Quand les philosophes parlent de la condition d’étranger…
Étranger donc autre : l’envers du voyage
Le voyage et son dépaysement valorisent la figure de l’étranger, alors que les migrants et les sans droits, que l’on étiquette « étrangers », sont placés en dehors de la visibilité sociale : au revers d’une normalité de l’appartenance à un ici et maintenant.
Quelle serait une philosophie de « l’envers » qui questionne l’étranger ?
Pour l’évoquer, le philosophe Guillaume Le Blanc, professeur à l’université de Bordeaux-3, l’auteur de Vies ordinaires, vies précaires (2007), L’invisibilité sociale (2009), Dedans, dehors. La condition d’étranger (2010) et de Que faire de notre vulnérabilité ? (2011).
Étranger donc autre : l’envers du voyage
Le voyage et son dépaysement valorisent la figure de l’étranger, alors que les migrants et les sans droits, que l’on étiquette « étrangers », sont placés en dehors de la visibilité sociale : au revers d’une normalité de l’appartenance à un ici et maintenant.
Quelle serait une philosophie de « l’envers » qui questionne l’étranger ?
Pour l’évoquer, le philosophe Guillaume Le Blanc, professeur à l’université de Bordeaux-3, l’auteur de Vies ordinaires, vies précaires (2007), L’invisibilité sociale (2009), Dedans, dehors. La condition d’étranger (2010) et de Que faire de notre vulnérabilité ? (2011).
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Éducation