C'est Votre Avenir  - Émission du 27 juin - Vidéo Dailymotion

Sud Radio

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Transcript

00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente.

00:07 Sur Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Delovane.

00:11 Bonjour à tous, merci d'être avec nous sur Sud Radio et bienvenue dans C'est votre avenir.

00:15 Alors si vous n'êtes plus épanoui dans votre couple, dans votre travail ou même au sein de votre famille,

00:20 si vous êtes en pleine remise en question dans un ou plusieurs domaines de votre vie

00:24 et que vous avez besoin d'y voir plus clair sur votre avenir, alors vous êtes au bon endroit

00:28 puisque pendant cette prochaine heure, notre coach intuitif, Alexandre Delovane,

00:32 va vous donner son ressenti et ses conseils. Bonjour Alexandre.

00:36 Bonjour Trina, bonjour à tous.

00:38 Comment allez-vous aujourd'hui ?

00:39 Je vais bien, j'ai une petite voix.

00:41 Alors oui, vous ne l'avez pas retrouvé depuis hier ?

00:43 Difficilement, mais ça va aller.

00:46 Vous prenez des petites pastilles ?

00:47 Je prends du miel, je prends des pastilles.

00:49 Vous savez, si changement de température, de clim et tout ça, c'est parce qu'il y a de mieux.

00:53 La clim dans le train.

00:54 Et oui, effectivement, surtout quand elles sont trop fortes.

00:56 Elles sont ouverts d'écologie.

00:58 Allez, pour nous rejoindre et nous poser vos questions en direct,

01:01 appelez-nous au 0826 300 300.

01:04 Tout à l'heure, on s'intéressera à la chéromancie, la divination par la cire de bougie.

01:08 Et vous retrouverez aussi la superstition du jour et l'ange du jour.

01:12 On démarre avec Alexandre.

01:14 Alexandre et Alexandre, bonjour.

01:16 Bonjour Trina, bonjour Alexandre.

01:19 Comment allez-vous ?

01:20 Ça va bien et vous ?

01:21 Ravie de vous entendre à nouveau depuis, je crois que c'était en janvier, fin de mai.

01:26 J'ai eu la chance de vous avoir.

01:29 Oui.

01:30 Et puis donc, voilà, moi, je me posais des questions par rapport au travail.

01:36 Actuellement, je suis en arrêt pour un petit moment suite à des soucis que j'ai eus au travail par rapport à la hiérarchie et autres.

01:44 Donc, on va dire une petite dépression d'après la psychiatre.

01:48 Et je reprends quand des formes. En fait, j'ai pas la possibilité de reprendre avant.

01:52 Et je voulais savoir comment ça allait se passer au niveau professionnel par rapport à mes attentes, par rapport à l'ambiance, par rapport à même au contrat.

02:04 Puisque j'ai un contrat de 20 heures, moi, actuellement, je voudrais passer un contrat plus important de 24 heures.

02:11 Donc, savoir si les demandes vont aller aboutir.

02:14 Et puis, en même temps, j'ai divorcé.

02:19 Donc, j'ai des problèmes de logement.

02:21 J'ai fait une demande de logement social.

02:22 Et savoir comment ça pouvait se présenter aussi à ce niveau là.

02:25 D'accord. Alors, quand vous parlez de soucis avec votre hiérarchie, qu'est-ce qui s'est passé exactement ?

02:30 Pour être cash, directement, j'ai eu une plainte.

02:33 Je travaille avec des enfants handicapés.

02:34 Donc, j'ai eu une plainte pour agression sexuelle de la part d'une maman.

02:39 Plainte qui n'a même pas été entendue dans le sens où ça a été transformé en audition.

02:48 En audition libre, ce qu'on appelle.

02:50 Et puis, la police a fait un parmier relieux.

02:52 C'est-à-dire que là-dessus, vraiment, j'ai été, on va dire, protégé, écouté, entendu.

02:57 Mais, comme on dit vulgairement, ceinture et bretelle au niveau de ma hiérarchie.

03:01 Et donc, je me suis retrouvé sans affectation professionnelle.

03:05 Et avec un choc, donc, en retour psychologique.

03:10 D'où mon arrêt qui dure depuis quand même quelques mois maintenant.

03:14 Voilà. Ça n'a pas été une période facile, en fait.

03:16 D'accord. Donc, ça a été classé sans suite, la plainte ?

03:19 Ah ben, il n'y a même pas eu de plainte.

03:20 Il n'y a pas eu de plainte. D'accord.

03:21 Non, non, non.

03:22 Ça soit bien clair.

03:23 Voilà. Complètement.

03:24 D'accord.

03:25 Bon, ben, voilà. Les gens se protègent.

03:28 C'est la nature humaine.

03:30 Mais bon, ça permet peut-être aussi de m'en mettre en question professionnellement ou pas.

03:36 Quoi que j'adore mon travail, je ne sais pas.

03:37 Voilà. C'est un problème de visibilité.

03:40 Je suis en stand-by.

03:41 Voilà.

03:43 Avec justement la possibilité de ne même pas reprendre avant mi-décembre.

03:46 Parce que la loi ne permet pas de reprendre.

03:48 Pourquoi exactement ?

03:50 Je suis dans la fonction publique.

03:52 Donc, à partir du moment où on a accordé ce qu'on appelle un arrêt longue maladie jusqu'au 14 décembre,

03:58 on ne peut pas reprendre avant. Ce n'est pas possible.

04:00 D'accord. Donc, vous appréhendez votre retour avec tout ça, évidemment.

04:03 Non.

04:04 Non ?

04:05 C'est une sorte de... Non. C'est plus une interrogation.

04:08 Alors, je n'appréhende pas au niveau du travail, dans le sens où il n'y a rien mis, même au niveau de la DRH et autres.

04:14 Donc, il n'y a pas d'informations à donner à qui que ce soit.

04:17 Le travail se fera.

04:19 Mais c'est pour savoir dans quel état d'esprit je pourrais me retrouver par rapport à mes collègues, aux employeurs.

04:27 Voilà.

04:29 Et puis, surtout, ce logement social, c'est bon.

04:31 Moi, je ne gagne pas beaucoup d'argent et j'ai besoin de m'enloger suite au divorce.

04:35 D'accord. Alexandre, on vous écoute.

04:37 Oui. Alors, effectivement, par rapport à ce que vous avez vécu et de ce que vous témoignez,

04:43 vous êtes dans cette période remise en question, dans cette période de réflexion.

