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Transcription
00:00 Avec un tel tableau, François-Olivier Gisbert, est-ce que vous pensez qu'il a une capacité à rebondir ?
00:04 Il se donne 100 jours pour retrouver un peu d'oxygène, pour apaiser.
00:08 Est-ce que c'est véritablement dans ses gènes, dans son ADN ?
00:11 Parce qu'apparemment, à vous écouter, il ne peut pas changer. Il est ainsi.
00:16 Alors quand je dis ça, c'est évidemment toujours avec l'espoir secret.
00:19 Moi, j'aime mon pays, j'aime la France et je souhaite que ça reparte.
00:23 Évidemment, on ne va pas passer quatre ans comme ça, assister à cette espèce de tir au pigeon.
00:28 C'est difficilement supportable.
00:31 Mais je dis ça aussi parce que je souhaite qu'il change.
00:36 Mais c'est vrai qu'on commence à se demander s'il a même la capacité de changer.
00:40 Il est tellement sûr. Et en plus, si vous voulez, pour une réforme,
00:44 enfin qui est une réforme ridicule, parce qu'elle ne va rien rapporter.
00:47 Elle va rapporter peut-être 10 milliards ou plus. Très vite, tout ça pour ça.
00:51 Mais c'était juste une réforme, comment dire, pour les marchés financiers.
00:55 Il ne faut pas se raconter d'histoire. Oui, mais pour éviter une crise financière.
00:58 Parce que c'est ça qui prend au nez de la France. Quand on regarde les chiffres, quand on regarde.
01:01 Attendez, la France, c'est pratiquement un quart de l'endettement de l'union économique et monétaire
01:07 en France, de la zone euro. C'est quand même énorme.
01:10 24% et avec un plus, une part de la richesse nationale de la zone euro qui baisse.
01:16 Non, mais vous rendez compte, on est comme dans une situation très compliquée.
01:19 Si c'est une petite réforme, pourquoi une telle réaction?
01:21 Pourquoi une réaction aussi vive dans la population?
01:25 Parce que ce n'est pas expliqué. Oui, attendez, excusez-moi.
01:28 On en parle depuis trois ans. Non, non, non, non, non, non, non, non. D'abord, d'abord, il était pour la retraite à point.
01:33 Après, il change. Ah ben non, ah ben non, non, c'est en même temps. Allez, on passe à autre chose.
01:37 On va vers. On va en prendre une autre. Il lui aurait suffi de lui expliquer pour que tout passe.
01:42 Je ne dis pas ça. D'abord, ce n'était pas forcément à lui de le faire.
01:44 Il pouvait le faire faire par d'autres. Il aurait pu avoir son. Le maire et l'ATA aurait très bien pu le faire, par exemple.
01:51 Mais les faire apparaître le plus possible pour qu'il puisse arriver derrière.
01:55 Enfin, il ne pouvait pas rester comme ça complètement absent. Je suis désolé.
01:58 Il a été. Il a tout filé à bord, qui, évidemment, n'est pas fait pour ça.
02:03 C'est une bonne technicienne, certainement, mais ce n'est pas une politique du tout.
02:07 Il faut des politiques dans des périodes difficiles comme comme la France.
02:11 Aujourd'hui, il ne faut pas des technocrates. Il faut des politiques.

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