Alors que les médias traditionnels vacillent, que la confiance du public s’effrite, les voix libres et indépendantes s’élèvent. L’ISSEP , établissement supérieur privé de science politique, et l’Issépien, le journal de l’école, vous donnent rendez-vous pour une soirée de débats sans filtres, d’échanges authentiques et de réflexions décapantes.
Deux tables rondes au cœur du combat médiatique :
Médias alternatifs : la nouvelle voix du peuple ?
Écologie : entre propagande verte et info honnête, quel rôle pour les journalistes ?
Avec la présence de figures de la presse indépendante :
Lucas Chancerelle (TVL), Jordan Florentin (Frontières), Antoine You (Valeurs Actuelles), Marc Menant (CNews), Pierre-Alexandre Bouclay (Radio Courtoisie)… et d'autres résistants de l'information libre !
Rencontres, convivialité, cocktail… et liberté d'expression sans muselière.
Un événement en partenariat avec TVL.
Pour s’inscrire rapidement : https://lnkd.in/dxgYb_Ge
Plus que jamais, la liberté d’informer est un combat !
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NewsTranscription
00:00Générique
00:00Nous allons parler médias en compagnie de deux étudiants de l'ICEP,
00:10l'établissement supérieur privé de Lyon.
00:13Je reçois Mathéo Leroy, responsable de l'ICEP.
00:16Bonjour Martial.
00:17On évoquera le terme de l'ICEP dans quelques instants,
00:19et Baptiste Navarro qui est étudiant en magistère à l'ICEP, à Lyon.
00:24Messieurs, bienvenue à Paris tout d'abord,
00:26et pouvez-vous nous rappeler en quelques mots ce qu'est l'ICEP ?
00:29Finalement, quelle est sa finalité ?
00:31Je te laisse présenter.
00:33En quelques mots, l'ICEP, je dirais que c'est l'école qui se veut,
00:36en tout cas, former les dirigeants de demain,
00:40avec quand même pour particularité,
00:41donc les dirigeants dans plusieurs domaines,
00:43je dirais dans le domaine médiatique, politique,
00:45et évidemment les entreprises de manière générale,
00:48mais avec une particularité qui les rassemble,
00:51qui est le but de viser le bien commun.
00:53Et c'est vraiment cette particularité qui différencie l'ICEP,
00:56c'est qu'on a gardé nos valeurs, nos concepts,
00:59peut-être certains traités de conservateurs,
01:01mais qui pour nous sont importants,
01:03et qui nous forment pour l'avenir et essayer de devenir des cadres,
01:07d'intégrer et d'essayer de redresser au mieux la France.
01:10– Quel était votre parcours personnel à vous, Baptiste ?
01:12Alors moi, j'ai fait un bac scientifique,
01:14j'ai ensuite intégré un DUT Hygiène, Sécurité, Environnement,
01:18donc c'est tous les métiers qui sont liés à la prévention des risques dans les entreprises,
01:21du risque nucléaire au risque bénin de chute,
01:25et c'est également aussi un métier qui est souvent en collaboration
01:28avec les officiers sapeurs-pompiers des SDIS.
01:32Ensuite, j'ai continué sur une licence professionnelle en gestion de projet,
01:35dans le même domaine, donc la gestion des risques,
01:37mais spécialisée en tant que cognateur de projet,
01:39puis j'ai rejoint l'ICEP, j'ai également fait deux heures d'internance,
01:42puis j'ai rejoint l'ICEP pour compléter mon profil.
01:45– Magistère, c'est combien d'années, Mathéo ?
01:46– Magistère, c'est deux ans, donc après le bac plus 3,
01:49après avoir fait une licence, ou du moins un bac plus 3,
01:52donc on continue sur deux ans, et ça nous donne un bac plus 5 à un magistère.
01:56– D'accord, et votre parcours à vous ?
01:57– Alors moi j'ai fait avant un DUT-GEA,
02:00donc gestion des entreprises et de l'administration,
02:04avec une option management opérationnel,
02:06tout est très flou, tout est très vague,
02:08mais c'est très… la formation est comme ça.
02:11Et puis après j'ai continué sur une troisième année en licence,
02:14donc toujours flou et vague, commerce international.
02:17– Vous saviez ce que vous vouliez faire quand même ?
02:18– Oui bien sûr, et du coup après avoir fait ces trois années,
02:22je suis arrivé à l'ICEP.
02:24– Pourquoi ce que l'ICEP ?
