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en dédicace les auteurs reviennent des autres
Un report de la Fête du livre 2024, qui réunit pour cette première partie quelques uns des auteurs invités : Mélissa Da Costa, le Parrain Philippe Besson, Philippe Jeanada, Bruno Gaccio qui se reconvertit des Guignols, l’auteur de polar Olivier Norec, le dessinateur pour XIII Olivier Taduc. Autant d’auteurs en lien avec leurs lecteurs. Réalisation Chantale Joassard

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Transcription
00:00Et bonjour, bonsoir, bienvenue dans Côte et Seine pour la fête du livre 2024 de Saint-Etienne.
00:04Et on sait la place que tiennent les dédicaces dans ces fêtes du livre.
00:09Vous, lecteurs, venez pour ça, un peu, un mot, une signature, un dessin et des vies, des émotions qui se racontent.
00:18Alors pour une fois, on a eu envie de prolonger ça et nous serons autour des auteurs, plutôt avec eux.
00:24Une fête du livre qui a organisé plutôt bien ses connexions naturelles avec le public,
00:28même s'il était très nombreux pour Mélissa D'Acosta, la jeune auteure qui a détrôné Musso et Marc Lévy au poste de plus gros vendeurs de livres.
00:37Il y a de quoi à la fois être fière et impressionnée. Elle témoignait.
00:44Je suis toujours un petit peu incrédule. Ça dépasse tout, en fait. Ça dépasse tous les rêves qu'on peut avoir quand on est enfant.
00:52Et moi, je trouve ça incroyable. En fait, je vis un rêve, donc je profite.
00:57Voilà, nous serons donc avec les auteurs de cette file d'attente, patiente, polie.
01:03Il y a bien quelques selfies, mais peu. Une poignée de mots échangés, un instant d'intimité avec quelqu'un dont vous aimez les mots la langue,
01:10la manière de dire, de la confidence à l'écriture du livre à des tranches de vraie vie.
01:14On va laisser faire les discussions comme elles viennent.
01:16Et on rencontre le parent, Philippe Besson, adapté au cinéma par Chéreau, présent pour un soir d'été, son dernier livre,
01:23qui raconte la perte d'un ami vécu à 20 ans dans l'insouciance.
01:28Et c'est la trame de ce roman et sur lequel il se confie, échange avec ses lecteurs.
01:33Voilà, c'est parti.
01:34Je suis déjà venu à deux reprises ici. Je suis content d'être de retour parce que le souvenir que j'en avais,
01:44c'était que les gens étaient extrêmement accueillants, généreux, bienveillants.
01:47Et ça se confirme, donc je suis heureux d'être là.
01:50Donc être un parrain, c'est un honneur et un privilège.
01:52J'espère être à la hauteur de l'honneur et du privilège.
01:55Je vois qu'il y a beaucoup de monde.
01:56Donc ça veut dire que c'est un endroit où les gens aiment se retrouver.
01:59C'est un temps et un rendez-vous que les gens attendent.
02:02Besson qui a multiplié les rendez-vous, grands entretiens.
02:05Qu'est-ce que vous partagez avec les lecteurs ?
02:08Toujours un moment d'intimité parce qu'au fait, on se rend compte que les livres tendent un miroir.
02:13C'est-à-dire qu'au fond, on écrit une histoire et les gens reconnaissent un peu de même.
02:16Et donc ils viennent dire ce qui les a émus, touchés dans un livre.
02:19Et ils commencent à livrer un peu d'eux.
02:21C'est ça qui est beau et touchant parce que tout d'un coup, il y a une intimité qui se fabrique entre nous.
02:25Oui, mais parce que je pense que là, en l'occurrence, oui, c'en est un.
02:30La culpabilité, c'est un fardeau.
02:32Le regret, non, parce qu'au fond, encore une fois, il y a le souvenir de ce qui fut et qui était joli et joyeux.
02:38Donc ça, ça va.
02:39Mais la culpabilité, oui, l'idée de se dire peut-être que je n'ai pas fait ce qu'il fallait, peut-être que j'aurais dû faire autrement.
