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SportTranscription
00:00 - Et donc Valentin Paolozzi en direct d'Italie, 2000 ans plus exactement,
00:04 où il y a eu donc hier les adieux au football de Zlatan Ibrahimović.
00:08 Fallait bien que ça arrive un jour tout de même, Valentin Paolozzi.
00:10 - Oui, il y a une passerelle parfaite.
00:13 Il y a six mois, on a eu les adieux de Roger Federer, une autre légende du sport.
00:18 Et là, c'était Zlatan, ils sont de la même année, 41 ans tous les deux.
00:22 Et alors autant, Federer en s'y attendait.
00:25 Zlatan a pris tout le monde au secours.
00:27 On se doutait qu'il ne resterait pas au Milan.
00:31 Mais il semblait pouvoir encore jouer.
00:34 Notamment, il y avait le Monza de Berlusconi, toujours à l'affût de bonnes affaires,
00:38 qui était intéressé.
00:40 Et en fait, Zlatan, il a révélé sa décision à personne, même pas sa famille.
00:45 Et c'est lors de son discours à San Siro hier soir qu'il a vendu la mèche.
00:52 Le Milan a recevu le El Azeron, le Milan a gagné.
00:56 Et puis après, cette cérémonie, ça devait être un au revoir Zlatan,
01:00 c'est-à-dire fin de son expérience au Milan.
01:02 Et finalement, c'était au revoir Zlatan.
01:04 Je dis au revoir au football, il a dit précisément ces mots.
01:08 Il a pleuré, effectivement.
01:10 Et dans la foulée, il y a eu une longue conférence de presse,
01:12 parce que malgré tous ses défauts, Zlatan a toujours été quelqu'un
01:15 de plutôt disponible envers les journalistes.
01:18 Et il a pris le temps de bien expliquer.
01:20 En fait, il a révélé que cette décision a mûri seulement ces 10 derniers jours,
01:26 quand il tentait de récupérer une blessure au mollet.
01:30 Alors, il faut savoir qu'il a disputé seulement 4 matchs cette saison,
01:32 entre une blessure et une autre blessure.
01:35 Il y a eu le genou, il y a eu la cuisse et le mollet.
01:37 4 matchs d'affilée de championnat du 26 février au 18 mars, 3 entrées en jeu.
01:42 Et une titularisation contre l'Odynèse,
01:44 et où il marque et devient le plus vieux buteur de l'histoire de la Serie A.
01:49 Mais Zlatan, ce n'est pas un mec qui court après un record.
01:51 Ça ne lui ressemble pas.
01:52 Et déjà là, ça ressemblait quand même un peu à la saison de trop,
01:55 parce qu'il avait atteint son objectif.
01:56 Quand il revient au Milan, c'était Noël 2019, le Milan est mal en point.
02:02 Zlatan a déjà 38 ans.
02:04 Et je rappelle qu'il était déjà passé d'avant au Milan entre 2010 et 2012,
02:08 avant d'aller au PSG.
02:10 Il n'avait rien gagné.
02:12 Il avait gagné un Scudetto, et l'objectif c'était de ramener le Scudetto à Milan,
02:18 parce que depuis ce Scudetto gagné avec Zlatan en 2011,
02:21 le Milan n'en avait pas gagné entre temps.
02:22 Il a réussi, mais il a voulu prolonger une saison supplémentaire
02:26 pour essayer d'accrocher la Champions League,
02:28 qui ne gagnera jamais du coup dans sa carrière.
02:31 Le Milan s'est clairement redressé, en grande partie grâce à lui,
02:34 en tout cas grâce à son leadership évidemment.
02:36 C'était un joueur encore incroyable.
02:38 Il était revenu avec la Suède aussi.
02:41 Il a joué avec la Suède au mois de mars.
02:42 D'ailleurs, il s'était blessé.
02:44 Donc on pouvait s'imaginer un objectif euro 2024.
02:48 Bref, pour revenir à la raison de cette décision,
02:52 il a dit, ça c'est ses mots, "j'ai compris que je devais accepter d'accepter".
