème
00:19:02de lequel nous avions commencé.
00:19:04La polémique entourant les dépenses électorales.
00:19:06Nous avons commencé à en débattre tout à l'heure.
00:19:08Est-ce que la régie fait un signe?
00:19:10Est-ce qu'on peut avoir…
00:19:12– Roger Badin.
00:19:14Et puis, nous pouvons écouter
00:19:16ce que la tournée générale
00:19:18en a pour dialogue.
00:19:20– Nous écoutons Roger Badin
00:19:22parce qu'il nous rappelle
00:19:24qu'il est l'invité
00:19:26de l'île Léa Padoue
00:19:28sur Roto-Mercredi.
00:19:30Comme à son habitude,
00:19:32Maitre Roger Badin
00:19:34est un professeur de la police.
00:19:36Je vous demande, la régie,
00:19:38si vous pouvez écouter Maitre Roger Badin.
00:19:40Maitre Roger Badin est le directeur
00:19:42des poursuites publiques
00:19:44et il est d'accord pour poursuivre
00:19:46cette bande de gens-là pour une offense
00:19:48sous le Representation of People Act
00:19:50pour illégales practices pour lesquelles
00:19:52vous avez payé la main, vous avez perdu
00:19:54votre siège et vous n'avez pas gagné
00:19:56le droit d'être électoré
00:19:58avec votre candidat dans cinq ans.
00:20:00Léa, pendant les procédures
00:20:02en rapport à sa prosecution
00:20:04pour cette offense-là,
00:20:06a gagné le droit.
00:20:08Je vais vous montrer que ça n'est pas arrivé
00:20:10par inadvertance ou par
00:20:12une autre cause raisonnable
00:20:14mais qu'il est arrivé par la volonté de la bonne foi.
00:20:16Laissez-moi vous dire une chose.
00:20:18Vous savez comment on se gagne pour faire des cover-up là ?
00:20:20Un Premier Ministre,
00:20:22l'Ibiza aménable, a donné
00:20:24une explication. Il a créé
00:20:26un comité de parlement dans l'Angleterre
00:20:28et il a appelé son ancien Premier Ministre
00:20:30pour qu'il réponde à une question.
00:20:32Ici, il n'y a pas qu'à mettre un comité de parlement
00:20:34pour faire le parlement, il répond que
00:20:36toute la population mauricienne
00:20:38qui était là-bas,
00:20:40et que les députés posent des questions,
00:20:42il n'y a pas qu'à faire ça.
00:20:44C'était quand on avait la même affaire
00:20:46avec le ministre des Finances.
00:20:48Mais il n'y a pas d'ailleurs
00:20:50un comité de parlement.
00:20:54Voilà, justement, c'était Rouchi Bada.
00:20:56On est un peu plus loge
00:20:58que les dépenses électorales
00:21:00parce qu'il y en a également
00:21:02sur le volet totalement politique
00:21:04etc.
00:21:06Quand même, il y a un point de vue
00:21:08pour lui,
00:21:10pour ses affaires-là, pourquoi pas
00:21:12prendre une décision uniquement
00:21:14pour suivre
00:21:16des gens qui font ça,
00:21:18un dépassement de limites.
00:21:20Et il dit aussi, quand il a causé
00:21:22avec l'inverse, il dit
00:21:24qu'il n'y a pas qu'à faire contre
00:21:26David, le seul moyen
00:21:28c'est quand l'affaire,
00:21:30le processus est lancé,
00:21:32et l'affaire a été
00:21:34réajustée à la Colombie-Britannique.
00:21:36Et il a aussi dit
00:21:38qu'on est rassuré
00:21:40par la date.
00:21:42Il a dit que c'était
00:21:44dans la moitié de la
00:21:46décennie,
00:21:52un peu plus tard,
00:21:54mais il n'y a,
00:21:56un peu plus tard,
00:21:58il n'y a pas vraiment
00:22:00fait nous comprendre clair et net. C'est qu'à sa return là, je checkais, des affaires je checkais, soit un dépassé, soit un pas de soumettre return.
00:22:12C'est ça le décalage qu'il y a là. Si je trouvais dans ce décalage un délit, ça veut dire soit un dépassement ou soit un député pas de soumettre soumettre.
00:22:23Là-ci, il y a un délit à appuyer avec. La commission électorale qui l'y fait, elle n'a pas le pouvoir pour enquêter, elle n'a pas le pouvoir dans la loi pour faire quoi que ce soit.
