Quelle révolution dans le langage religieux lorsque Jésus nous a demandé de s’adresser à Dieu en disant : « Notre Père » ! Est-ce que nous mesurons l’audace que nous permet Jésus ? Ce n’est plus le Dieu terrible et lointain que nous montrent certaines pages de l’Ancien Testament. Mais ce n’est pas non plus le père complètement effiloché dont la figure tend à s’imposer aujourd’hui. Et les projets de loi dont on nous parle en ce moment ne risquent pas d’en améliorer l’approche.
Dans la très belle méditation du pape François sur le Notre Père récemment publiée, ses premiers mots sont pour dire : « Le Notre Père me donne de la sécurité. Je commencerai par cela : il me donne de la sécurité, je ne me sens pas déraciné, je ne me sens pas orphelin. J’ai un père, un papa qui m’apporte l’histoire, qui me fait voir la racine, qui me protège, me fait aller de l’avant et aussi un papa devant lequel j’ai le sentiment d’être encore un enfant… »
C’est le sentiment éprouvé par Jésus au tout début de sa mission. Après son baptême où il a entendu son Père lui dire : « Tu es mon Fils bien-aimé », il se rend aussitôt au désert comme pour une retraite de préparation. Là il peut méditer la parole du baptême. Tout au long de sa mission, Jésus ne cessera d’approfondir sa relation à son Père.
Nous essaierons de le faire, à notre tour, pendant ce temps privilégié de relation à Dieu qu’est le Carême. Les cinq dimanches nous permettront de cheminer pas à pas en nous appuyant sur la prière de Jésus pour la faire toujours plus nôtre.
Dans la très belle méditation du pape François sur le Notre Père récemment publiée, ses premiers mots sont pour dire : « Le Notre Père me donne de la sécurité. Je commencerai par cela : il me donne de la sécurité, je ne me sens pas déraciné, je ne me sens pas orphelin. J’ai un père, un papa qui m’apporte l’histoire, qui me fait voir la racine, qui me protège, me fait aller de l’avant et aussi un papa devant lequel j’ai le sentiment d’être encore un enfant… »
C’est le sentiment éprouvé par Jésus au tout début de sa mission. Après son baptême où il a entendu son Père lui dire : « Tu es mon Fils bien-aimé », il se rend aussitôt au désert comme pour une retraite de préparation. Là il peut méditer la parole du baptême. Tout au long de sa mission, Jésus ne cessera d’approfondir sa relation à son Père.
Nous essaierons de le faire, à notre tour, pendant ce temps privilégié de relation à Dieu qu’est le Carême. Les cinq dimanches nous permettront de cheminer pas à pas en nous appuyant sur la prière de Jésus pour la faire toujours plus nôtre.
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