02:46Ça, c'est quelque chose qui vous hante, qui vient vous...
02:48Je voulais rendre hommage à un disparu, à mon premier disparu.
02:52Dieu sait qu'il y en a eu beaucoup dans ma vie.
02:53Et j'avais envie de dire ce que c'était de perdre quelqu'un à un âge où on pense qu'on ne va perdre personne.
02:59Dire comment tout d'un coup l'âge des possibles se referme.
03:02Comment la jeunesse, qui est le temps de l'insouciance, devient tout d'un coup un temps dangereux.
03:06Et c'est ça que raconte un soir d'été.
03:07Mais c'est surtout une façon de rendre présent quelqu'un qui n'est plus là.
03:12Est-ce que ce livre connaît un très grand succès ?
03:14Donc voilà, ça veut dire que les gens s'y sont reconnus et s'y sont plus.
03:18Il faut dire que c'est aussi un hommage aux années 80.
03:20Donc il y a des gens qui ont reconnu des références culturelles de cette époque-là.
03:24Et voilà, après le livre, il vit sa vie.
03:26Et moi, je vais continuer d'en écrire d'autres.
03:29Encore rongé par cette insouciance des 20 ans, dont il rappelle que c'était un moment charmant, léger, insouciant et épouvantable.
03:38Alors cela nous amène finalement vers Philippe Janeda, qui était encore présent en octobre sur la liste des Goncourt,
03:45avec un huitième ouvrage, qui a pour titre « La désinvolture est une bien belle chose ».
03:49Janeda qui écrit « L'oreille collée au bistrot, petit florilège de ses parenthèses de vie ».
03:54Il adore les parenthèses, dès qu'il nous aura rendu le micro.
03:58Pour vous caractériser pendant ces sept premiers livres, quel est le personnage ? Il a l'air un peu fragile quand même.
04:04Alors, il a l'air à la fois fragile et solide. Je suis costaud.
04:08C'est quelqu'un qui est plein de bonne volonté.
04:11Alors c'est une version de moi, une version simplifiée de moi.
04:14Mais quelqu'un qui est plein de bonne volonté, plein d'empathie, gentil je crois.
04:19Et à qui il arrive tout un tas de problèmes, sans aller jusqu'à catastrophe, mais de mésaventures.
04:25Qui n'a pas beaucoup de chance et qui est surtout un peu naïf.
04:29Simenon disait, pour faire un bon maigret, un bon roman policier, il ne faut pas plus de 4 ou 5 personnages.
04:34Et il faut que la fiction soit plus simple que la réalité.
04:37Moi, dans tous mes livres que j'écris, il y a des dizaines de personnages qui s'entremêlent.
04:42Et c'est loin d'être simple.
04:43On me reproche parfois trop de détails, de digressions, d'à côté, etc.
04:47Vous aimez les parenthèses ?
04:49J'aime bien les parenthèses, oui.
04:50Donc moi, pour écrire, la fiction ne m'intéresse pas.
04:54En tant que lecteur, beaucoup, j'en lis plein.
04:55Je lis plein de romans policiers, c'est toujours de la fiction.
04:57Philippe, j'en ai une question simplement.
05:00Comment écrivez-vous dans votre livre, vous parlez de la désinvolture ?
05:03Alors, la désinvolture, rien n'est plus utile pour moi.
05:07Alors, ça dépend l'étymologique, enfin le sens qu'on lui donne.
05:11Certaines personnes le donnent en sens négatif, c'est-à-dire un peu le j'men foutisme.
05:14Ça vient du latin, de l'italien, je veux dire.
05:16Involto en italien, ça signifie enveloppé, ficelé, enroulé.
05:22Comme les involtini, qui sont les petits, du fromage avec du jambon autour.
05:26Et donc désinvolto, c'est ce qui n'est pas ligoté, ce qui n'est pas ficelé, ce qui n'est pas attaché.
05:30Et moi, c'est une de mes quêtes dans la vie.
