Le groupe communiste du Sénat a inscrit dans sa niche parlementaire une proposition de résolution qui enjoint le gouvernement à transcrire la directive européenne régulant l'activité des travailleurs des plateformes.
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00:00Des réticences, en tout cas, c'est sûr que les différents gouvernements, et je pense notamment à Desredoux Blanc, je pense à Mme Borne par exemple, qui a été première ministre, qui a été ministre du Travail, qui est maintenant ministre de l'Éducation nationale, on voit bien qu'il y a une grande polyvalence de sa part.
00:16À l'époque, elle a créé l'ARP, qui était soi-disant une instance de dialogue. La première élection qui s'est tenue l'année dernière, la première représentation par exemple des livreurs VTC qui ont été dans ce rendez-vous de représentation professionnelle, dans leur profession de foi, c'était la disparition de ce lieu.
00:40Mais je vais vous dire, pour prendre une petite boutade, je le dirai demain, cette instance de dialogue, elle a fait des avancées considérables, puisqu'il y a un moment, elle a obtenu 10 centimes de plus pour les livreurs de chez Uber. C'est la limite de l'insolence. L'insolence.
00:56L'autre fois, j'étais dans une dark kitchen à Ivry, où il y avait des jeunes qui livraient. Ils partaient d'Ivry pour aller à Bagnolet, on était à 5h30 la course. 5h30. Vous voyez, donc il y a un moment donné, voilà, c'est cette instance de dialogue qui ne fonctionne pas, puisqu'on n'arrive pas à déterminer les conditions de travail, il n'y a aucune transparence.
01:18Et la participation a été très faible de fait, puisque ceux qui travaillent, ceux qui ont cette activité dans les plateformes numériques de travail, n'ont pas de contrat de travail. Il n'y a pas de normes, il n'y a pas de règles. Donc comme on voulait qu'on fasse de la citoyenneté sociale, on a l'absence de règles.
01:38Donc je ne sais pas s'il y aura des freins. Ce que je sais, c'est que pour l'instant, en tout cas du point de vue du ministre du Travail, du point de vue du Premier ministre, du point de vue particulièrement du Président de la République, qui avait été quand même pointé du doigt dans UberFace, on ne peut pas dire qu'il y a une intention d'accélérer le processus.
01:54On ne peut pas dire qu'il faut l'intelligence artificielle, la French Tech, etc. qui est à la pointe du modernisme et des aspects les plus contemporains des enjeux d'aujourd'hui, et puis être rétrograde en étant toujours sur des centaines de milliers de gens qui travaillent dans notre pays, sans contrat de travail, sans législation du droit du travail. C'est nos valeurs et c'est nos principes républicains.