C'est Votre Avenir - Émission du 3 mai

  • l’année dernière
Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane au micro de Trina Mac-Dinh, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2023-05-03##
Transcript
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente.
00:06 Sud Radio c'est votre avenir, Trina Magdine, Alexandre Delovan.
00:10 Bonjour à tous, bienvenue dans C'est votre avenir.
00:13 Merci beaucoup d'être avec nous sur Sud Radio avec notre coach intuitif Alexandre Delovan.
00:18 On va vous accompagner dans vos prises de décisions, dans vos réflexions et dans vos remises en question.
00:23 Si vous avez du mal à faire un choix important par exemple,
00:26 sachez qu'on est là pour vous aider à y voir plus clair et pour vous dévoiler comment votre situation pourra évoluer à l'avenir.
00:32 Bonjour Alexandre.
00:34 Bonjour Trina, bonjour à tous.
00:35 Comment allez-vous en ce jour ensoleillé ?
00:38 Écoutez, je vais très bien et je pense que vous aussi vous allez bien.
00:41 Très bien, c'est une belle journée je trouve.
00:44 Oui, effectivement, c'est une belle journée mais comme toutes les autres journées aussi.
00:47 Sauf que parfois il y a un peu moins de soleil on va dire.
00:50 Oui, voilà, mais il y a tout le monde au soleil dans nos cœurs.
00:53 Effectivement, et en cœur.
00:55 Merci pour nous rejoindre, nous poser vos questions et avoir le ressenti d'Alexandre.
00:59 C'est simple, appelez-nous dès maintenant au 0826 300 300.
01:03 Tout à l'heure on s'intéressera à la méthode 10 10 10 qui est d'apprendre du recul sur les soucis quotidiens.
01:10 Je croyais que c'était une notation 10 10 10.
01:12 Je pense que c'est la note que je vous mettrai à la fin de l'émission comme chaque jour Alexandre.
01:16 Vous êtes un peu trop généreuse, ça cache quelque chose.
01:19 Non, mais non. Et bien entendu vous retrouverez aussi la superstition du jour et l'ange du jour.
01:23 On démarre avec Eric. Bonjour Eric.
01:26 Est-ce qu'on a Eric ?
01:28 Bonjour Eric.
01:29 Bonjour.
01:31 Bienvenue Eric, vous nous appelez d'où ?
01:33 De Guernes.
01:34 D'accord, alors votre fille aînée ne vous parle plus ?
01:37 Non, ça fait 7 ans oui.
01:39 Racontez-nous.
01:41 Écoutez, j'ai divorcé il y a maintenant 8 ans et au bout d'une année elle a souhaité ne plus être en contact avec moi, ne plus me voir.
01:49 J'ai eu diverses versions en fait et chaque fois pas les mêmes.
01:57 Je l'ai vu 2-3 fois comme ça très brièvement et voilà, il ne s'est rien passé à chaque fois.
02:07 Alors quelles sont ces différentes versions que vous avez ?
02:10 Il y a une version qui m'a été rapportée, je l'avais vexé devant une copine un jour.
02:15 Et puis une autre version qui a été différente après de ma façon de voir les choses avec elle.
02:24 Et puis une dernière version de sa part qui a été de me dire que je lui aurais dit qu'elle pouvait mourir,
02:32 que je n'avais rien à faire d'elle, qu'elle ne réussira jamais à l'école, qu'elle ne rentre pas dans une certaine école et ainsi de suite.
02:39 Et en fait j'ai pu éventuellement dire que moi je pouvais mourir et qu'elle n'en avait rien à faire, c'est certain, mais pas l'inverse.
02:49 Et pour ce qui est de l'école, je ne savais pas qu'elle devait rentrer dans une certaine école,
02:53 donc je n'ai pas pu lui dire que je pense qu'elle ne rentrerait pas dans celle-ci et qu'elle ne réussirait pas.
02:59 En tout cas, je lui ai souhaité bonne chance, je lui ai toujours félicité de ses résultats,
03:04 elle n'a jamais rechigné là-dessus et ne m'a jamais répondu pour autant.
03:08 Pourquoi avoir eu des propos si violents ?
03:12 De sa part.
03:14 Non, vous, quand vous dites que vous pouviez mourir et qu'elle n'en aurait rien à faire.
03:18 Parce que j'ai été quitté, donc je l'ai mal vécu.
03:23 Et donc je pense que si en tout cas j'ai pu dire quelque chose, j'ai pu dire dans ce sens,
03:28 ma foi je n'ai pas l'impression de l'avoir dit, parce que j'étais blessé de ne plus avoir de contact avec ma fille ou que ma fille ne souhaite plus me voir.
03:36 Donc j'aurais pu avoir fait mourir.
03:40 Quel âge est là votre fille ?
03:42 22 ans aujourd'hui.
03:44 Et elle en est où dans sa vie personnelle, sa vie privée ?
03:48 Alors à ce que je sais, à ce qu'on me rapporte, elle s'occupe d'enfants malades,
03:53 elle est soignante pour des enfants malades,
04:01 elle est en couple avec une fille, sur Paris.
04:06 Son homosexualité, vous en avez déjà parlé avec elle ?
04:09 Ah bah non, j'ai aucun contact avec elle, j'ai jamais pu en parler, c'est pas elle qui m'a dit.
04:13 Elle ne vous l'a jamais dit ?
04:15 Non, c'est ma belle famille qui me rapporte un petit peu de nouvelles.
04:19 Par rapport au divorce, comment elle a vécu votre divorce ?
04:24 Je ne saurais pas vous dire, on n'en a jamais parlé.
04:27 On était déjà en froid en fait, parce que ça a été compliqué l'avant divorce.
04:31 J'étais pour ma part très humilié par mon ex-épouse, très abaissé, très éloigné.
04:36 On était en suivant le toit, j'ai dû manger dans ma chambre par exemple,
04:39 mais pas avec eux parce que sinon je prenais des réflexions qui n'étaient pas plaisantes.
04:44 Donc voilà, ça a commencé comme ça, c'était pas très très très bien.
04:47 Et vous savez si votre fille a toujours des contacts avec votre ex-femme ?
04:52 Ah oui oui, complètement.
04:54 Oui, ça se passe très bien.
04:55 Tout à fait, oui. Avec son beau-père d'ailleurs, apparemment ça se passe bien.
05:00 Je ne sais pas tout, mais oui, ça a l'air d'aller.