04:48 Et même si aujourd'hui, il y a une fragilité psychologique qui est liée à tout un passif professionnel,

04:57 eh bien, vous êtes progressivement en train de repartir vers de nouveaux objectifs et vers de nouvelles possibilités.

05:05 Alors, pour moi, je vous sens effectivement arriver à un moment donné à reprendre votre activité.

05:13 Mais j'ai quand même le sentiment et l'impression aussi qu'il y a chez vous l'envie d'une reconversion,

05:19 l'envie d'un changement différent et peut-être, je dirais même, à se vouloir sortir de la fonction publique pour aller peut-être vers du privé.

05:29 Alors, peut-être qu'autour de vous, il y a un entourage ou il y a des personnes, des contacts ou des réseaux

05:35 qui vont vous permettre de pouvoir rentrer en contact avec eux et aussi vous permettre de vous faire aider

05:43 pour justement vous ouvrir à quelque chose de nouveau et aussi trouver un autre épanouissement et une autre réalisation.

05:52 Vous pensez déjà à une reconversion particulière ?

05:56 Non, j'y ai jamais pensé parce que j'adore mon travail en fait. Mais vous n'êtes pas là, Alexandre,

06:03 parce que là, vous n'êtes pas les premières personnes à me le dire.

06:06 Mais j'avoue que personnellement, ce n'est pas quelque chose qui me travaille. Enfin, je n'y ai jamais pensé, vraiment.

06:15 Même en disant… Je n'ai même pas d'idée en fait, vous voyez, par rapport à ça.

06:20 D'accord. Mais c'est pour ça que pour moi, je vous vois avoir cette volonté de reprendre votre travail.

06:25 Et il y a des idées en parallèle qui se mettent en place et qui vont vous permettre de pouvoir, à un moment donné,

06:32 orienter votre vie et vos choix de vie, notamment sur le plan professionnel, vers de nouvelles orientations

06:40 et aussi vers un nouveau secteur d'activité.

06:44 Ce qui ressort de manière plus importante et plus évidente, c'est plus par rapport à une institution,

06:54 par rapport à un statut. Et c'est pour ça que je précise bien que de la fonction publique, vous allez passer peut-être au secteur du privé.

07:03 Et c'est vraiment sur ça, et peut-être bien aussi, que dans le secteur privé, il y a chez vous cette capacité

07:10 de continuer à travailler avec le monde de la jeunesse ou avec les enfants.

07:16 Mais je sens plus quelque chose au travers de l'enseignement.

07:21 Alors je ne veux pas dire pour autant que vous allez enseigner, mais il y aurait quelque chose peut-être à transmettre

07:27 en termes de transmission, de pédagogie, de quelque chose de bon dans ce sens-là

07:34 qui peut toucher un secteur d'âge, enfin une tranche d'âge, plus élevé que ce que vous avez aujourd'hui.

07:43 Parce qu'aujourd'hui, ça va de quel âge à quel âge ?

07:47 Je travaillais dans un collège et mes dernières adaptations avant mon arrêt auraient été en primaire.

07:53 Aujourd'hui, 6 ans.

07:56 D'accord, donc je sens que ça va vers un âge plus important ou plus élevé.

08:01 Et là, il y a à nouveau quelque chose de possible qui vous permettra d'aller vers une réalisation

08:07 mais qui est totalement différent du secteur peut-être de la fonction publique.

08:13 Mais vous verrez que ces prises de décision, elles viendront de vous.

08:18 Ce sera vous-même qui aurez cette envie et vous allez...

08:22 Oui, voilà, vous allez aller vers ce choix-là et ce n'est pas lié au fait que vous soyez forcé de partir

08:29 ou que vous soyez expulsé ou quoi que ce soit.

08:32 Comme tout va bien là-dessus, il n'y a pas de difficultés au travail à venir.

08:37 Et pour le logement ?

08:39 Oui, juste pour finir...

08:41 Là, je suis un peu inquiet.

08:43 Mais juste pour finir, vous serez un peu déçus de certains comportements qu'il y a autour de vous

08:47 et de certaines personnes qui n'ont pas été à la hauteur par rapport à ce qui s'est passé.

08:53 Mais ça, ce sera quelque chose de plus d'un avis personnel.

08:57 Et ensuite, sur le logement, oui, alors là, il y a un changement qui s'annonce

09:02 et j'ai l'impression que ce changement, il devient un peu prioritaire.

09:07 Il devient, je dirais pour vous, vital presque.

09:10 Parce que je ne sais pas dans quelles conditions vous vivez aujourd'hui

09:14 et j'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui vous paraît ou qui peut paraître un peu inconfortable en ce moment.

09:19 Complètement.

09:21 Disons que comme un grand garçon qui va avoir bientôt 60 ans, j'ai dû revenir à la maison, chez les parents.

09:26 Ce qui n'est pas évident non plus.

09:28 Et à la suite de tout ça ?

09:30 Oui, à la suite du divorce.

09:32 À la suite du divorce, d'accord.

09:34 Parce que nous, on est payé au SMIC, donc effectivement, pour se reloger, ce n'est pas évident.

09:37 Ce n'est pas du tout une question d'orgueil, ça ne me gêne pas par rapport à l'âge et autre.

09:41 Mais bon, il faut peut-être passer à autre chose.

09:43 Oui, bien sûr.

09:45 C'est pour ça que vous allez y mettre la priorité.

09:47 Et puis peut-être parce qu'il y a le temps aussi d'y réfléchir et de s'y consacrer.

09:52 Je vous sens vraiment avoir une opportunité, quelque chose qui se présentera à vous,

09:57 courant de fin de l'été, début de l'automne, où là vous êtes dans cette période de transformation,

10:03 de mutation, de changement de vie d'ailleurs, d'un autre lieu,

10:09 qui correspondra beaucoup plus à ce que vous attendez.

10:12 Et puis surtout, à trouver un peu vos repères.

10:15 Absolument.

10:16 Merci Alexandre d'avoir été avec nous sur cette radio.

10:18 Merci à vous. Prenez soin de vous, soignez-vous votre voix.

10:21 Merci Alexandre.

10:23 C'est très important quand on fait de la radio, c'est vrai.

10:25 Oui, c'est clair.

10:26 Merci à vous.

10:27 Toujours un plaisir.

10:28 Merci à vous, bonne continuation.

10:29 A bientôt.

10:30 Au revoir, merci.

10:31 Allez, on va s'intéresser dans un instant à la Kéro Mancy.

10:33 On vous attend bien sûr, si vous avez des questions, pour notre quotient utile,

10:35 le temps qu'il se réhydrate un petit peu.

