Un mouvement écologique qui peut devenir historique !
"L'affaire du siècle", c'est plusieurs ONG et plus de deux millions de signataires réunis face à l'Etat français.
Pendant plus de deux ans, ils ont mené une longue procédure visant à faire reconnaitre à l'Etat français ses défaillances climatiques.
Les principaux représentants du mouvement ont retrouvé ceux de l'Etat, le jeudi 14 janvier 2021, au tribunal administratif de Paris.
"Si "L'Affaire du siècle" gagne, ce serait une décision historique pour la justice climatique en France. Ça mettrait le politique face à ses contradictions écologiques : beaucoup de discours et très peu d'actes." Cécilia Rinaudo, coordinatrice de Notre Affaire à tous, à l'AFP.
Le premier reproche est celui de ne pas avoir respecté la loi énergie-climat, qui vise la neutralité carbone en 2050 ou une baisse de 40% de la consommation d'énergies fossiles en 2030.
Un premier pas a été fait dans le sens des écologistes lorsque le Conseil d'Etat, en novembre dernier, avait reconnu que l'Etat n'avait pas respecté ce budget carbone.
"Notre volonté profonde n'est pas de faire condamner l'État, c'est que l'État agisse." Cécile Duflot, directrice générale d'Oxfam France, à l'AFP
"L'affaire du siècle", c'est plusieurs ONG et plus de deux millions de signataires réunis face à l'Etat français.
Pendant plus de deux ans, ils ont mené une longue procédure visant à faire reconnaitre à l'Etat français ses défaillances climatiques.
Les principaux représentants du mouvement ont retrouvé ceux de l'Etat, le jeudi 14 janvier 2021, au tribunal administratif de Paris.
"Si "L'Affaire du siècle" gagne, ce serait une décision historique pour la justice climatique en France. Ça mettrait le politique face à ses contradictions écologiques : beaucoup de discours et très peu d'actes." Cécilia Rinaudo, coordinatrice de Notre Affaire à tous, à l'AFP.
Le premier reproche est celui de ne pas avoir respecté la loi énergie-climat, qui vise la neutralité carbone en 2050 ou une baisse de 40% de la consommation d'énergies fossiles en 2030.
Un premier pas a été fait dans le sens des écologistes lorsque le Conseil d'Etat, en novembre dernier, avait reconnu que l'Etat n'avait pas respecté ce budget carbone.
"Notre volonté profonde n'est pas de faire condamner l'État, c'est que l'État agisse." Cécile Duflot, directrice générale d'Oxfam France, à l'AFP
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