The Midday Bilingual News of May 2, 2023 on CRTV

  • l’année dernière
Le JT Bilingue de Midi du 02 avril 2023

Category

People
Transcript
00:00 Bonjour à tous les écouteurs. Bienvenue dans cette édition de la midday news. Bonsoir Mohamed. Bonjour Sally. Vous avez raison.
00:25 Dans l'actualité finie, le long week-end du 1er mai, la vie reprend son cours normal ce mardi. Les journées au travail également. Après une soirée festive entre collègues et amis, le reveil et les heures qui s'en suivent sont souvent difficiles à vivre. Vous le verrez.
00:40 La page magazine nous amènera vivre l'ambiance studieuse d'un centre dédié aux enfants pygmées à Djoum dans la région du sud. Ils apprennent à lire, à écrire et nourrissent de grands rêves pour l'avenir. Vous les entendrez dans cette édition, Sally, de la santé en ouverture de ce journal.
00:57 C'est vrai, Mohamed. Un projet de trial clinique appelé le Programme Communique Afrique Analyse et Désign est en train de se lancer. Le programme s'adresse à la construction d'un réseau africain d'experts en trials cliniques, qui a la capacité de réviser les protocoles et d'appliquer les meilleures pratiques pour les designs de trials cliniques pour l'Afrique.
01:20 L'Afrique est censée vivre un double choc de maladies caractérisées par un augment de la prévalence de maladies non communiquables dans le monde. Seulement 3% des trials cliniques mondiaux ont été étudiés. Le programme est une initiative de l'organisation non-gouvernementale Clinton Health Assets Initiative, en collaboration avec la Fondation Bill et Melinda Gates.
01:47 Également dans l'actualité, ce mardi, la deuxième journée camerounaise de biologie clinique, l'événement ouvert ce matin à Yandé, est placé sous la férule de la Société Camerounaise de Biologie Clinique. Qu'est-ce qui justifie ces assises? Quelle en est la portée? Pour en parler, nous recevons dans le fauteuil de l'invité le Dr Adelaide Kwinche. Bonjour.
02:08 Merci de nous faire l'amitié de reprendre à notre invitation. Pour la compréhension de nos téléspectateurs, qu'est-ce qu'on entend par biologie clinique?
02:17 Monsieur Mohamed, en effet, quand on parle de biologie clinique, on pourrait dire la médecine de laboratoire, qui consiste à la réalisation des examens de laboratoire pour prévenir les maladies, faire les diagnostics de certitude, suivre les traitements et même mettre en route de nouveaux traitements et le contrôle des maladies dans les populations.
02:39 Alors ces assises se tiennent dans un contexte marqué par la récrudescence des cas de choléra dans la région du centre. Est-ce que vous tendez l'oreille à cette préoccupation sanitaire?
02:50 Effectivement, on ne peut pas dire qu'on ne tend pas l'oreille à ça parce que nous sommes au cœur du diagnostic pour la prise en charge des cas de choléra dépistés. Donc c'est une épidémie qui arrive et tous les patients qui sont atteints, il faut que nous mettons la preuve, la certitude diagnostique en examinant les celles de personnes atteintes par cette maladie.
03:11 Parlons maintenant de cette édition qui se concentre sur l'évolution de la biologie clinique à Cameroon. Pourquoi cette question?
03:20 C'est parce que la biologie clinique n'est pas un sujet de la population et même au niveau de l'hôpital, nous sommes sûrement considérés comme une petite partie de l'action dans le domaine de la diagnostic de la patiente.
03:44 Mais nous oublions que la biologie clinique est essentielle pour toutes les spécialités, même la gynécologie, la pédiatrie, la chirurgie, l'anesthésie, toutes ces spécialités ont besoin de la preuve du test de laboratoire pour donner la meilleure preuve à la patiente.
04:04 Est-ce qu'il y a des travaux de recherche qui ont été faits dans ce domaine à Cameroon? Si oui, qu'est-ce qu'ils font avec les preuves?
