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00:00L'autre il m'a... On n'a pas des extraits de Macron d'hier là ?
00:02On en a ou pas ? Parce que c'était incroyable !
00:0415 millions ! Sans compter les jeunes...
00:05Non mais excusez-moi, vous vous foutez de ma gueule ?
00:08Euh...
00:09Quoi ?
00:09Non mais j'ai l'impression que c'est la régie de la chaîne
00:13qui a été transférée en radio.
00:14Ils viennent de me dire, on n'a pas des extraits mais on t'a mis des verbatims.
00:17Ah !
00:17Non mais les mecs, comment vous savez que vous n'avez pas pris des extraits d'Emmanuel Macron d'hier ?
00:22Moi vous allez m'entendre, en tout cas ils me disent qu'on ne voulait pas l'entendre.
00:25Bah moi vous allez m'entendre moi !
00:26Mais ils sont incroyables, William, franchement ça ne te ressemble pas.
00:29Bon, donc Emmanuel Macron.
00:31Bon, hier.
00:32Donc ils sont où les verbatims ? Ils sont où ?
00:34Ah les verbatims, ah voilà.
00:36Ils sont là.
00:36Verbatim, ça veut dire ce qu'il a dit.
00:38Il vient du verbe, verbatus, verbatare.
00:42Bah bien sûr, alors...
00:43Verbatum.
00:43Bon, verbatum, verbatiras.
00:46Alors il dit,
00:47notre sécurité et notre prospérité sont devenues incertaines,
00:49il faut bien le dire, nous rentrons dans une nouvelle ère.
00:50Bon, je vais vous expliquer en fait ce qu'a fait Emmanuel Macron,
00:52parce que moi j'ai des infos de l'intérieur.
00:54Euh...
00:56La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
00:57Ça part d'où qu'on est ensemble ?
00:58Mais on est quand même ensemble !
01:00Euh...
01:00Je vous explique.
01:01Emmanuel Macron, il sait qu'un accord de paix va être signé très prochainement.
01:04Donc il se dit, les mecs,
01:05c'est comme quand t'es à une boum
01:08et que personne veut danser avec toi au quart d'heure américain.
01:10Tu dis, tu sais quoi ?
01:12Je vais saboter la boum.
01:13Je vais arrêter,
01:14je vais enlever tous les slow.
01:16Bon bah c'est pareil, il s'est dit,
01:17il y a un accord de paix qui va être signé bientôt.
01:19Euh...
01:19Je vous le dis, là c'est même pas la peine de...
01:21Je vous le dis, voilà.
01:22Non mais attendez.
01:24Là-dessus je suis pas du tout...
01:25Non mais je ne vous ai pas demandé votre avis.
01:26Merci.
01:26Je vais demander l'avis à vos auditeurs.
01:270180 39 21.
01:290180 39 21 sur Europe 1, vous nous appelez.
01:32Vous pouvez aller faire un tour.
01:33Euh...
01:34Allez voir si je ne suis pas sur notre radio.
01:36Merci.
01:37Les auditeurs, 0180 39 21.
01:39On est là pour regarder.
01:40Très bien, ça le fait rire.
01:41Ah bah oui, ça commence bien.
01:43C'est clair.
01:44Il est 16h08.
01:47Ça va être long, ça va être long.
01:51Eh, Maléry.
01:52Ça va être long.
01:53Benaïm, c'est marrant.
01:54C'est pas parce que maintenant vous entendez un ton soif
01:55que c'est ce qu'il se passe.
01:56Je vous l'avais dit.
01:57Merci.
02:00Allez.
02:01J'ai envie d'avoir des auditeurs là-dessus.
02:03Donc qu'est-ce qu'il s'est dit ?
02:04Qu'est-ce qu'il s'est dit ?
02:05Il s'est dit quoi ?
02:06Il s'est dit, je veux en être.
02:07Il s'est dit, il faut que je fasse un coup d'éclat.
02:09Il faut que je dise, attention,
02:10on va faire la paix, mais pas à n'importe quel prix.
02:11Donc c'est moi qui vais être...
02:12Après comme ça, je pourrais dire, vous avez vu,
02:14l'accord de paix,
02:15c'est moi au dernier moment,
02:16j'ai dit, stop, attention,
02:17c'est pas cet accord de paix-là qu'on va signer,
02:18c'est un autre.
02:19Mais ce qu'il a oublié,
02:20c'est qu'hier,
02:21c'est vrai qu'il y a 15 millions de Français qui l'ont regardé.
02:2315 millions de Français qui ont dû se réveiller aujourd'hui
02:25en se disant,
02:26on est bien dans la panade.
02:27Mais ils doivent se dire,
02:29mais qu'est-ce qu'il raconte ce mec-là ?
02:30Et ces 15 millions de Français aujourd'hui,
02:33non, non, je vous le dis,
02:34beaucoup de Français,
02:35ben j'ai envie d'en avoir des auditeurs.
02:360 à 82, 39, 21.
02:38Dites-nous ce que vous avez pensé de ce qu'il a dit hier.
02:40Le président qui a essayé de nous...
02:42Moi, je vous le dis,
02:43ça, c'est une technique imparable,
02:44c'est ce que tout le monde fait.
02:45Quand on sait qu'on ne peut plus rien faire dans le pays,
02:47on essaie d'agir à l'international.
02:48Comme il sait qu'il n'a deux ans à rien faire,
02:50il s'est dit, tiens,
02:51j'ai trouvé un os à ronger,
02:52c'est cette paix avec l'Ukraine,
02:53cette paix entre l'Ukraine et la Russie,
02:55donc il s'est dit,
02:56je vais faire peur à tout le monde
02:57et je vais essayer d'apparaître pour les Français
02:59comme le sauveur de l'humanité,
03:02comme le sauveur de l'Europe,
03:03le sauveur de la France.
03:04Voilà.
03:05Donc je suis le maître de guerre,
03:06bon, voilà,
03:07donc il a dit,
03:08voilà,
03:09donc il a fait peur à tout le monde,
03:10mais ce qu'il ne sait pas,
03:11Emmanuel Macron,
03:12c'est que,
03:13mais il ne nous compte pas du tout.
03:14Je croyais que Donald Trump,
03:15ce matin,
03:16il a dit,
03:17Emmanuel Macron a parlé hier soir,
03:18il a parlé hier soir,
03:19mais il n'en a rien à carrer.
03:20Je croyais que vraiment,
03:21Vladimir Poutine
03:22a dit ce matin,
03:23Emmanuel Macron a parlé,
03:24il n'en a rien à carrer.
