Il a recours a une GPA VS elle est fondamentalement contre

  • l’année dernière
Aujourd'hui, nous recevons dans notre format le RING, Mathieu Ceschin, ancien éleveur de taureaux, il participé à L’amour est dans le pré sur M6 (diffusé en 2020).
Il est en procédure pour avoir un enfant par GPA.

Face à lui, Ana-Luana Stoicea-Deram. Elle a co-fondé et co-préside la Coalition internationale pour l’abolition de la maternité de substitution (Ciams). Elle milite contre la GPA.

Aujourd'hui, nous vous présentons le Débrief du RING.

Pour voir le débat dans son intégralité : https://youtu.be/oHquLTBMtQ0
Transcript
00:00 la paix pour lui infliger des violences.
00:02 C'est-à-dire que moi je ne peux pas ne pas être papa.
00:03 Le combat féministe reste une nécessité ô combien d'actualité.
00:07 Une partie des problèmes liés à la GPA
00:09 pourraient se résoudre si on améliorait l'adoption en France.
00:13 Qu'avez-vous pensé de ce débat ?
00:18 Est-ce qu'il y a un point particulier sur lequel vous avez évolué
00:23 grâce à la discussion ou pas du tout ?
00:26 Alors profondément je n'ai pas tellement évolué dans ce que je pensais
00:30 à l'issue de ce débat puisque je suis arrivé avec toujours cette idée
00:34 un peu utopiste d'un système à la française,
00:39 d'un système génial à la française.
00:41 On trouve un système français qui appauvrit un peu le système américain.
00:45 Après le système italien pourrait se calquer sur ce notion.
00:48 Et petit à petit on arriverait à...
00:53 10, 15 ans, peut-être 20 ans.
00:55 Mais à faire que l'Europe ait un système uniformisé de la GPA.
01:01 Et j'en repars encore plus renforcé.
01:03 Si je suis peut-être évolué, c'est encore dans cette idée plus forte
01:08 de travailler sur l'invention d'un système français
01:13 puisque on est d'accord avec les personnes qui sont contre
01:18 sur des sujets comme la marchandisation, la commercialisation,
01:23 le marché qui explose, etc.
01:25 Pour ma part, ce n'est pas bien évidemment que c'est un marché
01:28 et que c'est une des raisons pour lesquelles en tant que féministe
01:30 nous combattons la GPA parce que c'est un marché,
01:32 c'est un marché mondialisé.
01:33 C'est en ça que j'ai trouvé l'échange agréable,
01:38 qui s'est d'ailleurs très bien passé.
01:41 C'est que moi il m'a renforcé dans cette idée
01:45 de se réinventer et de trouver un système
01:51 qui n'existe pas encore et dont la France a toujours le secret.
01:55 Pour ce qui me concerne, je suis ravie d'avoir eu cet échange.
01:59 Ça m'a permis de mieux percevoir les nuances
02:03 et l'interprétation différente que fait Mathieu
02:07 et que porte Mathieu de ce combat qui est le sien
02:10 et qu'il partage avec d'autres pour la légalisation,
02:13 je peux dire ça, de la GPA.
02:15 En même temps, je n'ai pas changé pour ce qui me concerne.
02:19 Je pense avoir mieux compris sa pensée et ses arguments.
02:23 Il m'a confirmé le fait qu'il s'agit d'un marché mondialisé,
02:27 d'un marché extrêmement fort.
02:28 Combien touche les médecins ?
02:30 Combien touche les avocats ?
02:31 Proportionnellement, combien ?
02:33 C'est une honte, le marché de la GPA.
02:37 Concrètement, je ne peux pas aller à ton en contre
02:40 quand on dit je crois que le marché de la GPA,
02:43 c'est 6 milliards de dollars dans le monde, un truc comme ça.
02:46 Donc on est dans une marchandisation.
02:49 Honteuse.