04:11 On ne peut pas parler de preuves, mais nous savons que tous les médecins et les pharmaciens qui ont fait de la biologie et les autres personnes concernées par la biologie clinique,
04:24 travaillent dans leur domaine, dans leurs spécialités, et c'est une bonne opportunité pour tous d'y présenter le résultat de leur recherche.
04:42 C'est pourquoi nous sommes là, pour échanger, pour apprendre et pour faire la réflexion sur ce qu'il faut faire ensuite.
04:50 Cette deuxième édition est également pourbu d'associer les personnes qui s'intéressent à cette spécialité. Est-ce que pour le début des travaux, vous enregistrez déjà une mobilisation dans ce sens?
05:02 Monsieur Mohamed, je peux dire que je viens de sortir de la salle de conférence. On avait déjà presque 200 personnes, plus de 200 personnes inscrites. Nous avons commencé les travaux ce matin par deux sessions.
05:15 Une session sur l'assurance qualité ou bien le management de la qualité en laboratoire, et la deuxième session, c'était sur la mycologie-parasitologie.
05:25 Les deux se sont tenus ce matin et sont encore en cours.
05:29 Quelles sont les perspectives d'avenir de la Société Camerounaise de Biologie Clinique?
05:35 Les perspectives d'avenir, c'est déjà que nous soyons connus comme une entité, comme une spécialité, qui est au cœur de la prise en charge du parcours du patient.
05:46 Ce n'est pas encore le cas à date au Cameroun.
05:48 Si c'est à date, mais beaucoup de gens ont l'impression qu'on les aide, on donne, mais ils ne nous prennent pas à notre juste valeur.
05:59 Et aussi pour les populations qui savent que pour finir le diagnostic, pour bien suivre le traitement, on a besoin d'un résultat de laboratoire fiable.
06:08 Merci d'être passé sur le plateau du 12h. On ne va pas vous retenir longtemps. On vous laisse retourner à vos travaux, docteur.
06:14 Merci, Monsieur Mohamed. Merci, Madame Sali.
06:17 Dans la suite de ce journal, ils sont à la page de la protection de l'environnement.
06:22 Élèves du primaire et du secondaire de la ville de Yaoundé renforcent leurs capacités dans le domaine global environnemental education,
06:29 en tant suscité en eux l'amour de la nature. Écoutons Divine Thiokam sur les enjeux de cette campagne.
06:36 L'objectif principal est de promouvoir l'éducation environnementale à partir de l'école primaire.
06:42 Nous avons cru que c'était très important pour inculquer cette idée aux enfants de l'école primaire, l'école maternelle et aussi l'administration.
06:49 C'est pour cela que vous voyez les élèves ici, ils étaient très contents.
06:51 Toutes avant une réunion avec des partenaires, les partis prénoms de l'UNESCO, les différentes institutions dans le monde,
06:57 là ils ont vraiment donné leur point de vue et pourquoi ils pensent que l'environnement est clé.
07:01 Parce que sans un environnement durable, il n'y a pas de paix durable.
07:04 Je pense que tout vient au niveau de l'environnement.
07:07 C'est pour cela que nous avons dit le projet de l'école qui est l'espace vert.
07:12 Nous sommes entrés pour soutenir cela et le ministre de l'éducation de Basse nous a donné l'autorisation de travailler dans toutes les écoles internationales.
07:20 L'éducation en ligne ou la persécution, l'une des façons les plus efficaces de rebâtir leur vie avec dignité et en paix,
07:28 c'est par l'opportunité de travailler et d'avoir un revenu.
07:32 Le CDR de l'ONU travaille pour promouvoir la viabilité et l'économie d'inclusion pour les réfugiés.
07:38 Gladys Asoul a parlé à l'agent de l'agence de réfugiés de l'ONU en Cameroun, Cesar Mbafatilombo, pour le Midday News.
07:48 Comment les réfugiés de l'ONU en Cameroun facilitent leur inclusion socio-économique ?
07:58 Je peux dire qu'il n'est pas seulement l'ONU qui les facilite. Nous travaillons ensemble avec le gouvernement.
