Jean-Marc Morandini et ses chroniqueurs décryptent l'actualité des médias dans #MorandiniLive
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00:00avait demandé aux catholiques de France de non pas se rallier à la République des idéaux de 1789,
00:07mais de se rallier aux institutions de la République consulaire,
00:12et puis par la suite aux autres institutions, en rappelant d'ailleurs qu'il y avait plusieurs régimes en France,
00:17et que c'était la place des catholiques que d'exercer des fonctions dans la société,
00:21de manière à influencer, parce que la religion, il y a les dogmes, il y a les croyances religieuses,
00:30mais il y a aussi des conséquences humanistes, et la manière de traiter l'homme,
00:34et on va le voir récemment en France avec le débat sur la fin de vie, n'est-ce pas ?
00:40Un chrétien, un évêque, ne peut pas rester indifférent à ce sur quoi on va légiférer en matière de fin de vie,
00:48et quand on dit « ne vous mêlez pas de politique, c'est de la politique, etc., parce qu'on va voter à l'Assemblée nationale »,
00:55mais justement, si nous ne voulons pas que la politique se fasse dans la rue à coups de fusil,
01:00et par la guerre civile, il faut utiliser les bulletins de vote.
01:05Si on veut répondre des idées autrement que par des haut-parleurs qui appellent à la guerre civile,
01:11à l'antifada ou que sais-je encore, il faut qu'il y ait des articles dans la presse,
01:16et pas des articles dans la presse qui vont dans un seul sens,
01:20mais des articles qui expliquent, qui permettent d'avoir un débat.
01:24Tout de même, les Français, il ne faut quand même pas les abétir,
01:27c'est tout de même un peuple qui y a eu,
01:30parce que maintenant il est encore en train de baisser,
01:33il n'y a qu'à voir la baisse du français,
01:35je suis encore rendu compte à Rome, on parle de moins en moins français.
01:38C'est grave ça, parce que j'ai connu une autre époque à Rome
01:42où beaucoup de gens parlaient français,
01:44et là on parle de moins en moins français.
01:47Alors, il faut arrêter d'abétir les Français.
01:50Je le dis d'abord pour mes collègues,
01:51il faut que nous arrêtions dans nos homélies à infantiliser les gens,
01:56et à leur raconter des choses qui n'ont rien à voir,
01:59faire des leçons de critique.
02:00Vous allez plus loin que le pape,
02:02parce que le pape puisse adresser aux journalistes en disant
02:05« Ne jamais c'était à la médiocrité »,
02:07vous vous dites « Moi, je m'adresse à mes collègues dans les homélies,
02:09attention à ne pas infantiliser ».
02:11Vous allez plus loin que le pape.
02:13Oui, parce qu'il faut d'abord balayer devant sa porte
02:15avant de balayer devant celle des autres.
02:17Le pape l'a dit, je ne vais pas répéter ce qu'il l'a dit,
02:20il l'a dit excellemment,
02:21je ne me permettrai pas d'en rajouter,
02:22il a dit tout ce qu'il fallait aux journalistes,
02:24mais je dis que quand on ne veut pas de la médiocrité dans les journaux,
02:28commençons aussi par ne pas vouloir de la médiocrité dans nos églises
02:32et dans nos catéchismes et dans nos homélies.
02:34Voilà.
02:35Vous avez le sentiment qu'un pape comme lui,
02:37aujourd'hui, est capable de faire revenir des gens vers l'église ?
02:41J'en suis certain.
02:44Certain.
02:46Certain.
02:46Et je suis, voyez-vous,
02:48je me demandais pourquoi,
02:49ayant été très malade,
02:50j'avais survécu un peu comme par miracle,
02:52puisque mon médecin me disait que j'avais des actions là-haut.
02:55Eh bien, écoutez, au moins, je sais que j'ai au moins vécu pour voir ça.
03:00Voilà.
03:01Et ensuite...
03:03C'est un beau message d'espoir, en tout cas, mon père.
03:04Merci beaucoup.
03:05Merci d'avoir été avec nous pour commenter ce moment
03:09qui nous a permis de mieux cerner ce pape, Michel Fayad,
03:13de mieux comprendre qui était vraiment ce pape.
