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«Je ne suis pas pour couper la tête du capital, je suis pour le contraindre à travailler au service du pays» : Fabien Roussel, secrétaire nationale du PCF - Parti communiste français, donne son avis sur la politique actuelle de notre gouvernement dans le contexte de la nouvelle réforme des retraites.

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Transcription
00:00 je ne suis pas pour couper la tête du capital, je suis pour le contraindre à travailler au service du pays.
00:07 Qu'est-ce que je vois avec M. Macron ?
00:09 Je vois que depuis qu'il est président de la République, il transforme la France en un pays anglo-saxon de plus en plus individualiste,
00:16 où c'est le chacun pour soi qui domine et où effectivement, dans ce climat-là,
00:21 - Après le quoi qu'il en coûte qu'on a eu, M. Roussel, après la politique de quoi qu'il en coûte,
00:27 - Avec un plus grand nombre de milliardaires, 42 aujourd'hui, français, qui détiennent un patrimoine total de 600 milliards d'euros,
00:35 - M. Roussel a dit que la dépense publique n'a jamais été aussi élevée en France.
00:42 - Et des milliardaires qui ne contribuent pas, qui contribuent de moins en moins,
00:49 qui contribuent de moins en moins aux finances du budget de l'État, de nos services publics, de nos hôpitaux, de nos écoles, etc.
00:56 Et donc nous demandons juste qu'il y ait une meilleure répartition des richesses.
01:00 Une autre répartition des richesses est possible en France.
01:03 (Générique)

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