05:02 Alors, Alexandre, qu'est-ce que vous ressentez pour la suite ?
05:07 Alors, effectivement Eric, c'est quelque chose qui doit être assez méprisant et assez difficile à vivre pour vous.
05:14 Et évidemment surtout quand on n'a pas d'explication ou de réponse à toutes ces différentes différences-là.
05:21 Et encore plus quand on est papa.
05:24 Donc la situation me semble, oui, aujourd'hui bloquée.
05:31 Et je crois que par la suite, cette situation est amenée à se débloquer légèrement.
05:37 Alors quand je dis légèrement, c'est parce qu'il y a pas mal de choses qui devront sûrement à un moment donné s'éclaircir
05:44 et peut-être approfondir avec votre fille, mais aussi avec d'autres personnes de la famille.
05:50 Parce que votre fille, elle s'est construite à travers des idées, à travers des influences, à travers pas mal de choses.
05:59 Et c'est ce qui a fait d'elle aujourd'hui une femme un peu en rébellion ou peut-être révoltée face à son papa.
06:07 Et puis il y a aussi une chose, et j'ai écouté attentivement votre témoignage,
06:12 il y a une chose qui pour moi m'a interpellé et vraiment qui m'a, je dirais, laissé à réfléchir sur votre situation
06:21 et pourquoi vous en êtes arrivé aussi un peu là.
06:23 C'est le fait que vous soyez amené à devoir rester dans votre chambre
06:29 pour pouvoir peut-être faire régner un silence ou pour éviter un conflit.
06:34 Ce qui veut dire qu'en tant que père et en tant que mari, vous vous êtes à un moment donné autorisé à vous exclure d'un système
06:44 et vous avez, pas consciemment et pas intentionnellement, mais vous avez perdu un peu votre place au sein de la famille.
06:53 Oui, bien sûr.
06:54 Et je crois que votre fille, elle avait quel âge à ce moment-là ?
06:59 14 ans.
07:00 14 ans. Effectivement, votre fille, elle était en âge d'adolescence, elle était en âge d'avoir de besoins, de repères
07:07 et elle a vu face à elle un père qui était peut-être un peu faible, voire impuissant face à une situation.
07:14 Et aujourd'hui, il y a un problème de considération qui semble ressortir.
07:20 Alors ça ne veut pas dire pour autant que vous devez vous dévaloriser ou déprécier,
07:26 mais par contre, il faut peut-être à un moment donné que votre fille puisse comprendre pourquoi vous en êtes arrivés là
07:33 et qu'il y ait des explications à tout ça.
07:36 Et puis la troisième chose qui semble ressortir, c'est le problème de communication.
07:39 C'est-à-dire qu'aujourd'hui, il y a des propos qui ont été durs, autant de votre côté que de son côté, elle.
07:48 Donc ça veut dire qu'il y a un dialogue en termes de communication qui est fragile, qui est peut-être mal positionné
07:56 et c'est ce qui a fragilisé, qui a bloqué, qui n'a fait que faire, je dirais, perdurer et alourdir la difficulté dans vos relations.
08:07 Alors pour moi, il y aura une amélioration dans l'avenir, mais ça demande du temps avant d'arriver à un changement.
08:16 Et ce changement, il se fera aussi avec une question de maturité.
08:19 C'est-à-dire que votre fille aura besoin à un moment donné de grandir plus et de prendre conscience que son père n'était peut-être pas celui qu'elle a imaginé ou qu'on lui a insufflé comme image.
08:31 - C'est ça. - Exactement.
08:34 Et puis vous, de montrer aussi une autre image de vous, c'est-à-dire d'essayer de sortir de cet homme qui a été victime, de cet homme qui a été puni, de cet homme qui a subi,
08:49 mais au contraire d'un homme qui se reconstruit avec d'autres valeurs et qui vous correspond de mieux et qui soit aussi en phase avec sa vie.
08:57 Parce qu'auparavant, et pardonnez-moi si c'est un mauvais jugement, mais je pense que vous n'étiez pas en phase avec votre vie et avec votre mariage.
09:04 - Complètement. - Je ne sais pas si vous êtes marié par raison ou par choix, mais il y a quelque chose qui cloche dans le sens où...
09:16 qui ne résonne pas sur la notion de l'amour.
09:18 - Ça vous parle ? - Oui, complètement.
09:21 J'ai vécu 23 ans quand même parce que je croyais au couple, au mariage, et j'avais mon premier souhait, c'est d'être marié, d'avoir des enfants et de vivre vieux avec cette famille.
09:31 Et c'est peut-être ça qui m'a effectivement fait faire le chemin que j'ai fait et insister sur plusieurs échecs dans ce couple.
09:39 - Pour un modèle, en fait. C'est un modèle que vous avez eu. - Oui, sûrement. Un modèle que je n'ai pas eu et que j'aurais aimé avoir, oui, tout à fait.
09:46 - Et vous avez été dans un déni, dans quelque chose où, même si vous avez senti qu'il y avait des failles, qu'il y avait des problèmes, qu'il y avait des difficultés,
09:54 mais vous avez voulu persévérer sur peut-être un espoir de se dire "non, mais c'est comme ça".
10:00 Pourquoi ? Parce que, en référence, on a notre modèle éducatif, on a tout un schéma, un statut social et tout ça.
10:07 Ce qui pourrait s'expliquer. - Tout à fait.
10:11 - Ce que je veux dire est vraiment, votre fille reste votre fille et même si elle a de la colère, même si la relation est très compliquée,
10:19 laissez ce temps parce que votre fille n'est pas responsable de tout.
10:23 - Vraiment, non ? - Et je crois que le temps permettra de pouvoir, à un moment donné, arranger les choses et réparer les choses.
10:32 Et pour mieux vous retrouver aussi et pour éviter de rester dans des dégâts tels qu'ils sont aujourd'hui.
10:39 - Combien de temps, à peu près ? - C'est difficile à dire, mais je pense qu'il n'y aura pas un changement avant deux ans, deux, trois ans.
10:49 Je n'ai pas l'impression de voir ce changement arriver avant. Je vous le souhaite, bien entendu, ce changement.
10:55 Mais surtout, et peut-être que ça fasse résonance, et souvenez-vous que ne soyez pas dans cette notion de rancune ni de colère.
11:03 Justement, profitez peut-être de ce retour pour discuter et de voir la vie autrement et différemment.