03:16Et encore une fois, je l'ai dit, moi,
03:17ce qui me frappe, c'est sa connexion avec le temps,
03:21c'est sa connexion avec notre époque
03:22et sa connexion aussi avec les gens.
03:24Quand on l'a vu traverser la foule, c'était intéressant de le voir.
03:26Parce qu'au début, on nous a dit, vous allez voir,
03:27c'est un pape qui est plutôt timide,
03:28c'est un pape qui est plutôt réservé.
03:30C'est fini.
03:31Moi, quand je l'ai vu là,
03:33c'était un pape qui occupait pleinement sa fonction.
03:35Absolument.
03:35Il est sorti comme une rockstar, comme un catcheur.
03:37Exactement.
03:37J'avais l'expression en tête,
03:39je n'ai pas voulu l'employer pour ne pas être irrespectueux,
03:41mais j'avais le sentiment.
03:42C'était une rockstar qui traversait la foule
03:45et qui saluait tout le monde.
03:46Et puis, on a vu aussi quand même un côté,
03:48beaucoup de simplicité, au final,
03:54on a vu qu'il a même discuté avec certains
03:55qui avaient le drapeau péruvien.
03:57Il a pris une écharpe,
03:58il a mis autour du cou une écharpe qu'on lui a offerte,
04:00il a mis autour du cou également,
04:02il a béni les enfants,
04:03il a touché les enfants.
04:04On était vraiment sur quelque chose de très fort.
04:06Absolument.
04:07En fait, ce qui est très intéressant,
04:09c'est qu'il est jeune.
04:10Comme on l'a dit, pour un pape, 69 ans,
04:12c'est extrêmement jeune.
04:13Il est donc au contact de la jeunesse
04:16et donc des outils de la jeunesse,
04:18comme l'intelligence artificielle,
04:19comme les réseaux sociaux.
04:20Il en a parlé, il a parlé des deux d'ailleurs.
04:22Il a parlé également énormément des réseaux sociaux.
04:24Et donc, je pense aussi que ce qui est très intéressant avec lui,
04:28c'est qu'il a cette idée de participer à la chose politique,
04:33mais d'une manière beaucoup plus, disons, démocratique.
04:37Puisqu'il a dit d'ailleurs hier dans son homélie
04:41comme quoi il souhaitait en fait entendre
04:44tous ceux qui l'entourent.
04:45Donc, il voudrait vraiment parler avec tous les évêques
04:48et donc des évêques de toute tendance.
04:50Parce que ce qu'on avait vu un peu avec le pape François,
04:53c'était quand même assez fermé vers une seule idée.
04:56Et là, on retrouve une certaine ouverture.
04:58Et donc, c'est assez intéressant pour l'église.
05:00Et c'est rassembleur.
05:01Parce que justement, je pense que
05:03s'il y a des idées qui sont beaucoup plus,
05:06disons, rassembleuses
05:08et qui parlent à tout le monde,
05:10eh bien les gens reviendront dans les églises.
05:12Et on voit notamment aujourd'hui, je veux dire à Pâques,
05:16il y a quelques jours,
05:17on avait vu quand même les églises assez fermées.
05:18Les églises qui se remplissaient.
05:20Et même, alors, tous les religieux avec qui j'ai parlé,
05:23moi, à ce moment-là, m'ont dit
05:24on ne comprend pas trop pourquoi.
05:26Finalement, on ne comprend pas trop
05:27pourquoi il y a ce phénomène en ce moment en France,
05:28pourquoi il y a ce retour vers les églises.
05:31Ils s'en réjouissent, bien évidemment.
05:32Mais c'est vrai qu'il n'y a pas d'explication très précise
05:34sur la raison.
05:36Mais on le sent, ça infuse dans la société d'aujourd'hui.
05:38Il y a cette petite musique qui dit que finalement,
05:41dans ce monde que peut-être on ne comprend plus,
05:43dans ce monde où on n'a plus nos repères,
05:45il y a peut-être un repère qui est un repère divin,
05:47pour ceux qui croient,
05:48en tout cas qui reste quelque chose de fort.
05:49Voilà donc ce qu'on pouvait dire sur Léon XIV
05:52et sur ce pape qui a pris la parole aujourd'hui.