08:04 L'ONU est là pour accompagner le gouvernement.
08:08 D'abord, le gouvernement de Cameroun a fait quelques prémices,
08:14 ce qui signifie des engagements au Forum mondial des réfugiés en Généva en 2019.
08:26 Parmi ces prémices, il y a aussi le prémice de l'inclusion socio-économique,
08:32 ce qui signifie que les réfugiés de Cameroun ont le droit de travailler, d'éduquer,
08:39 et en plus, ils ont le droit de travailler en accordant avec la loi.
08:45 C'est la même condition que celui des réfugiés de Cameroun.
08:49 Il y a aussi le droit d'ouvrir un business.
08:56 Je peux dire que c'est un très bon prémice pour les réfugiés de Cameroun d'avoir des bénéfices sociaux et économiques.
09:05 Je voudrais avoir des exemples concrets sur les conventions que vous avez signées avec le gouvernement de Cameroun.
09:11 Vous l'avez mentionné, vous ne faites pas ça vous-même, vous faites ça avec le gouvernement.
09:15 Nous avons signé des conventions.
09:20 Nous avons une convention sur la santé, par exemple,
09:26 où le gouvernement de Cameroun a accepté de prendre soin de 30% des réfugiés en soins de santé.
09:42 Nous avons aussi la convention avec le ministère des emplois, de l'emploi et de l'entraînement professionnel,
09:52 et le Fonds national de l'emploi, et aussi l'ILO.
10:00 Ensemble, nous avons signé cette convention, et nous travaillons ensemble pour faciliter l'accès au travail décent,
10:13 non seulement pour travailler, mais aussi pour avoir le droit d'être au travail.
10:19 C'est aussi reconnu par la loi sur les réfugiés.
10:24 Nous voulons leur apprendre à être seuls, pendant leur exil.
10:29 Et quand ils retourneront au pays, ils ne seront pas dépendants de l'aide de l'État.
10:37 C'est en fait notre philosophie en termes de social-économique et d'inclusion économique.
10:45 Comment peut-on contribuer au secteur privé à faire facilement pour les réfugiés d'accéder à des emplois décents?
10:52 De notre expérience, nous avons essayé de disséminer le Compact global sur les réfugiés.
11:15 C'est la façon dont nous approchons la protection des réfugiés, selon le High Commissioner.
11:22 Quand nous avons réalisé des outils dans la région qui hostent les réfugiés,
11:32 nous avons réalisé que le secteur privé ne connaissait pas la loi sur les réfugiés.
11:43 C'est la première chose que nous devons faire.
11:46 Je veux dire la sansétisation du secteur privé sur les droits des réfugiés.
11:52 Ils pensent, selon la conversation que nous avons eu, que les réfugiés n'ont pas le droit de travailler.
11:58 C'est une des choses sur laquelle nous travaillons.
12:03 Nous devons travailler avec le secteur privé pour comprendre que, selon la loi de Cameroun,
12:09 les réfugiés ont le droit de travailler.
12:12 Comment accéder au marché?
12:14 Ils accéderont au marché selon la compétition.
12:17 Nous avons un programme appelé DAFI.
12:21 Nous travaillons sur ce programme avec le gouvernement allemand,
12:27 par l'aide de l'Einstein Foundation,
12:30 pour l'excellence des étudiants réfugiés.
12:35 Ils peuvent avoir un diplôme, un diplôme, etc.
12:40 Nous avons ce genre de personnes.
12:42 La compétition sera sur le marché, sur les compétences, pas sur le statut.
12:48 C'était Gladys Azou avec notre invité pour cette édition de la midi-nouvelle.
12:52 Renons-nous à la fête du Loire qui a eu lieu dans le pays hier.
12:57 Mais avant tout, nous nous arrêtons à la Ministère des Services Publics et des Réformes Administratives,
13:03 où les personnels ont exprimé leur désir de voir les textes et les statuts des personnels
13:08 gouvernés par le Code de Travail revu et amélioré.