10:37 Sa gorge, 0826-300-300, tout de suite.

10:40 La radio, c'est votre avenir, le sujet du jour.

10:42 Trina, vous allez nous parler de la Kéro Mancy.

10:45 Vous connaissiez ?

10:46 Oui, un petit peu, mais je ne pratique pas cette discipline.

10:50 C'est une méthode de voyance par la cire des bougies et les formes qu'elle crée en fondant.

10:54 Cette méthode de voyance a longtemps été pratiquée par les Grecs,

10:57 qui fondaient de la cire dans des bols de cuivre remplis d'eau.

11:00 Ensuite, ils interprétaient les formes qui se créaient.

11:02 Et alors, comment on peut la pratiquer ?

11:04 Vous pouvez tenir une chandelle allumée au-dessus d'un vase d'eau

11:07 et laisser tomber la cire goutte à goutte.

11:10 Vous pouvez aussi écrire votre question sur le côté de la bougie,

11:13 fermer les yeux en posant la question à trois reprises.

11:16 Ensuite, vous laissez couler la cire chaude sur une feuille de papier.

11:19 Et le voyant interprète ensuite les formes de la cire refroidie sur le papier.

11:22 Vous pouvez aussi faire fondre de la cire de bougie dans une casserole.

11:25 Et quand la cire est totalement liquide, vous la versez dans un récipient d'eau froide.

11:29 Alors, quelles sont les différentes interprétations, Trina ?

11:32 Alors, vous pouvez les trouver sur Internet,

11:34 et je vais vous prier quelques exemples de ce qui apparemment revient le plus souvent.

11:37 Donc, une grosse goutte qui tombe en se divisant symbolise la fin des problèmes.

11:41 Une goutte qui tombe du côté gauche veut dire que la réponse à votre question est négative.

11:46 Une goutte qui tombe du côté droit est une réponse positive.

11:49 Si les gouttes de cire forment un chapeau, ça indique un changement de lieu à venir.

11:54 Si elles forment des ciseaux, ça annonce une querelle ou une séparation.

11:58 Si elles forment une couronne, c'est symbole de réussite et de notoriété.

12:02 Si elles l'unent, c'est annonciateur d'une rentrée d'argent.

12:05 Et si elles forment une plume, ça veut dire que votre problème actuel sera bientôt résolu.

12:09 D'accord. Et si on change le sens de la bougie quand elle se consomme,

12:13 pour justement, si elle coule sur la gauche, la faire tourner sur la droite pour équilibrer ?

12:17 Alors, comme c'est vous le voyant et que c'est vous qui êtes censé faire les interprétations,

12:20 vous allez me dire si je me trompe ou pas, mais je pense que ça ne change pas l'interprétation en elle-même.

12:24 Oui.

12:25 Parce que ça fera quand même une forme qu'on ne peut pas prévoir.

12:27 Ou tout simplement dire aussi qu'on veut contrôler son destin.

12:30 Ah oui.

12:31 Et c'est souvent ce qu'on veut faire.

12:32 Et est-ce que ça, vous le conseillez, d'essayer de contrôler son destin ?

12:37 Non, justement. Il ne faut surtout pas le contrôler, il faut vivre son moment présent.

12:41 Bien entendu, il faut être responsable de ce qu'on fait dans nos actes et dans notre quotidien

12:45 parce que ça a une répercussion tout le temps sur notre futur.

12:49 Mais il faut faire aussi du lâcher prise et il faut faire le contrôle quand il est nécessaire

12:54 pour justement ne pas faire n'importe quoi.

12:56 Parce qu'on est maître aussi de son destin, on dit.

12:58 C'est pareil, quand vous faites des prédictions, c'est bien aussi de le préciser.

13:03 Quand vous faites des prédictions, quand vous donnez votre ressenti,

13:06 notre auditeur qui est en face peut changer les choses en fonction de ce que vous lui avez dit.

13:11 Soit il laisse faire, et en général ça arrive, on le voit souvent dans l'émission,

13:16 soit il peut changer les choses.

13:18 Totalement, et c'est pour ça qu'on a notre libre arbitre.

13:21 Tout à fait.

13:22 Et après, à chacun de décider sa voie.

13:25 C'est vrai que souvent il y a des témoignages ou des personnes

13:28 qui peuvent revenir vers moi en disant "oui mais ça ne s'est pas réalisé de cette manière là".

13:32 C'est pour ça que j'en parle, parce que je pense que c'est important de le préciser.

13:34 C'est important parce que déjà, la personne, le praticien, je ne parle pas de moi forcément,

13:39 mais n'est pas responsable du destin.

13:41 Après, bien entendu, on est responsable des propos qu'on peut avoir envers l'individu,

13:46 mais le destin appartient à chacun et c'est à nous-mêmes de mettre en œuvre les choses

13:52 pour que la vie puisse aller dans le sens de ce qu'on espère ou dans ce qu'on souhaite.

13:56 Et puis parfois, ça ne se passe pas comme on le souhaite aussi.

13:59 Voilà, et puis après il y a la façon d'interpréter votre ressenti aussi, qui est très importante.

14:03 On pourrait passer des heures à discuter sur le sujet.

14:05 Tout ça pour dire que vous avez un don qui est indéniable.

14:07 Et qu'on a notre libre arbitre.

14:09 Oui, Eric nous a rejoint. Bonjour Eric.

14:11 Oui, bonjour Trina et bonjour Alexandre.

14:13 Bienvenue Eric, vous nous appelez d'où ?

14:15 Près de Strasbourg.

14:17 D'accord, alors si j'ai bien compris, vous hésitez entre deux femmes, c'est ça ?

14:21 Oui, oui, quelle problématique.

14:25 Dis-nous.

14:27 Alors, j'ai rencontré une femme via une application de rencontre il y a environ une semaine et demie,

14:33 avec qui le courant passe bien.

14:37 Et n'ayant pas clôturé mon compte, j'ai eu une autre femme qui m'a interpellée,

14:45 qui m'a contactée via cette application et elle m'a interpellée en raison de son origine italienne.

14:53 Et pour moi c'est un peu un serpent de mer comme ça, onirique, qui revient sans cesse.

14:58 Puisque je suis aussi d'origine italienne, donc ça fait remonter des choses.

15:02 J'ai pris contact avec elle, donc je suis vraiment dans une situation embarrassante,

15:09 parce que je n'aime pas jouer.

15:11 En même temps, j'ai la passion qui a un peu parlé, je suis un peu entre deux eaux là,

15:18 je ne sais vraiment pas me positionner, c'est très très difficile.