11:09 Et vous verrez que progressivement, votre vie du passé va défiler ensemble et ça vous permettra de vous réconcilier et de réparer ce qui a été auparavant endommagé ensemble.
11:23 - Bon, écoutez, s'il y a de l'espoir, c'est une très bonne chose. - Il y a de l'espoir.
11:26 - Pour l'instant, je ne le sais pas, je m'en doute. J'espérais en tout cas qu'effectivement, à un moment donné, il y aura un déclenchement de sa part.
11:32 En tout cas de sa part, parce que moi, il est là, elle vient quand elle veut, elle le sait, je lui écris et je lui dis.
11:37 - C'est bien sûr. - Et puis surtout, écrivez-lui et surtout, n'ayez pas peur d'aborder le sujet de son homosexualité.
11:45 Ça va la soulager aussi. - Je ne lui écris plus depuis un an et demi.
11:49 Je ne lui écris plus depuis qu'elle m'a dit ces mots-là. J'ai coupé, en fait.
11:52 Avant, j'ai joué avec elle son anniversaire, tout, tout. J'ai coupé complètement. Donc revenir, c'est compliqué.
11:57 Sous quel sujet ? Pourquoi ? - Vous aurez l'occasion de le faire. - Oui, vous aurez l'occasion.
12:01 Je pense que oui, ça vaut le coup de le faire. Merci beaucoup, Eric, d'avoir été avec nous.
12:05 - Le deuxième sujet que je voulais vite fait aborder, on m'a dit que c'était possible. - Alors très vite, s'il vous plaît, parce qu'on est en retard.
12:10 - J'étais en couple, enfin, je suis en couple depuis un an et demi. Voilà, c'est pas... Elle est très amoureuse, moi, je ne sais pas trop.
12:19 Et je voulais savoir s'il y a un avenir sur ce couple ou pas. - Pourquoi vous ne savez pas si vous êtes amoureux ?
12:25 - C'est difficile de le définir. Je suis bien, mais en même temps, je me pose beaucoup de questions et il y a beaucoup d'interrogations sur notre avenir.
12:34 - Est-ce que, sincèrement, est-ce qu'on peut vous proposer, Eric, de repasser un an et demi, parce que ça va demander plus de temps ? - D'accord.
12:40 - Et vraiment, c'est pas que je ne veux pas vous répondre, mais ça demanderait à ce qu'on vous pose quelques questions.
12:46 Et là, on n'a plus de temps. Vous m'accordez, Trina ? - Je vous accorde, Alexandre, c'est vous et votre ressenti.
12:52 Donc, si vous avez besoin de plus de temps... - Oui, parce que ça peut être intéressant à répondre, mais je ne veux pas vous répondre n'importe comment et là, vite.
12:58 Et donc, ça mérite un passage. - On le voit avec le standard, alors. Restez bien en ligne. Merci beaucoup, Eric.
13:04 - Merci à vous et bonne continuation. - Merci. Allez, on va s'intéresser dans un instant à la méthode 10-10-10.
13:10 Et on vous attend sur Sud Radio, 0800 26 300 300. À tout de suite.
13:14 Sud Radio, c'est votre avenir, le sujet du jour.
13:17 - Alors, on va annoncer un score, 10-10-10. C'est apparemment une méthode, alors expliquez-nous.
13:23 - Oui, une méthode mise en avant par l'écrivaine américaine Suzy Welsh, qui peut vous aider à relativiser.
13:28 Ça consiste à essayer de prendre du recul sur les soucis quotidiens et ça revient à évaluer les choses d'un point de vue appréciatif,
13:35 en réduisant l'intensité émotionnelle, mais surtout en écartant ce qui ne vous construit pas de manière positive.
13:41 Comme ça, vous pourrez analyser comment ce qui vous arrive à un instant T vous affectera dans 10 minutes, 10 mois et 10 ans.
13:47 - Intéressant. Et comment on pratique cette méthode ?
13:49 - Alors, vous l'avez compris, la méthode 10-10-10 vous apprend à ne pas accorder trop d'importance.
13:53 - La méthode, pardon ? - 10-10-10.
13:54 - Ah oui, d'accord. Vous avez dit 10-10-10. - À ne pas accorder trop d'importance à des événements qui ne le méritent pas.
13:59 Et ça vous aide à vous poser une question essentielle. L'événement qui vous pose souci est-il une véritable épreuve
14:05 ou est-ce que c'est seulement un événement minime qui ne mérite pas forcément que vous vous attardiez dessus ?
14:09 On se pose souvent ce genre de questions. - C'est vrai. Et vous le faites, vous, souvent, ce genre d'exercice ?
14:15 - Alors, j'essaye. - Vous essayez ? Ça marche ? - Oui, mais c'est pas facile.
14:19 - Oui. - De temps en temps, ça marche.
14:21 - Moi, c'est souvent avec la méthode 11-11-11. - Oui, vous voulez le placer.
14:25 En fait, l'objectif, c'est de relativiser par rapport aux obstacles qui se dressent face à vous
14:29 et de pouvoir vous libérer de l'anxiété liée au petit tracas du quotidien.
14:33 Pour le mettre en place, vous pouvez par exemple penser à des situations que vous avez surmontées il y a quelques années
14:38 en prenant conscience du fait que vous êtes aujourd'hui en mesure de les regarder avec sérénité.
14:43 Il faut surtout apprendre à vous rendre compte que rien ne dure éternellement, rien n'est figé.
14:47 Cette méthode permet aussi de ne pas toujours penser à la pire option ou à celle qu'on craint le plus.
14:52 Et selon les spécialistes, le fait de ne pas réagir automatiquement et sans réfléchir
14:56 contribue à une meilleure gestion de ses émotions. C'est donc attesté sans attendre.
15:01 - Et sans modération. - Oui. 10-10-10. - Merci.
15:05 Linda nous a rejoint. Bonjour Linda.
15:08 - Bonjour Trina, bonjour Alexandre. - Bonjour. - Bienvenue Linda.
15:12 - Merci, merci d'être à mon écoute aujourd'hui. - Alors vous avez eu un divorce très compliqué, c'est ça ?
15:18 - Ouais, alors j'ai divorcé il y a quelques années et en fait aujourd'hui j'ai plusieurs questionnements
15:24 par rapport à ma situation actuelle, notamment lié à un jugement qui va y avoir prochainement sur la garde de mes enfants.
15:32 Et j'aurais souhaité avoir les ressentis d'Alexandre en fait sur cette garde.