03:25Les Russes ont réagi.
03:26Ah oui,
03:27la France a réagi.
03:28Oui, les Russes,
03:29voilà,
03:30ça ne fait qu'énerver tout le monde.
03:31On va en parler dans un instant,
03:32je veux des auditeurs en ligne,
03:330180 20 39 21.
03:34Cet échange était intéressant.
03:35Merci.
03:36Merci d'être avec nous,
03:37je vais échanger avec les auditeurs.
03:38Je veux des auditeurs qui échangent
03:39avec nous,
03:40avec moi là-dessus,
03:41avec nous,
03:42avec moi,
03:43à tout de suite sur Europe 1.
03:44Europe 1,
03:4516h,
03:4618h.
03:47On marche sur la tête,
03:48Cyril Hanouna.
03:49J'adore cette musique,
03:50c'est la musique d'On marche sur la tête,
03:52sur Europe 1.
03:53Merci à vous d'être là,
03:54bon, on rigole beaucoup aujourd'hui,
03:55vous l'avez vu,
03:56on est très agité.
03:57Toute l'équipe est heureuse
03:58de se retrouver,
03:590180 20 39 21.
04:00On a eu un bon débat.
04:01Oui, c'était intéressant.
04:02C'était intéressant.
04:03On a déjà échangé.
04:04J'ai déjà échangé.
04:05Les points de vue,
04:06on peut évoluer.
04:07S'il vous plaît,
04:08s'il vous plaît,
04:09s'il vous plaît,
04:10s'il vous plaît.
04:11On a Emmanuel Macron,
04:12on va réécouter un son
04:13d'Emmanuel Macron,
04:14je ne sais pas ce que c'est,
04:15je crois que c'est,
04:16j'ai quoi,
04:17c'est,
04:18I've got a feeling ?
04:19Si vous regardez,
04:20c'est Emmanuel Macron,
04:21c'est Emmanuel Macron,
04:22C'est à l'égard.
04:23I've got a feeling ?
04:24Si vous regardez,
04:25c'est Emmanuel Macron
04:26et les blanquettes pièges
04:27sur Europe 1.
04:28C'est parti.
04:29La Russie du Président Poutine
04:31viole nos frontières
04:32pour assassiner des opposants,
04:34manipule les élections
04:35en Roumanie,
04:36en Moldavie.
04:37Elle organise des attaques
04:38numériques contre nos hôpitaux
04:39pour en bloquer le fonctionnement.
04:40La Russie tente
04:41de manipuler nos opinions
04:42avec des mensonges
04:43diffusés sur les réseaux sociaux
04:44et au fond,
04:45elle teste nos limites.
04:46Elle le fait dans les airs,
04:47en mer,
04:48dans l'espace
04:49et derrière nos écrans.
04:50Cette agression
04:52L'agressivité ne semble pas connaître de frontières. Qui peut donc croire, dans ce contexte, que la Russie d'aujourd'hui s'arrêtera à l'Ukraine ?
05:00La Russie est devenue, au moment où je vous parle, et pour les années à venir, une menace pour la France et pour l'Europe.
05:06Insupportable. Merci.
05:08Ah, cet échange est magnifique. On va assister à un échange entre vous et Pascal Praud qui est sublime.
05:15Je l'aime. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? J'aime cet homme.
05:17L'échange entre Cyril Hanouna et Pascal Praud sur le degré de démocratie possible.
05:22Dans les émissions. C'est formidable.
05:24C'est-à-dire qu'on n'a même pas tenté d'essayer la moindre contradiction.
05:28Vous voulez que je vous dise ? Je n'ose même pas le regarder.
05:32Calmez-vous. 0 à 80, 29, 21.
05:38Allez, on va parler. Il y a Anne-Marie qui est avec nous du Val-de-Marne. Je vais parler aux auditeurs.
05:42Voilà, je n'ai pas envie de vous parler. J'ai envie de parler qu'aux auditeurs aujourd'hui. Merci.
05:46Anne-Marie est avec nous du Val-de-Marne. Je veux parler qu'aux auditeurs. Merci.
05:48Anne-Marie, merci d'être là. Merci d'être avec nous sur Europe 1.
05:52Oui, bonjour.
05:53Bonjour, Anne-Marie. Merci d'être là.
05:55Anne-Marie, je n'en peux plus de cette équipe-là qui me...
05:59Ah, mais elle est extra, votre belle équipe.
06:01Je vous lis. Ils me roulent dans la boue.
06:05Mais non, mais non, ils vous adorent.
06:07Bon, alors. Moi, je voulais vous dire par rapport à Macron...
06:13Je ne peux pas parler.
06:15Non, mais allez-y. On peut l'écouter.
06:16Mais non, ils sont là en train de rigoler.
06:18Ils sont dissipés.
06:19Mais c'est bien.
06:20Ils sont dissipés, aujourd'hui, Anne-Marie.
06:21Ah, ils sont dissipés. Ils ont raison.
06:23Dites-moi, toi, Anne-Marie.
06:24Ah, mais tu viens de rigoler.
06:25Ah, bah oui.
06:26Bon, alors, on va parler, là, de ce pleutre de Macron.
06:30Ah, ça démarre bien. Je n'aime pas cet air.
06:32Je trouve qu'il est vraiment tout à fait dans son rôle.
06:37Alors, comme on a un problème avec l'Algérie,
06:40et bien, hop, on va dévier vers l'Ukraine.
06:43C'est tellement mieux qu'on va mettre un pays en guerre.
06:46Bien sûr.
06:48Bon, il n'y aura qu'une seule chose de bien.
06:50C'est que tous ceux qui sont soi-disant français,
06:52ils vont tous foutre le camp dans leur pays d'origine.
06:54On aura de la place.
06:55Ça, c'est sûr.
06:56Je voudrais vous dire que, bon,
06:59je ne l'ai pas regardé parce que je savais ce qu'il allait dire.
07:02Bon, ce matin, moi, parce que je suis très branché 16 et 26,
07:07d'autre part, comme ça, je sais à peu près, d'un côté comme de l'autre,
07:12et d'autre part, moi, je vous verrai bien,
07:15très honnêtement, comme ministre,
07:18un bon portefeuille de ministre des économies.
07:21Ah bah oui, ça, c'est sûr.
07:22Ah bah oui, c'est ça.
07:24C'est ça, savoir manager.
07:25Bien sûr.
07:26Je vais vous dire, Anne-Marie, hier,
07:29j'ai lu ce qu'a dit Emmanuel Macron.