02:50 Du fait que si la pratique aujourd'hui se développe,
02:53 c'est aussi poussé par ce marché,
02:57 que ça défend également les intérêts de très nombreux acteurs
02:59 qui font des bénéfices très importants
03:01 et qui ont également donc les moyens
03:04 de mener des actions auprès des décideurs.
03:08 Et bien évidemment, moi aussi, ça m'a renforcée
03:11 dans l'idée qu'il faut redoubler d'efforts
03:14 pour mieux informer l'opinion publique,
03:16 notamment sur le vécu des femmes,
03:18 sur ce que les femmes qui entrent en GPA peuvent avoir
03:22 comme motivation, cadre de vie, condition de vie
03:25 et surtout sur ce qu'elles vivent.
03:27 C'est-à-dire qu'on bourre son corps d'hormones
03:29 pendant plusieurs mois
03:31 et qu'il y a des femmes qui sont mortes ?
03:33 En portant des grossesses par GPA.
03:36 Donc je suis encore une fois ravie
03:38 et je te remercie pour cet échange.
03:40 Merci à vous, le Crayon, de l'avoir organisé
03:43 et je pense qu'on part d'ici convaincus plus que jamais
03:47 que le combat féministe reste une nécessité
03:49 ô combien d'actualité.
03:51 - Parce que sans refaire le débat,
03:52 j'ai quand même l'impression que votre discussion
03:54 a porté entre l'intérêt supérieur des femmes
03:57 que tu défends, Anna, et toi, l'intérêt du fait de dire
04:01 on a un désir d'enfant biologique,
04:03 toute personne a un désir d'enfant biologique,
04:04 comment on résout ce désir-là ?
04:08 - Alors moi, tout à l'heure, j'ai demandé à Anna
04:11 si elle était maman
04:12 et je n'ai pas du tout voulu jouer ce jeu-là
04:14 que jouent beaucoup de pros.
04:16 Mais toi, je ne vais pas discuter avec toi, t'es maman.
04:18 J'imagine qu'on te l'a déjà fait.
04:21 Non, ce n'est pas élevé le débat que de dire ça.
04:26 J'ai juste dit à ce moment-là, exprimer ce désir
04:30 au moment où on a parlé du fait qu'on ne pourra pas se retenir.
04:34 - Parce que le désir d'enfant sera toujours là
04:36 et tu n'empêcheras jamais quelqu'un
04:38 qui a envie d'avoir un enfant de l'avoir.
04:40 Jamais.
04:41 Je veux dire, tu as des enfants ?
04:44 - Oui, j'ai des enfants.
04:46 - Donc tu comprends ce que c'est que d'aimer un enfant.
04:48 Et moi, depuis que je suis allé en Amérique du Sud
04:52 et que j'ai commencé ma procédure,
04:53 je n'ai pas d'enfant.
04:54 Je le vis, je transpire la nuit.
04:59 Je l'aime déjà l'enfant.
05:01 - C'est-à-dire que moi, je ne peux pas ne pas être papa.
05:03 Je n'arrive pas à le concevoir.
05:05 Je me perdrais si le besoin est tellement ancré en moi
05:10 que je passerais à côté de ma vie.
05:13 Je le sais, je le sens, je le ressens.
05:16 Et donc c'est face à cette problématique
05:19 qu'il faut régler parce que
05:22 je paye mes impôts comme tout le monde,
05:24 je suis un être humain comme tout le monde
05:26 et je voudrais qu'on s'occupe aussi de moi, de mon cas.
05:29 Je veux dire, les couples hétérosexuels classiques,
05:32 on s'occupe très bien d'eux.
05:33 Je voudrais qu'on s'occupe un peu de moi
05:35 parce que j'ai aussi des besoins, des envies,
05:38 des moments où je ne suis pas bien.
05:42 J'ai envie de construire ma vie.
05:43 Je voudrais qu'on s'occupe des cas comme ça.
05:49 Il y a aussi dans ce débat, et on n'en a pas parlé,
05:53 il aurait fallu en parler, le système d'adoption en France
05:57 parce qu'une partie des problèmes liés à la GPA
06:00 pourraient se résoudre si on améliorait l'adoption en France.