00:22:32À part qu'elle réfère le cas au bureau du DPP. Elle réfère le cas au bureau du DPP. Pour informer le bureau du DPP, ça veut dire voilà, il y a un tel candidat pas de soumettre return
00:22:44ou soit il y a un tel candidat qui dépasse la limite autorisée. C'est au DPP, là, il y avait, pour qu'il soit en matière d'enquête, il y avait le dossier à la police. C'est à la police d'enquêter.
00:22:58La police enquêtée sous le OPIAC. Et ce qui fait nous comprendre, c'est qu'il y a des conséquences. Qu'est-ce qui arrive si la police trouve effectivement, oui, il y a un délit sous l'OPIAC.
00:23:14As we speak, Jimmy, il n'y a une seule provision de la loi OPIAC pour ce délit-là. Ça veut dire délit qui offre les vindes qui ont mal joué en affidavit. Seulement c'est mille roublions. C'est tout.
00:23:29Rochibane, on peut dire qu'il tombe dans l'autre clé de la loi, c'est qu'il y a une illegal practice. Mais dans la loi OPIAC, il n'y a pas, il n'y a aucune place qui, quand vous payez la moindre mille roublions, automatiquement il y a une illegal practice.
00:23:46Illegal practice, c'est ce qu'il décrit en bas de la loi, mais ce délit-là ne fait pas partie de l'illegal practice que l'on prescrit dans l'OPIAC.
00:23:59Et Rochibane, tu dis une chose aussi, quand tu mets ça en mille roublions, en 1948, en mille roublions, tu passes la guerre. Effectivement. C'est ça que Gavin Glover, le catégorique là, il dit qu'en affidavit, ça veut dire qu'on finit par admettre qu'on fait une omission.
00:24:16Et Lilly Jack, qui nous a arrêté sa hypocrisie, 150.000, 250.000, là, parce que tous les Mauriciens connaissent aujourd'hui 2025, il n'y a pas qu'elle a fait l'élection, 150.000 européennes, quand on dit qu'elle n'a pas fait l'élection.
00:24:31Mais pour nous éclairer plus, nous venons d'écrire, moi je peux demander à la régie si nous comprenons, écoute, Maitre Gavin Glover, senior counsel, qui nous a invités hier, il définit comment l'eau s'apolimique là.
00:24:45Le même, donc de dire que ça aussi ça a changé, ça aussi c'est pas vrai. Et ce qui a changé simplement, c'est une clarification sur comment s'opérera, comment va s'opérer l'extension du bail après 99 ans, si jamais il y a une demande d'extension.
00:25:02Et là, maintenant, c'est clair et net qu'il faudrait qu'il y ait le consentement des deux parties, des Britanniques et des Mauriciens, pour qu'il y ait une extension.
00:25:14Je n'ai pas dit qu'avant c'était unilatéral, mais disons que ce n'était pas clair, et on a clarifié la position.
00:25:22Ok. Là, as we speak, Maitre Gavin Glover.
00:25:26Disons que le dossier Chagos a été pour moi un dossier qui m'est tombé un peu sur la tête en début de décembre, et depuis j'ai passé beaucoup de temps en décembre et en janvier, jusqu'à l'heure, à m'occuper du dossier de Chagos.
00:25:40Vous savez, quand on a un dossier aussi brûlant d'actualité que ça, c'est qu'il demande l'attention de tout instant.
00:25:50Il n'y a pas qu'une seule chose qu'il est capable d'interpréter.
00:25:56Tout ce qu'il nous dit à Dan Morris, tout ce que le Premier ministre dit, le député du Premier ministre dit, moi je me dis qu'il n'y a pas une seule chose qu'il nous a dit, tout ce qu'il nous a dit.
00:26:07Il l'a traduit en anglais, et je t'avoue, sa langue l'était, je te fais un article là-dedans.
00:26:13Hier, le Premier ministre finit, et moi aussi là, moi aussi, dans le lancement du livre d'Olivier Bancourt.
00:26:20Olivier Bancourt, oui.
00:26:21Et il y avait là l'inversion des sons et que malheureusement, au niveau de la technique et tout ça, peut-être qu'il nous faudrait régler ça.
00:26:37Est-ce qu'on peut avoir le son de Gavin Glover sur les dépenses électorales ?