05:55Vous l'avez vécu en direct sur CNews.
05:56On a essayé de vous aider à comprendre tout ça.
05:59Alors, il a beaucoup parlé des journalistes.
06:00On va terminer en parlant d'un autre sujet rapidement
06:02qui n'a rien à voir,
06:04mais qui concerne les journalistes également.
06:06C'est ce qui s'est passé dans l'émission.
06:07Quelle époque ?
06:08C'était samedi sur France 2.
06:10Je voulais à tout prix qu'on en dise un mot
06:11avec Thierry Ardisson qui a fait des comparaisons
06:13qui ont fait polémiques.
06:15Et puis, il y a également l'état d'esprit de cette émission
06:17et de France 2 en particulier qui pose question.
06:19Tout d'abord, retour donc sur les propos de Thierry Ardisson.
06:23Comparer la situation à Gaza, à Auschwitz,
06:26c'est le parallèle fait par Thierry Ardisson
06:28sur le plateau de l'émission « Quelle époque ? »
06:30alors que Léa Salamé l'invitait à réagir
06:32aux images de Gaza dévastées
06:34et aux témoignages du médecin Raphaël Pity.
06:37« Les images que nous avons de ces enfants totalement dénutris,
06:40ce sont des images inacceptables.
06:42C'est ce qu'on a vu pendant la dernière guerre,
06:44c'est ce qu'on a vu dans les camps de concentration. »
06:46Réponse de Thierry Ardisson.
06:48« Je crois que vous avez raison, c'est Auschwitz quoi. »
06:50Une déclaration prononcée sans qu'aucune réaction immédiate
06:53ne vienne l'interrompre sur le plateau.
06:55« Cette indifférence en fait, non seulement cette indifférence,
06:58mais presque cette caution morale qui est apportée
06:59par les personnes qui sont présentes sur le plateau,
07:02qui acquiescent aux propos tenus par Ardisson,
07:04le fait que personne ne s'en émeuve,
07:06que personne ne vienne apporter la contradiction,
07:08c'est aussi extrêmement problématique. »
07:10L'organisation juive européenne a annoncé avoir déposé
07:13une plainte auprès de l'Arcum et effectué un signalement.
07:16Dans la foulée, le CRIF a réagi sur X
07:18par la voix de son président, Jonathan Arfi.
07:20« Non, Thierry Ardisson, Gaza n'est pas Auschwitz.
07:23Aucune critique d'Israël ne justifie de le nazifier.
07:26La situation au Proche-Orient est suffisamment compliquée
07:29et difficile pour ne pas avoir besoin de ces confusions coupables. »
07:33Face à la polémique, Thierry Ardisson a présenté ses excuses
07:36dans un communiqué.
07:37« L'émotion était sans doute trop forte et mon propos exagéré.
07:40Je prie mes amis juifs de bien vouloir me pardonner. »
07:43De son côté, l'émission « Quelle époque »
07:45a elle aussi réagi sur les réseaux sociaux,
07:48disant comprendre l'indignation suscitée par ses propos.
07:52« Alors, il y a plusieurs choses dans cette émission.
07:53Il y a d'abord Thierry Ardisson.
07:55Moi, je trouve qu'il a présenté ses excuses, j'ai envie de dire.
07:57Bon, voilà, il s'est laissé peut-être embarquer
07:59par ce qui se passait sur le plateau.
08:00Je pense que pour une fois, quelqu'un présente ses excuses
08:02et reconnaît qu'il s'est trompé.
08:04Je crois qu'il ne faut pas en faire des tonnes sur Thierry Ardisson.
08:06La deuxième chose, quand même, c'est la séquence.
08:08Pourquoi est-ce qu'elle a été diffusée ?
08:09Si tout le monde est choqué par cette séquence,
08:11aujourd'hui, c'est une émission qui a enregistré.
08:13C'est une émission qui a été enregistrée vendredi.
08:15Et vous savez, quand on enregistre une émission comme celle-là,
08:17vous avez en régie, à ce moment-là,
08:19lors de l'enregistrement, quelqu'un qui est de la direction de la chaîne.