07:31Je n'ai pas regardé, j'étais à l'antenne en face.
07:33Bah oui, je sais que vous regardez.
07:34Merci, Anne-Marie.
07:35Franchement, je n'ai pas regardé.
07:36Je vous dis la vérité, je n'ai pas regardé
07:37parce que je savais exactement ce qu'il allait dire.
07:39C'était cousu de fil blanc.
07:41Bien sûr.
07:43C'est une technique que tous les hommes politiques ont fait.
07:46Quand ils n'ont plus aucun pouvoir dans leur pays,
07:48quand ils sentent qu'ils n'ont plus aucune marge de manœuvre,
07:51ils essaient de faire peur.
07:53Ils essaient de dire, tiens, attention,
07:54je suis quand même le chef des armées,
07:56attention, la situation est catastrophique.
07:58Mais il n'est rien, il n'est rien ce type.
08:03Il n'a pas, comme on dit, de colonne vertébrale.
08:05Un jour, il vous dit blanc.
08:07Le lendemain, il vous dit gris.
08:09Après, il vous dit noir.
08:11Mais ce n'est rien ce type, ce n'est rien.
08:13Non, mais Anne-Marie, au-delà de moi aussi.
08:15On est gouverné par ce type.
08:17Vous vous rendez compte ?
08:18Il va nous amener à la guerre, ce con.
08:20Je vous dis, vous voulez que je vous dise ?
08:23Je vais dire un truc.
08:25Je pense à un truc.
08:27Je le dis sur l'antenne d'Europe 1.
08:29Je me demande s'il ne cherche pas à créer le chaos,
08:31Emmanuel Macron, parce qu'il ne lui reste plus que deux ans,
08:33et se dire peut-être qu'en période de guerre,
08:35un président peut rester.
08:37Moi, j'imagine tout, vous savez, j'imagine tout.
08:41J'imagine tout, moi, vous savez, Anne-Marie.
08:43Absolument.
08:44Mais qu'est-ce qu'on en sait ?
08:45Fabien, on est d'accord ?
08:46Vous n'êtes pas loin de la vérité, je pense.
08:48Merci, Fabien.
08:49Fabien, vous allez beaucoup parler.
08:52Restez là, n'allez pas dans les couloirs.
08:56Parce que je rappelle que si...
08:57C'est une stratégie, tout ça.
08:58Si le pays est en guerre, bien entendu.
08:59Mais Anne-Marie, je vais vous dire la vérité.
09:01On est à quelques semaines, à quelques jours
09:04d'un accord de paix, tout le monde le dit.
09:06Même les plus proches de Macron le disent.
09:09Mais qu'il n'arrête pas.
09:10Ils mettent les pieds qu'ils mettent pas.
09:11Un orteil.
09:12Partout où il met les pieds,
09:14on voit comment ça se termine.
09:15Il met ce qu'il veut.
09:17Je crois que je voulais l'inscrire au Poney.
09:20Impeccable, impeccable.
09:22C'est très bien pour lui.
09:23Merci, Anne-Marie, d'avoir établi.
09:25Les animaux font du bien.
09:26J'adore les animaux.
09:27Quand il a ses enfants, ça va lui faire du bien.
09:29Une outre pendant des années, moi.
09:31Et une louve magnifique.
09:33Valérie Bénahim, regardez.
09:34Oui, bien sûr.
09:35Regardez comme elle est belle.
09:36Si vous étiez un animal, Valérie Bénahim,
09:39vous seriez une panthère.
09:41Elle sort les griffes.
09:42Merci.
09:43La panthère aussi a des problèmes auditifs.
09:46Merci.
09:47Merci, Anne-Marie, d'avoir été avec nous sur Europe 1.
09:49Écoutez, il n'y a pas de quoi.
09:51Je vous embrasse fort.
09:52C'est un amour.
09:53Merci beaucoup.
09:54Et elle a vraiment l'ouverture extra.
09:57On se régale.
09:58On se régale.
09:59Merci, Anne-Marie.
10:00Extra.
10:01Je vous embrasse fort.
10:02Je vous embrasse fort.
10:03Vous inquiétez pas.
10:04Il y a de la place pour tout le monde.
10:05Merci, je vous embrasse fort.
10:06Allez, au revoir.
10:07Je vous embrasse tous.
10:08Merci.
10:090 à 80 20 39 21 janvier.
10:10Comme on ne peut pas parler, je ne ferai que le relevé des discussions.
10:12Merci, merci.
10:13Faut ne plus être orteil.
10:14Merci.
10:15Merci.
10:16Allez voir sur Europe 1.
10:17Voyez ce que fait Olivier Dartigold.
10:19Tiens, il y a Wilfried qui est avec nous.
10:21Wilfried de Bordeaux.
10:22Appelez-nous, hein, vous aussi.
10:230 à 80 20 39 21.
10:24Wilfried de Bordeaux.
10:25Après, on parlera, bien entendu, encore de C8.
10:27Parce que, malgré la fermeture de C8, hier, on a encore battu des records d'audience.
10:32Et ça va poser une vraie question.
10:33Est-ce que le modèle de télévision est terminé ?
10:35On va poser la question.
10:37Hier, je suis tombé sur nombreux patrons de chaîne qui sont venus me voir, qui étaient dépités.
10:42J'étais hier au Parc des Princes.
10:44Et c'est vrai qu'ils n'étaient pas bien.
10:46Sachez-le, ils me disaient, ça va être compliqué.
10:49Donc, dites-nous ce que vous en pensez.
10:50Puis, on écoutera deux, trois témoignages, bien entendu.
10:52Mais pour le moment, on reste sur l'élocution.
10:54L'allocution, qu'est-ce que je dis, l'élocution ?
10:56L'élocution, c'est Fabien Lecoeuf qui s'exprime extrêmement bien, d'ailleurs.
10:59On reste sur l'allocution d'Emmanuel Macron.
11:01Hier, une flemme absolue.
11:03Wilfried, dites-moi tout.
11:05Bonjour, Wilfried.
11:06Oui, bonjour Cyril.
11:07Moi, je l'ai vu ce matin, parce que hier, bien sûr, je te regardais, comme d'habitude.
11:11Merci, Wilfried, vous avez bien fait.
11:12Oui, oui, vous avez fait bien attention.
11:14Je pense que les 15 millions de Français qui l'ont écouté se sont réveillés énervés ce matin.
11:18Mais moi, je suis très énervé.
11:20Mais extrêmement énervé.
