• l’année dernière
En visite à Sélestat (Bas-Rhin), le président de la République a été accueilli par des huées et des chants contestataires, lui reprochant la réforme des retraites. Emmanuel Macron a dit entendre cette « colère » mais il a réaffirmé la nécessité de « continuer d'agir et avancer ».

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Transcription
00:00 C'est normal que cette colère s'exprime.
00:02 Vous avez un gouvernement de contre !
00:04 On n'en veut pas de ta retraite !
00:06 Qu'est-ce que tu ne comprends pas là-dedans ?
00:08 On est en complet désaccord avec ça !
00:10 Elle est là. Il y a aussi d'autres gens qui ont d'autres motivations,
00:13 qui sont venus le saluer, d'autres qui sont en soutien.
00:16 Je ne m'attendais pas à autre chose.
00:18 Mais elle ne m'empêchera pas de continuer à me déplacer
00:21 partout à travers le pays, parce que nous devons continuer d'agir et d'avancer.
00:25 La mission d'un président de la République n'est ni d'être aimé,
00:28 ni de ne pas être aimé, c'est d'essayer de faire bien pour son pays et d'agir.
00:32 Et moi, je suis au service des Françaises et des Français.
00:35 Je le serai jusqu'aux derniers instants du mandat qu'ils m'ont confié.
00:40 Et je le serai par beau temps et par temps de pluie, qu'il neige ou qu'il vente.
00:47 Et s'il pouvait y avoir quelques jours de beau temps, ça ne me déplairait pas.
00:51 Mais s'il doit y avoir beaucoup de vent et beaucoup de pluie, je le ferai quand même.
00:56 Merci beaucoup.
00:58 (...)
01:03 (...)

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