08:21Vous avez, en général, un juriste
08:24qui soit fait partie de la chaîne,
08:25soit également fait partie de la société de production
08:27et qui juge si les propos sont diffamatoires ou pas.
08:30Et puis après, l'émission, elle est montée.
08:31À ce moment-là, elle est revue à nouveau par la chaîne
08:33et la chaîne décide, oui ou non, de la diffuser.
08:35Elle a été diffusée.
08:36Donc, ça veut dire que la chaîne, à ce moment-là,
08:37a validé tout ce qu'il y avait dans cette émission.
08:40Et c'est peut-être ça qui est le plus gênant, finalement.
08:44Et vous avez, d'ailleurs, le communiqué de quelle époque ?
08:46On peut revoir, peut-être, le communiqué d'excuses de quelle époque ?
08:50Il est intéressant parce qu'à aucun moment,
08:52en fait, il n'y a d'excuses dans ce communiqué.
08:54Le communiqué dit, comme souvent...
08:57Alors, ça, c'est celui de Thierry Ardisson, pardon, que j'ai.
08:59C'est celui-là.
08:59Suite à l'émission diffusée hier,
09:00l'équipe de quelle époque tient à exprimer sa compréhension.
09:04Sa compréhension, ils ne s'excusent pas.
09:05Sa compréhension devant les réactions d'alignation.
09:07Donc, ils comprennent.
09:08Mais ils ont décidé de le diffuser.
09:10Et il n'y a pas d'excuses.
09:11Dylan Slamat, un petit mot, peut-être ?
09:13Oui, on a parlé, il y a un instant, en évoquant le pape,
09:15il y a quand même un lien.
09:16On a évoqué la liberté d'expression.
09:18La liberté d'expression, moi, je pense que c'est aussi la liberté de dire
09:20et d'entendre parfois des conneries.
09:22Ce qu'a dit Thierry Ardisson, c'est une connerie.
09:23Je ne suis absolument pas d'accord.
09:24Je trouve ça scandaleux.
09:25Je trouve ça indigne, etc.
09:27Maintenant, la liberté d'expression, c'est aussi permettre
09:29que des conneries, parfois, puissent être dites dans le champ public.
09:31On n'est pas dans un débat parlementaire.
09:33C'est une mission de télé.
09:33C'est une mission de divertissement.
09:34Thierry Ardisson n'est pas un spécialiste de ce domaine-là.
09:36Il s'en est excusé en son nom.
09:38Pourquoi est-ce que ça n'a pas été coupé avant la diffusion ?
09:40Moi, c'est ça plutôt qui m'intéresse.
09:41Parce qu'on sait très bien.
09:42Non, mais que Thierry Ardisson sur un plateau ?
09:44Alors, en plus, parce qu'il y a le cas du docteur Pity.
09:46Oui, oui.
09:46Qui était également, on va en parler dans un instant,
09:48qui était également sur le plateau.
09:50Parce que ce fameux docteur Pity,
09:51qui, effectivement, était très émouvant quand on parlait.
09:54Personne n'a expliqué qui c'était cet homme.
09:58Et on va voir, par exemple, une affiche
10:00avec ce fameux Raphaël Pity.
10:02Vous le voyez.
10:03Cette affiche, elle est signée de place publique,
10:06qui est quand même le mari de Léa Salamé,
10:09le Raphaël Glucksmann, qui tient place publique.
10:12Et il s'est présenté avec l'Union de la Gauche à l'époque,
10:17c'est-à-dire le nouveau front populaire.
10:18Donc, ce n'est pas juste un docteur,
10:20c'est un politique qui vient s'exprimer.
10:22Ça aussi, c'est une erreur de ne pas nous le dire.
10:23C'est deux sujets différents, mais je suis d'accord avec vous.
10:24Non, c'est le même sujet.
10:25Mais c'est deux sujets différents.
10:26Parce que, visiblement, Thierry Rardi-Poix a été embarqué
10:28par les propos de cet homme.
10:30À mon avis, il a dû se dire, c'est un humanitaire
10:31qui vient là, qui raconte ce qu'il a fait.
10:33C'est touchant.
10:34Mais en réalité, c'est un politique qu'ils avaient sur le plateau.
10:36Mais c'est plus que ça.
