"Y la culpa no Era mía, ni donde estaba, ni como vestìa. Le coupable ce n’est pas moi, ni mes fringues ni l’endroit ."
S’inscrivant dans le sillon du mouvement féministe dénonçant les violences faites aux femmes né au Chili il y a quelques jours, des Marseillaises et quelques Marseillais ont répondu à l’appel lancé par un collectif de Chiliennes de Marseille. Vers 20h, près de 200 personnes se sont réunies sur le cours Julien afin de scander ensemble ce qui est devenu l’hymne de la lutte féministe, en version originale (espagnol) et en français.
S’inscrivant dans le sillon du mouvement féministe dénonçant les violences faites aux femmes né au Chili il y a quelques jours, des Marseillaises et quelques Marseillais ont répondu à l’appel lancé par un collectif de Chiliennes de Marseille. Vers 20h, près de 200 personnes se sont réunies sur le cours Julien afin de scander ensemble ce qui est devenu l’hymne de la lutte féministe, en version originale (espagnol) et en français.
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