02:25Qu'est-ce que ça apportait dans votre cursus ?
02:27– Un peu flou par exemple pour vous Mathéo ?
02:29– Alors moi il y avait plusieurs choses,
02:30déjà je cherchais du management, parce que j'en avais déjà fait,
02:34et parce que je souhaitais travailler dans le privé après mes études,
02:37donc l'ICEP propose deux grosses parties de formation,
02:42donc il y a une partie qui est la science politique,
02:43mais il y a aussi une grosse partie qui est le management,
02:46le management de projet, le management d'entreprise,
02:49et donc moi j'ai rejoint l'ICEP en partie pour cette raison,
02:52et puis aussi parce que je suis un étudiant un peu politisé,
02:56et du coup les sciences politiques sont quelque chose,
02:58c'est un domaine qui m'intéresse tout particulièrement.
03:01– Vous avez pu choisir Sciences Po ?
03:03– Je vais vous répondre, oui.
03:06– Une question pour vous deux ?
03:08– On aurait pu choisir Sciences Po, pour nous deux je pense,
03:11c'est vrai, mais en tout cas ça correspondait probablement moins à nos valeurs.
03:15Moi maintenant je peux en parler, alors à ce moment-là je ne savais pas encore,
03:18mais maintenant je peux en parler avec le recul que j'ai,
03:20du coup j'ai eu deux ans dans cette école,
03:23et les professeurs n'ont pas seulement une mission d'apprentissage,
03:27dans le sens où ils sont payés, ils nous apprennent,
03:30il y a vraiment une mission pour eux,
03:31et les classes en plus sont en taille humaine,
03:34donc il y avait plein d'atouts de rejoindre l'ICEP,
03:36et ils ont passé du temps avec nous, ils nous ont appris,
03:40et ils ont vraiment nous cherché à nous faire évoluer,
03:42et c'est vraiment le plus qu'a l'ICEP sur le Sciences Po, je dirais, général.
03:49– Vous êtes à Lyon, oui, Mathéo, c'est-à-dire ?
03:50– Pour rajouter à ce que dit Baptiste,
03:53le fait qu'on soit peu nombreux fait qu'on crée des vraies relations avec nos professeurs,
03:58et qu'on crée aussi un vrai réseau,
04:00et dans le cas, on en parlera un peu plus tard,
04:02mais dans le cadre de l'ICEPIEN, c'est vraiment très utile,
04:06ça m'a permis moi personnellement de rencontrer des personnalités très intéressantes
04:09et assez charismatiques disons,
04:12et qui m'ont permis de faire beaucoup de projets,
04:15et donc je remercie l'ICEP.
04:17– On va parler de cet ICEPIEN,
04:19voilà, l'ICEPIEN, c'est à Lyon, c'est l'école,
04:21l'ICEPIEN, c'est en fait une formule pour encadrer,
04:25faire vivre la vie étudiante de cette école
04:28qui a accueilli 500 étudiants formés en 5 ans, depuis 5 ans,
04:33et qui a, il se targue d'avoir 94% d'employabilité,
04:38ce qui est bien évidemment aussi un chiffre important,
04:40quand on sort au bout d'un an de l'ICEP, après son magistère,
04:44on trouve du travail.
04:46Et donc là, il fallait pour vous créer une structure particulière
04:49pour accueillir les étudiants, il s'agit donc de l'ICEPIEN.
04:52– Oui, alors l'ICEPIEN, c'est principalement le média étudiant de l'école,
04:58mais dans notre école, il y a plusieurs pôles,
05:01qui sont résumés par l'ICEPIEN,
05:04et donc dans ces pôles, il y a le pôle par exemple BDE,
05:06qui organise tout ce qui est sorti, week-end intégration,
05:10des petites activités entre promotions,
05:13dans le but de justement créer une cohésion de promotions,
05:17et aussi le pôle tradition, qui s'occupe de transmettre,
05:22la tradition, d'intégrer les nouveaux arrivants,
05:24et puis du coup de transmettre, de continuer ce processus de transmission.
05:28L'ICEPIEN, donc le média, qui a pour but de faire rayonner l'école,
05:34mais aussi d'apprendre aux étudiants qui reprennent en main le média,
05:41toutes les particularités du domaine des médias, globalement.
05:45– C'est valable pour le magistère, c'est valable aussi pour les autres formules de l'école,
05:49notamment ce que vous appelez la formation continue.