00:26:45La réglementation, à ce qu'il paraît, me connaît l'insistence technique.
00:26:53Nous pouvons passer les dépenses électorales, nous pouvons m'occuper après, nous pourrons retourner en studio, nous pourrons peut-être écouter mettre Gavin Glover.
00:27:047 sur 7, l'actualité et les événements de la semaine décortiqués.
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00:44:15accéder à un mute. Est-ce que c'est possible?
00:44:21Allô? Allô?
00:44:25Paul Vesducky. Quand même, il y a toute cette question sur les dépenses électorales et
00:44:31qu'il y a plusieurs sons de cloche. Là, les députés et ministres concernés évoquent
00:44:37une vice de procédure parce qu'ils veulent dire qu'ils ont subi des faits à Sotlafi
00:44:42David devant une magistrat mais ils l'ont fait devant un officier de la cour et qu'il
00:44:45n'est pas valable. Donc, Sotlafi David qui a fait là, il n'est pas valable et qui
00:44:50n'a pas qu'à prendre ça pour prendre action contre eux. Que pensez-vous là?
00:44:55Alors, c'est un moyen de rattrapage, c'est un argument. Maintenant, c'est à la commission
00:45:00électorale pour apprécier, est-ce qu'il est valable, il n'est pas valable, c'est
00:45:03un argument là. Pourquoi? Mais en tout état de cause, l'affaire ne va pas plus loin
00:45:08que ça. Pourquoi? Parce que là, il y a une infraction pénale en soi. Alors, une infraction
00:45:15pénale, il faudrait que la police fasse l'enquête. Si la police fait l'enquête,
00:45:19nous tous connaissons que la police, de manière générale, sous tous les régimes, est
00:45:23assez politisée. Donc, elle recevra des mots d'ordre, etc. du régime. La police
00:45:28n'est pas capable de faire l'enquête, elle fait l'enquête très vite. On le dit,
00:45:32on le dit, on le dit, on a beaucoup précédé de ça. Si jamais la police fait l'enquête,
00:45:37ils bouclent l'enquête, ils envoient le dossier au DPP, le DPP est toujours capable
00:45:42d'essayer de ne pas poursuivre l'affaire. Pourquoi? Parce que la loi n'est pas à jour
00:45:47du tout, le montant des dépenses n'est pas correspondant à la réalité. Donc, le
00:45:52DPP estime que la loi est en désuétude, il tombe en désuétude. C'est la loi qu'il
00:45:58fait auparavant mais qu'il n'est plus capable d'appliquer aujourd'hui par rapport
00:46:01au contexte actuel. Ou bien le DPP est capable d'estimer que la loi n'est pas
00:46:06constitutionnelle. Parce que n'oublie pas en la matière, un candidat indépendant
00:46:11est capable de dépenser plus qu'un candidat d'un parti ou d'une démocratie,
00:46:16qu'un candidat supposé à égalité. Donc là, il y a une rupture d'égalité.
00:46:21Il y a des raisons, en tout cas, que le DPP est capable de trouver qu'il n'est pas
00:46:24bien capable de poursuivre cette affaire-là. Et si jamais il est possible, il faudrait
00:46:27qu'un juge constate l'infraction, qu'il condamne les personnes poursuivies devant
00:46:34elle. Donc c'est un très long chemin, finalement. Et je ne crois pas, en réalité,
00:46:39que l'affaire l'a fait pour aboutir d'une manière ou d'une autre. Il y a une
00:46:45autre possibilité, c'est de faire une demande à la Cour suprême, pour demander
00:46:49une exemption, pour demander que la Cour constate l'erreur qu'ils n'étaient pas
00:46:55capables de commettre. Et je ne crois pas qu'il faut faire ça.
00:47:00D'accord. Est-ce que, Oufine, écoute le point de vue de Rochibada sur la question
00:47:05pour lui dire que le délit a été commis. Est-ce que c'est un délit de fait?
00:47:12Oui. Alors, c'est le point de vue d'une personne. Mais pour un délit en matière
00:47:20pénale, il faudrait qu'un juge constate l'erreur, pas une personne. Donc, Bizarre
00:47:26devant Bizarre passe la phase enquête de police, la phase dits-pipi, la phase un
00:47:31jugement par le tribunal ou la Cour, et la phase un jugement définitif aussi. Parce
00:47:37qu'un député n'est pas capable de faire appel, donc en la matière, je suppose,
00:47:41nous parlons même jusqu'au Conseil privé du Roi à Londres. Donc, il y a beaucoup
00:47:46d'étapes avant. Il n'est pas capable d'avoir une opinion pour dire oui, c'est
00:47:49un délit. Mais tant que les parfums ne constataient définitivement pas un juge,
00:47:54la question reste en suspens.