11:21Tu ne peux pas savoir comment je suis en colère ce matin.
11:24J'ai même contacté des anciens amis, des anciens collègues de l'armée.
11:28Tu vois ce que j'ai fait, Wilfried ?
11:30J'ai même contacté des ex à moi.
11:32Juste pour leur parler.
11:35Je t'explique l'histoire où c'est très très grave.
11:38Je voudrais que vous t'interviewe Pierre de Villiers, le général.
11:41Il t'expliquera comme quoi l'armée, en guerre conventionnelle,
11:45on ne tient pas trois jours face à la Russie.
11:47La seule façon qu'on a de résister, c'est l'arme atomique.
11:50Il veut quoi ? Il veut utiliser la bombe nucléaire ?
11:51Mais c'est ce qu'il a dit.
11:52Il veut utiliser la bombe nucléaire contre la Russie ?
11:55Il est fou dans ce qu'il dit, Wilfried.
11:56Il ne veut pas utiliser la bombe nucléaire contre la Russie.
11:58Mais bien sûr que si, il l'a dit, c'est parce qu'il l'a dit.
12:00Valérie, écoute-moi, je vais t'expliquer.
12:03Valérie, je vais t'expliquer.
12:05L'armée, on ne tient pas trois jours.
12:08La moitié des hélicoptères, on n'a pas les pièces détachées.
12:11Les chars, on n'a pas les pièces détachées.
12:14À l'armée, les collègues.
12:16Moi, je suis un ancien.
12:17Les gars, on n'a rien.
12:19Je voudrais m'arrêter deux petites secondes sur ce que vient de dire Valérie Bénahim,
12:22qui est incroyable.
12:23C'est vrai que je suis assez incroyable.
12:24Incroyable quand même.
12:26Vous avez vu ce qu'elle a dit ?
12:27Elle a dit oui.
12:28S'il vous plaît, merci.
12:29Il a dit oui, on va se réarmer.
12:31Le mec, il va se réarmer en deux semaines ?
12:32C'est pas possible.
12:33Comment on peut dire des bêtises ?
12:34En dix ans, on sera déjà annexé.
12:36Qu'est-ce que vous racontez en dix ans ?
12:37Il dit n'importe quoi.
12:40Vous dites des conneries Valérie Bénahim.
12:42Il dit qu'on va se réarmer pendant dix ans.
12:45Qu'est-ce qu'il raconte comme connerie ?
12:47Cyril, est-ce qu'on peut ne pas nier un instant qu'il y a un péril russe ?
12:50S'il vous plaît, laissez parler Wilfried d'abord.
12:52En plus, se réarmer, on ne va pas se réarmer.
12:55Pour la bonne raison, on est dépendants de la Chine.
12:58Mais bien sûr.
12:59Il dit n'importe quoi.
13:00Autonomiser les trucs chimiques.
13:02Tout ce qui est chimique, la Chine et l'Inde.
13:05Nous, on ne produit rien en France.
13:06C'est pas vrai.
13:07L'armée, on n'y produit rien.
13:08On produit du fromage.
13:09On va envoyer des camemberts nous.
13:11Mais bien sûr, mais on n'a rien.
13:13Et du vin.
13:14Les rafales, c'est pas français ?
13:15Non, il n'y a que les rafales.
13:16Moi, je suis à la retraite.
13:18Maintenant, je peux parler.
13:19Je peux dire comment ça se passe.
13:20C'est une catastrophe.
13:22On nous a démilitarisés.
13:24L'armée ne sert plus à rien.
13:26Ne sert plus à rien en France.
13:28J'ai trop confiance en notre défense nucléaire.
13:31Que l'armée conventionnelle, elle ne vaut plus rien.
13:33Elle ne vaut plus rien.
13:35Ils ont joué sur la dissuasion avec l'arme nucléaire.
13:37Mais l'armée ne vaut rien.
13:39Et je veux poser une question aux Français et aux Françaises.
13:41Est-ce que les parents sont prêts à voir leurs gosses aller mourir en Ukraine
13:45et revenir voir les cercueils ?
13:47Parce qu'une guerre, il y a toujours des dégâts.
13:50Les gars, ils rentrent invalides et dans des cercueils.
13:53Moi, j'ai des camarades rentrés dans des cercueils.
13:55Alors, je peux vous dire qu'une guerre, c'est pas beau à voir.
13:58Il y a un gars, je l'appelle le colonel Troupasol,
14:01qui ce matin, quand je l'ai vu, ça m'a foutu hors de moi,
14:04qui est prêt à aller se battre contre la Russie,
14:06mais qu'il y aille faire la guerre.
14:07Il n'a même pas fait le service militaire.
14:09Il ne sait même pas tenir une arme dans sa main.
14:11Et ce mec-là, il va être le chef des armées.
14:13Mais c'est une honte.
14:15Et Pierre de Villiers, quand il est parti, il a eu bien raison de partir.
14:19On se fout de la gueule des militaires.
14:21Et pourquoi il est parti ?
14:23Pourquoi il est parti ?
14:25Parce qu'il avait demandé l'augmentation d'un budget par rapport à l'armée.
14:28Et donc, on y arrive à cette augmentation du budget.
14:30Mais alors, 6 ans après, arrêtez de dire des bêtises.
14:32Vous savez combien il faut pour monter le budget pour tenir à la guerre ?
14:35Il faut au moins 10 à 15 % du PIB.
14:39Mais ils n'y connaissent rien.
14:41On ne peut même pas entretenir les rafales.
14:43Il a tellement raison, Wilfried.
14:45On n'a pas les pièces détachées.
14:47Vous savez combien d'avions et d'hélicoptères sont au sol et ne peuvent pas voler ?
14:52Les collègues à l'armée, on compte les balles pour s'entraîner à tirer.
14:57Mais vous voulez savoir ce que c'est l'armée en France ?
15:01Mais c'est une catastrophe.
15:03Bien sûr, j'ai beaucoup d'amis dans l'armée, je vous dis la vérité.
15:06Une catastrophe.
15:07Il disparaît comme Wilfried.
15:09Donc arrêtez de croire au Père Noël.
15:11Les militaires ne vont pas se battre pour le colonel Troupasol.
15:13Personne. Il a raison. Personne.
15:15Personne n'ira.
15:16Faites envoyer la Légion étrangère, parce que c'est des étrangers,
15:18parce que les mecs sont payés pour ça.
15:20Mais le reste, franchement, ils n'iront pas.
15:23Et les Français ?