05:51– C'est ça, alors juste, si je peux me permettre de rajouter quelque chose,
05:54en fait, c'est vrai que l'ICEP est à taille humaine,
05:57donc forcément il y a moins de moyens que le Sciences Po classique, c'est évident.
06:02On pourrait croire que c'est une faiblesse, mais en fait c'est une force,
06:04parce que du coup l'administration se repose beaucoup plus sur ses étudiants
06:07pour organiser la vie de l'école, et ça nous force à nous autonomiser par rapport à ça.
06:11On est toujours constamment poussé à créer des pôles,
06:14donc je ne vais pas aller reciter, mais que Mathéo a très bien encadré,
06:18et donc ça nous pousse à nous engager dans la vie de notre école,
06:23à créer de la cohésion mécaniquement, et donc à réaliser des activités pour nous former.
06:27– Par exemple, les activités, on parle du concours d'éloquence que vous avez gagné en 2025.
06:30– Exactement, par exemple, le BDE qui organise chaque année un concours d'éloquence
06:35avec un jury prestigieux, qui nous a évalué sur deux phases.
06:43La première phase, on a une semaine pour créer notre discours sur un sujet,
06:48on passe ensuite dans la matinée d'un samedi,
06:51ensuite on est sélectionné, trois finalistes,
06:55puis ensuite on doit créer un discours en à peu près deux heures,
07:00deux heures et demie.
07:00– Vous pouvez me rappeler des thématiques, parce que ce sont des thématiques difficiles,
07:03j'ai découvert cela.
07:04– Oui, c'est ça exactement, alors la thématique de la finale,
07:07c'était « Les animaux sont égaux, mais certains plus que d'autres »,
07:11de George Orwell, et la première thématique c'était…
07:16– C'était dans le même style, c'est-à-dire quelque chose d'assez littéraire et intellectuel.
07:21C'est dans ce cadre aussi des médias, donc,
07:24que vous organisez le 25 avril prochain à Paris,
07:27et une manifestation sur le rôle des médias dans notre société contemporaine.
07:32Là, c'est une soirée absolument inédite que vous organisez,
07:35avec deux tables rondes.
07:37– C'est ça, oui.
07:38En fait, on a eu cette idée d'organiser cet événement,
07:43après tout ce qui a pu se passer dans notre société française récemment,
07:48la fermeture de C8,
07:49et la censure, en fait, globalement, qui est de plus en plus présente dans les médias.
07:56Et donc, l'idée est venue d'organiser un événement pour débattre,
07:59justement, de thématiques importantes,
08:01notamment sur de thématiques médiatiques, mais aussi politiques.
08:06Et donc, nous organisons le 25 avril, à Paris,
08:09cet événement, le débat des médias,
08:12où TVL sera partenaire de la soirée,
08:16où deux tables rondes, une sur le thème de l'écologie,
08:19qui est un thème trop marginalisé dans les médias,
08:23on n'a qu'un seul point de vue,
08:25et donc là, le but, c'est de donner les autres points de vue.
08:28Et une autre table ronde sur le thème,
08:31du rôle de plus en plus important des médias dits alternatifs.
08:36– Alternatifs.
08:37– Alternatifs, pardon, les autres alternatifs.
08:39– Oui, des médias alternatifs qui…
08:41On a vu, par exemple, lors de l'élection de Donald Trump,
08:45les médias alternatifs ont pris une vraie importance,
08:48et donc, le but, c'est d'ouvrir le débat sur cette thématique.
08:51– Avec des journalistes de toute la presse alternative,
08:56ou de transition, comme Marc Menand.
08:57– Oui, c'est ça, oui.
08:58Alors, on a invité beaucoup de journalistes,
09:01pas tous ont répondu,
09:03mais on a invité beaucoup de journalistes,
09:04notamment des journalistes de TVL, de Radio Courtoisie.
09:07– Ce sera Lucas Chancerelle, qui faisait immédiat,
09:08qui représentera TVL.
09:10– Il y aura aussi, donc, le fondateur de Logim.
09:13– Claude Chollet.
09:13– Claude Chollet.
09:15– Marc Menand.
09:15– Si vous voulez de l'aide, vous me demandez.
09:17Claude Marc Menand, de CNews.
09:19– De CNews, et puis, notamment.