00:47:58Mme Paul Vescovici, merci beaucoup pour toutes ces précisions. Je crois que c'est
00:48:02clair sur l'explication. Et là, je me demande peut-être à la régie qui nous
00:48:07retourne sur le dossier Chagos, est-ce que c'est possible? Est-ce que nous sommes
00:48:12capables d'écouter l'entretien réalisé un peu plus tôt avec Lindsay Collins sur
00:48:17le dossier Chagos? Et puis, cette pratique britannique qui passe de mauvaises
00:48:25informations autour de ce dossier.
00:48:28Lindsay Collins, bon après-midi.
00:48:29Bon après-midi, Jimmy.
00:48:30Il y a toujours le débat entourant le dossier Chagos qui peut continuer demain
00:48:34de l'actualité. Et il y a sur Top FM, la tournée générale finit par dire que les
00:48:39journalistes du Télégraphe finissent hors contexte les propos du premier ministre
00:48:43pour faire croire qu'il est avec l'Américain alors que les discussions sont entre les
00:48:47Anglais et la partie mauricienne. Comment vous pouvez régler toute cette campagne de
00:48:51désinformation qui vient d'émerger au niveau du Royaume-Uni autour de ce dossier-là?
00:48:55On connaît que dans la Grande-Bretagne, il y a eu un grand problème depuis le
00:49:00commencement de l'acquisition d'ICTJ. Cela veut dire qu'il n'y a pas eu d'affaires
00:49:05ces temps-ci. On dirait que la Grande-Bretagne l'a retrouvée dans l'illégalité dans
00:49:11l'accès international à l'ICTJ qui, en fait, la Grande-Bretagne, l'Amérique,
00:49:15tout cela a débuté. Vous êtes même d'accord avec le système judiciaire international,
00:49:21avec l'architecture pour les relations internationales qui a débuté après la
00:49:25Deuxième Guerre mondiale. Alors, quand finalement, ça s'est terminé et qu'il y a eu un
00:49:30accablement net, pourquoi vous ne pouvez pas y aller? Et il y a eu ça côté légal,
00:49:35côté politique, comme je l'ai dit il y a un an et demi dans l'Assemblée générale
00:49:40Grande-Bretagne et l'États-Unis, ils se trouvent juste avec le soutien d'Israël,
00:49:45d'Australie et de la Hongrie. Parce qu'ils m'ont dit que si tu votais eux aussi,
00:49:49ils allaient réussir ce vote. Cela veut dire une isolation, on n'a jamais vu ça.
00:49:53Alors, là-là, il y a un besoin, comment dire, sauf un petit peu, qu'ils aient pu faire
00:49:58pour créer une apparence, une légalité. Il y a un besoin un peu, même si c'est
00:50:04l'advisory, cela veut dire qu'il y a un conseil qui s'est accordé, mais c'est un
00:50:08conseil presque unanime, et il le demande l'Assemblée générale des Nations Unies.
00:50:14Alors, il est bien, bien faux, ce conseil-là, comment dire, très beau, bien dingue.
00:50:20Et là-là, ce qui est arrivé, c'est que dans la Cour concernant le droit de la
00:50:24maison, ils ont confirmé cet avisement-là. Et ça, c'est bien dingue. Et là-là,
00:50:28toutes les instances des Nations Unies, qui font le MAP, le Atlas,
00:50:34l'Universal Postal Union, tout un thème, ça aussi, c'est illégal.