15:25Quand ils verront leurs enfants, leurs fils et leurs filles revenir dans les cercueils ?
15:29Mais je peux vous dire qu'il peut partir de la France, Troupasol.
15:32Parce qu'il sera pendu.
15:34Non mais bon, on n'en est pas là, Wilfried.
15:37Les gens ne se rendent pas compte de ce que c'est la guerre.
15:39Mais bien sûr. Merci Wilfried d'avoir été avec nous.
15:41Franchement, ça m'a fait du bien de vous entendre.
15:43Parce que je suis avec les amis du colonel Troupasol.
15:48On va se retrouver dans un instant sur Europe 1.
15:50Vous nous appelez 01 80 20 39 21.
15:52Je veux absolument avoir beaucoup d'auditeurs aujourd'hui.
15:54Et Fabien est là, magnifique.
15:56Et Dartigold, merci d'être là.
15:5801 80 20 39 21.
16:00On est sur Europe 1.
16:02Ce remboursement d'alliances.
16:06Vous réagissez à tout ça, bien entendu.
16:08Et c'est vrai que c'est fou, ce qu'il s'est passé hier soir.
16:10Je sais qu'il y a beaucoup de Français qui étaient inquiets ce matin.
16:14Soyez pas inquiets.
16:16C'est beaucoup de bruit pour pas grand chose, une fois de plus.
16:20A tout de suite sur Europe 1.
16:22Merci.
16:24Non, non, non. C'est moi qui vais choisir celui-là.
16:26Merci Émilie.
16:28On rigole beaucoup aujourd'hui.
16:30Merci d'avoir été avec nous.
16:32Il est 16h30.
16:34On est en direct sur Europe 1.
16:38Dartigold, il est dans une forme aujourd'hui.
16:40C'est très intéressant.
16:42Il retrouve l'URSL, donc il est content.
16:46C'était en russe ces dernières décennies.
16:48Tu voulais savoir ce que ça faisait de vivre sous l'énigme ?
16:5001 80 20 39 21.
16:52S'il vous plaît, on va prendre des auditeurs en ligne.
16:54Il est 16h33.
16:56On parle de l'allocution d'Emmanuel Macron, hier soir.
17:00La courageuse allocution de José Gauthier.
17:02Catastrophique.
17:04Ne dites rien.
17:06Marie-Isabelle est avec nous.
17:08Marie-Isabelle de Paris.
17:10Marie-Isabelle, qu'est-ce que vous en avez pensé ?
17:12C'est catastrophique.
17:14Oui.
17:16Catastrophique, Marie-Isabelle.
17:18La réponse est dans la question.
17:22Bonjour à toute l'équipe.
17:24Bonjour.
17:26Je vous embrasse tous.
17:28Je vous suis régulièrement.
17:30Je vous félicite d'avoir fait un pied de nez
17:32à l'ARCOM
17:34et à tous qui s'en suivent.
17:36Je suis ravie, heureuse
17:38pour vous et pour nous tous.
17:40Par rapport à l'allocution
17:42du Serpent K
17:44parce que moi je l'appelle comme ça
17:46le Serpent K du maître
17:48plus libre de la jungle.
17:50Je trouve que c'est une catastrophe
17:52évidemment.
17:54Il veut faire peur à tout le monde
17:56parce qu'il veut reprendre la main.
17:58Il est extrêmement
18:00en colère parce qu'il sent
18:02bien qu'il perd de son pouvoir
18:04et qu'il perd de son charisme,
18:06qu'il n'a jamais eu, soit dit en passant,
18:08en tout cas en ce qui le concerne.
18:10Je pense qu'il a encore trouvé
18:12un moyen aussi de nous piquer des sous
18:14puisqu'il est question
18:16que...
18:18En fait, il a
18:20épuisé 3 ou 4
18:22césaristes
18:24dans les assurances-vie
18:26des Français.
18:28Dans les épargnes.
18:30Ce qui est très grave parce qu'ils ont
18:32la possibilité de le faire, comme le Trésor
18:34peut vous piquer
18:36des sous sur votre compte.
18:38Donc c'est extrêmement grave.
18:40C'est catastrophique.
18:42Oui, parce qu'ils ont la possibilité
18:44du jour au lendemain de dire
18:46voilà,
18:48on vous prend sur votre épargne
18:50et on ne peut rien faire.
18:52Et là, on est vraiment bloqués.
18:54C'est incroyable comment il l'a amené hier.
18:56Marie, c'était incroyable
18:58comment il l'a amené hier.
19:00Il a dit pas d'augmentation
19:02des impôts, mais quelle hypocrisie.
19:04Justement, il a commencé
19:06par dire qu'il n'augmenterait pas les impôts
19:08pour pouvoir dire ensuite
19:10qu'il allait pouvoir piquer
19:12de l'argent aux Français.
19:14Et moi, ce qui me fait très très peur
19:16en fait, c'est la naïveté
19:18des gens qui continuent
19:20à le croire. Alors Valérie Bénahime
19:22franchement,
19:24elle est adorable.
19:26Vous pouvez lui dire ce que vous pensez d'elle.
19:28Marie-Isabelle,
19:30elle est adorable.
19:32On n'a pas besoin.
19:34Ma peluche aussi, elle est adorable.
19:36Mais elle ne donne pas son avis sur la guerre en Ukraine.
19:38Elle est incroyable.
19:40Oui, c'est vrai.
19:42Moi, je comprends. Elle n'a rien dit.
19:46Alors, ça prouve qu'elle a un grand cœur.
19:48Mais qu'elle soit
19:50encore
19:52perméable à ce genre
19:54de peur.
19:56C'est sûr que ce n'est pas un covid.
19:58Le covid, on ne nous piquait pas
20:00des sous sur notre compte. Moi, ce qui m'inquiète,
20:02c'est qu'on me pique des sous sur mon compte.
20:04Je ne suis pas très riche,
20:06mais en même temps, j'y tiens quand même un petit peu.
20:08Et je trouve qu'il a
20:10la possibilité de le faire.
20:12C'est ça, il faut le dire à tout le monde.
20:14Il faut que les Français se réveillent.
20:16Valérie, parce qu'elle s'est adressée à Valérie,
20:18Marie-Isabelle, juste sur l'épargne des Français,
20:20c'est quand même, rendez-compte où on en est.
20:22Ils veulent tout prendre.
20:24C'est plus Jean-François Copé qu'on a parlé.
20:26C'est ce qu'Emmanuel Macron a dit.
20:28Jean-François Copé est intelligent.