15:21 Quand vous dites la passion qui a parlé, c'est par rapport à laquelle ?

15:25 Alors la première, la passion de l'échange, du cœur, très sincèrement.

15:31 Et la seconde, je sens aussi qu'il y a cette passion de l'échange,

15:35 et en même temps il y a ce petit côté méditerranéen qui moi me touche beaucoup.

15:42 Voilà, peut-être que je suis dans l'illusion totale et que ce n'est ni l'une ni l'autre.

15:46 Vous n'en avez rencontré aucune des deux en vrai ?

15:49 Si, j'ai rencontré la première, la seconde, il faudrait que j'en ai le cœur net,

15:56 mais en fait je suis perdu, non ?

15:59 Et la première que vous avez rencontrée, ça s'est concrétisé physiquement entre vous ?

16:04 Ou c'est resté à l'échange ?

16:06 Oui, ça s'est concrétisé.

16:09 Après il y a aussi cette question de fond qui revient,

16:13 est-ce que j'aimerais avoir un enfant ou pas ?

16:15 C'est vraiment quelque chose, je ne sais vraiment pas ce qui m'attend.

16:20 Ça pour l'instant c'est tout frais les deux rencontres, c'est ça ?

16:23 Bien sûr.

16:24 Alexandre, est-ce que ça peut être une histoire avec l'une des deux ou peut-être une autre ?

16:28 Éventuellement les deux en même temps ça pourrait être pas mal.

16:32 Non, quand même pas.

16:34 Vous savez, c'est très difficile, parce que vous me mettez à la contribution d'une décision

16:40 qui ne m'appartient pas et là je reviens dire qui vous appartient évidemment.

16:44 Alors moi je vais vous dire, et là je ne vais pas aller sur le côté on va dire intuitif ou quoi que ce soit,

16:50 mais peut-être plus sur le côté ressenti,

16:53 et d'une expérience que vous devez vous-même vivre et la mettre en application.

16:59 C'est-à-dire que de ces deux femmes, quelle est la femme avec qui le matin vous allez vous réveiller

17:07 et vous allez vous sentir bien, vous avez un sentiment d'apaisement, un sentiment de bien-être, de bonheur.

17:13 Alors j'imagine qu'avec la deuxième vous n'avez pas encore peut-être passé une nuit avec cette personne-là.

17:18 Oui, il n'y a pas eu de rencontre la deuxième, c'est ça je crois.

17:20 Mais autorisez-vous peut-être à vivre ce moment-là, parce que c'est votre cœur qui va parler,

17:26 c'est votre cœur qui va donner sa réponse et qui va vous permettre à un moment donné de donner une évidence à tout ça

17:33 et non pas d'être dans un choix raisonné ou dans une réponse qui va être influencée par des valeurs,

17:41 par des principes, par des peurs, des plaintes et tout ça.

17:44 Parce que là, il y a confusion chez vous. Pardonnez-moi de parler ainsi Eric,

17:49 mais c'est-à-dire qu'il y a cette attirance qui peut être d'une attirance physique de l'individu

17:56 ou d'une attirance aussi par rapport à des traits de caractère, de personnalité, de choses comme ça.

18:01 Et puis il y a aussi cette attirance au fond de vous qui sont liées à des valeurs, à des raisons, à des principes,

18:10 à des conditionnements, à des choses.

18:12 Et vous faites un mélange entre tout ce qui est de la partie émotionnelle à la partie pragmatique et plus rationnelle.

18:21 Donc votre cerveau, lui, il est en train de vous mettre en état de panique

18:26 et vous êtes en train de trop intellectualiser les choses.

18:30 Ce qui empêche le lâcher prise.

18:31 Exactement. Et l'amour dans son grand 1, c'est ce qu'on va respirer au quotidien

18:37 et ce qui va vous donner cet élan de se tenir main dans la main et d'avancer dans la vie

18:42 et non pas c'est de "toi tu dois faire ci, toi tu faudras ça" ou "on ne formate pas les choses".

18:48 Donc pour moi, vraiment, laissez-vous ce temps nécessaire de vivre votre histoire un petit peu avec cette première.

18:55 Je ne dis pas qu'il faut tout vivre en même temps,

18:58 mais de laisser peut-être un moment donné reposer les choses pour laisser ce temps avec la deuxième.

19:03 Et puis surtout, donnez-vous cette réponse justement un matin où vous vous levez et vous vous dites

19:09 "Ah, là je me sens beaucoup plus libre et beaucoup plus heureux".

19:12 Et malgré tout, la première, je vous donne la réponse, parce que si vous vous appelez,

19:16 c'est parce que je sais très bien que vous voulez une réponse.

19:18 Mais essayez d'aller dans cette démarche-là.

19:22 Je vous assure que ça vous aidera et puis surtout ça vous rendra adulte et responsable de votre propre décision.

19:27 Et vous ressentez plus la première.

19:28 Mais c'est la première, oui.

19:29 Pour vous qui ressentez.

19:30 En tout cas, tenez-nous au courant, Eric.

19:33 Très bien.

19:34 Donnez-nous vos nouvelles.

19:35 Écoutez, oui.

19:37 On espère que ça vous a écouillé un petit peu.

19:39 Après, faites comme Alexande vous dit, laissez parler votre cœur.

19:43 D'accord, je tâcherai.

19:46 Merci Eric.

19:48 A bientôt.

19:49 Merci à vous.

19:50 Merci à vous.

19:51 Au revoir.

19:52 Allez, on vous attend sur Sud Radio 0826 300 300.

19:54 A tout de suite.

19:56 Appelez maintenant Sud Radio 0826 300 300 et participez à C'est votre avenir.

20:01 Sud Radio C'est votre avenir.

20:04 Trina Magdine, Alexandre Delovane.

20:06 De retour dans C'est votre avenir.

20:07 Toujours avec notre coach intuitif qui sait hydrater la gorge pendant la pub.

20:11 Rassurez-vous, il peut répondre à toutes vos questions au 0826 300 300.

20:15 On va voir Claudine dans un instant.

20:17 Mais d'abord, c'est la superstition du jour.

20:19 Alors oui, Trina, vous parlez d'hydratation.

20:21 Et justement, ça va être un sujet, enfin tout au moins, je vais vous parler de l'eau.

20:26 Comme quoi ? Je ne savais pas.

20:28 Vous savez que dans les croyances et dans les superstitions,

20:31 on a toujours considéré l'eau comme une protection contre les mauvais esprits.