00:50:40Et ça, c'est grave quand un jour, dans la Cour britannique, il y a un besoin de dire
00:50:46quelque chose concernant les réfugiés qui sont emprisonnés illégalement, pour l'État
00:50:52britannique, quand ils ont fait une naufrage, ou ils étaient en difficulté dans la mer,
00:50:56dans le Sri Lanka. Dans le Sri Lanka, oui. Il y a un droit qui est saisi,
00:51:00et il n'y a pas de droit là-bas. Vous savez, c'est dans une situation d'illégalité
00:51:04extrême. Et là-là, c'est dans ce cadre-là que le gouvernement conservateur,
00:51:10qui commence avec la Cour des Etats-Unis, vient avec Maurice. Pour Maurice, il
00:51:17réunit les affaires bilatérales. Et là-là, malheureusement, le gouvernement
00:51:21avant, le gouvernement Pravin Jagnath, il finit sans ce document-là, qui fait
00:51:27l'événement bilatéral. Mais c'est le nouveau gouvernement qui a saisi l'occasion
00:51:32pour prendre l'initiative de renégocier. Et il a renégocié la base dans son premier
00:51:42document qu'il a signé avec Pravin Jagnath. La Grande-Bretagne finit par accepter
00:51:48sa souveraineté mauricienne. Elle a oublié d'accepter parce qu'internationalement,
00:51:52les AK blancs, ils ont oublié d'accepter. Mais ce qui est arrivé, c'est qu'il y a
00:51:56des informations. Il y a l'extrême-droite assez faux dans la Grande-Bretagne. Il y
00:52:02en a de la moitié, hein. Un, c'est Sabog Nigel Farage, l'extrême-droite borderline
00:52:07fasciste. Et l'autre, c'est un bon député, l'extrême-droite colonialiste, qui est
00:52:13encore resté dans la Grande-Bretagne. Quand on écoute ça dans le Parlement, on
00:52:16n'arrive pas à rire. Il paraît que ça fait un drame qu'il y a 150 ans d'ici là.
00:52:21Ça veut dire qu'il y a l'Empire britannique qu'ils ont protégé. Mais la Gazette
00:52:26Comma The Telegraph, qui est impliquée par Gavin Glover, et que j'ai bien tracassé
00:52:31parce que moi aussi, avec beaucoup de réflexion, j'ai décidé de lui donner une interview.
00:52:35J'ai donné une interview à N.R.T. en fait. Alors, je ne sais pas ce qu'ils ont
00:52:40dit, mais la Gazette Comma Telegraph, qui est encore restée dans la Grande-Bretagne,
00:52:46a fait une campagne ridicule, comme si la Chine avait presque contrôlé Maurice, pour
00:52:53empêcher l'arrangement-là. On dirait que pour eux, la Grande-Bretagne est encore un
00:52:59endroit colonial, le Chagos. Ils ont parlé d'un traité, tandis que tout le monde qui
00:53:05est éclairé, moi je crois qu'il y a une vaste majorité, ont fini par perdre l'eau
00:53:10là. Ils ont perdu toute la coutte, tout l'essence internationale. Ainsi, il y a un
00:53:15traité qui est obligé d'imposer l'eau à Maurice. Nous, dans la lutte, on peut dire
00:53:19que ce traité-là, ce commencement-là, qui est l'Amérique et la Grande-Bretagne,
00:53:24ça peut dire qu'il y a une base conjointe. C'est un nouveau causé depuis un débat
00:53:28il y a une année. Mais ça, des pays-là, je dois réparation à Chagos, à travers
00:53:35un fonds que le gouvernement Maurice peut insérer ensemble avec Chagos, et je dois
00:53:39réparation à l'État mauricien, parce qu'il n'est pas capable de servir la terre
00:53:44de la mer autour de Chagos depuis 68 minimums jusqu'à aujourd'hui. Plus je dois
00:53:50horaires pour l'occasion, depuis 68 jusqu'à aujourd'hui. Et là, ce qu'on a négocié,
00:53:56c'est qu'il y a une base là-bas, et dans nos constitutions, nous ne pouvons pas dire
00:54:02que nous sommes souverains et démocratiques, ça veut dire qu'on doit contrôler tous
00:54:06nos territoires pour qu'il y ait une base. Il faut aussi dire qu'on ne peut pas dire
00:54:10qu'il n'y a aucune base militaire. Alors, nous, nous avons besoin de comptes offensifs
00:54:15parce que c'est l'Empire américain qui va nous trouver à cette terre-là. Alors,
00:54:19tout d'un coup, il y a un empire qui peut grêner. Quand l'empire commence à grêner,
00:54:24il devient violent et il devient dangereux. Et la dernière chose qu'un pays indépendant
00:54:28comme Maurice voulait, c'est d'attacher-nous dans un traité avec un empire qui peut tomber.
00:54:34Lindsey Cullen, merci beaucoup pour cette déclaration.