05:35J'essaye de me défaire le plus possible de liens, d'attaches, de responsabilités, de contraintes.
05:41On ne peut y arriver que très brièvement.
05:45Mais les jeunes moineaux dont je parle dans mon livre ont vécu deux ans de désinvolture.
05:51Et après, ça s'est retourné contre eux.
05:53Moi, pendant que j'écris le livre, je fais un tour de France tout seul en voiture.
05:56Donc le narrateur raconte ça.
05:58Sans téléphone portable, sans rien, sans aucune attache et sans rien à faire dans les villes que je parcours.
06:05Je l'ai fait en 24 jours, en 24 étapes autour de la France, par les bords.
06:09J'ai vécu 24 jours de désinvolture absolue.
06:13Un autre gars un peu désinvolte, on pense au Ligérien d'origine, Bruno Gassio,
06:17maître des guignols, qui signe à côté d'une pointure du Polar.
06:21Et ça lui fait bizarre, parce qu'il en est créé aussi.
06:23Alors Gassio se confie sur sa nouvelle vie.
06:25Chez Norek, il est fort, il est balèze, il écrit bien, il connaît le sujet, alors que moi non.
06:31Mais je connais mieux le sujet des guignols que lui.
06:33Donc j'écris aussi sur l'écriture.
06:35Mais ma nouvelle vie, j'ai une nouvelle vie depuis quelques temps,
06:40qui est d'écrire des romans et des Polar.
06:44Parce que j'ai fait un Master 2 de littérature et que quand j'ai fait ce Master 2, à 60 ans,
06:50une des docteurs en littérature qui s'occupait de ce mémoire et tout ça,
06:55m'a dit que je n'ai jamais écrit un livre parce que je n'ai pas d'idées.
06:57Et je lui avais dit qu'on n'écrit pas avec des idées, on écrit avec des envies.
07:00Elle m'a dit que je ne te crois pas, ce n'est pas vrai.
07:01Alors je lui ai répondu, je t'envoie deux pages dans deux heures.
07:08Elle m'a dit sur quel thème ?
07:09Je lui ai dit, je n'en sais rien.
07:10Écrire, c'est écrire.
07:11Donc je vais écrire et je ne sais pas ce que ce sera.
07:13Et bien les deux pages que je lui ai envoyées sont les deux premières pages de ce livre-là.
07:19Et depuis, il y en a eu trois autres.
07:22Il y a eu des tomes derrière qui se sont succédés.
07:25Donc du coup, j'ai changé mon fusil d'épaule
07:28et j'adore écrire des polars qui sont plus des romans noirs.
07:34Et aujourd'hui, je dédicace des bouquins à côté de Norek
07:37qui est quand même un maître en la matière.
07:39Et je suis très intimidé.
07:41Et si je trouve ça vachement bien, j'espère qu'on pourra parler un petit peu.
07:44Mais il y a une file d'attente de ouf pour lui.
07:47Et avant de quitter Bruno Gassio, ce petit rappel.
07:51Il a écrit la préface de l'un des numéros de Gaga de Saint-Etienne.
07:55Je dis ça, mais oui, c'est ça que vous l'avez lu
07:57puisque vous avez fait une super préface
07:58qui a été...
07:59Merci beaucoup, en tout cas.
08:02Et quelque part, nous, on a un travail qui a été un peu parallèle
08:06avec les livres Gaga de Saint-Etienne
08:07dans un sens où nous, on a voulu vulgariser l'histoire
08:11en le faisant par l'humour.
08:13Voilà.
08:13Gassio a fait un travail parallèle avec la politique.
08:16Grande fierté d'avoir Bruno Gassio.
08:17Ça, vraiment, c'est chouette.
08:20D'ailleurs, c'est pas un peu ironique pour un Stéphanois
08:23d'être fait connaître grâce à une spécialité lyonnaise,
08:26le guignol.
08:28Saint-Etienne, c'est un petit raison.
08:30Parce que par A plus B, on connaît tous quelqu'un
08:32qui connaît quelqu'un.
