"Elle va valoir chère ma première interview" : les déclarations étonnantes de Pierre Palmade

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Transcript
00:00 et proche de Pierre Pallon, en tout cas, ne se bouscule pas pour aller le voir,
00:02 mais forcément c'est compliqué puisqu'ils n'ont pas le droit de visite.
00:05 Claire, la seule soeur avec qui il était en contact et qui gérait ses affaires,
00:09 aurait claqué la porte de l'hôpital deux jours après l'accident, le 12 février dernier,
00:13 lorsqu'elle a entendu son frère Pierre prononcer une phrase que vous dévoilez dans Paris Match.
00:18 - Ce qui montre sa totale inconscience.
00:20 - Alors justement, deux jours après, cette phrase, c'est vrai qu'elle est incroyable.
00:24 "Dis donc, elle va valoir cher ma première interview."
00:26 - Ce qui montre sa totale inconscience.
00:28 - Voilà, encore une fois, on sait que le 11, 12 février, il ne comprend pas.
00:32 Enfin, il se positionne au tout départ comme une victime.
00:36 Il est victime de la drogue. Ce qui lui arrive, c'est très dur.
00:39 - Et donc, il met du temps...
00:40 - Ce qui est horrible dans cette phrase, c'est que peut-être que dans 10 ans...
00:42 - On lui servira encore.
00:43 - Et ce sera la phrase, ce sera le cas, en fait.
00:45 Ça vaudra cher, cette première interview.
00:47 Parce que c'est cynique et ce sera comme ça, malheureusement.
00:50 - Ou pas. Ou alors, il comprend que peut-être le silence est la meilleure...
00:53 - Il voudra faire la première interview de Pierre Pallon, peut-être.
00:56 - Peut-être, oui, mais en tout cas, on ne pariera pas.
00:57 - Il y a des vraies révélations. C'est incroyable.
00:59 Sa mère, qui réside à Bordeaux, n'a pas pris le train pour venir rendre visite à son fils.
01:03 - Sa mère est totalement absente de cette affaire depuis le 10 février.
01:06 - Sa mère, elle pourrait venir le visiter. On l'a laissé rentrer, sa mère, non ?
01:10 - Techniquement, oui. La famille, ce sont les seules personnes, a priori,
01:12 qui ont plus la facilité d'accès.
01:14 - Et pour l'instant, sa maman ?
01:16 - Non, elle n'est jamais venue.
01:17 - Ils étaient fâchés depuis 2 ans.
01:18 - D'accord.
01:19 - Ils étaient fâchés depuis 2 ans.
01:20 - Oui, mais peut-être, c'est une manière aussi de...
01:21 Non, pas de news, en tout cas.
01:23 - En tout cas, elle n'a pas estimé utile de prendre le train pour aller voir son fils.
01:26 - Donc, comme vous nous l'avez dit, vous dites qu'il a été lâché par Muriel Robin et sa femme, Anne,
01:30 par Michel Larocque, qui peut encore compter sur Carole Bouquet.
01:32 - Parce que ce ne sont pas des vrais amis.
01:36 - Précisez que, normalement, les patients restent 2 semaines dans ce service,
01:39 mais Pierre Palmade, on est déjà à sa 6e semaine.
01:41 Pourquoi Pierre Palmade, il a fait 6 semaines alors que les autres font 2 semaines ?
01:45 - Parce que Pierre Palmade est sous contrôle judiciaire.
01:47 Un contrôle judiciaire très strict qui a été établi entre la juge et son avocate,
01:51 avec beaucoup de choses qu'il ne peut pas faire.
01:53 Et notamment, il doit rester dans une structure médicalisée sous surveillance médicale.
01:58 Et donc, il a été convenu que ce protocole 1 durerait 6 semaines.
02:02 Après, encore une fois, on va voir ce qu'on fait ensuite.
02:05 - Alors, comme vous l'avez dit, que va-t-il se passer lundi ?
02:09 On va vous le dire parce que lundi, c'est une journée importante.
02:11 Après 2 mois et demi passé à l'hôpital, il pourrait quitter l'hôpital dès lundi prochain.
02:13 Il devrait donc avoir un nouveau contrôle judiciaire.
02:16 C'est ça. En attendant la date fatidique de son procès,
02:19 son contrôle judiciaire actuel ne lui permet pas de retourner dans sa maison.
02:22 Il a interdiction de quitter l'île de France.
02:23 Donc, il pourrait soit aller dans son appartement dans le 3e arrondissement de Paris,
02:27 soit aller chez l'une de ses sœurs qui pourrait bien l'accueillir.
02:29 - Ou alors aller dans un autre centre de soins,
02:32 type un centre de désintoxication, un autre hôpital qui serait prêt à l'accueillir.
02:36 - Il y a un hôpital qui a donné son accord et on attend la décision lundi.
02:39 Mais il y a déjà un hôpital qui a donné son accord.