09:21Et puis, enfin, plein de…
09:23– De Radio Courtoisie, de Frontier,
09:24j'ai vu Pierre-Alexandre Bouclet,
09:26j'ai vu Jordan Florentin,
09:26et bien d'autres qui seront là pour ce rendez-vous,
09:30qui prennent de l'importance.
09:32Et les médias traditionnels filtrent-ils réellement l'information
09:35en fonction d'intérêts politiques ou économiques ?
09:37Et dans ce cas-là, c'est vraiment au détriment d'un réel pluralisme.
09:40Est-ce que vous pensez vraiment cela, l'un et l'autre ?
09:43– Concernant, évidemment qu'il y a un filtre économique,
09:46puisque de toute façon, nos médias ne sont plus indépendants,
09:48puisqu'ils sont subventionnés en grande majorité,
09:50sinon ils ne seraient plus viables, tout simplement.
09:52Donc forcément, on ne va pas mordre la main
09:54qu'ils nous donnent à manger, c'est simple.
09:57Et puis en plus, je pense qu'il y a aussi une vraie idéologie derrière.
10:00Comme vous dites, c'est un intérêt politique, c'est évident.
10:02Aujourd'hui, je ne connais plus les statistiques,
10:04mais je crois que 98% des journalistes votent Jean-Luc Mélenchon.
10:08Il y a une vraie prise d'importance de ce parti, en tout cas, dans ces écoles-là.
10:14Et donc, il y a une idéologie, en fait.
10:15Ces personnes-là sont tout simplement des militants, et ils feront tout.
10:18Et on l'a vu d'ailleurs, par exemple, avec les juges, avec Marine Le Pen,
10:21ils feront tout.
10:22Il n'y a pas forcément d'ordre qui vient de là-haut.
10:23C'est juste qu'ils feront tout pour essayer de nous empêcher de parler,
10:28de nous empêcher de nous présenter en politique, etc.
10:30Et pour eux, en fait, comme ils sont dans leur petit milieu,
10:32c'est une course à qui sera le plus bien-pensant,
10:35qui pourra empêcher l'extrême droite, le chevalier blanc,
10:38qui pourra empêcher l'extrême droite, ou simplement la droite aujourd'hui,
10:41en réalité, mais d'arriver au pouvoir ou d'arriver à parler à tout le monde.
10:47Et donc, ils agissent au maximum de leur pouvoir.
10:49– Alors, Mathéo Leroy, pourquoi les grands médias donnent-ils si peu de place,
10:54finalement, aux voix dissidentes et aux experts alternatifs,
10:57notamment sur les sujets que vous avez évoqués,
10:58c'est-à-dire la géopolitique ou de l'écologie ?
11:01Qu'est-ce que ça leur coûte, globalement ?
11:03Est-ce que c'est vraiment un interdit, ou est-ce que c'est eux qui s'autocensurent ?
11:07– Alors ça, c'est une vraie question,
11:09mais il y a quand même une idéologie bien-pensante qui est dominante,
11:13et donc, on pense, moi personnellement, je pense très sincèrement
11:17que le but, c'est de ne pas brusquer,
11:20le but, c'est de faire régner la doxa, entre guillemets,
11:25et puis aussi, ça c'est plus personnel, mais de faire peur.
11:28C'est-à-dire que, on voit dans les médias,
11:30dès qu'il y a une prise de parole, prise de position,
11:34elle a pour but de faire peur à la population,
11:37et ça, c'est quelque chose qui est très important au quotidien
11:42dans les médias d'aujourd'hui.
11:44Et donc, c'est sûr que les points de vue divergents ne sont pas écoutés,
11:50sauf dans certains médias, justement, les médias alternatifs,
11:54qui permettent à ces visions divergentes de donner leur avis.
11:57On peut voir ça avec TVL, avec le Bistro Liberté,
12:01qui permet de donner la parole à tout le monde.
12:03Et ça, c'est quelque chose qui sera débattu le 25 avril,
12:09parce que c'est une thématique qui est très importante.
12:12Face à la méfiance croissante du public, des médias traditionnels,
12:16ont-ils encore la légitimité de s'exiger ou de s'ériger en arbitre la vérité ?
12:22Est-ce qu'ils en ont encore la capacité ?
12:24Oui, je pense qu'aujourd'hui, ça dépend des générations.
12:26Aujourd'hui, les nouvelles générations ont tendance à de plus en plus
12:28à se méfier quand même, surtout avec l'arrivée des médias,
12:31comme vous dites, alternatifs sur YouTube et sur d'autres plateformes.