20:30Macron n'a jamais dit qu'il fallait toucher à l'épargne des Français.
20:32Macron n'a jamais dit qu'il voulait toucher à l'épargne des Français.
20:34Macron a pris soin de dire tout.
20:36Regardez comment il défend encore. C'est insupportable.
20:38Il l'a sous-entendu.
20:40J'étais avec Hanouna
20:42à 20h.
20:44Il l'a sous-entendu
20:46fortement.
20:48Il a dit qu'il allait créer un compte
20:50où les gens pourraient verser des sous.
20:52Il veut nous prendre.
20:54Je vais vous dire ce qu'il va faire.
20:56Il va le faire un petit peu comme pour Notre-Dame.
20:58Ceux qui veulent donner, donnent.
21:00C'est une énorme supercherie.
21:02C'est plus grave.
21:04C'est ce qu'ils veulent faire croire.
21:06Il commence par semer la peur.
21:08J'ai entendu dans les rues
21:10parce que je me balade beaucoup
21:12et je suis sur Paris. J'entends des gens
21:14qui commencent à avoir peur
21:16et qui n'avaient pas peur avant.
21:18et qui n'avaient pas peur avant.
21:20Je sens que ça commence à prendre.
21:22Je voudrais parler
21:24à tous les auditeurs
21:26et dire mais faites attention
21:28parce qu'il peut le faire.
21:30Les gens pensent que c'est abstrait.
21:32Il peut le faire.
21:34Il a toute possibilité de piquer
21:36votre épargne.
21:38De l'argent que vous avez
21:40mis de côté pour vos petits-enfants.
21:42Vous avez travaillé toute votre vie pour que l'autre
21:44vienne vous les enlever pour des bêtises.
21:46Il faut quand même combler
21:48le trou qu'ils ont laissé.
21:50Ce trou
21:52qu'ils ont laissé, personne ne passe
21:54devant aucune commission.
21:56Moi si je vole 10 euros quelque part
21:58je ne sais pas ce qu'on va me faire
22:00d'ailleurs.
22:02Là, ils ne rendent compte
22:04de rien en fait.
22:06Il y a eu une promotion parlementaire sur la sortie de rente
22:08du budget.
22:10On sait comment ça va finir.
22:14Nous n'avons aucune illusion.
22:20Je voudrais que les gens arrêtent d'être naïfs.
22:22C'est plus un naïf.
22:26Vous savez, il y a une phrase qui dit
22:28le mal triomphe par l'inaction
22:30des gens de bien.
22:32Et cette phrase n'est pas de moi.
22:36Il faut absolument que les gens
22:38fassent très attention parce que ce qu'il dit,
22:40il peut le faire.
22:42Je suis persuadée que pour les gens
22:44qui entendent ça, c'est abstrait.
22:46Et ils peuvent le faire.
22:48Merci Marie-Isabelle.
22:50C'est quelque chose juste.
22:52Par rapport,
22:54je ne sais pas si vous avez
22:56des ambitions présidentielles ou quoi que ce soit,
22:58mais j'ai une super idée moi
23:00pour augmenter le pouvoir d'achat.
23:02Alors ça serait peut-être trop long de le dire là
23:04à l'antenne.
23:06Est-ce que ça serait possible que je sois remise
23:08en rapport avec vous ?
23:12C'est quelque chose de très concret.
23:14Et c'est quelque chose
23:16je pense qui peut être...
23:18Le lien qu'on fait entre Coluche
23:20et vous,
23:22au-delà du
23:24côté populaire,
23:26c'est que Coluche, il a donné à manger
23:28aux Français.
23:30Donc, le gouvernement
23:32a très bien compris que tant
23:34qu'on donnerait à manger aux gens,
23:36ils ne se révolteraient pas. Parce que
23:38la révolution française,
23:40c'est quand les gens ne pouvaient plus
23:42nourrir leurs enfants.
23:44Tant qu'on peut donner à manger aux gens, ils ne se révolteront pas.
23:46Moi j'ai une super idée
23:48et je peux en parler à personne
23:50et je voudrais vraiment
23:52pouvoir vous en faire part.
23:54Avec plaisir.
23:56Je sais que vous avez le pouvoir de la mettre...
23:58Avec plaisir, on en parlera avec plaisir.
24:00J'essaierai de faire le max en tout cas.
24:02Ça serait possible de me rappeler ?
24:04Avec plaisir Marie-Isabelle.
24:06On s'appelle ce week-end. Je vous embrasse fort.
24:08Merci Marie-Isabelle.
24:10Merci à tous. Bonne émission
24:12et bonne suite.
24:14Merci Ami, merci Marie-Isabelle.
24:16On se retrouve dans un instant sur Europe 1.
24:18Continuez à nous appeler 018203921.
24:20A tout de suite, on revient dans une minute.
24:22Europe 1, 16h18h.
24:24On marche sur la tête.
24:26Cyril Hanouna.
24:28Merci d'être avec nous sur Europe 1.
24:30Il est 16h42. Merci aux auditeurs de nous appeler.
24:32Merci aux auditeurs de réagir. C'est un bonheur.
24:34A demain, il y aura François Bayrou.
24:36François Bayrou qui sera invité exceptionnel
24:38d'Europe 1 demain matin
24:40avec Sonia Mabrouk et Laurence Ferrari.
24:42Entre 8h10 et 9h,
24:44je pense qu'Olivier Dartigold va passer une tête.
24:46C'est essentiel.
24:48Il va passer une tête de Dartigold.
24:50Dartigold, la la la la la la.
24:52Dartigold va passer une testasse.
24:54Merci mon Darty.
24:56Il est là au buffet.
24:58Il adore les buffets. Merci.
25:00On a des auditeurs qui veulent réagir justement
25:02à l'allocution
25:04d'Emmanuel Macron hier.
25:06Merci Cyril pour ce moment de débat
25:08suite à cette allocution.
25:10J'arrête pas de débattre.
25:12C'est quoi votre problème ?
25:14Vous ne respectez pas
25:16les Français.
25:18Respectez les auditeurs qui nous appellent
25:20et laissez-les parler. Vous parlez assez dans l'émission.
25:22En plus, vous vous êtes payés.
25:24Nathalie est avec nous.
25:26Nathalie d'Ile-de-France. Merci Nathalie.
25:28Merci d'être là.
25:30Merci Nathalie.
25:32Merci d'être là.
25:34Bonjour Nathalie. Quel bonheur de vous entendre.
25:36Bonjour Cyril. Bonjour à votre équipe.