15:39 Est-ce qu'il la voit plutôt avec moi, plutôt en mode alterné, ou plutôt avec le papa ?
15:45 - Est-ce que pour l'instant, comment elle fonctionne la garde ?
15:50 - Actuellement j'ai la garde de mes enfants et ils sont un week-end sur deux
15:54 et moitié des vacances scolaires avec leur papa.
15:57 - D'accord, et comment ça se passe ? J'ai l'impression que vous voulez l'obtenir vous la garde, c'est ça ?
16:03 - Oui, alors oui, pour plusieurs raisons, notamment aussi parce que j'aurais voulu aussi avoir le point de vue d'Alexandre.
16:14 Je suis un peu inquiète sur les intentions réelles du papa, et me concernant et concernant les enfants.
16:23 Donc voilà, après j'ai pas la prétention d'être parfaite ou mieux que quiconque,
16:31 mais voilà, c'est une forme de protection vis-à-vis de moi et vis-à-vis des enfants.
16:37 C'est pour ça que je fais ce choix-là en fait.
16:40 - Quelles sont ses intentions à leur papa ?
16:43 - Pardon ?
16:44 - Quelles sont ses intentions à leur papa, envers les enfants ?
16:49 - Les intentions du papa envers les enfants ?
16:51 - Oui.
16:52 - Lui, il souhaiterait obtenir la garde de ses enfants.
16:56 - D'accord, mais on a l'impression que vous n'êtes pas pour qu'ils passent du temps avec leur père.
17:02 Comment ça se passe au quotidien, quand ils sont avec leur père ?
17:05 Comment ils se comportent avec les beaux-enfants ?
17:08 - Moi j'y suis pas, mais a priori, je pense que ça se passe plutôt bien à sa manière.
17:16 Après, le fait est qu'il a une prise en charge qui est très différente, voire opposée à la mienne,
17:26 qui en partie fait un petit peu obstacle à une éventuelle garde alternée, selon moi, bien sûr.
17:32 - D'accord.
17:33 - Voilà, donc je voulais avoir un petit peu le point de vue de...
17:38 - Alexandre ?
17:39 - Oui ?
17:40 - Oui, c'est bon.
17:41 - Alors juste, je vais vous poser une petite question, Linda.
17:43 Le papa a refait sa vie ?
17:45 - Oui, tout à fait.
17:46 - Et je sens qu'il y a une interrogation, il y a quelque chose qui se pose à ce niveau-là,
17:51 c'est-à-dire par rapport à son mode de vie.
17:53 Est-ce qu'il y a des préoccupations aussi ?
17:56 Et est-ce qu'il y a une manière, si vous voulez, d'éducation ou autre,
18:01 qui ne rentre pas dans les mêmes aspects, ou en tous les cas dans les mêmes valeurs que vous ?
18:07 Mais j'ai l'impression qu'en dehors, si vous voulez, de ce que vous aimeriez et de ce que vous souhaitez,
18:15 il y a une crainte et il y a une peur en ce qui concerne la vie ou le mode de vie dans lequel il est.
18:21 Alors tout ça est peut-être de l'or, de l'inconscient,
18:24 mais pour moi, c'est ce qui semble ressortir et c'est ce qui semble aussi vous préoccuper sur l'avenir.
18:32 Est-ce que c'est le cas ?
18:33 Oui, je sais qu'il n'est pas forcément toujours dans la maîtrise de lui-même,
18:39 il peut y avoir des débordements, ce qui explique mon positionnement.
18:45 C'est un peu ce que je demandais aussi.
18:47 Exactement, et je crois que c'est aussi votre volonté,
18:51 et peut-être que vous avez une certaine pudeur envers son fonctionnement de vie
18:58 et que vous ne voulez pas vous interposer dans cette vie-là,
19:04 mais en tous les cas, j'ai l'impression que chez vous, ça crée une fragilité, une difficulté.
19:11 Alors ensuite, en ce qui concerne cette garde partagée,
19:15 pour moi, j'ai l'impression qu'il y a quand même, au niveau justice,
19:21 il y a quand même quelque chose qui se décide, qui n'est pas totalement,
19:26 et dans sa totalité, favorable à ce que vous avez demandé,
19:30 mais ce n'est pas non plus complètement refusé.
19:34 Donc j'ai l'impression que pour l'instant, on reste sur une idée ou sur un principe de garde alternée,
19:42 mais il y a quelque chose qui va se revoir dans le temps et qui pourra se repositionner.
19:47 Et puis aussi, lui, de son côté, il semblerait que dans les mois à venir,
19:52 et peut-être dans les deux ans à venir, il y a un changement de vie
19:56 qui l'amène peut-être à avoir soit un éloignement,
19:59 ou peut-être à vouloir être moins disponible par rapport à vos enfants,
20:04 et là, ça vous permettra de pouvoir avoir plus de prise en charge de vos enfants
20:10 et vous sentir beaucoup plus responsable vis-à-vis d'eux.
20:14 - Patientez, persévérez, essayez de ne pas faire la guerre entre vous
20:19 pour justement ne pas créer une ambiance difficile avec les enfants,
20:24 mais vous verrez que progressivement, vous arriverez à obtenir ce que vous souhaitez
20:28 et dans sa majorité, c'est quand même vous qui avez un regard sur cette garde-là.
20:35 - C'est une bonne chose. Alors merci Linda d'avoir été avec nous sur ce Dradio.
20:38 Et venez nous rejoindre, vous aussi qui nous écoutez, 0800 26 300 300, vous êtes les bienvenus.
20:43 Et de retour dans C'est votre avenir, c'est toujours Alexandre, notre coach intuitif,
20:48 qui répond à toutes vos questions, au 0800 26 300 300.
20:52 Vous connaissez maintenant le numéro chez vous, mais notez-le si ce n'est pas fait.
20:55 On va avoir Semi dans un instant, mais d'abord c'est la superstition du jour.
20:59 - Trina, qu'est-ce que vous êtes jolie en rose comme ça, vraiment, ça vous va merveilleusement bien.
21:04 Si jamais on peut nous regarder sur Youtube, vous verrez que vous avez une tenue rose et c'est magnifique.
21:11 - C'est gentil à mon avis. - Vous avez un regard magnifique.
21:15 - Ça suffit. - Pourquoi ça suffit ?
21:17 - Ce n'est plus crédible Alexandre. Vous amenez votre superstition là.