12:34Mais il y a quand même une génération,
12:36notamment de nos grands-parents, qui, eux, ne vivent qu'avec ça.
12:40Donc, ce n'est pas du tout un reproche.
12:42J'aurais été dans le même cas si j'avais été à leur place.
12:44Et en fait, ils ont ce même discours répété sur tous les médias.
12:48Donc, pour eux, c'est un acquis, c'est vrai.
12:51Ils n'ont pas toutes ces sources d'informations qui leur disent
12:54« Là, ils ont menti, là, ils ont menti, là, également. »
12:56Donc, aujourd'hui, ils ont l'intimité auprès de certaines générations.
13:00Et c'est…
13:00– C'est-à-dire qu'on a encore des années où le monde et les libérations
13:02font la loi, si ça vous voulez me dire, sur les points de vue des Français
13:07et sur le point de vue du reste de la presse, d'ailleurs,
13:08parce que le reste de la presse, souvent, se couche devant la doxa
13:12imposée par le monde et les libérations, entre autres.
13:14– Alors, malheureusement, pour le moment, c'est le cas.
13:16Mais on voit quand même qu'il y a un vrai changement.
13:18Enfin, l'apparition de journaux, de web-journaux, web-médias,
13:23de chaînes YouTube, de…
13:25Même là, on voit, par exemple, avec Frontière qui sort sa propre plateforme.
13:30On voit quand même qu'il y a un changement.
13:33Il y a un changement de direction qui est en train d'être fait.
13:36Et moi, je pense que l'avenir ne sera que meilleur.
13:39– Après, oui, mon collègue, comme il dit, c'est sur YouTube.
13:44Malheureusement, pas toutes les générations regardent YouTube.
13:47Et on peut le voir aussi avec toute l'importance, en fait,
13:49de la fermeture de CNews.
13:50On ne se rend pas compte vraiment de l'importance de défendre ces chaînes.
13:55Parce que peut-être que, ce que je dis, c'est C8,
13:57mais peut-être que prochainement, ça sera CNews ou d'autres chaînes.
14:01Et il y aura des générations qui ne regardent que la télé, la télévision.
14:03Et si on ne défend pas notre pouvoir et c'est notre liberté d'expression
14:07sur ces chaînes qui nous soutiennent,
14:09eh bien, on va perdre une réelle plus-value sur certaines générations.
14:11– Je comprends bien la réalité de ce débat.
14:14Je comprends particulièrement bien le partenariat de TVL dans cette manifestation.
14:21Une question, une petite incidente.
14:23C'est la conférence, cette manifestation, cet événement, comme vous dites,
14:26va se dérouler à Paris.
14:28Est-ce que ça marque la volonté d'implanter l'ICEP en dehors de Lyon,
14:32ou pas seulement à Lyon, mais aussi à Paris ?
14:35– Alors, il y a eu plusieurs volontés.
14:37Mais déjà, il faut savoir que l'ICEP est présent à Paris,
14:38via les formations continues, donc c'est un week-end par mois.
14:43L'ICEP se déplace à Paris et offre, du coup, des formations continues.
14:49Donc là, en ce moment, il y a une formation sur le thème des élections municipales
14:52de 2026 qui arrive, une formation qui se déroule en 10 week-ends.
14:58Il y en a eu une à Lyon et il y en a une à Paris.
15:01Mais pourquoi on a décidé de faire cet événement à Paris ?
15:04C'est aussi parce qu'on souhaitait toucher d'autres personnes que les personnes lyonnaises.
15:09Paris, c'est la capitale.
15:10Paris, c'est là où tout le monde se rassemble, en France.
15:14Et donc, le but, c'était de mettre en lumière notre école à Paris
15:18avec un événement d'envergure.
15:20Et on espère que ce sera une grande réussite.
15:23– Alors, ça se déroule où et quand ?
15:24– Alors, on l'a bien dit, c'est le 25 avril.
15:26Ça, on a bien compris, on ne sait pas l'heure.
15:27On sait que c'est à Paris, mais on ne sait pas où.
15:28– Alors, ça se déroule à Paris, le 25 avril, rue d'Athènes,
15:33entre 18h et 23h, deux tables rondes.
15:37– Rue d'Athènes, c'est une grande rue ?
15:39– Oui.
15:39– Il doit y avoir un numéro de rue, un nom de salle peut-être ?
15:44– Oui, c'est dans l'amphithéâtre Saint-Torin.
