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J'espère que cette vidéo vous plaira

J'espère que la vidéo ouvrira des dialogues intéressants et féconds en commentaire.

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Bisous

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Transcription
00:00 Cette vidéo est sponsorisée par Cambly.
00:02 Cambly est une plateforme dont je vous ai déjà parlé
00:04 et que je trouve absolument génial pour apprendre ou améliorer son anglais directement avec des tutors anglophones.
00:08 Je vous en parle plus longuement en fin de vidéo.
00:10 Il y a des vidéos qui sont plus compliquées à écrire que d'autres.
00:12 Et celle-ci en fait partie.
00:14 Et pourtant, c'est un sujet dont j'ai vraiment envie de vous parler.
00:17 Parfois j'ai des réflexions sur des sujets
00:19 et c'est des sujets que je trouve hyper intéressants, passionnants,
00:22 et donc j'ai envie de vous partager mes réflexions.
00:25 Même si parfois le sujet est compliqué et donc j'ai une appréhension,
00:28 mais ça n'entache en rien mon envie de vous partager ça.
00:30 Cette vidéo parle d'un sujet qui est assez sensible sur internet.
00:33 C'est le sujet de la "woke culture".
00:35 Je pense que c'est important d'expliquer ce que c'est la "woke culture"
00:37 parce que quand on ne passe pas des heures sur internet,
00:39 on ne sait pas forcément ce que c'est.
00:41 Moi quand j'ai parlé de cette vidéo à des potes,
00:44 ils étaient beaucoup à me dire "ok d'accord, mais c'est quoi en fait la "woke culture" ?
00:48 Déjà le terme "woke" en anglais veut dire "éveillé".
00:50 Alors éveillé à quoi ?
00:52 Eh bien éveillé aux inégalités sociales qui constituent notre monde.
00:56 Inégalités de race, inégalités de genre, inégalités d'orientation sexuelle, etc.
01:02 Et le terme de "woke", il a du sens.
01:04 Je ne sais pas si vous l'avez déjà expérimenté,
01:06 mais quand on se rend compte d'une inégalité systémique,
01:10 par exemple le système patriarcal,
01:13 quand on fait l'effort de s'en rendre compte,
01:16 et quand je dis l'effort de s'en rendre compte, je parle surtout de certains hommes,
01:18 parce que généralement les meufs, elles ont moins besoin de faire d'effort que nous,
01:21 quand on s'en rend compte, on réalise que c'est omniprésent.
01:24 C'est dans tous nos rapports, c'est dans tout ce qu'on voit,
01:27 c'est dans tout ce qu'on consomme, c'est dans tout ce qu'on regarde, etc.
01:30 Et donc ça fait un petit peu l'effet de la pilule rouge dans Matrix.
01:32 Dans Matrix, Morpheus propose à Néo deux pilules.
01:35 Une pilule bleue, et donc en fait la réalité qu'il a connue, ça restera sa réalité,
01:40 ou bien la pilule rouge, où là en fait il va voir la vérité,
01:45 et Morpheus prévient Néo, il lui dit "si tu prends la pilule rouge, tu ne pourras pas revenir en arrière".
01:49 Eh bien c'est un peu ça la "woke culture".
01:51 C'est pour ça qu'il y a cette phrase qui revient souvent,
01:53 "check tes privilèges", donc "sois conscient de tes privilèges",
01:56 parce qu'il y a d'autres individus qui ne les ont pas,
01:59 et donc tu n'es pas soumis aux mêmes inégalités.
02:02 Par exemple, un homme blanc hétéro cisgenre,
02:05 c'est-à-dire que son genre ressenti est le même que celui qui lui a été assigné à la naissance,
02:09 eh bien selon cette logique, il est avantagé puisqu'il ne va pas ressentir,
02:13 il ne va pas être victime de racisme systémique, de sexisme systémique, d'homophobie ou de transphobie.
02:20 Alors il y a beaucoup d'hommes blancs hétéro cisgenres qui se sentent un petit peu agressés quand on dit ça,
02:24 c'est quelque chose que j'ai vu quand j'ai fait ma vidéo sur le fait d'être chauve,
02:28 et ils disent "eh mais attends, c'est pas parce que je suis un homme blanc hétéro cisgenre
02:32 que je vis ma best life et que tout va bien".
