Même la SNCF a du mal à recruter. La compagnie de transport multiplie les initiatives pour attirer de nouveaux candidats sur ses métiers en tension comme celui d'aiguilleur du rail, profession peu connue du grand public.
Et pourtant, ils sont 14.000 à l’exercer en France. A Nantes, l'entreprise a invité une trentaine de personnes à se fondre pendant trois heures dans le quotidien d'un aiguilleur grâce aux simulateurs dont l'entreprise dispose pour former ses salariés.
En Pays de la Loire, la SNCF a du mal à recruter les dix aiguilleurs du rail qui lui sont nécessaires chaque année. Un métier à forte responsabilité et contraignant au niveau des horaires. Avec cette initiative, l’entreprise espère élargir et diversifier le profil des candidats.
Du CAP au Bac +5, chômeurs ou salariés, certains, pour qui l’opération séduction semble avoir fonctionné, se projettent déjà totalement. Les candidats intéressés et retenus à l’issue de la journée recevront une formation de cinq à douze mois avant d’être lâché sur les rails.
Et pourtant, ils sont 14.000 à l’exercer en France. A Nantes, l'entreprise a invité une trentaine de personnes à se fondre pendant trois heures dans le quotidien d'un aiguilleur grâce aux simulateurs dont l'entreprise dispose pour former ses salariés.
En Pays de la Loire, la SNCF a du mal à recruter les dix aiguilleurs du rail qui lui sont nécessaires chaque année. Un métier à forte responsabilité et contraignant au niveau des horaires. Avec cette initiative, l’entreprise espère élargir et diversifier le profil des candidats.
Du CAP au Bac +5, chômeurs ou salariés, certains, pour qui l’opération séduction semble avoir fonctionné, se projettent déjà totalement. Les candidats intéressés et retenus à l’issue de la journée recevront une formation de cinq à douze mois avant d’être lâché sur les rails.
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