Karim Zeribi : «Lorsque les personnes sont identifiées, il ne faut pas qu'il y ait de circonstances atténuantes, c'est insupportable, on ouvre la boîte de Pandore»
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 avec tous les moyens que nous avons aujourd'hui, notamment la vidéo protection,
00:03 il y a les caméras piétons lorsqu'elles sont utilisées.
00:06 On a des images.
00:07 Nous-mêmes, lorsqu'on voit des manifestations retransmises,
00:10 parfois on voit les gens qui sont pris en flagrant délit de commettre un acte
00:15 qui est inacceptable, soit vis-à-vis des forces de l'ordre,
00:18 soit vis-à-vis du mobilier urbain, soit vis-à-vis d'un établissement quelconque.
00:22 Donc, ces images-là, il faut que la justice en serve,
00:25 à un moment donné, pour porter des condamnations.
00:28 On avait vu cette voiture d'SOS Médecins, vous vous en souvenez, qui avait été fracassée.
00:32 Donc là, les personnes sont identifiables et identifiées.
00:35 Lorsqu'elles le sont, identifiables et identifiées,
00:37 il ne faut pas qu'il y ait de circonstances atténuantes.
00:39 Je veux dire, c'est insupportable.
00:41 Sinon, on ouvre la boîte de Pandore, tout est permis pendant une manifestation.
00:44 Les policiers sont là pour sécuriser les manifestations.
00:47 Et c'est ce qu'ils font, des manifestants pacifistes,
00:49 dans leur immense, immense, immense majorité.
00:52 Quand on a 100, 200, voire parfois 2, 3 000 personnes qui viennent semer le trouble,
00:57 il faut qu'on mette un terme à tout ça.
00:59 Et pour mettre un terme à tout ça, il faut que la justice fonctionne.
01:01 Mais ça va recommencer le...
01:02 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:04 [Musique]