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Dans cette vidéo Seyyed Yahia #Gouasmi évoquait à l’époque le lien entre l’idée de l’instauration d’un revenu universel de base et la mise en place d’un gouvernement mondial.
La crise sanitaire mondiale a rouvert le débat autour d’un #revenuUniversel inconditionnel, en #France et dans les pays occidentaux..
L’idée fait son chemin pour ce revenu de base, qui se veut être une réponse aux défis économiques, sociaux, écologiques et démocratiques auxquels nos opulentes #sociétés sont confrontées.
Une idée jugée intéressante par certains, dangereuse pas d’autres, et qui cache certainement des raisons inavouées pour ceux qui voudraient la mettre en place parmi les décideurs de la classe dominante.
Le revenu universel ou revenu de base consiste à verser à tous les membres d’une communauté nationale un revenu mensuel. Son principe est d’être d’un montant égal pour tous, sans contrôle des ressources ou des besoins, sur une base individuelle, de façon inconditionnelle, sans exigence de contrepartie. Le revenu universel se démarque ainsi d’un revenu d’assistance traditionnel tel que le revenu de solidarité active (RSA), soumis à un contrôle des ressources, versé sur une base familiale et conditionné à des efforts d’insertion professionnelle ou sociale.
Destiné à répondre à la fin du travail, le revenu universel doit également être suffisant pour permettre de vivre décemment sans travailler – alors que le RSA est volontairement faible, afin d’inciter au travail.
Ce revenu de base fait l’objet d’un intérêt médiatique et politique croissant et un consensus semble sur le point de se mettre en place à ce sujet. Il est défendu à la fois par des libéraux, pour qui il s’agit de lutter contre un système paternaliste et inquisiteur, par des sociaux-démocrates, en vue de compléter la protection sociale actuelle, et par ceux qui y voient un moyen de gérer la fin du travail qu’ils pensent inéluctable en raison du développement de l’IA et de son avènement prochain.
Frappé par la pandémie de coronavirus, le gouvernement espagnol est le premier d’Europe à lancer les prémisses d’un revenu universel. Face à la crise sanitaire et sociale provoquée par le COVID19, le gouvernement a annoncé la mise en place progressive d’un "revenu minimum vital" : un filet de sécurité, dont le montant n’a pas encore été arrêté, pour toute famille dont les revenus seraient inférieurs à 450 euros, sans aucune autre justification.
De nombreuses voix s’élèvent pour réclamer un dispositif universel dans les pays occidentaux. Le PDG de Twitter a annoncé un don d’un milliard de dollars pour financer la gestion de la pandémie, mais aussi l’après-confinement, à travers la mise en place d’un "Universal Basic Income", un revenu de base. En Allemagne, une pétition dans ce sens de la styliste Tonia Merz a recueilli plus de 460 000 signatures et a été envoyée au Bundestag. Au Royaume-Uni, 170 parlementaires ont appelé à mettre en place une aide inconditionnelle pour tous...
Dans cette vidéo Seyyed Yahia #Gouasmi évoquait à l’époque le lien entre l’idée de l’instauration d’un revenu universel de base et la mise en place d’un gouvernement mondial.
La crise sanitaire mondiale a rouvert le débat autour d’un #revenuUniversel inconditionnel, en #France et dans les pays occidentaux..
L’idée fait son chemin pour ce revenu de base, qui se veut être une réponse aux défis économiques, sociaux, écologiques et démocratiques auxquels nos opulentes #sociétés sont confrontées.
Une idée jugée intéressante par certains, dangereuse pas d’autres, et qui cache certainement des raisons inavouées pour ceux qui voudraient la mettre en place parmi les décideurs de la classe dominante.
Le revenu universel ou revenu de base consiste à verser à tous les membres d’une communauté nationale un revenu mensuel. Son principe est d’être d’un montant égal pour tous, sans contrôle des ressources ou des besoins, sur une base individuelle, de façon inconditionnelle, sans exigence de contrepartie. Le revenu universel se démarque ainsi d’un revenu d’assistance traditionnel tel que le revenu de solidarité active (RSA), soumis à un contrôle des ressources, versé sur une base familiale et conditionné à des efforts d’insertion professionnelle ou sociale.
Destiné à répondre à la fin du travail, le revenu universel doit également être suffisant pour permettre de vivre décemment sans travailler – alors que le RSA est volontairement faible, afin d’inciter au travail.
Ce revenu de base fait l’objet d’un intérêt médiatique et politique croissant et un consensus semble sur le point de se mettre en place à ce sujet. Il est défendu à la fois par des libéraux, pour qui il s’agit de lutter contre un système paternaliste et inquisiteur, par des sociaux-démocrates, en vue de compléter la protection sociale actuelle, et par ceux qui y voient un moyen de gérer la fin du travail qu’ils pensent inéluctable en raison du développement de l’IA et de son avènement prochain.
Frappé par la pandémie de coronavirus, le gouvernement espagnol est le premier d’Europe à lancer les prémisses d’un revenu universel. Face à la crise sanitaire et sociale provoquée par le COVID19, le gouvernement a annoncé la mise en place progressive d’un "revenu minimum vital" : un filet de sécurité, dont le montant n’a pas encore été arrêté, pour toute famille dont les revenus seraient inférieurs à 450 euros, sans aucune autre justification.
De nombreuses voix s’élèvent pour réclamer un dispositif universel dans les pays occidentaux. Le PDG de Twitter a annoncé un don d’un milliard de dollars pour financer la gestion de la pandémie, mais aussi l’après-confinement, à travers la mise en place d’un "Universal Basic Income", un revenu de base. En Allemagne, une pétition dans ce sens de la styliste Tonia Merz a recueilli plus de 460 000 signatures et a été envoyée au Bundestag. Au Royaume-Uni, 170 parlementaires ont appelé à mettre en place une aide inconditionnelle pour tous...
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