02:57 C'est plus du bon d'âme que du Zlatan dans le texte,
03:00 mais ce sont ses mots à lui.
03:01 Toujours la petite lagounette, il a dit "Si Mino Raiola",
03:04 son agent historique qui est disparu l'an dernier, qui est décédé,
03:08 "Si Mino était encore ce monde, il m'aurait probablement convaincu
03:12 pour continuer, ne serait-ce que pour toucher sa petite commission".
03:15 Alors Zlatan ne finira pas sa carrière sur les terrains.
03:17 Il n'a pas pu revenir pour rouler les pelouses une dernière fois.
03:22 Mais il ne finira pas non plus en Arabie Saoudite comme certains l'ont dit.
03:25 Je pense que c'était une belle fin, en tout cas, une fin, une sortie réussie.
03:29 On va en reparler d'ailleurs avec vous, Valentin Paoluzzi,
03:31 mais je me tourne d'abord vers nos experts, Marc Libra et Salim Dib.
03:35 Marc, c'est vrai, même à 41 ans, il aurait tenu sa place en Arabie Saoudite,
03:40 notamment, où tout le monde semble se retrouver.
03:43 Maintenant, c'est le Nouvel Eldorado avec tous les anciens grands joueurs,
03:46 Cristiano Ronaldo, Benzema, Messi, qui pourraient y aller,
03:49 peut-être pas cette saison, mais à un moment donné.
03:52 Il aurait eu tout à fait sa place, Zlatan Ibrahimović.
03:56 Oui, après 40 ans, cela devient très compliqué.
04:01 Et vous pouvez aller en Arabie Saoudite,
04:02 mais si vous n'êtes pas dans la bonne équipe et au bon moment, au bon endroit,
04:05 ça n'intéresse pas de prendre des raclées tous les week-ends,
04:07 parce que vous avez quand même des joueurs qui sont en âge,
04:10 alors qu'ils sont un petit peu plus attaquants.
04:12 Si on parle de Ronaldo, vous croisez Ronaldo aujourd'hui,
04:15 il sait faire la différence, il peut faire ce qu'il veut.
04:17 Si vous n'avez pas l'équipe derrière, pas les joueurs,
04:21 vous pouvez très vite déchanter.
04:23 Et ce qui est surprenant, c'est que pour moi, quand il part aux Etats-Unis en MLS,
04:27 pour moi, on se dit c'est la retraite.
04:28 Pour moi, c'est fini.
04:30 Et ce comeback à Milan, je me dis c'est un coup d'esbrouf.
04:33 Non, pas du tout.
04:35 Valentin l'a expliqué, il a su redonner ses lettres de noblesse à la Cémilan.
04:41 C'est ça qui est impressionnant, parce qu'il avait 37, 38, 39 ans.
04:44 On dit c'est dur.
04:45 Et là, ça fait 18, 20 mois que son corps le lâche.
04:48 Et après, vous pouvez faire ce que vous voulez.
04:50 Le corps, il ne suit plus.
04:51 Donc après, vous pouvez même essayer d'aller jouer en Inde où vous voulez.
04:54 Non, mais le corps ne suit plus.
04:55 Donc là, lui, il a bien compris.
04:57 Il a essayé de faire l'effort cette année.
04:59 Mais malheureusement, ça ne suffit pas.
05:01 On ne peut pas partir dans un endroit pour dire...
05:04 Parce qu'après, il a joué quatre matchs cette saison, c'est ça Valentin ?
05:08 Il a joué quatre matchs.
05:09 Voilà, c'est le plus malheureux des hommes.
05:12 C'est le plus...
05:12 Parce qu'il les voit tous les dimanches.
05:14 C'est-à-dire qu'il n'y va aucun entraînement.
05:15 Il descend de la voiture, il se déshabille.
05:16 Il va à la salle de soin, il ne va pas sur le terrain.
05:19 Et on s'accroche à quelque chose, à une horloge.
05:22 En disant non, mais dans 15 jours, non, dans deux jours.