25:38Bonjour.
25:40Je suis très très heureuse
25:42de vous avoir en direct. Ça fait très très
25:44longtemps que je vous suis. On adore vos
25:46émissions. On rigole énormément.
25:48Toute votre bonne humeur, vos sketchs.
25:50On est au top.
25:52Vous êtes un amour Nathalie.
25:54Vous me regardez sur quoi
25:56en ce moment ?
25:58On est sur Orange.
26:00Orange 80.
26:02Petite parenthèse. C'est absolument grave.
26:04Je voudrais vous remercier Nathalie. Remerciez tous les auditeurs.
26:06Tous les téléspectateurs. Vous vous rendez compte
26:08qu'hier on était encore premier talk de France.
26:10De 18h45 à 21h15.
26:12Première chaîne. C'est absolument
26:14incroyable. Devant France 5. Devant
26:16TMC. Devant W9. Devant tout le monde.
26:18C'est absolument fou. Et tout ça c'est grâce à vous.
26:20Donc je voulais vous remercier Isabelle.
26:22Nathalie, Isabelle qui était avec nous tout à l'heure. Marie-Isabelle.
26:24Tout le monde. Merci à vous. Merci beaucoup.
26:26De rien. On est avec vous.
26:28Et puis encore merci
26:30pour tout ce que vous faites. Vous leur avez fait
26:32un sacré pied de nez. Franchement
26:34je suis assez admirative de ce que vous avez fait.
26:36Vous avez rebondi
26:38très très vite. Vous êtes un amour.
26:40C'est très très fort là. Ce que vous avez fait.
26:42Merci beaucoup. Ça me touche beaucoup.
26:44C'est un gros pied de nez à ces gens
26:46qui nous gouvernent. Ah oui. Je vous confirme.
26:48Vraiment à cette dictature. Mini dictature.
26:50On est vraiment très
26:52très énervés au sens
26:54évidemment de tout ce qu'on voit.
26:56C'est incroyable ce qu'il se passe en ce moment.
26:58La parole ouverte. Bien sûr.
27:00Je pourrais pas la relouer.
27:02Avant la démission de M. Bourdin
27:04où effectivement les auditeurs
27:06appelaient. Moi j'appelais de temps en temps.
27:08Là vous avez pris un relais
27:10très très fort et je pense que vous allez bien monter.
27:12Merci Nathalie. J'espère Nathalie. En tout cas
27:14ça me touche beaucoup ce que vous dites.
27:16Vraiment hier moi j'étais outré
27:18par ce qu'il s'est passé.
27:20J'ai regardé après. Emmanuel Macron
27:22qu'est-ce que vous en avez pensé ?
27:24Vraiment je me suis dit mais quel
27:26foutage de gueule.
27:28Nathalie. Ecoutez en deux mots
27:30parce que je pense qu'on est
27:32quand même plusieurs millions de personnes.
27:34Avec 23%
27:36d'élections des premières années
27:38on peut se poser la question de savoir si
27:40on est dans une république bananière ou pas.
27:42Excusez-moi de l'expression Cyril.
27:44On est à 17%
27:46et ça ne fait que baisser.
27:48Donc pour moi c'est une énigme
27:50que cette personne soit toujours à la tête
27:52de notre pays qui s'enfonce. Je ne comprends pas.
27:54Je ne comprends pas
27:56le peu de personnes qui sont encore à le défendre.
27:58Je comprends son électorat.
28:00Jéraldine Maillet.
28:04Il y a encore Jéraldine Maillet
28:06et Valérie Bénahim qui le défendent.
28:08Il est tranquille. Il a deux femmes formidables
28:10qui sont là pour le défendre. A mon avis elles sont amoureuses.
28:12Il y a toujours une femme cachée
28:14derrière un homme Cyril.
28:16Moi il n'y a personne.
28:18Personne n'est caché.
28:20Que pensez-vous que vous êtes ?
28:22Il y en a plusieurs peut-être.
28:24Oh !
28:26Allez !
28:28Merci !
28:30On va prendre la parole.
28:32On va laisser la parole aux auditeurs.
28:34Donnez la parole aux auditeurs.
28:38Les auditeurs posent toujours des bonnes questions.
28:40Nathalie ?
28:42Je n'ai pas de lèche sans cuir.
28:44Je n'ai pas de lèche sans cuir.
28:46Nathalie, pas du tout.
28:48Ce que j'ai pensé hier,
28:50le surnom que j'aime beaucoup,
28:52c'est un ouvrage qui s'est vendu énormément.
28:54Pour M. Macron,
28:56c'est Foutriquet.
28:58Un nom très ancien
29:00qui résume en deux mots
29:02ce que cette personne représente.
29:04Une petite personne de petite taille,
29:06insuffisante,
29:08et qui aujourd'hui n'a plus crédit
29:10dans ce qu'il peut dire ou faire.
29:12Vous parlez de qui là ?
29:14Tout le monde s'est tourné vers
29:16Femme Américaine,
29:18et je me suis senti gêné
29:20et même Fabien Lecoeuvre
29:22m'a pensé qu'on parlait de lui.
29:24Ça m'a fait de la peine.
29:26Ça m'a fait de la peine parce que c'est un ami.
29:28Vraiment, Nathalie.
29:30Je fais la même taille que vous,
29:32donc je me cochonne.
29:34On pensait de Fabien Lecoeuvre.
29:36Fabien Lecoeuvre,
29:38combien il mesure déjà ?
29:401,59.
29:42Non, il est plus grand.
29:44Vous comprenez quand je parle de taille.
29:46A la taille de l'esprit.
29:48Vous vous rappelez,
29:50je crois qu'il y a une séquence un jour
29:52avec Talleyrand
29:54qui disait...
29:56Fouché.
29:58Non, pas Fouché, putain.
30:00Qu'est-ce que tu racontes comme connerie ?
30:02C'est Fouquet d'ailleurs et c'est les chocolats.
30:08Je ne sais plus qui lui avait répondu.
30:10Il lui a dit, laissez-moi prendre le livre,
30:12je suis plus grand.
30:14Et il lui a dit, non, vous êtes plus long.
30:16Et ça change tout.
30:18Et voilà.
30:20Une fois qu'on a dit ça,
30:22Cyril, je ne sais pas où est-ce qu'on va
30:24et quel est notre devenir
30:26parce que vraiment c'est...