20:36 C'est la raison pour laquelle il porte malheur d'en jeter la moindre goutte hors de la maison une fois la nuit tombée.

20:44 C'est une superstition qu'il faut éviter de faire.

20:48 Alors en ce qui concerne le robinet, il est de mauvais augure aussi que deux personnes se lavent les mains en même temps.

20:55 C'est vrai ? On l'a déjà fait vous et moi ?

20:57 Oui, mais il n'y a pas plus tard qu'il y a 20 minutes avant de commencer l'émission.

21:00 30 ouais.

21:01 Bon, voilà.

21:02 Alors vous savez, on dit aussi qu'une jeune fille capable d'éclabousser l'eau quand elle se lave,

21:06 doit savoir qu'elle a de fortes chances d'épouser un alcoolique.

21:10 C'est marrant quand même.

21:11 Mais c'est pas vrai.

21:12 Oui, quand vous vous lavez, vous prenez votre douche, vous vous éclaboussez.

21:15 Ça arrive souvent, puis ça me fait peur.

21:16 Vous ne buvez que de l'eau vous.

21:18 Oui, en plus. Pas que de l'eau, mais pas d'alcool.

21:20 Oui, ça c'est vrai, ça je l'affirme.

21:22 Alors en Inde, on dit qu'il est de bon augure aussi de renverser de l'eau avant d'entreprendre un voyage,

21:28 tandis que rêver trop d'eau agitée présage un malheur.

21:35 Et puis, il y a une autre superstition au Moyen-Orient, il est déconseillé de prendre une douche le soir.

21:40 Apparemment, ça éviterait de faire appel au mauvais esprit.

21:45 De prendre une douche le soir ?

21:47 Oui, il faut éviter.

21:49 Il faut tout revoir.

21:52 Et puis, il ne faut pas éviter de se doucher non plus.

21:54 Oui, quand même, c'est sûr.

21:56 On retrouve Claudine. Bonjour Claudine.

21:58 Bonjour Trina, bonjour Alexandre.

22:01 Bienvenue Claudine, vous nous appelez d'où ?

22:03 Je vous appelle de la région Toulousaine.

22:06 Très bien. Alors, votre fils veut devenir pilote de ligne. Très belle vocation.

22:10 Oui, voilà. Donc, je me fais un peu de soucis par rapport à ça, pour savoir quand il va trouver du travail.

22:19 Il a commencé déjà ses études de pilote et je suis un peu soucieuse quant à son avenir professionnel.

22:27 Il a combien de temps ? C'est long les études, je pense, pour faire ça, non ?

22:31 Il a déjà un niveau d'études Bac +5 et là, ça fait un an et demi qu'il étudie.

22:39 Il est encore un an et demi à peu près.

22:42 Je voulais savoir s'il allait trouver du travail. Il y a quel moment ?

22:46 Est-ce qu'il allait rentrer dans une compagnie ?

22:48 Voilà, tout ça, je suis un peu soucieuse.

22:54 Tu penses que c'est une vocation ?

22:56 Oui.

22:57 Il peut faire ça depuis toujours ?

22:59 Depuis qu'il a 16 ans, 17 ans.

23:04 D'accord. Et dans quel état d'esprit il est, lui ?

23:07 Lui, il est confiant.

23:09 Il est confiant. Donc, c'est une maman inquiète, Alexandre.

23:12 Voilà.

23:13 Ce qui est normal.

23:14 Pourquoi inquiète, Claudine ?

23:16 Je pense que c'est parce que ça ne va pas assez vite, je pense.

23:20 Oui, c'est dur. Piloter de ligne, c'est très très dur.

23:23 Effectivement, c'est dur, mais je crois qu'il a choisi un métier qui est...

23:29 Avant tout, il faut avoir une passion pour faire ce métier-là.

23:33 C'est une forme de vocation aussi.

23:35 Et laissez-le avancer à son rythme.

23:39 Je vous dis ça parce que votre fils, je ne crois pas qu'il se soit levé un matin en disant

23:44 "Tiens, je vais devenir pilote de ligne".

23:46 C'est quelque chose qui est en lui, qui est fondé, qui est là, qui est présent.

23:50 Alors, même s'il peut traverser par moments des périodes un petit peu de blocage,

23:55 de fragilité ou de difficulté, ou peut-être de retard par rapport à son cursus

24:01 et par rapport à son cheminement,

24:02 mais ça ne veut pas dire pour autant qu'il n'y arrivera pas.

24:05 Bien au contraire.

24:06 Bien au contraire, puisque pour moi, je vois votre fils réaliser réellement

24:11 dans cette vocation-là, dans ce métier.

24:15 Et je crois qu'il aura même de très grandes ambitions.

24:18 Alors, bien entendu, en tant que pilote, au niveau hiérarchie,

24:22 il n'y a pas non plus 36 000 échelons de hiérarchie,

24:27 mais je sens qu'il sera ambitieux, peut-être, d'intégrer

24:32 certaines compagnies de prestige ou d'autres choses.

24:36 Il y a quelque chose chez lui qui est très bon, qui est possible.

24:41 Mais, est-ce que, en dehors des compagnies aériennes de tourisme,

24:49 est-ce qu'il a pour intention de vouloir s'intégrer à une compagnie

24:55 ou un rapport à l'armée ou autre, ou faire un cheminement un peu comme ça ?

25:00 Ou humanitaire, ou quelque chose qui touche à l'humanitaire ?

25:03 Non.

25:04 Ce n'est pas du tout dans ses projets.

25:07 Dans ses projets, d'accord.

25:08 Alors, moi, je pense qu'à un moment donné, je ne dis pas que c'est sa vocation

25:12 et sa voie dans laquelle il se dirigera tout le temps,

25:15 mais je le sens, à un moment donné, vouloir avoir une expérience

25:19 qui touche à quelque chose, soit à une organisation humanitaire

25:24 ou qui touche un petit peu à la notion de l'armée,

25:26 sans pour autant intérer directement l'armée.

25:29 Je ne sais pas exactement comment lui va procéder,

25:32 mais en attendant, il y a quelque chose qui va aller dans ce sens-là.

25:35 Et puis, je le sens vraiment réussir.

25:38 Je le sens avoir une très belle réalisation professionnelle à ce niveau-là.

25:42 Donc, la voie est libre.

25:44 Oui, la voie est libre.

25:45 La voie aérienne est libre.

25:47 La voie aérienne est libre, d'accord.

25:49 Ça, je n'ai jamais douté qu'il arriverait comme pilote, ça c'est sûr.