05:24 Et puis deux jours avant, ah, j'ai le mollet, ça a lâché.
05:26 Ah ouais, non, mais donc dans un mois...
05:28 Mais c'est un véritable calvaire pour en se porter au niveau.
05:30 Mais avant tout, c'est un compétiteur.
05:32 Mais c'est très dur pour un joueur de vivre ça.
05:34 Donc il vaut mieux s'arrêter.
05:36 Et je pense qu'il a raison.
05:37 C'est vrai que ce joueur, en fait, cette sortie, elle lui ressemble, Salim Dib.
05:42 Parce que Zlatan ne fait rien comme les autres.
05:44 Et plutôt que d'aller effectivement en Arabie saoudite ou au Qatar,
05:47 il préfère arrêter dans un grand club,
05:50 dans un grand championnat pour marquer encore une fois l'histoire,
05:54 son histoire, à sa manière.
05:56 Oui, et puis pas n'importe quel club et pas n'importe quel pays,
05:58 puisqu'on sait qu'il est amoureux de l'Italie.
06:00 C'était l'Italie ou rien lorsqu'il a quitté la MLS.
06:02 Là, c'est Milan, c'est vraiment un club qu'il a marqué,
06:04 même si paradoxalement, ce n'est pas le club où il a disputé le plus de matchs.
06:06 C'est le PSG.
06:07 Mais il s'est toujours senti à la maison du côté de l'AC Milan
06:10 où il a remporté le Scudetto en 2010-2011.
06:12 Et en fait, finalement, cette idée de revenir d'abord,
06:14 c'était une idée de Paolo Maldini.
06:15 En décembre 2019, Milan est en souffrance,
06:17 vient de se faire écraser par la Talente à Bergame,
06:20 ne remporte plus le championnat depuis tant d'années.
06:22 Et il se dit bon, je vais ramener Zlatan Ibrahimović.
06:24 Je ne serai pas forcément champion avec lui sur le terrain,
06:26 mais il va ramener finalement cette culture de la Gagne,
06:28 ce qui est paradoxal pour un club comme Milan qui a tout gagné,
06:30 mais qui ne gagnait plus depuis trop d'années.
06:33 Et donc, en fait, finalement, Zlatan Ibrahimović 2.0,
06:36 il a amené cette culture de la Gagne.
06:37 On parle d'une équipe qui était en souffrance depuis tant d'années,
06:40 qui était dans le dos de la Juve et puis même d'autres formations italiennes.
06:44 Et puis Zlatan Ibrahimović était un homme qui a remporté 12 fois
06:47 le championnat national dans sa carrière.
06:48 Il a tout gagné, excepté la Champions League.
06:50 Donc finalement, ces jeunes joueurs, il les a pris sous son aile,
06:52 les jeunes Raphaël Léand, les jeunes Ismaël Benacer,
06:55 les jeunes Théores Landaises.
06:56 Il leur a dit "Oui les gars, moi j'ai la recette pour être champion d'Italie.
06:58 On ne va pas rester derrière la Juve toute notre vie.
07:00 On va remporter ce scudetto un jour ou l'autre".
07:02 Et c'est ce qui s'est passé au final lors de la dernière saison.
07:05 Et puis Zlatan, c'est un joueur qui a marqué des générations et des générations.
07:08 C'est un joueur qui, pour rappel, a été lancé pour la première fois
07:10 dans le monde professionnel en septembre 1999.
07:13 Donc il y a 24 ans.
07:14 J'ai vérifié, un tiers des joueurs de la Cémilan aujourd'hui n'étaient pas nés
07:17 à l'époque où Zlatan a disputé son tout premier match,
07:19 dont le jeune Sandro Tonali qui était en larmière à San Siro pour finalement dire
07:23 au revoir à cette légende parce que c'est une véritable légende de la Cémilan
07:26 et du football italien et du football en général qui a marqué les esprits,
07:29 qui a marqué le football par ses punchlines, par ses buts spectaculaires,
07:32 par ses trophées remportés dans tous les clubs où il est passé.
