Troisième opus de la série "quand l'immigration fait débat" du Musée national de l'histoire de l'immigration.
Avec Christel Cournil (maître de conférence à Paris 13, spécialiste du droit environnemental) ; Alice Baillat (doctorante à Sciences Po – CERI – spécialiste du Bengladesh) ; Gilliane Le Gallic (réalisatrice et Présidente de l’association Alofa Tuvalu) et Michel Hignette (directeur de l’Aquarium tropical de la Porte Dorée).
Entre 20 et 40 millions de personnes sont, chaque année, déplacées après des catastrophes climatiques soudaines ou à la suite de dégradations lentes des
écosystèmes. Le nombre a doublé depuis les années 70.
Alors que s’ouvre la COP 21 à Paris, le Musée National de l’Histoire de l’Immigration et l’Aquarium tropical ont conjointement souhaité éclairer ce nouveau phénomène migratoire appelé à prendre une importance croissante.
Car les migrations climatiques recouvrent un grand nombre de situations différentes et complexes : comment les populations fuient des ouragans,tempêtes, inondations ou des dégradations progressives et lentes des écosystèmes (sécheresse, montée des eaux, etc.). De nombreux termes sont utilisés pour les qualifier : réfugiés environnementaux, réfugiés écologiques, réfugiés climatiques, migrants environnementaux, éco-réfugiés, personnes déplacées en raison d’une catastrophe naturelle… Une réalité est là.
Comment aborder la diversité des phénomènes ? Les réponses a apporter
sont-elles les mêmes ? Le droit des migrations est-il adapté à ces nouvelles réalités ?
Avec Christel Cournil (maître de conférence à Paris 13, spécialiste du droit environnemental) ; Alice Baillat (doctorante à Sciences Po – CERI – spécialiste du Bengladesh) ; Gilliane Le Gallic (réalisatrice et Présidente de l’association Alofa Tuvalu) et Michel Hignette (directeur de l’Aquarium tropical de la Porte Dorée).
Entre 20 et 40 millions de personnes sont, chaque année, déplacées après des catastrophes climatiques soudaines ou à la suite de dégradations lentes des
écosystèmes. Le nombre a doublé depuis les années 70.
Alors que s’ouvre la COP 21 à Paris, le Musée National de l’Histoire de l’Immigration et l’Aquarium tropical ont conjointement souhaité éclairer ce nouveau phénomène migratoire appelé à prendre une importance croissante.
Car les migrations climatiques recouvrent un grand nombre de situations différentes et complexes : comment les populations fuient des ouragans,tempêtes, inondations ou des dégradations progressives et lentes des écosystèmes (sécheresse, montée des eaux, etc.). De nombreux termes sont utilisés pour les qualifier : réfugiés environnementaux, réfugiés écologiques, réfugiés climatiques, migrants environnementaux, éco-réfugiés, personnes déplacées en raison d’une catastrophe naturelle… Une réalité est là.
Comment aborder la diversité des phénomènes ? Les réponses a apporter
sont-elles les mêmes ? Le droit des migrations est-il adapté à ces nouvelles réalités ?
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