13:12 C'était lors de la cérémonie de réunion des personnels hier,
13:17 après le passe-marche marquant le Jour de Travail International.
13:20 Renons-nous à Fritz Kwan.
13:22 C'est un heureux ministre des Services Publics et des Réformes Administratives
13:27 qui accompagne ses personnels dans la commémoration du Jour de Travail International.
13:32 Commémoration, écrite avec différentes demandes pour des conditions de travail meilleures,
13:37 des demandes qui tombent sur le sol fertile, comme un favori dans les yeux des hiérarchies.
13:43 Nous essayons de mettre en place des solutions à ces problèmes.
13:49 Mais je vous dis que ici, à Minfopra, beaucoup de choses ont déjà été faites.
13:56 Avec les moyens que nous avons, nous essayons de faire de notre mieux et nous allons continuer.
14:01 La cérémonie à la Ministère des Services Publics et des Réformes Administratives
14:06 était aussi une plateforme pour déterminer les travailleurs
14:09 qui auraient fait la différence grâce à leur qualité de travail.
14:13 Je suis très satisfait, car j'ai remarqué que plus de 15 ans de travail ont été considérés aujourd'hui.
14:20 Je suis très reconnaissant pour tous mes collègues, qui m'ont choisi.
14:27 Le ministre a demandé aux personnels de faire un double effort pour ce qu'ils font pour des résultats meilleurs,
14:33 car le public est le plus attendu.
15:01 Ils ont oublié pour quelque temps Dossier et autres paraffers
15:05 et se sont laissés emporter par des sonorités musicales d'ici et d'ailleurs.
15:10 Le dernier acte de la célébration de la Journée internationale du travail
15:15 au ministère de la décentralisation et du développement local
15:18 aura été un moment de rappel des défis de ce ministère.
15:22 Nous sommes résolument acteurs de la paix.
15:26 Nous avons décidé que l'année 2023 sera une année où nous allons mettre en utilisation
15:32 tous les outils et les dispositions qui vont nous assurer
15:35 le travail que nous faisons pour contribuer à l'accélération et à l'approfondissement de la décentralisation.
15:42 Ces concits seront mis en pratique dès la reprise de travail.
15:46 Mais en attendant, ils n'ont pas manqué de se rejouir.
15:50 Les agapes d'après-défilé étaient chaleureuses à la mission d'aménagement des zones industrielles.
15:56 La journée d'hier était placée sous le signe de l'amélioration des conditions de travail à la MAGSE.
16:01 Maria Mazou a tendu l'oreille aux préoccupations des délégués du personnel.
16:06 Des talents cachés dévoilés ici à la mission d'aménagement et de gestion des zones industrielles
16:13 à l'occasion de la journée internationale du travail.
16:17 Sous le regard admiratif du directeur général adjoint de la MAGSE,
16:21 par ailleurs représentant personnel du directeur général,
16:24 le personnel de cette entreprise a saisi cette opportunité pour présenter un chapelet de doléances.
16:30 Nous avons demandé à notre directeur général de prendre en compte certains aspects
16:36 naturellement pour la bonne marche de l'entreprise,
16:41 pour l'amélioration des conditions de service.
16:45 Il en fait déjà assez.
16:47 Avant l'apothéose, ils se sont livrés à une série d'activités parmi lesquelles l'art culinaire et la marche sportive.
16:56 Les fêtes de l'année de la Loi de l'Occupation ont été organisées dans le Maroua, dans la région du Nord,
17:00 et ont amené les travailleurs des secteurs publics, parapublics et privés
17:04 qui ont participé à la marche de la Commémorative,
17:07 qui a été dirigée par le gouverneur Mijiawa Bakari.
17:10 A l'occasion, les représentants des unions de travailleurs ont remercié le gouvernement
17:15 pour l'augmentation de la valeur minimale.
17:17 Des détails avec Sylvester Atemken.