06:05 J'estime à peu près, par rapport aux discussions que j'ai,
06:08 pour les couples homos et hétéros,
06:10 qu'à peu près la moitié des couples se dirigerait vers une adoption
06:19 s'ils en avaient la possibilité.
06:20 Mais c'est tellement le parcours du combattant.
06:22 Alors, le temps d'avoir l'agrément,
06:25 puis d'avoir le...
06:26 Quand on a les services des départements
06:29 qui nous font, selon leur diplomatie,
06:33 nous font comprendre, vous aurez peut-être un enfant handicapé, etc.
06:37 C'est horrible.
06:38 Moi, j'ai entendu des choses atroces.
06:41 Depuis quelques années, les couples homosexuels
06:43 peuvent avoir recours à l'adoption.
06:46 Mais dans la réalité, c'est pas ça du tout qui se passe.
06:49 Quand vous êtes dans un département très open,
06:53 vos dossiers sont... Il n'y a pas de souci.
06:55 Quand vous êtes dans un appartement un peu plus fermé,
06:58 bizarrement, il n'y a pas...
06:59 Donc, on a aussi un problème de réalité entre la loi et le truc.
07:04 Il y a plein d'enfants non adoptables en France
07:08 qui ont besoin de famille.
07:10 Simplement, un parent donne une nouvelle une fois par an,
07:13 je crois que c'est ça,
07:14 ça empêche l'enfant d'être adopté.
07:15 Mais non, mais il faut tout revoir.
07:18 Donc déjà, quand je parlais de ce système à la française
07:22 qu'on pourrait réinventer,
07:23 l'adoption ferait partie évidemment intégrante de tout le système.
07:29 Notre coalition, encore une fois,
07:31 j'interviens en tant que coprésidente de la coalition, de la Siams.
07:35 C'est quelque chose à quoi on réfléchit,
07:38 mais nous ne militons pas, si tu veux, pour l'adoption.
07:41 Bien évidemment que ça nous semble être une solution,
07:44 mais nous ne sommes pas là pour chercher des solutions.
07:47 On a parmi nos membres des associations lesbiennes en France et ailleurs.
07:52 Il y a également des associations gays en Autriche, par exemple.
07:56 On sait qu'il y a des associations gays en Espagne
07:59 qui sont opposées à la GPA.
08:01 Et qui sont des associations.
08:02 Et bien évidemment que nous soutenons l'adoption et l'égalité,
08:07 l'accès égal à l'adoption pour tous les couples et pour toutes les personnes.
08:11 Et quand je disais tout à l'heure, le désir d'enfant,
08:14 il est le même pour tous.
08:17 Il y aurait peut-être d'autres choses à trouver aussi comme solution.
08:21 Maternité, paternité, parentalité avec des enfants
08:27 auxquels on peut ne pas être liés génétiquement,
08:30 mais il y a aujourd'hui, je pense en France par exemple,
08:32 c'est très peu connu, très peu pratiqué le parrainage.
08:35 Pourtant il y a quand même beaucoup d'enfants
08:37 pour lesquels on propose des parrainages.
08:38 Qui ont par contre toujours leurs parents.
08:41 Je sais que pour le système par exemple de placement d'enfants,
08:45 au moment où un enfant est placé, s'il devient adoptable,
08:49 les personnes qui l'accueillent ont de la primauté pour l'adopter.
08:55 Mais ça reste quand même bien évidemment très problématique.
08:58 Le point de vue que nous défendons à la SIAMS, à la coalition,
09:02 est bien évidemment le fait de centrer l'analyse et la compréhension
09:06 de la pratique de la GPA sur la femme,
09:08 parce que lorsqu'il s'agit de grossesse et d'accouchement,
09:11 il s'agit de femmes, du corps de la femme, de la vie d'une femme.
09:15 Et pour la GPA, il s'agit très spécifiquement de femmes qui sont mères.