30:28Franchement,
30:30je ne suis pas inquiet
30:32parce que je ne suis pas de nature inquiète
30:34mais c'est vrai qu'on a quand même,
30:36c'est fou,
30:38c'est comme si vous êtes dans une Formule 1
30:40et que vous avez un mec qui ne sait pas conduire.
30:42Forcément,
30:44c'est difficile de gagner la course.
30:46C'est sûr que le drapeau
30:48à Damien, on n'est pas près de le voir.
30:52C'est-à-dire qu'en fait, tout ce qu'il a dit hier,
30:54il parle de lui, la petite phrase qu'il dit,
30:56c'est celui qui dit qu'il naît.
30:58Donc il parle de manipulation,
31:00c'est clairement ce que lui fait
31:02depuis des années avec nous
31:04et le masque est tombé il y a longtemps.
31:06C'est celui qui dit qui est, premier senteur, premier péteur.
31:08Analyse.
31:10C'est un petit peu analyse.
31:12Exactement.
31:14Voilà.
31:16Merci de la parole.
31:18Merci Nathalie.
31:20Je vous aime à tous.
31:22Papa Sarfatian dont je suis originaire,
31:24arménienne.
31:26Très bien.
31:28On vous embrasse fort. Merci d'avoir été avec nous Nathoo.
31:30Salut Nathoo. Merci beaucoup.
31:32Merci Nathalie, merci d'avoir été avec nous.
31:34Gauthier Lebray voulait dire quelque chose, vous avez dit qu'on n'était plus une Formule 1.
31:36Oui.
31:38Je pense que la France
31:40est incapable
31:42aujourd'hui de mener une guerre de haute intensité.
31:44D'ailleurs,
31:46le général de Villiers a été cité
31:48au long de l'émission,
31:50chef d'état-major des armées quand Emmanuel Macron
31:52arrive au pouvoir, il le limoge très vite.
31:54C'est le frère de Philippe de Villiers.
31:56Pourquoi Emmanuel Macron ? Parce que le général de Villiers
31:58protestait contre une coupe budgétaire
32:00dans les armées.
32:02Il avait 100% raison le général de Villiers.
32:04Il s'est fait limoger pour ça.
32:06C'est le même Emmanuel Macron qui va doubler
32:08le budget des armées.
32:10On va les taper dans votre épargne.
32:12Le général de Villiers devait dire la vérité
32:14parce qu'il était en commission parlementaire.
32:18Le mec ne se réveille qu'un trois après.
32:20Il s'était fait humilier par Emmanuel Macron qui avait dit
32:22je suis votre chef devant les armées.
32:24Alors que le général de Villiers avait raison en 2017.
32:26Ce qui est malheureux c'est qu'Emmanuel Macron
32:28a mis 7 ans. Il a mis un peu moins parce qu'il avait commencé
32:30à augmenter les crédits pour les armées
32:32il y a quelques années. Mais on a perdu du temps.
32:34Je donne le point à Emmanuel Macron hier
32:36c'est de dire qu'il faut se réarmer.
32:38Il faut augmenter les budgets des armées.
32:40On le fait trop tard.
32:42Les mecs ils se réveillent trop tard. Il est 16h50.
32:44Il vaut mieux jamais que tard.
32:46Je vous le dis pour lui.
32:48Il vaut mieux jamais que tard parce que ça nous fout dans une panade
32:50pas possible. C'est n'importe quoi.
32:52Il a tout fait à l'envers. Ronny est avec nous.
32:54Merci Ronny. Valérie Benaym c'est bon.
32:56On la barre.
32:58Je veux bien dire un mot parce que c'est vrai que c'est une vraie menace.
33:00Pour l'instant on a Ronny des Alpes-Maritimes.
33:02Merci Ronny.
33:04Bonjour Cyril.
33:06Bonjour toute l'équipe.
33:08Cyril je vous adore.
33:10Je t'adore mais à un point
33:12phénoménal.
33:14Parce que le pied de nez que tu as fait à l'ARCOM
33:16ils ont fait de toi
33:18une légende.
33:20Tu étais un phénix.
33:22Tu es un phénix.
33:24Si vous pouviez arrêter.
33:26C'est impossible.
33:28Ronny franchement vous me touchez.
33:30Cyril je te suis
33:32depuis 2012.
33:34Quand tu étais encore à France 4.
33:36A France 4.
33:38Jusqu'à aujourd'hui.
33:40Cyril.
33:42C'est absolument incroyable.
33:44Vous êtes un phénix.
33:46C'est grâce à vous Ronny.
33:48Merci.
33:50Je te suis tout le temps.
33:52Je te regarde. Valérie
33:54je t'adore.
33:56Votre équipe
33:58vous êtes exceptionnelle.
34:00Merci Ronny.
34:02De haut de colté.
34:04Jamais dans la télé
34:06on a vu une équipe comme ça
34:08à part Pascal Pro.
34:10C'est vrai je l'adore aussi.
34:12C'est vrai que
34:14le Macron
34:16il a voulu vous censurer.
34:18Après on dit que c'est pas politique.
34:20Et il nous dit maintenant
34:22là il court Bléchine
34:24avec l'Algérie.
34:26C'est la morale au monde entier.
34:28C'est absolument incroyable.
34:30Vous avez tellement raison Ronny.
34:32Vous avez tellement raison.
34:34Il s'est fait mettre un amende
34:36par l'Algérie.
34:38Et là il veut faire le beau.
34:40J'avais l'impression que c'était Napoléon.
34:42L'Algérie alliée à la Russie.
34:44Devant l'Algérie il a les couilles entre les jambes.
34:46Et il veut faire la morale à Trump.
34:48Et il veut faire la morale à Poutine.
34:50Non mais oh c'est quoi ce bonheur.
34:52C'est quoi ça.
34:54C'est du cacao j'adore.
34:56C'est exactement ça.
34:58C'est quoi ce bonheur.
35:04L'émission elle n'a jamais porté aussi bien son nom.
35:06On marche sur la tête.
35:08Voilà.
35:10On marche sur la tête.
35:14C'est une folie.
35:16Il nous met plus bas que terre.
35:18Et maintenant il veut nous prendre notre veille.
35:20C'est fou.
35:22Il faut se réveiller.
35:24Allo quoi.
35:26Allo.
35:28Comme elle disait.
35:30Non mais allo quoi.
35:32Merci Ronny d'avoir été avec nous.
35:34Je vous fais un énorme bisou Ronny.
35:36Je vous adore.
35:38Vous êtes un amour Ronny.
35:40Je vous embrasse très fort.
35:42Vous aussi on vous embrasse.
35:44Salut Ronny.

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