17:21 La multiplicité des couleurs, des adresses et des messages
17:24 montrés par les travailleurs au Maroua est une preuve de leur enthousiasme
17:28 pour célébrer la Journée du Travail après deux années de pause à cause de la COVID-19.
17:32 En reconnaissant leur travail dur, le gouverneur Mijiawa Bakari a reçu des médailles de travail en or,
17:38 de sièvre et de bronze pour certains des travailleurs qui ont des médailles de service.
17:41 Par contre, le représentant des unions de travailleurs a décrit que la région du Nord
17:45 est toujours face au problème de l'emploi, qui compte 74% et d'autres défis.
17:50 Les travailleurs ont vraiment besoin de protection sociale.
17:54 Nous devons travailler beaucoup pour les aider à se protéger.
17:57 Malgré tout, les travailleurs ont montré des pas de force dans un débat coloré
18:02 avec CRTV Far North étant le deuxième meilleur.
18:05 Le gouvernement a pris en compte les différentes considérations.
18:10 Le salaire a été augmenté et différentes mesures ont été prises
18:16 pour améliorer la condition de vie de ces travailleurs.
18:21 Des personnalités comme le gouverneur général de l'entreprise de la santé et de la santé,
18:26 et le chef de l'autorité de développement de la montagne de Mandera ont regardé le débat à Marwa.
18:32 Et plusieurs travailleurs de la division de l'université ont exprimé l'excitement à la retournée des célébrations du Journée du Travail.
18:39 Le débat de la rue Manga Williams à Limbeau a vu des jeunes entrepreneurs et de nouveaux recrues
18:45 paraitrent à la foule des autorités locales.
18:50 En bâtissant dans un bateau de sécurité, leurs bras s'éloignent et demandent des conditions de travail décentes
19:00 en ce moment, en célébrant leur résilience après un récès imposé par la santé.
19:05 La récente célébration du 1er mai a vu des jeunes employés et des entrepreneurs
19:10 prendre part pour la première fois.
19:12 Je suis contente de voir la façon dont mes travailleurs étaient excités pour marcher.
19:16 J'ai l'impression que j'ai eu la joie.
19:19 Leur salaire est assez encourageant. Nous leur avons offert une soin médical gratuit.
19:23 Pendant notre retraite scolaire, nous leur avons payé des salaires de l'école pour leurs enfants.
19:27 Je suis très, très étonné et très, très heureux,
19:31 parce que notre première participation nous a vraiment motivés.
19:36 Nous avons vu l'ambiance et cela nous a donné l'encouragement de continuer notre travail.
19:42 Le jour des travailleurs ici à la rue Manga Williams,
19:46 le siège de l'unité Limbe, de Fakou,
19:49 réunit les travailleurs de toutes les sept subdivisions,
19:53 avec des dizaines de ceux qui reçoivent des médailles.
19:56 Le sénior officier de l'unité pour Fakou, Mr. Chaibou,
19:59 a évoqué les leaders syndicats qui se sont engagés pour des salaires et une bonne rémunération.
20:06 La fête de la Liberté dans l'Ouest a été marquée par des appels pour une meilleure paie
20:12 et des conditions de travail par les unionistes.
20:15 La parade a eu lieu au présence du gouverneur de l'Ouest,
20:19 notre Fonka Augustin Kelvin Nembo.
20:24 Dans Bangante, les travailleurs des quatre subdivisions qui font Ndeye
20:29 ont été invités à la grande fête de la Liberté,
20:32 après trois ans de dépression à cause de la pandémie de la COVID-19.
20:37 Président de la fête, le sénior officier de la division Ndeye,
20:42 Ernest Ewangung Budu,
20:44 a apprécié la nature de travail du peuple de son unité administrative.
20:48 Il a aussi conclu avec l'awardé des médailles de la Liberté à certains travailleurs méritoyaux.
20:53 En lien avec le thème de cette année,
20:56 beaucoup a été dit sur les efforts mis à améliorer les conditions de vie des travailleurs de la division Ndeye.
21:02 "Au cours des réunions avec les autres travailleurs,
21:07 nous essayons de résoudre tous les problèmes que nous rencontrons.