09:20 Encore une fois, ça engage leur vie à elles
09:22 et ça engage également la vie de leur famille
09:25 et l'impact que ça a sur leurs enfants.
09:28 Donc ça nous semble très important d'avoir l'analyse en termes d'inégalité,
09:33 d'avoir l'analyse en termes de risque pour la santé de la femme,
09:35 d'avoir l'analyse en termes de violence faite aux femmes,
09:38 parce que dans les contrats de GPA, ces termes sont mentionnés.
09:42 Et les femmes sont payées, non pas pour l'enfant.
09:45 C'est très clairement dit dans les contrats,
09:48 alors je ne sais pas comment tu as procédé,
09:50 mais dans les contrats américains, c'est dit très clairement.
09:51 On ne paie pas l'enfant,
09:54 on paie la femme pour les risques qu'elle prend
09:58 et pour la souffrance et la douleur qu'elle a.
10:02 Donc on la paie pour lui infliger des violences.
10:05 Et ça, c'est quelque chose qui est peu dit et peu connu.
10:08 Donc pour nous, d'abord, l'analyse de la GPA doit se faire
10:11 de manière centrée sur la femme
10:13 et bien évidemment, la GPA doit continuer d'être interdite en France.
10:18 Alors deux choses, moi dans la GPA où je suis,
10:21 s'il arrive quoi que ce soit,
10:25 on a toutes les assurances pour la femme,
10:26 elle ne débourse rien, c'est nous qui prenons tout en charge.
10:29 Donc ça déjà, c'est à l'inverse des États-Unis,
10:31 les mères porteuses ne sont pas abandonnées.
10:34 Moi, c'est ce qui m'a plu parce que j'ai toujours quand même
10:35 ce côté peur de l'autre, peur du danger effectivement,
10:40 qui existe, donc tout est pris en charge.
10:43 Et ça, ça me semble important.
10:48 Je reviens à la comparaison que je disais tout à l'heure
10:51 et à la liberté de chaque femme d'user de son propre corps
10:59 à celui du don d'organe.
11:01 Voilà, si j'ai envie de donner mon rein,
11:03 je connais les risques, j'ai une anesthésie générale,
11:05 je connais les risques,
11:07 et bien je donne le rein à cette personne
11:09 parce que ça va lui rendre sa vie, etc.
11:13 Donc une femme très bien informée,
11:18 alors il faut s'assurer qu'elle soit très bien informée
11:20 et ça j'en suis tout à fait d'accord,
11:22 elle doit pouvoir disposer de son corps comme elle l'entend.
11:24 Ça c'est une liberté, c'est la première des libertés,
11:27 c'est comme le droit à mourir en dignité,
11:29 c'est disposer de sa vie comme on l'entend,
11:31 disposer de son corps, c'est pour moi la première des libertés.
11:34 Encore faut-il être bien informé et là, je te rejoins.
11:37 - Sokane n'est pas d'accord mais on va pas refaire le débat,
11:40 si tu veux dire très rapidement...
11:41 - Non, mais je vais juste dire qu'aucun mouvement
11:43 pour la libération des femmes,
11:44 aucun mouvement pour l'émancipation des femmes,
11:46 aucun mouvement pour les droits des femmes
11:48 n'a jamais milité, n'a jamais demandé le droit des femmes
11:52 de disposer d'elles-mêmes pour autrui.
11:55 La libre disposition de soi, c'est pour soi,
11:57 c'est pour sa propre émancipation,
11:59 c'est pour son autonomie, c'est pour son bien
12:01 et non pas pour autrui.
12:03 C'est la première fois que c'est demandé et c'est demandé pourquoi ?
12:06 Parce que aujourd'hui, il y a de plus en plus de demandes de GPA
12:11 qui émanent d'hommes en couple avec des femmes,
12:14 en couple avec un autre homme ou d'hommes seuls.
12:17 Donc c'est quand même très curieux de voir
12:18 que la libre disposition de corps de la femme,
12:21 aujourd'hui, est instrumentalisée pour être mise au service d'autrui
12:27 et non pas pour le bénéfice de la femme elle-même.