21:20 - Ah très bien, astucieuse Trina. Alors vous savez qu'aujourd'hui c'est la superstition des compliments.
21:27 - Voilà, je savais. - Eh oui, eh oui.
21:30 Alors, dans certaines cultures, adresser un compliment à une jolie fille, comme vous Trina,
21:36 ou à un enfant ne porte pas forcément chance. On n'autorise pas le faire parce que
21:42 apparemment ça pourrait même porter malheur. Alors dans le cas où le compliment est inévitable,
21:49 eh bien on n'oubliera pas de rajouter une formulation du genre "Dieu te bénisse"
21:55 ou une autre formulation en fonction de certaines ethniques.
21:59 Le fait de rajouter une formulation, ça évite de laisser passer le mauvais oeil.
22:05 - D'accord. - Et puis certains de nos anciens évitent de se féliciter d'une bonne santé
22:10 ou d'affaires prospères parce que apparemment les démons peuvent rappliquer
22:16 quand on agit de cette manière là. Est-ce que pour vous, vous avez tendance à vous taire
22:21 quand vous avez des bonnes nouvelles qui vous arrivent dans votre vie
22:25 ou que les affaires prospèrent ou votre santé, ou est-ce que au compteur vous avez tendance à l'exprimer ?
22:30 - Ah bah je l'exprime. - Vous l'exprimez.
22:32 - Oui je suis très entière donc quand je suis contente j'exprime, quand je suis pas contente je l'exprime.
22:36 - D'accord, donc voilà, vous avez pas peur des démons qui arrivent et qui débarquent chez vous.
22:40 - Vous êtes là pour me protéger donc pas peur. - Mais effectivement ma chère Trina.
22:43 Alors quand on analyse cette superstition, parce que je me suis dit quand même,
22:46 elle est quand même un peu... - Oui bizarre.
22:49 - Elle est bizarre, elle est un peu négative cette superstition,
22:52 eh bien elle est toujours à l'idée d'un bonheur à dévaster
22:55 et souvent nous détourne de la flatterie et de l'orgueil face à cette superstition là.
23:00 Donc qu'on croit ou qu'on ne croit pas en tous les cas,
23:04 c'est toujours appréciable de se faire des compliments. - Mais bien sûr.
23:07 - Alors il y a des gens qui ont une pudeur face aux compliments,
23:10 comme dire "je t'aime" ou c'est... il y a une certaine forme de pudeur,
23:13 mais je crois que le compliment nous permet justement de nous flatter,
23:17 d'avancer et de donner de la confiance en soi.
23:20 - Vous savez quoi ? Pour moi ça fait du bien d'en recevoir mais ça fait du bien d'en donner aussi.
23:24 - Oui c'est de l'encouragement aussi. - Des compliments d'en faire.
23:26 - Bien sûr, c'est important d'en recevoir et d'en faire aussi.
23:28 - La vie est trop courte, "et mon nous" voilà. - Pardon ?
23:31 - "Et mon nous" ! - Ah, je croyais que vous m'appeliez.
23:35 - Pourquoi ? - "Et mon nous", je ne sais pas, j'avais pas compris le sens.
23:39 - D'accord, mais vous êtes beau vous aussi Alexandre.
23:41 - Ah enfin, ça y est, je vais pouvoir me sentir mieux. Bon, on va arrêter quand même.
23:44 - Allez, on retrouve Cémi. - On n'est plus dans le sujet de la superstition.
23:47 - Bonjour Cémi. - Oui bonjour Trina, bonjour Alexandre.
23:51 - Bienvenue, vous nous appelez d'où ? - De France sur Mer.
23:55 - D'accord, alors votre compagne vous a quitté, si j'ai bien compris, à cause de votre travail, c'est ça ?
24:01 - Pas du tout. - Ah bon, bah j'ai mal compris alors.
24:04 - En fait, il y a un moment de ça, j'ai voulu m'éloigner d'elle, parce qu'on va rencontrer des difficultés.
24:12 Donc je lui ai dit que j'avais besoin d'un temps pour moi, mais que ce n'était pas une rupture, que j'étais certain de mes sentiments.
24:19 Au retour, ça ne s'est pas bien passé. Je l'ai sentie vachement fermée, vachement agressive envers moi.
24:26 Mais je l'ai sentie aimante et vouloir continuer. Donc j'ai dit ok.
24:32 Et puis deux semaines après, elle m'a dit "écoute, j'en peux plus, je suis complètement dépassée par beaucoup de choses,
24:38 je préfère arrêter la relation plutôt que d'être toxique et de nous envoyer dans les murs".
24:44 - D'accord, mais qu'est-ce qui ne lui convenait pas exactement ?
24:47 - À tout, ça vient d'entier en fait. - Moi j'ai cru comprendre que c'était votre activité professionnelle, non ?
24:54 - Non, pas du tout. Non, un des déclencheurs, ça a été la danse en fait. Un loisir.
25:03 - D'accord, alors ? - Je me suis inscrite au mois de septembre, ça lui plaît à elle aussi, du coup j'ai proposé de le faire ensemble.
25:11 Même si au départ j'étais pas très chaud, et puis en fait quand elle est venue et qu'elle a vu notamment une participante,
25:17 elle a eu une grosse crise de jalousie qui a duré jusqu'en décembre et qui est encore un peu là, mais moins.
25:25 - D'accord, ça a été l'élément déclencheur ? - Oui, c'était le tour déclencheur.
25:29 Où vraiment elle s'est refermée, où elle n'en a voulu, elle avait les nerfs après moi, elle savait pas pourquoi, elle pensait à mal.
25:36 - Donc c'est la danse, oui, je pensais que la danse c'était votre activité professionnelle, mais c'était juste un loisir.
25:40 - Non, c'est un loisir. - Alors, votre questionnement est lequel exactement aujourd'hui ?
25:45 - En fait aujourd'hui, je me sens pas libre, parce qu'elle m'a bien précisé que c'était fini, qu'on n'avait plus d'obligation l'un envers l'autre, j'avais bien demandé.
25:54 Néanmoins, on continue d'échanger, on continue de se voir un peu.
25:59 Et la semaine dernière, elle m'a envoyé un message par le soir me demandant qu'on devait se voir le lendemain, me disant que si on se voit le lendemain,
26:11 si je suis dans l'intention de rencontrer d'autres femmes, qu'elles souhaitaient qu'on ne se voit pas.