00:54:37OK, bonjour.
00:54:39Voilà, Lindsey Cullen qui... Il y a même un doute là, l'intention d'un télégraphe
00:54:44d'autres qui lui a donné une interview, lui-même, il avait connu qu'il poussait aussi
00:54:47dedans, et qu'également, nous connaissons les autres journaux comme The Mirror en Angleterre
00:54:51qui permettent un sale rôle au niveau des affaires des chagosses-là.
00:54:56Nous poussons le temps en faisant défense, nous passons le dossier. Donc, il y a la demande
00:55:00d'une commission d'enquête sur l'ABI, Jasmine, pour Salim Mouti, mais également aussi Lincoln
00:55:05et NFPL aujourd'hui. Nos copains écoutent librement. Est-ce que nous avons Salim Mouti
00:55:12déjà au téléphone ?
00:55:15Nous avons Salim Mouti ?
00:55:17Oui, est-ce que...
00:55:20Nos copains écoutent Salim Mouti, qui est effectivement, parce que...
00:55:25BI.
00:55:26BI.
00:55:27Et NF...
00:55:28NPFL.
00:55:29NPFL.
00:55:30NPFL.
00:55:31NPFL.
00:55:32NPFL.
00:55:33NPFL.
00:55:34NPFL.
00:55:35NPFL.
00:55:36NPFL.
00:55:37NPFL.
00:55:38NPFL.
00:55:39NPFL.
00:55:40NPFL.
00:55:41NPFL.
00:55:42NPFL.
00:55:43NPFL.
00:55:44NPFL.
00:55:45Et donc, nous avons maintenant monté au créneau pour réclamer une commission d'enquête,
00:55:48comme le collègue Jasmine a ça capable de dire, l'ABI et que l'NPFL, qui finit par
00:55:55nous apprendre sa décision.
00:55:58Merci, Jimmy, de m'avoir donné l'occasion pour pouvoir répondre aux bonnes questions.
00:56:03Et d'ailleurs, je vous remercie personnellement, et mon camarade Jasmine ici, merci.
00:56:10OK.
00:56:11Et le fait qu'on demande une commission d'enquête, c'est qu'il y a depuis longtemps
00:56:16qu'on peut demander.
00:56:17Et pas juste pour tout le monde, c'est la population qui peut demander.
00:56:20Nous avons envie de connaître la vérité.
00:56:23Nous avons envie de connaître qui c'est, là, qui prend la décision, qui a saisi le
00:56:292ème du matin pour craser l'ex-BI.
00:56:33Nous avons envie de connaître, dans ce qui est de l'ex-BI, qu'est-ce qu'il y a de faux
00:56:39dans l'ex-BI, qu'est-ce qu'il y a d'autres phénomènes aujourd'hui pour dire que l'ex-BI
00:56:45peut faire pour nous.
00:56:48Nous avons envie de connaître, qu'est-ce qu'il y a d'autres managers, d'autres CEOs,
00:56:54d'autres chiffres, d'autres zones, d'autres choses qui sont fausses.
00:56:59Nous avons envie de connaître, d'ailleurs, qui c'est, là, qui a pris son coup comme coupable.
00:57:07Qui c'est, là, qui a pris son coup pour poursuivre.
00:57:11Mais toutes ces questions-là, tu peux venir dans une commission d'enquête quand la population
00:57:16n'est pas au courant.
00:57:18Parce qu'il y a une bonne décision pour craser l'ex-BI.
00:57:21C'est qu'il y a un séquel dans l'économie.
00:57:24En même temps, une des graines d'un client d'ex-BI, c'est vraiment l'asset management.
00:57:32C'est un client azotique qui porte ce chapeau-là.
00:57:35Et que tout le monde, tu peux venir, je te l'enjoins, à la fin du mois,
00:57:40carré-carré, comme on dit.
00:57:43Fermer un client d'ex-BI dans un bureau qui,
00:57:48nous, tu peux venir, nous cassons l'ex-CBG à la fin du mois.
00:57:52Même pas de bon asset management.
00:57:56Et de ce fait, c'est qu'il n'y a pas autant, je vous dis, qui nous connaissent la vérité.
00:58:03Je vous dis, M. Dautraouat-Maurice, nous aimons le nouveau gouvernement
00:58:09qui donne trois quarts aux majorités du Parlement.