21:12 Nous essayons de travailler sur cela, de le réparer,
21:16 et de nous assurer que le cadre sur lequel ils se sont impliqués est le meilleur,
21:22 afin de s'assurer que les gens qui viennent à la maison de la ville soient bien servi."
21:32 L'édition 2023 du Jour du Travail international à Bangante,
21:37 riche en son et de couleur, a terminé avec des fêtes dans différentes unités.
21:42 "A Bomban, dans la région de l'Est,
21:46 les organisations syndicales ont donné de la voix,
21:49 toutes plaides pour un travail décent.
21:51 L'essentiel des prises de parole dans ce reportage a doucement Abdulaziz."
21:56 De la vie des différents acteurs,
22:00 les relations entre employeurs et employés en entreprise
22:03 restent globalement satisfaisantes dans le département du ONU.
22:07 "Nous avons presque 650 ouvriers,
22:10 les salaires sont payés à temps,
22:13 et les dispositions de la convention collective en vigueur sont respectées."
22:19 C'est pour davantage célébrer ce climat social apaisé
22:22 que les travailleurs venus de quatre coins du ONU
22:25 ont pris d'assaut la place des fêtes de Bomban
22:27 pour manifester leur joie en ce jour de fête,
22:29 faire connaître leurs difficultés,
22:31 mais surtout recevoir des distinctions pour leurs efforts en entreprise.
22:35 "C'est l'ardeur au travail, l'acidité,
22:38 et ça m'invite à continuer."
22:40 Le préfet du département du ONU exhorte tous les acteurs
22:44 à œuvrer aux côtés des pouvoirs publics
22:47 pour la promotion du travail décent.
22:49 "Le dialogue social a été maintenu et resté permanent.
22:53 Je voudrais simplement exhorter les travailleurs,
22:57 notamment les employeurs,
22:59 à rester attentifs aux mesures des pouvoirs publics."
23:03 La marche du travailleur à Bomban
23:05 a mobilisé de nombreuses administrations,
23:08 des entreprises publiques, parapubliques et privées,
23:11 qui s'engagent à accompagner le gouvernement dans sa politique de développement.
23:15 Dans la suite de ce journal, parlons des Jeux universitaires.
23:19 Le campus de Danvibre au rythme de la compétition,
23:22 sur les différentes aires de jeu,
23:24 les athlètes rivalisent d'adresse et en dehors,
23:26 les fan clubs en mettent plein la vue.
23:28 Ils sont les principaux acteurs de l'animation.
23:31 Bienvenue, Époque de Sierre-Tévi à Damarois,
23:33 les a vus à l'œuvre.
23:35 "L'ambiance est chaude, les mouvements harmonieux,
23:41 les mises en scène ingénieuses,
23:43 et bien, il n'y a que les fan clubs pour offrir un tel spectacle."
23:47 En plein soleil ou sous la pluie,
23:55 ils font valoir leur savoir-faire,
23:58 leur incroyable talent.
24:00 Ce sont eux les principaux acteurs de l'animation générale des Jeux universitaires.
24:04 Et au rendez-vous d'un gars en dérêt,
24:06 il répond de présent.
24:08 Tous ces efforts fournis par eux, avec beaucoup de passion,
24:11 ne sont pas fortuits.
24:13 En fait, c'est sur la base de leurs prestations diverses
24:16 qu'ils sont notés par des juges évaluateurs.
24:18 Ce sont donc 22 institutions concernées par cette compétition d'animation des Jeux,
24:23 réparties en deux pôles.
24:25 D'un côté, les institutions d'État, 11 au total,
24:28 et de l'autre, les écoles et autres institutions privées d'enseignement supérieur.
24:33 Faut-il être, oui,
24:35 faut être un témoin privilégié
24:37 de ce magnifique spectacle,
24:39 car c'est même de cela qu'il s'agit.
24:42 Très belle ambiance sur le campus de Dan.