07:34 Ajax, Juve, Milan, Inter, Barcelone, Manchester United avec la Ligue Europa, la CUP.
07:40 Bref, c'est une légende.
07:41 Il faut vraiment dire au revoir avec beaucoup de respect à ce grand,
07:44 grand joueur qui a marqué les esprits partout et qui s'en va de la tête haute.
07:47 Je vous demanderai dans quelques instants, Salim Di, mais Marc Libra,
07:49 si pour vous, il entre vraiment dans le panthéon des très grands joueurs,
07:54 parce que c'est vrai qu'avec la Suède, il n'a pas beaucoup gagné.
07:57 Évidemment, peut-être le principal handicap footballistiquement
08:00 en parlant d'Ibrahimovic, c'est d'avoir été suédois pour remporter plus de titres encore
08:07 et peut-être convoiter un jour un ballon d'or, ce qu'il n'a jamais pu faire.
08:10 Mais il a marqué le football à sa manière, l'histoire du football à sa manière.
08:14 Mais quelle image ou quel souvenir il va laisser en Italie, principalement ?
08:19 Valentin, Paolo, Ziz, Latane, Ibrahimovic, on sait que Salim vient de le dire.
08:22 C'est un pays qui est très important pour lui.
08:25 De quelle manière il marque l'histoire du football italien ?
08:29 Alors, c'est une très bonne question.
08:31 Moi, je suis tiraillé parce que c'est évidemment une légende du football italien.
08:36 Mais j'étais un peu gêné.
08:37 En fait, quand j'ai vu les images hier à San Siro, il y avait l'émotion, certes.
08:41 Mais je voyais des pères de famille pleurer et tout.
08:43 Et c'est une légende du football italien.
08:46 Mais est-ce que c'est une légende du Milan à Fès, Latane ?
08:49 Il y a passé après tout cinq saisons.
08:52 Il a remporté 12 coups d'oeil.
08:55 Il y a des attaquants, Van Basten, Goya, Shevchenko et Inzaghi,
09:01 qui sont loin, loin, loin, loin devant lui.
09:04 Ou des joueurs qui ont joué le triple, le quadruple de saison.
09:08 Alors, évidemment, qui n'ont pas eu son impact,
09:10 mais qui ont quand même marqué l'histoire du Milan.
09:14 Ça, j'ai un peu plus de mal.
09:16 Parce que ce n'est pas le joueur, selon moi, dans le style,
09:21 qu'on associe le plus facilement au Milan,
09:26 qui est un club qui dégage une image de prestance, d'élégance.
09:31 Alors qu'on sait que Latane, lui, c'est son personnage.
09:34 C'est souvent tout l'inverse.
09:36 Et puis quand même, jouer au Milan à Fès et ne pas gagner la Ligue des Champions,
09:41 selon moi, c'est réguliteur pour entrer dans les légendes du club.
09:45 Sachant en plus, heureusement pour lui,
09:48 j'ai envie de dire que le Milan ne l'a pas gagné cette année.
09:49 Vous savez pourquoi ?
09:50 Parce qu'il n'était pas inscrit sur la liste UEFA,
09:51 Latane, à cause de ses déchires.
09:53 Si le Milan avait gagné la Ligue des Champions cette année,
09:56 elle n'aurait pas figuré au palmarès de Zlatan Ibrahimovic.
09:59 Donc, il n'est pas plus mal.
10:01 - Est-il pour vous, dans le top 20 des plus grands joueurs de l'histoire,
10:04 le top 30 des plus grands joueurs de l'histoire, Zlatan Ibrahimovic, Marc Libra ?
10:08 - Ça paraît difficile.
10:09 J'aime beaucoup, mais pour moi, non.
10:12 Top 50, oui.
10:13 Parce que, quand on a cité, Valentin a cité des joueurs de la Cémi-Lanc,
10:17 qui pour moi sont des légendes.
10:18 Il y en a 7 ou 8, c'est des légendes.
10:19 Donc, si on fait un top 50, peut-être qu'ils rentrent dans les 50.
