Bâtie à travers une dense forêt équatoriale, sur un sol parfois instable ou juchée sur des ponts suspendus, la voie ferrée du Transgabonais entame une modernisation compliquée mais impérative pour continuer à transporter voyageurs, minerais et bois d'un bout à l'autre du Gabon.
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00:00Donc on parle de libre-huile, pour Kulamotu,
00:26pas de train, parce qu'en fait on n'a pas le choix.
00:28D'accord ?
00:29La route n'est pas bonne, elle n'est pas prudente,
00:32il n'y a pas de transport organisé.
00:34Avant il y avait des avions, les avions n'y parlent plus,
00:37il n'y a plus de compagnie aérienne,
00:38donc on est obligé de prendre le train.
00:40C'est un défi technique, notamment pour le renouvellement de la voie,
01:04puisqu'on a changé deux ingrédients, deux constituants de la voie qui sont importants,
01:11c'est à la fois les traverses qui sont passées de traverses bois,
01:14qui pourraient rester relativement vite en 20 ans des traverses béton,
01:18et on a mis du rail plus épais, plus lourd,
01:20qui résiste mieux au trafic minéralier qu'on constate actuellement sur le Transgabonais.
01:26et on a mis du rail plus épais de la voie qui sont passées à la voie qui sont passées à la voie qui sont passées à la voie qui sont passées par la voie.