15:46– D'accord. Donc, on retrouve ça rue d'Athènes sans problème ?
15:48– C'est cela.
15:49– D'accord. Et donc, c'est à partir de ?
15:51– À partir de 18h.
15:52– De 18h et jusqu'à ?
15:54– Jusqu'à 23h.
15:55– 23h, vous êtes entre jeunes et plus jeunes.
15:58– Et plus. Et plus. Et plus. Et donc, c'est 23h et plus.
16:02Même question, est-ce qu'on s'inscrit à l'avance ?
16:04– Oui. Alors, il faut s'inscrire à l'avance.
16:07Et pour cela, il y a un lien dans notre biographie Instagram,
16:12mais aussi sur les réseaux sociaux de l'ICEP.
16:14Et donc, vous achetez vos billets en ligne.
16:17Vous aurez aussi l'occasion d'acheter vos billets le jour J.
16:19mais c'est quand même conseillé de réserver à l'avance
16:22parce que les places sont limitées.
16:24– D'accord. Donc, on va pouvoir mettre ici en bas le lien sur lequel on peut appuyer
16:29pour retrouver et cliquer pour acheter les places.
16:32Voilà. Donc, on a les places, on a le lieu, on a l'endroit, on a les intervenants.
16:36Ça nous permet de parler un petit peu d'autre chose, par exemple,
16:39de la suite des événements pour l'ICEP.
16:40Premièrement, parce que vous quittez l'ICEP, vous.
16:43Vous êtes en fin de parcours, si j'ose dire.
16:45– Oui, tout à fait.
16:46– Est-ce que vous avez trouvé de l'employabilité ?
16:48C'est le terme que j'ai lu sur l'ICEP, c'est un terme barbare, donc je l'utilise.
16:52Est-ce que vous avez trouvé de l'employabilité en ce qui vous concerne l'un et l'autre ?
16:55– Alors, pour l'instant, nous, on est tous les deux en stage.
16:57Donc, évidemment, chaque élève de notre promotion a trouvé un stage.
17:02Ensuite, pour un emploi, ça se réagira un petit peu plus tard.
17:04D'abord, c'est un stage de trois mois qu'il nous faut réaliser.
17:07Donc, moi, personnellement, je suis collaborateur d'élus,
17:10avec la députée Marie-France Leroux.
17:13Donc, je suis en circonscription sur Orange.
17:15– Et moi, je suis assistant parlementaire au Parlement européen à Bruxelles,
17:21de M. Nicolas B.
17:22– D'accord, vous avez 1000 kilomètres entre vous deux.
17:24– Exactement, c'est ça. On s'est rejoint à Paris, d'où l'importance.
17:27– La rentrée de l'ICEP, elle s'annonce.
17:31Forte, d'ailleurs.
17:33On m'a parlé de journées portes ouvertes.
17:35Je parle à votre place, d'ailleurs.
17:37– Mais moi, il dit qu'il y aura des journées portes ouvertes.
17:39– Oui, alors, il y a déjà eu des journées portes ouvertes.
17:42Là, il y en aura une au mois d'avril,
17:44une qui arrive au mois d'avril à Lyon.
17:47Car oui, les journées portes ouvertes se passent sur place.
17:52– Et donc, qu'est-ce qu'on fait concrètement ?
17:54Moi, si j'ai mes enfants qui veulent aller à l'ICEP,
17:56où je leur dis que ça serait bien d'aller à l'ICEP,
17:57qu'est-ce qu'il faut prévoir ?
17:58C'est-à-dire qu'il y a déjà des énormes frais d'inscription.
18:01– Mais c'est des frais d'inscription quand même ?
18:02– Non, non, c'est quand même…
18:02– Par rapport à la majorité des entreprises,
18:05enfin, pardon, des écoles,
18:07c'est des frais d'inscription qui sont vraiment très bas,
18:10notamment grâce à nos donateurs,
18:11qui nous permettent d'offrir une qualité de formation
18:15que je dirais presque inégalée,
18:17mais en tout cas à des frais largement accessibles,
18:20si on le souhaite en tout cas.
18:22Et puis, donc, si vous souhaitez inscrire vos enfants,
18:25la première chose que je vous conseille,
18:26c'est évidemment de vous abonner à nos réseaux,
18:28à nos réseaux d'ICEP, on partage notre quotidien,
18:30on essaie en tout cas de plus en plus à partager notre quotidien,
18:33vous verrez nos stages de cohésion,
18:34vous verrez la qualité de nos professeurs,
18:35vous verrez également tous nos événements,
18:37on parlait tout à l'heure du concours d'éloquence,
18:39mais il y en a bien d'autres,
18:41tout ce qu'on organise, le BDE, les CEPIENS, etc.