02:41 - Alors, on apprend aussi, et ça, c'est des révélations incroyables que vous faites dans Paris Match,
02:45 on apprend aussi que l'accident était limite inévitable,
02:48 compte tenu de sa récente descente aux enfers.
02:50 Vous revenez également là-dessus et racontez que fin 2022,
02:55 la situation était déjà devenue très problématique.
02:57 Fin 2022, le tournage de la fine équipe, émission commentaire à Pierre Palmat
03:00 par France Télévisions, c'est sur France 2,
03:03 vit au naufrage.
03:05 Son cèdre capitaine du bateau, Pierre arrive en retard, ne reconnaît pas ses invités,
03:09 s'enferme avec...
03:12 - Sambou, celui qui le piquait souvent, qui était son compagnon de police.
03:16 - Alors, avec Sambou dans sa loge, ils semblent plus déconnectés que jamais.
03:19 C'est qui, Sambou ?
03:20 - Sambou, c'était son compagnon, malheureusement, de club sex, de soirée glauque.
03:24 Et c'était celui qui le piquait mieux.
03:25 Il l'avait dit, d'ailleurs, il avait des orteils pour paquer des marques.
03:28 - Ah oui ?
03:29 Donc, lui, c'est lui qui le piquait.
03:31 Et il est où, ce... ?
03:32 - Bah, s'il a été entendu par la police.
03:35 - Il avait été arrêté et condamné à 12 mois avec sursis, ouais.
03:37 - C'est un des deux qui était dans la voiture avec lui le jour le matin.
03:39 - C'est ça. - Et il avait interdiction de le voir.
03:41 Il était dans la voiture le jour de l'accident.
03:43 - Alors, donc, oui, donc on apprend ça qu'il était...
03:47 Vous racontez ça.
03:48 - Sambou était donc en récidive parce qu'il n'avait pas le droit de le voir, effectivement.
03:52 - Mais il est libre.
03:53 - La promotion, vous dites, tourne au fiasco
03:54 lorsque, après son passage à l'antenne d'une station de radio parisienne,
03:57 un sachet de cocaïne est découvert dans les toilettes.
04:00 Palmade empochera 170 000 euros pour sa calamiteuse prestation.
04:03 C'est quoi, cette histoire ?
04:04 - L'histoire, c'est qu'il a...
04:06 Il est en panique parce qu'il a plus de thunes, il a besoin d'argent
04:08 parce que ça coûte très cher d'avoir...
04:11 De se fournir en 3MMC et en coke.
04:13 Et donc, effectivement, il a peur que la promotion de l'émission s'arrêtant,
04:17 qu'il ne touche pas le cachet qui lui était promis.
04:20 - C'était chez vous, Bernard Montiel ? - Oui.
04:21 - À la radio ? - Oui, oui.
04:23 J'ai lu le papier de match. J'étais...
04:24 - Non, mais c'était chez vous ? - C'était chez moi.
04:25 - Vous saviez qu'il y avait de la cocaïne qui avait été retrouvée dans les toilettes ?
04:28 - Alors, pour être honnête, j'ai reçu Pierre pour la fin équipe 2.
04:32 C'est ça. Et il était venu sur RFM répondre à des questions.
04:35 Il n'était pas très en forme du tout,
04:37 à tel point que j'ai demandé à ne pas diffuser les images.
04:39 Elles n'ont pas été diffusées
04:40 parce qu'on enregistre toujours nos interviews radio, effectivement.
04:44 Et il n'était pas en forme du tout.
04:45 Bon, il est parti.
04:46 On a réussi quand même à faire un bout d'entretien plus ou moins intéressant.
04:49 Et il se trouve qu'en partant, une collègue est revenue en hurlant.
04:54 "Bernard, ton pote, il a laissé un petit sachet dans les chiottes."
04:58 Ça a fait un scandale énorme.
04:59 Mais j'avoue que moi-même, j'en avais jamais parlé.
05:02 Je ne sais pas comment vous l'avez su, mais en fait, c'est...
05:04 - Ah ouais ? À toi, tu le savais, alors ?
05:05 - Ah non, non, non, je ne savais pas.
05:07 Je sais qu'il prend des trucs.
05:08 - Non, non, mais tu l'avais, mais ce n'est pas toi qui a donné l'info.
05:10 - Ah non, non, ça, je n'ai pas donné l'info.
05:12 Non, je l'ai lu et j'étais sidéré qu'il le sache
05:14 parce que justement, je voulais...
05:15 J'ai même demandé à mes collaboratrices de ne rien dire par rapport à cette affaire.
05:18 - Non, mais c'est une info que tu avais, quoi.
05:19 - Ah oui, ça, je le savais.
05:20 - Non, mais ce n'est pas Bernard qui raconte.
05:22 - Non, je sais, mais ces gens sont sérieux.
05:23 - Ah, mais très sérieux.
05:24 L'article, d'ailleurs, je l'ai lu.
05:26 Justement, on en a parlé, je me suis du précipité. Très intéressant.

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