24:50 La page magazine nous amène à présent vivre l'ambiance studieuse d'un centre
24:54 dédié aux enfants pygmés à Djung dans la région du Sud.
24:57 Ils apprennent à lire, à écrire et nourrissent de grands rêves.
25:00 Cyril King-Mbeppe est en immersion.
25:03 L'école pour tous.
25:06 Le slogan a tout son sens dans cette enseigne spécialisée
25:09 qui accueille près de Djung, dans le Jaéloba,
25:12 les enfants mbaka, peu autochtones et des enfants bantou.
25:16 - C'est lui, n'est-ce pas? - Oui, monsieur!
25:18 - C'est quoi, c'est le? - Ballet!
25:21 Nous sommes ici à 25. Il y a 10 filles et 15 garçons.
25:25 Comme ce sont des petits enfants,
25:27 on les prend au niveau de la maternelle.
25:30 C'est ça, c'est les choses de la maternelle qu'on les enseigne ici.
25:33 Il est passé par un tel cadre il y a quelques années.
25:35 Dans la localité de Bidou 1, arrondissement de l'Okunje, dans l'océan.
25:39 Stanis, 15 ans, est aujourd'hui élève au lycée de Lollodorfe.
25:43 Ses congés sont bien organisés.
25:45 Je finis de tenter mes pièges avec mon petit frère.
25:48 Je rentre. Le matin, quand je pars regarder mes pièges,
25:51 je trouve peut-être trois porcs-épics avec le ras.
25:54 Je tue ça.
25:55 Mon père me dit que je prends deux porcs-épics
25:57 et que je peux vendre en brousse pour mon argent de l'école.
26:01 Je peux acheter des cahiers, des chaussures, des habits, des biques.
26:06 Malgré les défis fonciers qu'affronte sa communauté,
26:09 ce Baguieli garde la tête froide.
26:12 Je fréquente le lycée de Lollodorfe.
26:14 Je suis en classe de 6e.
26:16 Je suis là depuis quatre ans avec mes parents.
26:19 Avant, on restait en Brousse.
26:21 On restait en Bangadjo.
26:23 Pour les organisations de défense des droits particuliers,
26:26 il est urgent de se tenir aux côtés des Baguielis.
26:29 Ils sont donc privés de cette forêt, privés de ces espaces-là.
26:35 Et que les populations ruiveraines ont accaparé ainsi
26:41 pour faire soit des bornages, soit des immatriculations,
26:45 on ne comprend pas comment est-ce que ces peuples-là
26:47 vivront dans les jours à venir.
26:49 Les peuples autochtones du sud Cameroun
26:51 n'ont cessé de vivre uniquement de la chasse et de la cuillette.
26:54 Avec la modernité, ils sont à l'école.
26:56 Pour certains, déjà dans les universités camerounaises.
27:00 Et les jeunes athlètes de tous les coins de la région du sud
27:03 ont conversé ce week-end à l'église Paul Bia
27:06 à Vomica pour la 10e édition du camp de basketball mobile.
27:11 L'événement sportif est une initiative
27:13 de l'Association des sports basé en Amérique du Sud,
27:16 Blossom Youth, comme nous l'a dit Irène Manzi.
27:19 La belle localité de Mayomé Sala, située dans la division de Jean Lobo
27:25 de la région du sud, métamorphose
27:28 ce jour-là en un édifice de sport éldorado dans la discipline du basketball.
27:32 Des jeunes athlètes, venus de tous les coins du sud
27:34 et d'autres parties du pays,
27:36 ont conversé à l'église Paul Bia
27:38 pour participer à la 10e édition du camp de basketball mobile
27:42 organisé par l'Association des sports basé en Amérique du Sud, Blossom Youth.
27:45 Je suis venu jouer au basketball parce que c'est ce que j'aime.
27:49 J'ai commencé à jouer au football,
27:51 mais pendant le virus, j'ai fini au basketball.
27:55 Aujourd'hui, le seul joueur que j'aime, c'est Lebron James.
27:58 J'aimerais être comme lui.
