Pour célébrer son 10e anniversaire, le trimestriel qui revisite la culture populaire française consacre sa couverture à Jean Rochefort
Lancé en 2011, Schnock est un ovni dans l’univers de la presse. La revue, qui mélange textes et dessins, s’adresse aux « Vieux de 27 à 87 ans ». « Dans le langage courant, un schnock est un vieux fou, donc c’est assez péjoratif. Nous, on l’a utilisé en pied de nez, pour marquer les esprits, pour provoquer de manière sympathique. L’idée de départ était de faire quelque chose chose sur le passé, les années 60/70. Et il y a 10 ans, on avait l’impression d’être des vieux schnocks en parlant de Jean Yanne et Jean-Pierre Marielle. Dpnc au lieu de se cacher et d’avoir un peu honte, on a décidé de mettre des majuscules sur les V et de s’appeler Schnock », raconte son fondateur et rédacteur en chef Christophe Ernault. Publication anti-jeunisme, elle refuse toutefois de verser dans le « C’était mieux avant ». Chaque couverture est consacrée à une figure de la culture populaire, une icône qui a marqué son époque. Pour le numéro 39 actuellement en kiosque et en librairie, le choix s’est porté sur Jean Rochefort : » On avait commencé il y a 10 ans par Jean-Pierre Marielle, entretemps on a fait Philippe Noiret, et là il fallait boucler la boucle. C’est une espèce de Trinité schnockienne. Rochefort, c’était aussi une forme de cadeau à nos lecteurs, on sentait qu’il était très attendu ». Mais qui sont les lecteurs de « Schnock » ? Surtout des boomers, croit savoir Christophe Ernault, qui confie avoir fondé « la revue que je voudrais lire ». Vendu en moyenne autour de 10 000 exemplaires, « Schnock » va évoluer pour les 10 prochaines années : » Il faut qu’on aborde sans doute d’autres périodes, les années 80 et 90. Certains dans mon équipe devront se faire du mal car ils y st allergiques ! »
Lancé en 2011, Schnock est un ovni dans l’univers de la presse. La revue, qui mélange textes et dessins, s’adresse aux « Vieux de 27 à 87 ans ». « Dans le langage courant, un schnock est un vieux fou, donc c’est assez péjoratif. Nous, on l’a utilisé en pied de nez, pour marquer les esprits, pour provoquer de manière sympathique. L’idée de départ était de faire quelque chose chose sur le passé, les années 60/70. Et il y a 10 ans, on avait l’impression d’être des vieux schnocks en parlant de Jean Yanne et Jean-Pierre Marielle. Dpnc au lieu de se cacher et d’avoir un peu honte, on a décidé de mettre des majuscules sur les V et de s’appeler Schnock », raconte son fondateur et rédacteur en chef Christophe Ernault. Publication anti-jeunisme, elle refuse toutefois de verser dans le « C’était mieux avant ». Chaque couverture est consacrée à une figure de la culture populaire, une icône qui a marqué son époque. Pour le numéro 39 actuellement en kiosque et en librairie, le choix s’est porté sur Jean Rochefort : » On avait commencé il y a 10 ans par Jean-Pierre Marielle, entretemps on a fait Philippe Noiret, et là il fallait boucler la boucle. C’est une espèce de Trinité schnockienne. Rochefort, c’était aussi une forme de cadeau à nos lecteurs, on sentait qu’il était très attendu ». Mais qui sont les lecteurs de « Schnock » ? Surtout des boomers, croit savoir Christophe Ernault, qui confie avoir fondé « la revue que je voudrais lire ». Vendu en moyenne autour de 10 000 exemplaires, « Schnock » va évoluer pour les 10 prochaines années : » Il faut qu’on aborde sans doute d’autres périodes, les années 80 et 90. Certains dans mon équipe devront se faire du mal car ils y st allergiques ! »
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