25:53 Mais c'était mon souci, c'était quand et est-ce que c'est bientôt

25:58 qu'il va intégrer une compagnie ?

26:00 Est-ce que ça va prendre du temps ?

26:02 Claudine est impatient.

26:04 Oui, parce que…

26:05 C'est normal, mais c'est normal.

26:07 Oui, oui, bien sûr.

26:09 Mais il doit l'intégrer sous combien de temps, normalement ?

26:12 Est-ce que c'est deux, trois ans ?

26:14 Normalement, si non, ça devrait être un an, un an et demi.

26:22 Un an, un an et demi ?

26:23 Alors, moi, je vois peut-être deux ans.

26:25 Une période de deux ans, oui, il y a quelque chose.

26:28 C'est pour ça que quand je vous parle peut-être de possibilité de retard ou autre,

26:31 ça ne veut pas dire que ça ne se fait pas.

26:33 Mais moi, j'aurais tendance à dire plus sur une période de deux ans

26:36 où là, les choses se mettront en place.

26:38 Mais il a des…

26:40 On va dire que dans son cheminement et dans son évolution,

26:44 il a cette capacité et cette possibilité de faire de très bonnes rencontres,

26:48 d'avoir des très bons réseaux, de très bons contacts

26:51 qui vont justement l'intégrer dans quelque chose d'assez prestigieux dans l'avenir.

26:56 Donc, c'est très positif.

26:59 Encore un peu d'attente, mais pour du bonheur.

27:01 Voilà, et vous allez pouvoir bientôt voyager avec certains privilèges.

27:05 Voilà, et nous, on vous appelle quand on aura besoin, Claudie.

27:08 Vous allez voyager, Claudie ?

27:10 Oui, je voyage beaucoup.

27:12 Ah, alors, c'est parfait.

27:14 Je voyage beaucoup, il n'y a pas de souci.

27:18 Vous serez fière d'avoir votre fils qui pilote l'avion dans lequel vous serez fière ?

27:23 Ah oui, ça serait une fierté très…

27:25 Vous pouvez déjà, s'il n'a jamais lâché avec cette vocation-là,

27:29 qui est une très belle vocation.

27:30 Moi, j'ai beaucoup d'admiration pour tous ces métiers-là.

27:32 Donc, vous pouvez être fière, en effet.

27:34 Merci, Claudine.

27:35 Merci beaucoup.

27:36 À bientôt.

27:37 Bonne fin de journée.

27:38 À vous aussi.

27:39 Merci.

27:40 Au revoir.

27:41 On passe à l'ange du jour, Alexandre.

27:42 Quel ange on célèbre ?

27:43 On reste dans les ailes, au final, avec les anges.

27:45 Ah oui, oui, oui. Excusez-moi, je cherchais les ailes.

27:48 Je croyais que vous aviez porté vos ailes aujourd'hui.

27:50 Non, ça, c'est les vôtres.

27:51 C'est vous qui avez des ailes dans le dos.

27:53 D'accord.

27:54 Alors, aujourd'hui, on revient un peu sur Terre,

27:56 parce qu'aujourd'hui, on fête les Fernands et les Ferdinands.

27:59 Oui.

28:00 Et aussi les Fernandos, les Fernandes, les Fernandines.

28:03 Il y en a plein, oui.

28:04 Tout ce que vous voulez, qui touche autour des Fernands.

28:07 Alors, le dicton du jour, temps de la Sainte Fernand, chaleur et soleil riant.

28:11 D'accord.

28:12 L'ange qui gouverne cette journée, c'est Aueya.

28:15 Il se veut rassurant pour vos projets à venir.

28:18 C'est un ange protecteur contre les voleurs.

28:20 Il facilite le sens de l'adaptation et de la tolérance.

28:24 Et sa formule d'invocation est celle de dire

28:26 « Par ta puissance et ton rayonnement, donne-moi de la force à ma journée ».

28:31 Vous pouvez aussi le visualiser, vous pouvez l'invoquer en le visualisant avec la couleur indigo et jaune.

28:38 Je croyais que là, on a un ange dans la récepteur.

28:41 Je ne sais pas ce que c'est, mais il y a un bruit très bizarre.

28:43 Effectivement.

28:44 Et sa pierre de chance, c'est la fluorite verte.

28:46 Vous savez que c'est une pierre qui permet une meilleure clarté intellectuelle.

28:50 Elle aide aussi à la concentration.

28:52 Cette pierre est également très utilisée pour des détox émotionnels.

28:57 Et c'est une pierre très positive pour, justement, je vais pouvoir la prendre pour le chakra de la gorge.

29:03 Ah, la fluorite.

29:04 La fluorite.

29:05 Vous m'en amenez une ?

29:07 Oui, j'en ai là, justement, sur moi.

29:10 C'est l'anniversaire aujourd'hui d'une grande comédienne, Isabelle Adjani.

29:17 D'accord. Et un souvenir ?

29:19 Et puis, allez, un petit souvenir.

29:21 Vous savez qu'en 1997, c'est la sortie du premier tome de Harry Potter.

29:25 Vous êtes fan, vous ?

29:27 Je l'étais, oui. Je l'étais. Maintenant, un peu moins.

29:30 Vous avez vos pouvoirs, déjà, ça suffit.

29:32 Oui, mais j'étais assez fasciné par tous ces pouvoirs.

29:39 C'était super, mais maintenant, je n'ai pas intégré le club d'Harry Potter encore.

29:44 Vous ne le saurez tarder.

29:46 On accueille Hélène. Bonjour, Hélène.

29:48 Qu'est-ce qu'on a, Hélène ?

29:50 Ah, Hélène ?

29:51 Oui ? Bonjour.

29:52 Bonjour.

29:53 Oh, bonjour aussi, Hélène. Vous êtes là.

29:55 Merci d'être avec nous, Hélène.

29:57 Merci, merci de me donner l'occasion de parler avec vous.

30:02 Alors, ça ne se passe pas très bien dans votre travail, c'est ça ?

30:05 C'est ça.

30:06 Expliquez-nous.

30:07 En fait, j'aurais voulu savoir, enfin, mon interrogation, j'aurais voulu savoir si,

30:13 suite au changement de direction qu'on a eu dans l'entreprise

30:18 et la nouvelle politique installée depuis un an,

30:22 est-ce que je vais pouvoir rester ?

30:27 Est-ce que j'ai intérêt à commencer à voir ailleurs ?

30:31 Est-ce que ça va s'améliorer ?