18:43Donc la première chose, c'est de vraiment vous imprégner de la vie
18:45et vous rendre compte que le prix que vous allez payer,
18:48finalement, il paraît vraiment dérisoire
18:50par rapport à tout ce que ça va permettre
18:51et tout ce que ça va vous offrir.
18:53Et la deuxième chose, évidemment,
18:54c'est de venir aux postes de verde,
18:55qui sont annoncées sur les réseaux sociaux également.
18:57Et puis vous verrez,
18:57vous pourrez discuter avec des anciens élèves
18:59ou des élèves actuels et des professeurs
19:01qui pourront vous guider et vous insurer.
19:03Parce que je sais que parfois,
19:03ça peut avoir un peu peur au début de rentrer dans cette école,
19:06mais vous verrez, vous ne regretterez rien.
19:09– Et ceux qui rentrent dans l'école, ils restent.
19:11Ça, c'est aussi quelque chose de surprenant,
19:12parce qu'il y a des perditions en faculté, n'en parlons pas.
19:14Mais ici, globalement, les gens savent où ils vont
19:17et ils sont contents, satisfaits.
19:19– Ils sont très satisfaits, oui.
19:20– Si vous me dites le contraire.
19:21– Moi, si on prend l'exemple de notre promotion,
19:25honnêtement, c'est 100% satisfait.
19:28– Notre promotion, ça s'appelait ?
19:29– La promotion Saint-Michel.
19:30– Saint-Michel, d'accord.
19:31– Et donc, non, c'était une…
19:32Alors, moi, sur le plan personnel, c'est une vraie réussite.
19:37J'ai vraiment passé deux très belles années.
19:39Et il n'y a aucun regret, il n'y a vraiment que du bonheur.
19:44– Le seul regret, c'est qu'on doit la quitter.
19:46– Oui.
19:47– Et c'est dirigé par, et enfin, on aura fini d'en parler.
19:49– Alors, c'est dirigé par…
19:50– Ils ont dit tout le temps que c'est l'école de Marion Maréchal, je crois pas, non ?
19:52– Non.
19:53Alors, ça a été fondé, il y a, en 2018, par Marion Maréchal,
19:56mais maintenant, c'est dirigé par Madame Victoria Pourchet,
19:59qui est la directrice générale de l'ICEF.
20:02– Voilà, qui se démène et…
20:04– Qui fait un travail remarquable.
20:05– Qui fait un travail remarquable.
20:07– À l'occasion de la saluer, vous voyez,
20:08comme quoi on est vraiment en partenariat avec l'ICEF sur ce débat.
20:12C'est seulement sur ce débat que nous sommes,
20:14le débat des médias, c'est là, au TVL, apparaît et apparaîtra,
20:17notamment, je vous l'ai dit, parce que Lucas Chancerelle représentera TVL,
20:21il interviendra au nom de la chaîne, et on sera ravis qu'il le fasse,
20:24que c'est lui aussi la nouvelle génération de TVL qui se profile.
20:28Merci à vous, qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter,
20:30alors, de plus que ce que vous n'avez ?
20:31Du monde à votre réunion, et ensuite, pour…
20:33– Déjà, du monde à votre réunion, une belle carrière.
20:36– Une belle carrière.
20:37– Après l'ICEF.
20:38– C'est ça, oui, du monde, une belle carrière, et une vie heureuse.
20:41– Et toujours l'amitié, alors, vous continuez tous.
20:44– C'est vrai qu'on peut en parler, on n'en a pas spécialement parlé,
20:47mais on a ce qu'on appelle, rapidement, les alumnis, tout simplement,
20:50c'est les anciens élèves de l'ICEF, et on se réunit régulièrement,
20:54deux fois par an, en général, pour un week-end,
20:57et aussi pour un petit périple qu'on fait entre nous,
21:00pour garder notre réseau, et pour essayer aussi de garder la cohésion,
21:03et vraiment créer, pas juste nous lâcher dans la nature,
21:06et créer quelque chose après.
21:07– Voilà, écoutez, merci à vous.
21:09– Merci à vous, au revoir.
21:10– Sous-titrage ST' 501