• il y a 8 heures
Trois hommes ont été libérés ce samedi 15 février par le Hamas, dans le cadre de la première phase de l'accord signé avec Israël mi-janvier. Des libérations qui ont été un temps reportées "jusqu'à nouvel ordre" par le Hamas, "en attendant que l'occupation (Israël, NDLR) s'acquitte de ses obligations".

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Transcription
00:00Oui, absolument. Ça y est, ils ont traversé la bande de Gaza depuis Ranyounès, là où ils ont été libérés par le Hamas et le djihad islamique.
00:09Et là, ils sont actuellement sur la base militaire de Raïm, qui est en bordure de la bande de Gaza.
00:15Ils ont été pris en charge par du personnel de santé pour des premiers examens médicaux.
00:19Et on découvre sur cette place des otages à Tel Aviv, sur écran géant, des photos,
00:24des photos prises par l'armée israélienne de ces otages libérés et qui, semble-t-il, sont évidemment soulagés de cette libération.
00:34On peut le lire sur leur visage. Alors la grande satisfaction ce matin, c'est qu'ils sont apparus en meilleure santé
00:40que les trois otages de la semaine dernière, qui, eux, étaient clairement très affaiblis, très amégris
00:47par ces près de 500 jours de captivité dans la bande de Gaza.
00:50Ceux-là même ont l'air d'être en meilleure santé, sauf celui de 46 ans, un israélo argentin qui est diabétique.
00:57Et lui est apparu un peu plus amégris qu'avant qu'il soit pris en otage le 7 octobre.
01:03Les deux autres retrouvent petit à petit leur famille, notamment Sagi, un israélo américain de 36 ans,
01:09qui avait mis à l'abri sa femme et ses deux filles. Sa femme était enceinte à ce moment-là.
01:13Elle a accouché depuis. Il va donc découvrir son troisième enfant dans les prochaines heures.
01:19Rappelons tout de même qu'il y a toujours 73 otages israéliens toujours dans la bande de Gaza.
01:25Une trentaine seraient officiellement mortes.
01:27La grande question, c'est les nouvelles concernant l'otage franco-israélien Ohad Yahalomi.
01:34Et évidemment, la maman et les deux enfants Bibas, on ne sait toujours pas si ces otages sont toujours vivants au moment où l'on se parle.

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