#Rewind #Play #jour
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Thelonious Monk, dans "Rewind and Play", par Alain Gomis.Jhr Films L'opinion du "monde" - pour voir Rewind and Play, par Alain Gomis, est un documentaire qui n'était pas prévu pour le programme, et c'est parfois dans ces moments de chance que les comptes les plus inattendus soient inventés.quelque temps une fiction sur le grand pianiste de jazz américain Thelonious Monk . Pour soutenir leurs recherches, lui et son documentaire, Olivier Rignault, demandent des documents d'archives au National Audiovisual Institute. Lisez également l'article réservé à Alain Gomis, un cinéaste de facettes, de Paris à Kinshasa Parmi les images envoyées, l'émission de télévision "Jazz Portrait", produite en 1969. Mais, surprise, se sont ajoutées de deux heures, une sorte de fin à la fin du spectacle. Elle est animée par le pianiste jazz Henri Renaud : Sincere Admirer de Monk, un pianiste noir qui était depuis longtemps dépassé avant connaître le succès à la fin des années 1950, il était néanmoins maladroit avec ses invités. En retravaillant ces joncs dans un long métrage serré et nerveux , en installant une certaine tension, Alain Gomis donne un espace à TheLonious Monk, montrant comment il essaie de résister à son interlocuteur. Le film s'ouvre avec l'arrivée du pianiste etSon épouse, Nellie, à Paris, le 15 décembre 1969, pour un concert dans le Pleyel Hall.Monk est des visites depuis dix ans. Il est plutôt réservé, tire sa cigarette ... L'Assemblée montre l'usine maintenance, dans un studio d'enregistrement de Montmartre: tandis que Monk joue Crepcucule avec Nellie , Henri Renaud, qui a frotté les épaules avec le couple en 1954, à New York, demande à moine parler sur Nellie. "Elle est.L'épouse et mère de mes enfants », explique pianiste, un peu surpris, puis vient la grande entreprise: au moment où le moine vivait dans un appartement exigu à New York, seule cuisine était spacieuse, et c'était à cet endroitque piano a été installé! Monk confirme, sans ajouter. Sa force est dans cette retenue, mais sous les lampes du studio, la sueur commence à culminer sur son front. Ensuite, Henri Renaud évoque premier concert que Monk a donné à Paris, en 1954, Salle Pleyel.Qu'il faisait le "One" d'un magazine de jazz annonçant concert. D'autre part, il n'avait pas de musiciens pour l'accompagner sur scène, il déplore. "À la fin, j'avais des gars pour jouer avec moi et j'étais lele moins payé pour tout le monde. »» Vous avez 13,25% .
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