Lundi 06 Juin 2011 : Intervention d'Elie DOMOTA à la Bourse du travail sur la répression et la situation en Guadeloupe.
Où, deux ans après la grève générale de 44 jours, une vague de répression s’abat sur les responsables et les militants de l’Union générale des travailleurs de Guadeloupe (UGTG), tandis que l’Etat français et le patronat refusent de mettre en œuvre les « Accords Jacques BINO », signés avec le LKP à l’issue de la grève de 2009. Une répression antisyndicale d’une brutalité sans précédent qui contrevient aux conventions de l’OIT garantissant le libre exercice du droit syndical et que l’Etat français a ratifiées.
De retour de la Rencontre en défense des conventions de l’OIT et de l’indépendance des organisations syndicales (Genève 4-5 juin), à l’initiative de l’Entente internationale des travailleurs et des peuples, Elie DOMOTA, secrétaire général de l’UGTG et porte-aprole du LKP a pris la parole le lundi 6 juin, aux côtés de militants ouvriers français et de Maître Hélène Carrera-Rubinstein, avocate honoraire et membre du bureau du Comité international contre la répression (Cicr), qui était présente au procès du 20 mai.
Où, deux ans après la grève générale de 44 jours, une vague de répression s’abat sur les responsables et les militants de l’Union générale des travailleurs de Guadeloupe (UGTG), tandis que l’Etat français et le patronat refusent de mettre en œuvre les « Accords Jacques BINO », signés avec le LKP à l’issue de la grève de 2009. Une répression antisyndicale d’une brutalité sans précédent qui contrevient aux conventions de l’OIT garantissant le libre exercice du droit syndical et que l’Etat français a ratifiées.
De retour de la Rencontre en défense des conventions de l’OIT et de l’indépendance des organisations syndicales (Genève 4-5 juin), à l’initiative de l’Entente internationale des travailleurs et des peuples, Elie DOMOTA, secrétaire général de l’UGTG et porte-aprole du LKP a pris la parole le lundi 6 juin, aux côtés de militants ouvriers français et de Maître Hélène Carrera-Rubinstein, avocate honoraire et membre du bureau du Comité international contre la répression (Cicr), qui était présente au procès du 20 mai.
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