30:33 Est-ce que je resterai quand même ? Enfin, je me pose beaucoup de questions.

30:38 Voilà, je voulais savoir si Alexandre ressent des choses, du changement ou pas,

30:44 ou une amélioration, ou…

30:47 D'accord. C'est dans quel secteur ?

30:49 C'est dans le médical.

30:52 Et qu'est-ce qu'il en est de cette nouvelle politique, à peu près ?

30:55 C'est une politique de diminution du coût à toutes les strates.

31:03 D'accord, j'ai bien compris.

31:05 Alexandre ?

31:06 Oui, c'est pas évident, Hélène.

31:09 C'est pas évident, mais je pense que pour vous,

31:13 vous allez avoir quelque chose de nouveau qui se présente

31:17 et qui va vous permettre d'aller vers du mieux

31:21 et de sortir de la fragilité, de la difficulté dans laquelle vous êtes aujourd'hui.

31:26 Alors, on dirait que vous devez un petit peu négocier.

31:29 Il y a quelque chose qui reste à négocier sur une nouvelle proposition d'emploi.

31:35 Est-ce que vous en êtes là aujourd'hui ?

31:38 Je ne suis pas dans la négociation, mais j'ai été approchée.

31:45 Oui.

31:46 Je n'ai pas vraiment donné suite, j'ai hésité, je n'ai pas donné suite.

31:53 On n'est pas dans la négociation, loin de là.

31:57 D'accord.

31:58 Est-ce que vous ressentez, vous, que c'est un départ vers une nouvelle structure ?

32:03 Totalement.

32:04 Ou c'est une proposition dans la même structure ?

32:06 Non, je crois que c'est vers une nouvelle structure.

32:09 Parce que dans votre structure actuelle, j'ai l'impression que les portes sont un peu fermées.

32:14 Alors, ce n'est pas lié à vous directement.

32:17 Mais je crois que par rapport à la situation de l'entreprise dans laquelle vous êtes aujourd'hui,

32:24 on ne sait pas trop où on va.

32:26 Ça reste un peu flou, ça reste un peu incertain sur l'avenir,

32:31 même s'il y a des changements qui sont amenés à se faire.

32:35 Et puis, vous aussi, vous êtes dans cette volonté, dans ce désir de changement, d'évolution.

32:42 Et donc, j'aurais tendance à dire, Hélène, qu'il y a une forme d'impatience un petit peu chez vous en ce moment.

32:50 Et, alors, ce n'est pas forcément l'impatience, ce n'est pas forcément négatif,

32:55 parce que l'impatience veut dire souvent qu'on est ambitieux, qu'on veut avancer, qu'on a de la dynamique.

33:03 Donc voilà, on veut s'engager dans quelque chose.

33:06 Mais par rapport à votre structure dans laquelle vous êtes aujourd'hui, je sens que ça bloque un petit peu.

33:13 Et c'est pour ça qu'il y a un regard extérieur, il y a une recherche qui va se faire.

33:18 Et vous verrez que vous allez être approchés, ou peut-être vous-même, vous allez anticiper les choses,

33:25 solliciter pour qu'on puisse vous approcher.

33:29 Et à partir de là, il y a quelque chose qui se négociera.

33:33 Et là, je vous sens, vous le tenez bon.

33:37 Je sens que, comme une certaine chanson, ça y tienne.

33:42 Et donc, vous êtes dans cette période de changement, de transformation, de certitude aussi,

33:51 qui vous amènera à aller vers quelque chose de positif et d'évolutif dans l'avenir.

33:56 Donc pour moi, restez confiantes, restez aussi très curieuses et observatrices de ce qui se passe.

34:04 N'hésitez pas peut-être à anticiper sur des candidatures ou des possibilités de ce qui se présente dans votre secteur de travail.

34:15 Et puis vous verrez que ça va être bon à partir de l'automne.

34:18 - Oui, j'allais vous demander.

34:20 - Oui, j'allais demander où il y a à Courrières l'automne.

34:23 - Vous voyez, vous n'avez même pas besoin de demander. Je vous le dis.

34:26 - Bon, j'ai une petite question concernant mon fils qui a passé un concours au mois de mai.

34:32 Il aura les résultats définitifs en septembre.

34:35 Est-ce que vous le voyez quitter sa ville actuelle ?

34:38 S'il part, il est nommé ailleurs.

34:40 Donc, est-ce que vous le voyez partir ? Est-ce que vous le voyez rester ?

34:43 - Là, vous m'en demandez beaucoup parce que je n'ai aucun élément sur votre fils.

34:47 Alors, je vais essayer. Mais pardonnez-moi si j'ai une petite erreur d'interprétation parce que je ne suis pas de devin.

34:54 - Oui, pas de problème.

34:56 - Quelle est la couleur qui pourrait vous faire penser à votre fils ?

35:02 - La couleur qui me fait penser à mon fils, le bleu.

35:06 - Un bleu plutôt clair, foncé ?

35:08 - Claire.

35:09 - Bon, en tous les cas, moi je pense que oui, c'est plutôt positif.

35:13 Ça l'amènera à changer et à partir sur la destination sur laquelle il a peut-être décidé d'aller ou de ce qu'il a demandé.

35:21 Mais moi, je sens que oui. En tous les cas, ça donne un oui.

35:24 - Bon, c'est l'essentiel. Merci Hélène d'avoir été avec nous.

35:26 - Merci beaucoup.

35:27 - A bientôt Hélène.

35:28 - Bon après-midi, au revoir.

35:29 - Allez, venez nous rejoindre vous aussi sur Sud Radio 0826 300 300.

35:33 On se retrouve dans un très court instant.

35:35 - Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Deleuven.

35:39 - Et de retour sur Sud Radio pour la dernière partie de C'est votre avenir.

35:42 Venez nous rejoindre 0826 300 300.

35:45 C'est le numéro du standard si vous voulez poser vos questions à notre coach intuitif, Alexandre, comme Victoria.

35:51 Bonjour Victoria.

35:52 - Oui, bonjour Trina, bonjour Alexandre.

35:55 - Bienvenue Victoria, vous vous appelez d'où ?

35:57 - Merci, je vous appelle de la région parisienne.

35:59 - D'accord. Alors, vous avez connu un homme sur un site de rencontre, c'est ça ?

36:03 - Oui, je l'ai connu. Je l'ai rencontré il y a huit mois à peu près.

36:08 Après une relation de 16 ans.

36:14 - Oui.

36:15 - Avec une partie de vie commune.

