AUX EXTRÊMITÉS DE LA FABRICATION DES FILMS : DES ÉTAPES SACRIFIÉES ?
Vendredi 23 octobre - 14H00 à 17H00 au Grand-Théâtre
Des débats vifs sur l’économie de la production, sur le coût de la fabrication des films, ont particulièrement animé le secteur ces dernières années. Ils ont pu donner le sentiment qu’une partie de cette fabrication, à ses « extrémités », était négligée. Est-ce un simple ressenti ou une réalité ? Comment alors y remédier ?
1er débat : Le temps du développement est-il le grand négligé de la production ?
Au stade du développement, par nécessité de voir les financements engagés, la mise en production des films n’est-elle pas trop rapide et au détriment de la qualité ?
Entre liberté de l’auteur et responsabilité des financeurs, quel équilibre pour un cinéma français sans concession sur l’écriture ?
La mise en tournage du film n’est-elle pas de plus en plus prématurée ?
Chacun tentera de donner sa définition du « bon temps » d’écriture et de développement en évoquant son expérience d’auteurs ou de lecteurs impliqués dans les films.
Animé par :
Dante Desarthe, Co-Président de L’ARP
Avec :
Catherine Corsini, Co-Présidente de la SRF
Pierre Guyard, Producteur, Nord-Ouest Film
Isabelle Madelaine, Productrice, Dharamsala
Jean-Paul Salomé, Président d’Unifrance
Franck Weber, Directeur du développement de Gaumont
Note préparatoire II.a – Le développement est-il le grand négligé de la production ?
…
2ème débat : La post-production est-elle la dernière variable d’ajustement des films ?
À son opposé chronologique, la post-production : par manque de moyens après le tournage ou par manque de vigilance sur cette partie de la fabrication, ce secteur semble réduit à une variable d’ajustement.
Dans un contexte de grandes difficultés pour nos industries techniques, quelle place est laissée au montage, bruitage, mise en musique, étalonnage, postsynchronisation, doublage, mixage, aux effets spéciaux… ?
Les dépenses, déjà modestes, consacrées à certaines de ces étapes essentielles qui font ou défont le film, diminuent encore. Le numérique a-t-il permis de réaliser des économies sur ces postes clefs ?
Quelle est la place des nouvelles typologies de laboratoires de post-production dans l’écosystème des industries techniques ? La délocalisation est-elle inévitable ? Quelles suites attendre sur le long terme pour les industries techniques ?
Animé par :
Serge Siritzky, Directeur de la publication d’Ecran total
Avec :
Gilles Gaillard, Directeur Général de Mikros Image
Abraham Goldblat, Gérant de I Médiate Post-Production
Jean Mizrahi, Président Directeur Général d’Eclair – Groupe Ymagis
Ces débats sont ponctués par une intervention de l’ADEF, qui présente le Livre blanc de l’export : L’export : un métier stratégique et créatif
Vendredi 23 octobre - 14H00 à 17H00 au Grand-Théâtre
Des débats vifs sur l’économie de la production, sur le coût de la fabrication des films, ont particulièrement animé le secteur ces dernières années. Ils ont pu donner le sentiment qu’une partie de cette fabrication, à ses « extrémités », était négligée. Est-ce un simple ressenti ou une réalité ? Comment alors y remédier ?
1er débat : Le temps du développement est-il le grand négligé de la production ?
Au stade du développement, par nécessité de voir les financements engagés, la mise en production des films n’est-elle pas trop rapide et au détriment de la qualité ?
Entre liberté de l’auteur et responsabilité des financeurs, quel équilibre pour un cinéma français sans concession sur l’écriture ?
La mise en tournage du film n’est-elle pas de plus en plus prématurée ?
Chacun tentera de donner sa définition du « bon temps » d’écriture et de développement en évoquant son expérience d’auteurs ou de lecteurs impliqués dans les films.
Animé par :
Dante Desarthe, Co-Président de L’ARP
Avec :
Catherine Corsini, Co-Présidente de la SRF
Pierre Guyard, Producteur, Nord-Ouest Film
Isabelle Madelaine, Productrice, Dharamsala
Jean-Paul Salomé, Président d’Unifrance
Franck Weber, Directeur du développement de Gaumont
Note préparatoire II.a – Le développement est-il le grand négligé de la production ?
…
2ème débat : La post-production est-elle la dernière variable d’ajustement des films ?
À son opposé chronologique, la post-production : par manque de moyens après le tournage ou par manque de vigilance sur cette partie de la fabrication, ce secteur semble réduit à une variable d’ajustement.
Dans un contexte de grandes difficultés pour nos industries techniques, quelle place est laissée au montage, bruitage, mise en musique, étalonnage, postsynchronisation, doublage, mixage, aux effets spéciaux… ?
Les dépenses, déjà modestes, consacrées à certaines de ces étapes essentielles qui font ou défont le film, diminuent encore. Le numérique a-t-il permis de réaliser des économies sur ces postes clefs ?
Quelle est la place des nouvelles typologies de laboratoires de post-production dans l’écosystème des industries techniques ? La délocalisation est-elle inévitable ? Quelles suites attendre sur le long terme pour les industries techniques ?
Animé par :
Serge Siritzky, Directeur de la publication d’Ecran total
Avec :
Gilles Gaillard, Directeur Général de Mikros Image
Abraham Goldblat, Gérant de I Médiate Post-Production
Jean Mizrahi, Président Directeur Général d’Eclair – Groupe Ymagis
Ces débats sont ponctués par une intervention de l’ADEF, qui présente le Livre blanc de l’export : L’export : un métier stratégique et créatif
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