Nous connaissons tous les Twin Towers du Word Trade Center de New York que les terroristes d’Al Qaida ont détruites, pour y assassiner plus de deux mille huit cent personnes, le 11 septembre 2001 ; nous connaissons moins les Twin Towers de Netzarim (près de Gaza), à partir desquelles il est désormais possible de penser (sans l’affirmer pour autant) que ce sont des “ snipers ” palestiniens qui ont tué le petit Mohamed Al Dura, le 29 septembre 2000. Ces deux tours sortent, en effet, du néant de notre oubli grâce à un reportage de 50 minutes que la journaliste allemande Esther Schapira a réalisé pour ARD (chaîne télévisée allemande), pour faire la lumière sur la mort de cet enfant palestinien, terré aux côtés de son père pendant 45 longues minutes, avant d’être tué de plusieurs balles.
Nous avons tous en mémoire ces terribles images qui ont fait le tour du monde en boucle pendant des jours et des jours, suivies de celles de l’enterrement de Mohamed et de sa célébration comme martyr par les peuples arabo-musulmans du Proche-Orient, et même du Maghreb, comme la Tunisie.
Nous nous souvenons tous des commentaires du journaliste de FRANCE 2, Charles Enderlin, qui précisaient que l’origine géographique des balles tueuses était la base militaire israélienne.
Mais, ce que nous ne savions pas, c’est que ce journaliste auquel le caméraman palestinien Talal Abu Rahme avait donné toutes les minutes de tournage effectuées sur l’ensemble de l’événement dans lequel la mort du petit Mohamed prenait place, n’en avait retenu que cinquante secondes qu’il avait aussitôt fait diffuser par FRANCE 2 urbi et orbi.
Ce que nous ne savions pas non plus, c’est que la journaliste Esther Schapira avait décidé d’effectuer une reconstitution historique et critique des conditions dans lesquelles la mort de l’enfant était survenue ni que cette enquête l’avait conduite à formuler de sérieux doutes sur l’accusation dont étaient porteurs les propos de Charles Enderlin.
J’ai pu récemment visionner ce reportage et l’idée m’est venue de faire partager par l’opinion publique quelques graves questions qu’un spectateur impartial ne peut manquer de se poser.
Nous avons tous en mémoire ces terribles images qui ont fait le tour du monde en boucle pendant des jours et des jours, suivies de celles de l’enterrement de Mohamed et de sa célébration comme martyr par les peuples arabo-musulmans du Proche-Orient, et même du Maghreb, comme la Tunisie.
Nous nous souvenons tous des commentaires du journaliste de FRANCE 2, Charles Enderlin, qui précisaient que l’origine géographique des balles tueuses était la base militaire israélienne.
Mais, ce que nous ne savions pas, c’est que ce journaliste auquel le caméraman palestinien Talal Abu Rahme avait donné toutes les minutes de tournage effectuées sur l’ensemble de l’événement dans lequel la mort du petit Mohamed prenait place, n’en avait retenu que cinquante secondes qu’il avait aussitôt fait diffuser par FRANCE 2 urbi et orbi.
Ce que nous ne savions pas non plus, c’est que la journaliste Esther Schapira avait décidé d’effectuer une reconstitution historique et critique des conditions dans lesquelles la mort de l’enfant était survenue ni que cette enquête l’avait conduite à formuler de sérieux doutes sur l’accusation dont étaient porteurs les propos de Charles Enderlin.
J’ai pu récemment visionner ce reportage et l’idée m’est venue de faire partager par l’opinion publique quelques graves questions qu’un spectateur impartial ne peut manquer de se poser.
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