00:58:12Et beaucoup de campagnes ont fait l'affaire BI,
00:58:16ont fait une critique de l'ancien gouvernement.
00:58:18Et ils ont dit, ce qu'ils nous demandent, ce gouvernement-là,
00:58:21nous demandent des ministres, conseil des ministres surtout,
00:58:24à saisir et réfléchir là-dedans, mettre ça comme chose d'enquête là,
00:58:28nous trouverons les coupables.
00:58:31Nous devons connaître les bons assets de l'ex-BI,
00:58:36comment ils sont capables de vendre pour 10 pays, 10 pays.
00:58:40Nous devons connaître Britannique,
00:58:42comme chose d'enquête, les Britanniques,
00:58:44les Britanniques valent 4,2 milliards, ils vendent ça pour 2,4 milliards.
00:58:49Et je vous dis, quand vous êtes Britannique,
00:58:51ce chèque qui vient d'arriver,
00:58:54vous vous trouvez que les Britanniques ont une bonne prévision,
00:58:57ils ont une prévision pour faire des profits énormes.
00:59:00Je vous dis, nous ne pouvons pas bénéficier de ces profits-là.
00:59:06Est-ce que vous finirez par avoir des lettres à votre autorité,
00:59:08pour soutenir vos demandes?
00:59:10Bon, définitivement, ça c'est maintenant,
00:59:13parce que le Premier ministre va mourir,
00:59:15définitivement, ça c'est maintenant en main propre,
00:59:17moi-même, je vais déposer une lettre.
00:59:19D'accord.
00:59:20Ok, je vais déposer une lettre,
00:59:22et en même temps, je demande aux ministres des services financiers
00:59:26qui s'occupent de ce dossier-là,
00:59:29et pas lié, mais qui tourne sur les ministres des services financiers
00:59:33et les CBI.
00:59:35D'accord.
00:59:36Certainement, nous pourrions avoir l'occasion de vous retrouver,
00:59:38parce que le temps fait défaut, ça les motive.
00:59:40Merci quand même pour cette intervention,
00:59:42et que nous pourrions avoir l'occasion de vous retrouver
00:59:44pour un débat en profondeur sur toute la question,
00:59:47avec peut-être plusieurs autres protagonistes
00:59:53qui pourront intervenir.
00:59:55Jasmine, merci pour toutes vos contributions dans l'émission,
00:59:59avec un gros défi technique aussi pour vous gérer,
01:00:03mais quand même, merci,
01:00:05et bien sûr, nous pourrions être aux autres.
01:00:07Une petite précision avant de nous terminer,
01:00:09peut-être par rapport à ce que Sarlene Moutine a dit,
01:00:11peut-être juste pour l'information de Sarlene Moutine,
01:00:14hier, Gavin Glover a fait une annonce
01:00:16qui est le Commission of Inquiry Act,
01:00:19Poussanzé pourrait voir pour une Public Inquiries Act.
01:00:22D'accord.
01:00:23Donc, si nous tu conseilles, Sarlene Moutine,
01:00:25peut-être que tu pourras l'attendre,
01:00:27parce que, comme Gavin Glover l'a dit,
01:00:30le Public Inquiries Act,
01:00:32pour venir avec une clause précise,
01:00:35pour venir dire quand...
01:00:36C'est tout pour qu'il y ait une suite des actions.
01:00:38Des actions, qu'à finir, d'un rapport, findings,
01:00:41qui arrivera, qui pourrait faire.
01:00:42Les paroles de l'au milieu, tu vois comment tout,
01:00:43comme je l'ai enregistré.
01:00:44Comme tu l'as enregistré, juste.
01:00:45C'est ça, c'est la petite précision que j'ai enregistrée.
01:00:46D'accord, voilà.
01:00:47Merci, Jasmine, pour toutes ces précisions,
01:00:49très, très importantes quand même,
01:00:51et que moi, moi, je te retrouve demain matin,
01:00:53entre 9h et 10h,
01:00:54pour les trois mois du gouvernement,
01:00:56et que Jasmine,
01:00:57où est-ce qu'elle se trouve maintenant ?
01:00:59Jeudi prochain.
01:01:00Jeudi prochain, bien sûr.
01:01:01Voilà.
01:01:02Merci à toute l'équipe,
01:01:04et merci de rester avec nous.
01:01:06La suite, c'est après la pause pub.

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