• il y a 12 ans
Le numérique facilite la multiprogrammation en salles mais cette multiprogrammation entraîne des bouleversements sur la présence des films en salles (durée, nombre de séances).

Le numérique, une fois déployé en salles, pose la question des nouveaux engagements de programmation souscrits notamment par les Circuits. Faut-il instaurer dans les cinémas porteurs des « jours interdits de déprogrammation au cinéma » (notamment le vendredi, samedi et dimanche) ? Toutes les salles arrivent elles à accéder aux films indépendants et au prix de quelles contorsions ?

Quel est le coût économique pour les distributeurs de l’accès aux salles des circuits (bandes-annonces payantes, la pratique variable sur le cout des VPF) ? Au regard de ce coût et de la conception mutualiste du soutien, le comportement commercial vertueux des salles à l’égard des distributeurs indépendants ne peut-il être valorisé par une majoration du soutien financier automatique délivré par le CNC ?

Category

🗞
News

Recommandations