26:20 Par contre, dans l'optique d'où je suis libre, il n'y a pas de souci, on se voit, on passe du temps ensemble.
26:28 - Bon, alors, Alexandre, c'est un peu ambiguï tout ça. - C'est un peu ambiguï, on s'est pris encore la tête hier, et pas hier, avant-hier.
26:37 Ça a été une grosse dispute encore, je lui ai demandé, je lui ai dit "écoute, moi pour que ce soit clair, tu peux pas rester comme ça, dans une espèce d'ambiguïté
26:44 où on est ensemble et on n'est pas ensemble". Elle m'a dit "non, non, on n'est pas ensemble".
26:48 Je lui ai dit "bon alors, t'as pas le droit de me demander, de me dire que si j'ai l'intention d'aller vers d'autres femmes, de couper avec toi".
26:57 C'est déjà, je ne le décide pas, ça peut être le même cas pour toi d'aller vers d'autres hommes, je dis maintenant...
27:03 - Bon, Alexandre, comment s'annonce la suite selon vous de cette histoire ?
27:08 - Vous savez, Cémi, je vais vous parler vrai, puisqu'on est sur Sud Radio, et effectivement, il y a plein de femmes dans ce monde
27:16 qui méritent d'ouvrir leur cœur, de tendre la main et de vivre des choses, et sûrement il y en a une sur cette terre
27:24 qui a envie de partager des choses avec vous, et aujourd'hui, avec cette personne, je ne suis pas en train de dire que c'est la mauvaise personne
27:32 et qu'elle a tous les défauts, pas du tout, bien au contraire, mais je crois que tous les deux, vous êtes en train d'aller vers une relation de manipulation.
27:40 Et attention, attention, parce que c'est à celui qui va essayer de manipuler l'autre plus que...
27:50 Et donc, il y a toujours un perdant dans ce jeu, et il y a toujours quelqu'un qui souffre.
27:56 Donc pour moi, prenez du recul, prenez du recul, et je crois que cette histoire, il y a une entente qui n'est pas complètement à son maximum,
28:06 vous êtes sur des principes de vie ou sur des valeurs qui sont très différentes, autant pour vous que pour elle,
28:14 et donc il semblerait que la compatibilité ensemble ne semble pas se faire, et puis, comme vous l'avez dit au tout début,
28:23 que ce n'était pas une relation très harmonieuse ou très épanouissante, donc je ne vois pas une réelle continuité,
28:32 mis à part essayer de reporter la faute sur l'autre ou d'essayer de mettre la personne en difficulté ou de se fragiliser.
28:42 Prenez du recul, du détachement, regardez ce qu'il y a en termes de possibilités pour vous, de ce que vous pouvez lui apporter,
28:50 restez sur vos idées, sur vos convictions, et puis ensuite, si elle est OK, allez sur cette démarche-là,
28:58 et si elle semble que les choses, elle doit les vivre autrement et différemment, dans ce cas-là, essayez de gentiment,
29:05 et gentiment je dis bien de vous séparer et puis que chacun prenne sa route, mais aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est le jeu du chat et la souris,
29:14 et donc ça risque d'être difficile. Alors, pour répondre à votre question, est-ce qu'il y a une continuité ?
29:19 Je ne crois pas, sincèrement, je pense que ça va s'étouffer, ça va s'épuiser, et pour vous, vous êtes dans une autre réalisation sentimentale à venir,
29:28 et à partir de cet été, vous verrez que vous serez sur un autre aspect, sur une autre vibration, sur autre chose,
29:33 mais essayez de prendre conscience que cette relation est un petit peu toxique, et je ne dis pas que c'est elle qui est toxique, c'est la relation dont je parle.
29:41 Oui, il faut faire la différence. Merci beaucoup, en tout cas, pour votre témoignage, Cémy.
29:45 On passe à l'échelle du jour, Alexandre, quel jour célèbre ? Le 3 mai ?
29:49 Alors, ce 3 mai, déjà, il y a deux fêtes, c'est la Saint-Philippe et la Saint-Jacques.
29:54 D'accord, bonnes fêtes à Jacques Pessis, alors, qu'on retrouve dans les clés d'une vie.
29:59 Exactement, et à Philippe David.
30:01 Et à Philippe David, comment j'ai pu oublier Philippe David ?
30:04 Il n'en faudra pas oublier, il arrive bientôt en plus.
30:06 Le dicton météorologique du jour, lorsqu'il pleut le 3 mai, point de noix au noyer.
30:12 Il y aura des noix cette année, en tous les cas, là où on est.
30:15 L'ange qui gouverne cette journée, c'est Veux Alia, il aide à la bonne entente dans les relations professionnelles,
30:22 il maintient aussi la paix intérieure et il fatvorise l'enthousiasme.
30:26 Sa formule d'invocation est celle de dire "ange Veux Alia, donne-moi l'énergie pour gagner en joie de vivre".
30:32 Alors, pour faire une bonne invocation, vous pouvez le visualiser avec la couleur violette et vert pâle.
30:38 Et sa pierre de chance, c'est l'émeraude.
30:40 Vous savez que l'émeraude, comme toutes les pierres vertes, sont porteuses d'espérance.
30:45 C'est la pierre de l'amour et de la sagesse.
30:48 Les anciens pensaient que sa couleur verte et gaie, parce qu'elle a un côté un peu joyeuse,
30:53 chassait la tristesse et faisait disparaître les fantômes mélancoliques ou même les idées noires.
30:59 Alors, on associe l'émeraude à plusieurs chakras et notamment à celui du chakra du cœur, celui du 3ème oeil et du chakra couronne.
31:06 C'est une pierre en sorte d'harmonie et de paix intérieure.
31:10 Un anniversaire du jour, sans avis particulier, mais il est venu plusieurs fois à Sud Radio.
31:17 C'est un politicien, Jean Lassalle. C'est son anniversaire aujourd'hui.
31:20 - Il est drôle. - Voilà, exactement.
31:22 Et puis, un souvenir triste, mais on ne peut pas l'oublier.
31:26 C'était ce 3 mai 1987, le départ de notre grande chanteuse Dalida.
31:30 - Ah oui, quand même. On accueille Julia. Bonjour Julia.
31:34 - Oui, bonjour à vous deux. Et bonjour aux auditeurs, merci.
31:38 - Merci à vous Julia. On vous écoute pour votre question.