28:00 Je veux le blesser et le remercier pour ce qu'il a fait pour organiser ce genre de jeu.
28:05 L'événement de sport coloré a été marqué par des sessions de warm-up
28:08 et un basketball de l'église P-Team,
28:10 les Athlètes de Vomica contre ceux de Mayomé Sala.
28:13 Ils ont joué bien. Nous avons essayé de faire un jeu all-star
28:16 et d'utiliser les noms locaux pour que les gens et les fans s'engagent.
28:20 Je pense que ça a bien fonctionné
28:22 parce que tout le monde s'est engagé et voulait que l'un des équipes gagne.
28:25 C'était un bon jeu.
28:26 Au moment des événements, un autre tournoi est en progrès.
28:30 Nous voulons avoir un camp de basketball en sommaire, si possible.
28:35 Mais nous allons avoir un camp à Yaoundé en décembre.
28:40 L'événement s'est terminé avec l'award de prizes aux Athlètes.
28:46 Championnat d'Afrique d'athlétisme de moins de 20 et 18 ans en Zambie,
28:50 un espoir doré pour la Team Cameroun.
28:52 Deux médailles, une en argent et une en or, ont été gagnées hier soir
28:56 dans la deuxième ville du pays.
28:58 Retrouvons à l'envoi spécial de la CRTV, Ebariste Yinga.
29:02 Les couleurs du Cameroun valorisées à deux reprises
29:07 au rendez-vous africain de l'athlétisme en Zambie.
29:09 D'abord, Yetiha, Pange Pange et Lombo qui décrochent
29:13 une médaille d'argent au lancer de poids, moins de 18 ans.
29:16 L'élève du collège de la Guéthée à Yaoundé plante la masse à 13,61 m au 4e essai.
29:22 Pange bat son record personnel et termine deuxième
29:25 derrière la sud-africaine Alicia Konou.
29:28 Je suis très contente. Je ne m'attendais pas à ça au début de la compétition.
29:33 Mais quand la compétition s'est déroulée, j'ai trouvé la confiance en moi.
29:39 Le coach m'a parlé lorsque je m'approchais vers lui.
29:43 Il m'a dit de me retourner pour voir quand j'étais deuxième.
29:47 J'ai regardé et j'étais deuxième. J'étais choquée et contente.
29:52 Encore les couleurs du Cameroun, cette fois-ci au lancer du disque.
29:56 Nora Lemongon Koulou décroche la médaille de bronze avec un jet de 36,16 m.
30:01 Découverte du lancer du disque par une entrée au podium.
30:05 Je suis plus que contente. Je suis vraiment contente.
30:08 A la base, je suis une principale lanceuse de poids.
30:11 Pour moi, avoir une médaille de bronze championnate d'Afrique, ça représente beaucoup.
30:15 Haut du 100 m, Ibrahima Hamayadi a échoué au pied du podium en se classant quatrième.
30:21 C'est ici sur les pistes du stade Lévis-Mouanawassa d'Undolar
30:25 que le Cameroun a donc obtenu ses deux premières médailles.
30:29 Occasion peut-être d'augmenter la cagnotte.
30:32 On est toujours avec deux autres athlètes qui entrent en compétition,
30:36 notamment au lancer de Javolo et puis au lancer du poids.
30:40 Deux autres espoirs de médailles avec celle qui a décroché hier la médaille de bronze
30:45 qui a aujourd'hui la possibilité de décrocher meilleure que cela
30:49 parce que c'est sa discipline de prédilection.
30:52 Undolar, Jean-Baptiste Bacham et Varys Teyenga, CRTV.
30:57 On vous remercie pour votre attention.
31:01 On se retrouve demain.
31:04 12h avec un égal plaisir au Saly Journal, réalisé avec la collaboration de
31:08 Stéphane Ondo, Boris Kenguet, Arial Otu, Stéphanie Banakeng, Rude Marcel Gombard
31:13 et Rachel Niek.
31:15 Excellent après-midi, Madame, Monsieur, sur notre antenne.
31:19 [Musique]