• il y a 2 ans
Un contraste saisissant. Ce mercredi 6 juin, tandis qu'Élisabeth Borne déroule, imperturbable, son discours de politique générale à l'Assemblée nationale, un brouhaha permanent se dégage des bancs de la gauche. Le tohu-bohu, généreusement entretenu par les députés Insoumis, contraint la Première ministre à s'interrompre à plusieurs reprises. Juchée au perchoir, Yaël Braun-Pivet doit rappeler les « mauvais élèves » à l'ordre, tandis que Borne lance des regards noirs à ses bruyants contempteurs.Rien n'y fait, cependant. Il ne se passe pas une minute sans que l'hôte de Matignon ne soit interpellée, alpaguée ou raillée. « Ils nous ont montré, si besoin était, qu'ils n'étaient pas là pour travailler mais pour gueuler. Reconnaissons-leur tout de même qu'ils parviennent à se ridiculiser avec une admirable régularité… », griffe, au terme de la « DPG », un député de la majorité.

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