31:41 - Alors, ma question en fait, aujourd'hui j'ai des questions par rapport à mon avenir professionnel.
31:49 Suite au Covid, j'ai fait une équilation judiciaire de mon entreprise et donc là, je suis en train de restructurer.
31:58 Et je ne sais pas trop à quel endroit je veux mettre mon activité professionnelle.
32:08 J'ai des questionnements, j'ai des peurs. J'hésite entre deux endroits.
32:14 J'ai dû en même temps reprendre une activité de salarié.
32:18 Et je ne sais pas si je dois lâcher cette activité de salarié pour pouvoir me consacrer pleinement à mon activité professionnelle qui me tient à cœur et relancer tout ça.
32:30 - C'est laquelle l'activité qui vous tient à cœur ?
32:32 - Alors, c'est une activité où je suis plutôt dans l'accompagnement. Je fais tout ce qui est activité physique. Je suis en prescription médicale et je suis sophrologue.
32:43 - D'accord. Et quand vous dites quel endroit, vous hésitez sur des endroits, c'est entre quel endroit ?
32:48 - Entre Bordeaux et Le Porge. Parce qu'en fait, j'ai deux endroits.
32:52 J'ai un endroit où je ressource beaucoup et où j'ai le sentiment, la sensation qu'il y a peut-être quelque chose à développer à cet endroit-là qui me tient à cœur.
33:07 Et où je ressens une bonne énergie. Plus qu'à Bordeaux.
33:13 - D'accord. Alexandre ?
33:15 - Alors, effectivement, c'est un peu flou. Non pas de ce que vous avez envie d'être et de vous projeter, parce que vous l'avez bien précisé,
33:23 mais flou dans le sens où dans l'instant T, dans le moment présent, de pouvoir arriver à trouver une stabilité et à pouvoir vous réaliser comme vous le souhaitez.
33:34 Moi, de ce que je ressens et de ce que vous avez envie vraiment, c'est d'être vraiment autonome et indépendante et d'avoir une activité d'accompagnement.
33:44 Pour moi, ça ressort très nettement et très largement.
33:48 Donc, il faut persévérer. Il faut vous construire aussi votre identité. Il faut aussi construire votre univers, même si vous l'avez peut-être déjà fait jusqu'à présent.
33:58 Mais il faut l'entretenir, il faut le nourrir, il faut apporter quelque chose.
34:02 Et je crois que par rapport à votre expérience et par rapport à ce que vous avez fait jusqu'à présent, vous n'avez pas été assez soutenu par un entourage.
34:12 Et aujourd'hui, c'est ce qui vous a fait perdre un peu confiance en vous et ça vous a freiné un petit peu dans votre évolution.
34:22 Donc, pour moi, il y a cette capacité, cette possibilité chez vous de réalisation.
34:27 Ça va prendre un petit peu de temps.
34:29 Je dirais que sous une période de deux ans, vous êtes en pleine gestation, en plein mouvement et en pleine mutation de transformation et d'évolution professionnelle.
34:40 Et à partir des deux ans, là, vous êtes beaucoup plus installé où il y a une réalisation à ce niveau-là.
34:46 Mais restez et soyez convaincu de ce que vous êtes, de ce que vous pouvez apporter, de ce que vous pouvez transmettre aussi.
34:52 Parce qu'effectivement, l'accompagnement ressort énormément.
34:56 Après, reste le côté matériel des choses où là, il faut subvenir à votre aspect matériel.
35:02 Et je sens qu'il peut y avoir une petite activité à côté, qui sera peut-être aléatoire, mais qui permettra d'avoir des compléments de revenus.
35:11 Mais foncez et restez convaincu de ce que vous êtes capable de donner parce que vous avez quelque chose en vous.
35:16 Merci beaucoup, Julia, d'avoir été avec nous sur Sud Radio. On vous attend. 0826 300 300. A tout de suite.
35:23 De retour pour la dernière partie du Meilleur de Sud Radio. Venez nous rejoindre. 0826 300 300. Comme Valérie. Bonjour Valérie.
35:31 Oui, bonjour Trina. Bonjour Alexandre. Merci de me recevoir.
35:34 Merci à vous, Valérie. Vous êtes inquiète pour votre fils.
35:37 Oui, en fait, on est dans la période du bac. Il a 18 ans. Il a eu un petit parcours un peu chaotique sur le lycée.
35:47 Il est parti à 15 ans en internat parce qu'il avait fait quelques addictions.
35:52 Allô ? Oui, on vous entend.
35:53 Ah pardon. C'était tellement calme. Voilà, donc tout est rentré dans l'ordre, dans l'ensemble.
36:00 Ça reste un garçon très gentil, très facile à vivre, mais c'est plus fort que moi.
36:04 C'est mon fils unique. J'ai mis très longtemps à l'avoir et je n'arrive pas à être sereine face à son avenir.
36:11 Voilà, donc c'est un enfant, un jeune, on va dire, qui est courageux.
36:15 Il a un petit travail à côté du lycée. Voilà, mais il ne se voit pas dans un bureau pendant huit heures.
36:20 Il a du mal à penser, à se projeter dans un avenir professionnel.
36:24 Et j'aurais voulu savoir si Alexandre lui voyait un avenir plutôt radieux, pour me rassurer.
36:30 Depuis quand il a du mal à se projeter ?
36:33 Oh, depuis toujours. Il me ressemble en fait.
36:38 D'accord.
36:39 Moi, à son âge, je n'arrivais pas. Je prenais les choses comme lui, un petit peu au jour le jour.
36:46 Il n'aime pas la routine. Il aime bien quand les choses changent.
36:50 Voilà, donc là, tout ce qu'on lui propose sur Parcoursup, etc., ça a l'air tellement classique pour lui.
36:58 Et voilà, donc il est bon en communication. C'est un gamin très ouvert. Il a des facilités à ce niveau-là.
37:06 Et comment ça se passe à la maison ?
37:08 À la maison, il est super cool. Vraiment très gentil. Il dit qu'il est heureux. Il est bien dans ses bottes.
37:15 Voilà, c'est moi. C'est plus moi.
37:17 C'est vous, et oui. C'est la maman.
37:19 C'est un moment historique avec lui, si vous voulez.
37:21 C'est-à-dire ?
37:22 C'est-à-dire que j'ai eu 8 ans pour l'avoir.
37:25 Ça a été un parcours très long et douloureux, émotionnellement et physiquement.