10:22 Ibrahim, il nous a marqué par ses punchlines, par l'extérieur du terrain.
10:27 Il a marqué les esprits, mais malheureusement, il va lui manquer.
10:30 Vous savez, quand il est à Paris, il a apporté énormément.
10:32 Je pense qu'il a fait, pour moi, il a apporté à Paris,
10:35 il a fait, le club est rentré dans une autre dimension.
10:38 Certains ont pris conscience qu'il fallait arriver très tôt le matin et partir très tard.
10:41 En France, on ne le savait pas.
10:43 Donc, Zlatan est arrivé, il a remis un petit peu tout le monde d'équerre
10:47 parce que, soit disant, certains footballeurs professionnels français
10:49 n'étaient pas au courant comment ça fonctionnait, le très haut niveau.
10:51 Donc, il leur a montré tout ça.
10:53 Mais malheureusement, dans les grands moments à Paris, on ne l'a jamais vu.
10:56 Et c'est ce qu'on peut lui reprocher, on peut lui dire aujourd'hui.
10:59 Malheureusement, dans les grands moments, on ne l'a pas vu et c'est dommage pour lui.
11:03 Est-il un grand joueur pour vous ?
11:05 Est-il dans la famille, dans le panthéon des grands joueurs, Salim Dib ?
11:07 Oui, après, de là à le mettre dans le top 30, je ne sais pas,
11:10 parce qu'il y a trop, trop de grands joueurs qui ont marqué l'histoire du football.
11:13 Mais il fait partie des grands joueurs qui ont marqué des générations.
11:15 Oui, il pense que oui.
11:16 On se rappellera.
11:17 Il n'y a rien à dire dont il parle de lui à la troisième personne.
11:18 Il fait partie, il se prend pas le chline.
11:20 Après, c'est vrai qu'il y a trop, trop de grands joueurs.
11:22 Et puis, le fait de ne pas avoir remporté la Siam,
11:24 même si pour moi, ce n'est pas un critère numéro un,
11:25 parce que Ronaldo, le Brésilien et Didi Buffon ne l'ont pas gagné.
11:28 Mais c'est vrai que Zlatan n'a pas forcément marqué la Ligue des Champions,
11:31 en tout cas dans des matchs couperés.
11:32 La dernière fois qu'il a disputé un match de Champions League à la phase d'élimination direct,
11:34 c'était en 2016, il y a sept ans.
11:36 Il n'a disputé qu'une seule demi-finale.
11:37 Donc, c'est vrai que par rapport aux autres très grands légendes qui ont marqué le football,
11:40 qui ont disputé des finales et demi-finales,
11:42 c'est peut-être un peu plus compliqué,
11:43 mais ça reste un joueur qui a remporté douze fois le championnat,
11:46 qui a gagné partout et qui a marqué le football quand même.
11:48 Il fait partie des grands.
11:49 Est-ce que c'est...
11:51 Il y a la communication qui brouille un peu le message.
11:53 Cette communication de punchline brouille un peu le message.
11:55 Tu vas parler à dix personnes de ce qu'il reste de son passage à Paris.
11:58 Ils vont te parler des punchlines.
12:00 Quand il signe déjà la première punchline, quand il signe, elle est énorme.
12:03 L'histoire de Bordeaux, elle est énorme.
12:04 Il n'a fait que ça.
12:05 Quand il signe, d'ailleurs, on va clore avec ça sur le sujet.
12:08 Quand il signe au Paris Saint-Germain,
12:10 je ne connais pas bien la Ligue 1, mais la Ligue 1, c'est qui je suis.
12:14 Et je crois de mémoire qu'il avait dit en partant,
12:16 je suis arrivé comme un prince et je repars comme un roi.
12:20 La meilleure punchline, c'est en MLS.
12:22 Lorsqu'il dit maintenant que j'ai marqué l'esprit clairement, l'histoire, etc.
12:26 Vous pouvez maintenant tranquillement retourner voir le baseball, il n'y a pas de problème.