36:18 Et aujourd'hui, je ne regrette pas d'avoir mis fin à cette relation de 16 ans, parce que ça n'allait pas du tout.

36:27 Et ça ne serait jamais allé, même si j'ai eu du mal à m'en séparer.

36:31 Aujourd'hui, j'ai rencontré quelqu'un et je suis complètement incertaine par rapport à cette relation.

36:39 Il y a des moments où je suis positive et je me dis que ça va aller, c'est bien, ça se passe bien.

36:49 Et puis le lendemain, je me dis que non, ça n'ira pas.

36:53 Je ne sais pas, ça fluctue comme ça, entre certitude et incertitude.

37:00 - Elle s'est terminée quand, votre relation de 16 ans ?

37:03 - Elle s'est terminée au mois de septembre l'année dernière.

37:07 - D'accord, donc c'est vous qui avez mis un terme.

37:09 - Oui.

37:10 - Quand vous dites que ça ne serait jamais allé, de toute façon, c'était sur quoi que ça n'allait pas ?

37:14 - Parce qu'on avait deux tempéraments complètement opposés.

37:19 Donc il y avait une grande attirance physique.

37:21 Mais notre relation a été en danse pendant ces 16 années.

37:31 On a essayé de vivre ensemble, on a vécu ensemble, ça ne s'est pas bien passé.

37:36 Après, j'ai eu des problèmes aussi avec les enfants.

37:39 Mais avant tout, le problème, c'était entre nous.

37:44 Je n'arrivais pas à le quitter malgré tout et je suis quand même parvenue.

37:50 - D'accord. Et ce qui vous fait douter sur votre relation d'aujourd'hui,

37:52 est-ce qu'il y a quelque chose en particulier ?

37:55 - C'est-à-dire que c'est quelqu'un qui n'est pas complètement disponible.

38:00 - Oui.

38:01 - C'est quelqu'un avec qui la pression monte assez vite.

38:07 On a deux caractères qui s'affrontent facilement.

38:13 Par rapport à tout ça, et surtout par rapport au fait qu'il ne soit pas très disponible pour le moment,

38:22 j'ai du mal à me projeter.

38:24 - D'accord. Donc il n'est pas très disponible.

38:26 Mais est-ce que malgré tout, parce que l'un n'empêche pas l'autre,

38:28 est-ce que malgré tout, il se projette avec vous ?

38:30 - Oui. Au début, pas du tout.

38:34 Et puis, il a fini par me dire qu'il se projetait avec moi.

38:38 Mais il y a des jours où j'ai du mal à l'imaginer, j'ai du mal à y croire.

38:46 - Alexandre ?

38:48 - Oui, Victoria.

38:50 Je suis un peu du même avis que vous, Victoria.

38:54 J'ai un avis partagé sur l'idée d'un futur ensemble.

38:59 Ça ne veut pas dire pour autant qu'il ne souhaite pas s'engager.

39:04 Mais je crois que l'idée qui se fait de l'engagement

39:08 et l'idée que vous, vous avez de l'engagement est un peu différente.

39:12 Et même si cette histoire vient de démarrer,

39:15 donc on est dans une étape tout au moins de se connaître,

39:22 de s'apprécier, de se découvrir,

39:25 aussi d'intégrer des rituels et aussi un quotidien

39:33 qui s'installe progressivement,

39:36 je crois qu'au fil du temps et au fur et à mesure

39:40 de ce que vous allez vivre dans cette relation,

39:43 vous allez prendre du recul sur certains événements.

39:48 Et lui, il est tout à fait capable de vouloir s'investir

39:53 ou en tous les cas de mener quelques efforts

39:56 pour faire en sorte que votre histoire puisse fonctionner.

40:01 Mais ce que je ressens pour vous, Victoria,

40:04 c'est que vous avez une perception, une vision des choses

40:07 qui à un moment donné va s'éloigner ou s'écarte

40:11 de ce que vous auriez pu penser de cet homme au départ et au début.

40:17 Donc je vous sens prendre du recul,

40:19 je vous sens peut-être vous éloigner

40:21 et peut-être prendre une autre décision.

40:23 Mais je ne veux pas influencer votre choix et votre pensée

40:28 et je ne sens pas que les choses vont évoluer

40:31 ou en tous les cas, si ça doit s'arrêter,

40:34 je ne sens pas que ça s'arrête tout de suite.

40:36 C'est comme si pour l'instant, la relation doit se vivre,

40:39 elle doit évoluer un petit peu et puis vous,

40:43 votre perception des choses va changer

40:47 et va évoluer au fil du temps.

40:49 Donc pour moi, ça demande encore un peu de temps

40:52 mais ce qui est et ce qui me paraît assez certain,

40:57 c'est que c'est vous qui allez décider de l'avenir de cette histoire

41:02 et c'est vous qui allez à un moment donné, je dirais,

41:05 manœuvrer les choses pour aller vers quelque chose de

41:09 oui, on construit ou non, on arrête là.

41:12 Et pour moi, je vous sens peut-être avoir une autre opportunité

41:16 qui se présente à vous.

41:17 Une autre rencontre.

41:18 Et oui, une autre rencontre avec une autre opportunité

41:20 et c'est à partir de là que le choix pourra se faire

41:23 et ça vous permettra aussi d'en changer les choses.

41:26 D'ici combien de temps peut-on faire une autre rencontre ?

41:28 C'est pas tout de suite, je crois que c'est une période à peu près

41:31 une petite année où là vous serez dans cette période

41:34 de prise de décision, de changement, d'un autre regard

41:38 sur la vie et sur votre projection du futur.

41:41 Pour l'instant, cet homme ne vous veut pas de mal

41:44 et au contraire, il vous aime avec ses moyens

41:47 et même si parfois vous sentez une certaine forme de maladresse,

41:50 il ne le fait pas volontairement ou consciemment.

41:53 Donc la relation reste encore à évoluer un petit peu.

41:59 Merci Victoria d'avoir été avec nous sur cede radio, à bientôt.

42:02 Merci Alexandre.

42:04 Rendez-vous demain à quelle heure ?

42:05 À 16h comme tous les jours.

42:07 Bien sûr, on s'intéressera au gokota, un rituel suédois de bien-être.

42:10 J'ai cru que c'était japonais gokota.

42:12 Ah bah non.

42:13 Peut-être que je le prononce pas très bien.

42:15 Non, vous avez un accent suédois mais vous plutôt de Stockholm

42:18 que de Göteborg, c'est pour ça qu'on n'a pas compris.

C'est Votre Avenir - Émission du 27 juin

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