37:30 Et puis, on s'est séparés avec le papa alors qu'il n'avait que 9 ans.
37:35 Donc voilà, j'ai dû m'en séparer beaucoup trop tôt, à mon sens.
37:40 J'ai dû faire mon internat, etc. Donc je suis peut-être surprotectrice. C'est possible.
37:45 Alexandre ? Ça s'expliquerait, en tout cas.
37:48 Oui, ça peut s'expliquer. Et puis, c'est bien d'avoir un parent qui protège son enfant aussi.
37:53 Ce n'est pas négligeable, bien entendu.
37:55 Alors, pour moi, est-ce que, vraiment dans l'inconscient, votre fils n'aurait pas envie de rester longtemps avec vous ?
38:03 Et il retarde les échéances aussi pour évoluer, pour avancer, pour se réaliser ?
38:09 Parce qu'il exprime ce désir, cette envie aussi d'être bien avec vous.
38:16 Et je crois que ce qui pourrait vous préoccuper, c'est justement, à la fois, qu'il reste à la maison et à être un peu dans,
38:26 pas dans la notion du vide, mais dans la notion du doute, de l'hésitation, et qu'il se reste planqué un petit peu à la maison.
38:33 Et c'est ça sur lequel je sens chez vous cette peur ou cette crainte.
38:38 Et à la fois, il y a ce côté de maman qui a envie toujours de garder cet enfant un peu dans la cellule familiale,
38:46 dans le cocon, pour pouvoir se protéger et pour pouvoir continuer à le vendre.
38:51 Donc, tout ça est un petit peu, on va dire, ambigu, mais ça complique et ça n'aide pas.
38:59 Mais, votre fils, alors là, vous avez soufflé un peu le mot tout à l'heure, c'est sur la communication,
39:04 parce qu'effectivement, votre fils a des capacités en termes de communication.
39:09 Il a quelque chose à exprimer dans l'avenir, aussi à transmettre.
39:15 Et je pense que ça sera par des voies de la communication où il pourra justement se réaliser,
39:21 où il pourra s'affirmer, où il pourra aussi apporter des choses et nourrir un talent.
39:27 Parce que votre fils, il a ce côté rationnel, mais il a ce côté aussi créatif.
39:33 Et il a besoin, à un moment donné, de le développer.
39:36 Et vous verrez que tout ce qui touche à des secteurs de la communication,
39:41 il y a quelque chose de bon et de positif.
39:43 Et ça va l'amener à développer aussi sa propre activité et peut-être à devenir un entrepreneur
39:50 ou un chef d'entreprise plus tard.
39:53 Mais en attendant, c'est quelqu'un de créatif, c'est quelqu'un qui aura besoin de voyager,
39:57 parce que le voyage lui amènera à l'inspiration de toute sa créativité.
40:03 Et puis là vraiment, et ce n'est pas encore tout de suite,
40:07 mais à ses 33 ans, il y aura un changement de vie total pour lui.
40:11 Il y a une très belle réalisation.
40:13 Je ne veux pas dire que jusqu'à 33 ans, il ne se réalisera pas.
40:16 Mais en attendant, à 33 ans, il y aura, peut-être vous en souviendrez,
40:20 mais à 33 ans, il y aura quelque chose de très important dans son existence.
40:23 D'accord. Est-ce qu'il a quel âge là exactement ?
40:24 Il va avoir 19 ans fin août.
40:26 D'accord.
40:27 Mais bon, il va se réaliser pleinement à 33 ans.
40:30 Exactement.
40:31 C'est parfait.
40:32 Voilà, vous pouvez être rassurée.
40:33 Pas d'inquiétude.
40:34 En tant que maman, il y a toujours des inquiétudes.
40:36 Mais oui.
40:37 Mais sinon, votre fils va se réaliser.
40:38 Oh oui.
40:39 Et puis je suis prête à le voir s'envoler.
40:41 Donc il n'y a pas de problème là-dessus.
40:43 C'est très bien.
40:44 Merci beaucoup pour votre sourire Valérie.
40:46 Merci de m'avoir reçu.
40:47 A bientôt.
40:48 Merci à vous en prix.
40:49 Au revoir, bon courage.
40:50 Merci.
40:51 Alexandre, rendez-vous demain, 16h.
40:52 On s'intéressera au chakra sacré, après le chakra racine la semaine dernière.
40:56 Bonsoir mon cher Philippe David.
40:58 Bonsoir ma chère Trina.
40:59 Tout de rose vêtue.
41:00 Vous savez quoi ? Bonne fête.
41:03 Oh merci.
41:04 Merci beaucoup.
41:05 Bonsoir mon cher Alexandre.
41:06 Tout de bleu vêtu.
41:07 Quel est le menu ?
41:08 Les filles, les garçons.
41:09 Le menu à 17h30.
41:12 300 millions d'emplois menacés dans le monde par l'intelligence artificielle.
41:16 Geoffrey Hinton, le fondateur de l'intelligence artificielle, vient de quitter Google pour
41:20 alerter sur ces dangers.
41:22 Et le patron d'IBM, toute petite entreprise américaine, dit que 30% des employés administratifs
41:28 pourraient être remplacés par l'IA.
41:30 Et on vous pose cette question.
41:32 Pensez-vous que votre emploi puisse être menacé par l'intelligence artificielle ?
41:36 A 18h30, notre grand débat, on attend la décision du Conseil constitutionnel sur le RIP
41:42 pour la réforme des retraites.
41:44 Et on vous pose cette question.
41:46 Faut-il simplifier l'usage du référendum ?
41:48 Ça fait depuis 2005 qu'il n'y a pas eu de référendum en France.
41:52 Bon, Myrie, il n'a pas servi à grand-chose, puisqu'après, le Parlement s'est assis dessus.
41:56 Mais est-ce que le référendum, il faudrait en faire plus facilement, comme sous le général
42:00 de Gaulle, par exemple ?
42:01 Vous êtes un pro-référendum.
42:02 Vous êtes un anti-référendum.
42:04 Vous dites "on est en démocratie représentative".
42:06 C'est au parlementaire de décider, dans tous les cas de figure, un seul numéro, le 0826
42:12 300 300 et les vraies voix du jour.
42:14 Avec Cécile de Ménibus, on va devoir faire aussi la police, mais comme d'habitude,
42:18 Philippe Bilger, le plus dissipé d'entre eux, non, là, je plaisante,
42:22 Olivier Dardigolle et François Pupoli.

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