10:37Pourquoi on ne nous le dit pas ?
10:38C'est plus que ça.
10:39Il s'était exprimé, je crois que ça a été dénoncé par M. Tapirot,
10:41il s'était exprimé en disant, lui aussi,
10:43que le Hamas était un mouvement de résistance
10:44et que le Hamas était utile pour défendre les Palestiniens.
10:48Enfin, un mouvement terrorististe qui a violé.
10:51Et que le ministre de la Santé du Hamas
10:53était un homme privé.
10:54Non, mais c'est extraordinaire.
10:55On a cet extrait, on l'a retrouvé.
10:56Regardez.
10:58Vous avez discuté avec de très nombreux Palestiniens de Gaza.
11:01Je suis allé plusieurs fois, Rafa.
11:03Plusieurs fois, je sais, oui.
11:04Je suis allé voir le ministre de la Santé.
11:07Je suis allé voir le maire de Rafa.
11:10Je suis allé dans tous les zones, etc.
11:11Le ministre de la Santé du Hamas, je précise.
11:13Oui, oui, du Hamas qui se cache dans un hôpital, etc.
11:16Il sait qu'il sera ciblé s'il sort, etc.
11:21Un homme admirable pour le travail qu'il est en train de faire.
11:24Alexandre Arnid, le collègue est en train de mourir.
11:25Non, non, mais c'est évidemment que c'est...
11:26Le ministre de la Santé du groupe terroriste du Hamas
11:28qui est un homme admirable.
11:29C'est insupportable.
11:30Je rappelle évidemment que le Hamas,
11:32par ses attentats, a violé des femmes.
11:34C'est un groupe terroriste.
11:35Il monde.
11:37Et juste, ça montre quand même
11:39qu'il y a un vrai problème dans le service public actuellement
11:41avec une surreprésentation des idées de gauche.
11:44Et malheureusement, dans les idées de gauche,
11:45il y a tout un mouvement qui s'exprime en étant anti-Israël,
11:49anti-sioniste de plus en plus,
11:51et qui vire à l'antisémitisme.
11:52Et ça se voit dans leurs manifestations.
11:54Ça se voit par leurs responsables politiques.
11:56Et malheureusement, dans ceux qui interviennent...
11:57Il faut le laisser parler, cet homme-là.
11:59Moi, j'ai aucun souci à ce qu'il y a sur l'antenne.
12:01Il faut juste dire qui c'est.
12:01Il faut juste dire qui c'est
12:03et pas dire c'est un humanitaire qui vient nous raconter des choses.
12:05Non, c'est un politique.
12:06Et Léa Salamé sait forcément qui c'est.
12:08Moi, je ne la connais pas, Léa Salamé, pour tout vous dire.
12:10Ça fait partie des rares personnes, des médias que je ne connais pas.
12:13Mais pourquoi est-ce qu'elle ne nous dit pas qui est cet homme ?
12:15Enfin, il s'est présenté...
12:17Et pourquoi France 2 n'a fait aucun communiqué depuis avant-hier ?
12:21Pourquoi aucun message de la part de France 2 ?
12:23Ils sont où, France 2 ?
12:24Ils laissent monter au créneau la société de production
12:26qui ne s'excuse pas.
12:27Et France 2 ne fait pas un seul message.
12:28Encore une fois, c'est deux sujets différents.
12:29Pour moi, ça reste deux sujets différents.
12:31C'est très problématique de ne pas dire qu'il y a cet individu.
12:33Je suis totalement d'accord.
12:33Sur Thierry Radisson, pour moi, ça relève de la liberté d'expression.
12:36Et je trouve qu'à un moment, on doit pouvoir l'éteindre.
12:37C'est quand même une paraison inadmissible.
12:39Mais je suis d'accord, je ne suis pas d'accord.
12:40Mais je suis pas d'accord.
12:42La liberté d'expression, c'est l'experté de dire des candidats.
12:44Merci à tous, il y avait beaucoup de choses.
12:45Je suis d'accord avec vous.
12:45Mais sous le fond, je suis d'accord avec vous, évidemment.
12:48A demain.
12:48Et d'ici là, soyez prudent.
12:49Dans un instant, c'est Sonia Mabrouk.
12:50A demain.