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POLITIQUE - L’autre bataille de Dunkerque. Le dossier emblématique ArcelorMittal est au cœur des discours politiques et syndicaux ce jeudi 1er mai. Profitant de la journée des travailleurs, les oppositions soulignent les craintes que provoque le plan de suppression d’environ 600 postes annoncé par le sidérurgiste, critiquant au passage la politique industrielle de la France.

Ainsi, de nombreux dirigeants et élus de gauche (toutes tendances confondues) se sont rendus à Dunkerque, sur l’un des sites les plus menacés, pour soutenir les salariés. À Paris, dans les cortèges syndicaux, ou à Narbonne, au meeting du Rassemblement national, le cas de ce géant industriel prompt à délocaliser ses activités en Inde a trouvé place dans toutes les prises de parole.

Avec un seul mot d’ordre à gauche, comme à l’extrême droite ou chez les responsables syndicaux : le gouvernement doit mettre les mains dans le cambouis, l’État se mobiliser pour éviter tout licenciement.

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00:08Allez, partez-là, on nous va devant !
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00:47Si ArcelorMittal ne veut pas
00:49prendre ses responsabilités, que l'Etat prenne les siennes,
00:51à nationaliser, de manière temporaire
00:53ou définitive, mais à faire en sorte
00:55que les salariés ne soient pas abandonnés.
00:57On ne lâchera pas ses salariés,
00:59parce que ce serait un drame social,
01:01un drame économique, un drame environnemental
01:03aussi, que cet assis, on importe
01:05de Chine, des Etats-Unis,
01:07mais aussi un drame en termes de souveraineté industrielle.
01:09...
01:11ArcelorMittal, qui s'est servi dans notre pays,
01:15avec la complicité de tous ceux qui,
01:17quelques mois auparavant, continuaient à gorger
01:21cette entreprise d'argent public.
01:23Nous ne permettons pas qu'on vende ou qu'on ferme les usines d'Arcelor !
01:29C'est la raison pour laquelle nous demandons la nationalisation d'Arcelor !
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