12:29 - Ça devrait rester son choix quand même.
12:31 - Pour terminer, juste très rapidement,
12:33 est-ce que dans chacun de vos combats,
12:37 ce que vous vivez au quotidien,
12:38 est-ce que vous voyez ce qu'il y a de l'espoir ?
12:40 - Pour ce qui me concerne, oui.
12:42 Pour ce qui me concerne, oui,
12:43 parce que lorsqu'on parle avec des personnes qui ne sont pas informées,
12:48 le constat que je fais, c'est qu'elles sont dans un premier temps
12:51 surprises de ce qu'on leur dit.
12:54 Quand on leur montre des contrats, par exemple,
12:55 quand on leur donne des informations, on dit "mais ils n'ont pas dit ça à la télé".
12:59 Alors moi, je n'ai pas la télé, donc je ne sais pas ce qui est dit à la télé.
13:02 Je sais quelque part, mais bon.
13:04 Mais voilà, c'est au moment où on présente les choses sur le fond,
13:09 les gens découvrent les chiffres du marché et les termes du contrat.
13:13 Et je me dis, c'est quand même ce travail d'information, il est très important.
13:18 Et j'ai de l'espoir également,
13:19 parce que je vois qu'il y a aujourd'hui des États qui continuent de tenir bon.
13:23 Et je pense qu'on va les encourager,
13:25 dans la mesure de nos forces, de continuer à tenir bon.
13:30 - Merci. Mathieu ?
13:31 - Alors, moi, j'ai espoir,
13:33 je suis quelqu'un d'hyper positif dans tout ce que j'entreprends,
13:36 donc évidemment,
13:39 mais j'ai espoir de ce que je disais tout à l'heure,
13:43 de quelque chose de sérieux, quoi.
13:46 Et en tout cas, dans la construction,
13:51 toujours en écoutant les personnes qui sont opposées,
13:55 toujours en se fiant sur ce qu'ils disent,
13:58 et en avançant, toujours.
14:01 On ne peut pas créer des choses extraordinaires avec une pensée unique.
14:05 Ça n'existe pas.
14:07 Donc un cerveau, ça a toujours deux côtés,
14:09 et c'est les deux côtés qui font qu'un homme et une femme
14:14 marchent correctement, etc.
14:15 Bon, ben là, c'est pareil.
14:16 Ce système que je souhaite de toutes mes forces,
14:19 elle sera obligée d'être nourrie par des opposants et des pours,
14:22 pour arriver à quelque chose de commun,
14:26 qui fasse que ce soit le bien pour tous.
14:29 - Merci beaucoup.
14:30 Nass, tu veux juste faire la promotion de tes ouvrages rapidement ?
14:33 Tu veux juste dire...
14:35 Puis on aura terminé.
14:37 - Très bien.
14:37 Alors, je voudrais informer sur la parution de deux ouvrages.
14:42 Un ouvrage qui est paru en 2021 aux éditions Odile Jacob,
14:46 qui s'intitule "Les marchés de la maternité",
14:48 qui a été coordonné par la sociologue Martine Ségalen,
14:51 qui est décédée lors de sa parution,
14:53 et par la médecin-gynécologue-endocrinologue Nicole Athea.
14:58 Et l'ouvrage "Ventraloué, une critique féministe de la GPA",
15:02 paru en avril 2022 aux éditions L'Échappée,
15:05 auxquels ont contribué 27 personnes,
15:09 des femmes et des hommes, des féministes,
15:11 d'un 11 ou 13 pays.
15:15 Donc, c'est des analyses féministes,
15:16 certaines qui ont été produites depuis plusieurs années,
15:19 d'autres qui ont été écrites pour les besoins de cet ouvrage.
15:23 Donc voilà, c'est deux ouvrages, "Les marchés de la maternité" et "Ventraloué".
15:26 - Merci beaucoup à tous les deux.
15:27 - Merci.
15:28 - Merci.
15:28 ♪ ♪ ♪

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