08:34J'ai croisé Amélie Louton, mais rien à foutre.
08:38Et bien, rien à foutre.
08:39C'est aussi une femme, hein ?
08:43Non, non, mais j'ai toujours une réticence sur l'écriture industrielle.
08:49J'ai fait les guignols pendant 17 ans, personnellement.
08:55C'est une émission qui a duré 30 ans et c'était de l'écriture industrielle.
08:59Et maintenant, rencontre avec Norek, le maître du polar.
09:03Pourquoi ? Il nous explique.
09:04Alors, moi, j'écris du polar parce que ça vient des relations sociales,
09:13ça vient de mon travail de policier.
09:17Et dans le roman policier, le malheur, il tombe sur tout le monde,
09:20quelle que soit la classe, quelle que soit la couleur,
09:22quelle que soit la religion, quel que soit l'âge, quel que soit le genre.
09:25Et donc, ça parle de nous, ça parle d'absolument tout le monde.
09:28S'il y a bien vraiment quelque chose qui ne fait aucune différence avec tous les humains,
09:34c'est la violence et c'est la mort.
09:37Donc, moi, dans mon travail de policier, ça m'a permis d'aller voir toutes les classes sociales
09:40et d'aller discuter avec tout le monde et de rencontrer tout le monde.
09:43Et dans le roman policier, ça parle à tout le monde parce que, justement, ça touche tout le monde.
09:46Donc, le roman policier, c'est vraiment le roman le plus ancré dans l'actualité.
09:51J'ai tendance à dire que les romans policiers sont des livres d'histoire en avance, en fin de compte.
09:55Alors, le dernier, c'est l'histoire de la Russie qui va attaquer l'Infaland en 1939.
10:00C'est l'histoire d'une guerre de 105 jours qui a été complètement oubliée des manuels scolaires et de l'histoire.
10:06Mais le sujet qui est derrière, c'est si jamais un jour on retombe dans l'engrenage d'une guerre,
10:11comment elle va se dérouler ?
10:13Ça commence comment la guerre ? Ça commence comment le chaos ?
10:16Et sur une planète où il y a une cinquantaine de pays qui sont en guerre,
10:19une cinquantaine d'étincelles qui attendent qu'un embrasement,
10:24ce livre-là, c'est un appel au pacifisme et c'est aussi un rappel pour dire que l'Europe doit être force de diplomatie
10:31et certainement pas force de vat en guerre ou de force martiale.
10:37Évitez à tout prix de mettre le doigt dans l'engrenage des guerres
10:39parce qu'on sait jamais comment ça commence, on sait jamais à quelle rapidité ça se propage.
10:45Et les militaires disent toujours, la guerre, il faut toujours un premier mort pour y croire
10:48parce que justement, on a toujours l'impression que ce sera demain, que ce sera demain,
10:51qu'on peut la repousser, qu'on peut la repousser, mais le jour où ça nous tombe dessus,
10:54on sait jamais à quelle vitesse ça va partir.
10:56L'histoire, elle est dans les livres.
10:58Mais ce qu'elle raconte après, on peut échanger dessus.
11:01Il reste beaucoup à dire.
11:03Moi, j'utilise vraiment les polars comme un alibi.
11:05J'ai toujours un sujet méta qui va sortir justement du polar.
11:09Et tout le polar est dans le livre, mais le sujet du livre, le combat du livre,
11:15c'est à partir de là, une fois que le livre est terminé,
11:17qu'on peut commencer à en parler avec les lecteurs et les lectrices.
11:20Je ne peux pas parler du livre ou en tout cas du sujet méta tant que le livre n'a pas été lu.
11:24Donc c'est pour ça que ce moment d'échange, ce moment de rencontre, il est utile, il est agréable
11:27parce qu'on peut déborder de l'histoire du livre et parler de ce qu'il y a derrière,
11:33de ce qu'il y a entre les lignes.
11:34L'Orec qui a été pris, Renaudo, Prigiono, qui synthétise vite, qui explique avec clarté.
