Certaines de ces femmes sont condamnées à vivre encore avec leur bourreau... pff !
Des agressions au kérosène ou à l’acide sulfurique : c’est le sort que subissent des centaines de femmes, chaque année, au Pakistan. Parfois, pour de simples soupçons d’adultère ou de mauvaise conduite, on leur jette le liquide au visage… Elles se retrouvent alors brûlées, défigurées à vie.
En 2003, Masarrat Misbah, directrice d’une ligne de salons de beauté, est abordée dans les rues de Lahore par une femme intégralement voilée qui lui demande de l’aide. Masarrat l’accueille dans son bureau et découvre, sous le voile, une femme qui n’a plus de visage : ses traits ont été horriblement rongés par l’acide sulfurique que son mari lui a lancé. Masarrat, révoltée, décide alors d’associer son entreprise, Depilex, à un organisme italien qui s’occupait déjà de femmes défigurées au Bangladesh : Smile Again.
Et quand elle rend visite à ses protégées à Lahore, les sourires sont sur tous les visages. Dans le jardin de l’association, une quarantaine de femmes l’attendent. Elles portent toutes les stigmates de liquides dangereux qu’on leur a projetés sur le visage et le corps.
Quelques enfants sont aussi présents dans l’assemblée : certains étaient avec leur mère au moment du drame et ont été éclaboussés ; d’autres ont été défigurés par les membres d’une famille rivale.
Ce, une équipe de chirurgiens plasticiens est venue bénévolement d’Italie. Pendant une semaine, ils vont travailler à la reconstruction de ces visages.
Des agressions au kérosène ou à l’acide sulfurique : c’est le sort que subissent des centaines de femmes, chaque année, au Pakistan. Parfois, pour de simples soupçons d’adultère ou de mauvaise conduite, on leur jette le liquide au visage… Elles se retrouvent alors brûlées, défigurées à vie.
En 2003, Masarrat Misbah, directrice d’une ligne de salons de beauté, est abordée dans les rues de Lahore par une femme intégralement voilée qui lui demande de l’aide. Masarrat l’accueille dans son bureau et découvre, sous le voile, une femme qui n’a plus de visage : ses traits ont été horriblement rongés par l’acide sulfurique que son mari lui a lancé. Masarrat, révoltée, décide alors d’associer son entreprise, Depilex, à un organisme italien qui s’occupait déjà de femmes défigurées au Bangladesh : Smile Again.
Et quand elle rend visite à ses protégées à Lahore, les sourires sont sur tous les visages. Dans le jardin de l’association, une quarantaine de femmes l’attendent. Elles portent toutes les stigmates de liquides dangereux qu’on leur a projetés sur le visage et le corps.
Quelques enfants sont aussi présents dans l’assemblée : certains étaient avec leur mère au moment du drame et ont été éclaboussés ; d’autres ont été défigurés par les membres d’une famille rivale.
Ce, une équipe de chirurgiens plasticiens est venue bénévolement d’Italie. Pendant une semaine, ils vont travailler à la reconstruction de ces visages.
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