11:40Et dans ce dernier roman, on ne peut pas ne pas entendre la guerre en Ukraine.
11:43Le sous-texte, sans doute.
11:45On fait une petite pause, on quittons le grand chapiteau pour le Magic Mirror.
11:49Et cette rencontre entre une graffeuse et le dessinateur de Jones.
11:59Nouveaux albums de 13, qui pour toute une génération sont très attendus.
12:04Les éditeurs de la baie des cultes ont confié à Olivier Taduc le personnage du capitaine Jones, un personnage culte.
12:11Ici, très politique, il est loin de l'égérie de la salle, Whitney Houston.
12:16Il nous explique comment et pourquoi.
12:19Et voilà.
12:22Jones a été dessiné sous les traits de Whitney Houston.
12:25Est-ce que vous pensez que c'était une image juste pour cette lieutenant américaine ?
12:29Je pense qu'il faut partir de quelque chose et se l'approprier.
12:33Moi, j'ai du mal avec ces personnages qui ressemblent trop à leur influence, c'est-à-dire à une actrice.
12:40Parce qu'à chaque fois que je vais feuilleter, je vais me dire « le dessinateur l'a réussi » ou « le dessinateur l'a raté ».
12:47Je préfère que le dessinateur se l'approprie plutôt que de…
12:53En tout cas, moi, c'était mon désir à moi, de me l'approprier de Jones.
12:56Je ne veux pas forcément me référer à Whitney Houston.
12:59Parce qu'on aurait pu croire que je la ratais par moments.
13:07Au moins, là, on ne peut pas me le reprocher.
13:11Quel plaisir vous avez à dessiner une Jones.
13:13Quel plaisir ! Déjà le plaisir de dessiner une jolie fille.
13:17Ça, c'est énorme.
13:19Et puis surtout, de se frotter à l'univers de très grands auteurs comme Jean Van Amme et William Vance.
13:27Ça, c'est un grand plaisir aussi.
13:28Le tome 11 d'Alcoye.
13:33Vous voyez, c'est celui-là.
13:34Et comme ça, c'était bien passé.
13:36Ils se sont dit « c'est quelqu'un de confiance, on peut lui confier d'autres choses ».
13:40Donc là, bon, ça permet de raconter une histoire un petit peu plus étonnée.
13:45Et dans ce Jones, on découvre tout un contexte politique pas forcément présent jusqu'ici dans 13.
13:51Qu'est-ce que ça induit dans votre manière d'aborder le dessinateur ?
13:55Ce qui est bien, c'est que le scénariste a écrit une histoire qui se rapproche d'événements historiques
14:02qui se sont passées réellement dans les années, fin des années 60, début des années 70,
14:08avec la prise de l'île d'Alcatraz par les Amérindiens.
14:14Et ça, ils l'ont gardé d'ailleurs sur une période de deux ans, je crois.
14:21Donc ça, c'est assez étonnant.
14:23Et je trouve qu'il a été assez malin, le scénariste, là-dessus,
14:26d'utiliser cet événement pour en faire, on va dire, une aventure politique.
14:33Parce que c'est le début de la réclamation des droits des Indiens et puis des Noirs, des Afro-Américains aussi.
14:44Donc c'est ancré dans un contexte politique très fort.
14:48En tout cas, plus politique dans cette série-là que dans 13 au départ.
14:53Non, là, c'est plus lié, on va dire, à l'attentat qui a eu lieu contre Kennedy.
14:58Alors que là, c'est plutôt les droits sociaux, la revendication des droits sociaux.
15:04Et après les dessins de TEDU, très accessibles au public,
15:07nous ferons de nouveau une pause ici au Magic Mirror.
15:10Avant les échanges que vous attendez tous avec Mélissa D'Acosta.
15:15Mais ce sera dans un prochain épisode.
15:17On se retrouve dans un prochain numéro de Côté Seul autour de la fête du livre.
15:22Merci à vous.
15:28Merci à vous.

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