02:34 Alors évidemment, c'est pas le sujet,
02:37 mais un homme blanc hétéro cisgenre,
02:40 il peut avoir donc une vie de merde de ouf,
02:45 mais ça sera pas de la faute a priori d'un système qui s'attarde sur sa couleur de peau,
02:50 sur son genre ou sur son orientation sexuelle.
02:53 Alors récemment les politiques ont voulu en parler, ils craignent le "wokisme",
02:57 c'est une manière assez péjorative de parler de la "wokulture",
03:01 et vu ce que je viens de dire, on peut se demander ce qu'ils craignent exactement,
03:04 et en fait ce qu'ils craignent c'est plutôt et principalement la "cancel culture".
03:08 C'est assimilé à la "wokulture", souvent quand je lis des articles
03:11 où il y a des journalistes qui en parlent, c'est la "wokulture" et la "cancel culture",
03:16 parfois c'est l'un et un briqué dans l'autre,
03:19 mais globalement ça émane des mêmes cercles.
03:21 La "cancel culture", vous en avez sûrement entendu parler pour le coup,
03:24 c'est le fait de "cancel", donc d'annuler, ou plutôt de boycotter,
03:28 une personne ou une oeuvre parce qu'il ou elle a fait quelque chose qu'on juge inacceptable.
03:34 Il y a une vidéo de ContraPoint sur le sujet qui est fantastique,
03:37 je vous la recommande, je vous la mets en description.
03:39 Elle met en évidence à un moment le principe du procédé qui est
03:42 "quelqu'un est soupçonné d'avoir fait quelque chose de mal,
03:44 qui devient "quelqu'un a fait quelque chose de mal",
03:47 donc présomption de culpabilité,
03:49 et ensuite de "quelqu'un qui a fait quelque chose de mal",
03:51 ça devient "cette personne est mauvaise",
03:53 donc abstraction et ce qu'elle appelle "essentialisme".
03:57 En gros l'action de la personne devient son essence même.
03:59 Dans une société où la justice est basée sur la présomption d'innocence,
04:02 elle gêne cette "cancel culture".
04:04 Mais on peut aussi comprendre que des gens qui font partie de minorités
04:07 et qui ont du mal à trouver des espaces d'expression,
04:09 fassent une des seules choses qu'elles peuvent faire,
04:11 c'est-à-dire boycotter ou inciter à boycotter.
04:13 Et d'ailleurs quand c'est des choses ou des gens qui se font cancel,
04:16 souvent ça va pas jusqu'au tribunal,
04:18 ou bien si ça va jusqu'au tribunal,
04:20 la justice est montrée d'une certaine manière décevante.
04:22 Et quand je parle de justice, je parle même de justice populaire.
04:25 Par exemple, au moment où j'ai écrit cette vidéo,
04:28 il y avait un post Facebook sur un réhabitant
04:31 qui est placé en garde à vue suite à une plainte pour viol,
04:35 et quand on voit les commentaires sous le post,
04:37 ça fait totalement écho à ce que je viens de dire sur la "cancel culture".
04:41 "Personnellement, vu sa personnalité, il n'a pas le profil d'un violeur,
04:44 j'ai du mal à y croire."
04:45 "Bizarrement, quand on est connu, ça arrive souvent."
04:47 "Encore une qui veut être connue."
04:48 "Mesdames, mesdemoiselles, faut arrêter, on peut aussi gagner de l'argent en travaillant,
04:51 je sais c'est à la mode d'accuser les hommes connus."
04:53 C'est horrible, et quand je parle du fait que ce soit systémique,
04:57 là les commentaires que je vous ai lus, c'est à la fois des hommes et à la fois des femmes.
05:00 Enfin, a priori, je suis pas allé vérifier derrière le profil Facebook.
05:03 Et bien vous savez quoi, on pourrait penser que c'est ça mon problème avec la woke culture,
05:06 mais non, c'est même pas ça en fait.
05:07 Même s'il y aurait plein de choses à dire,
05:09 clin d'œil particulier aux gens qu'on veut cancel juste parce qu'on les aime pas,
05:15 par exemple, cette meuf sur Twitter,
05:17 qui dit en parlant de moi, je suis honoré, je cite,
05:21 "Il est vraiment inutile à la société, par pitié, on peut pas le cancel sur un truc une bonne fois pour toutes."
05:26 Ça fait plaisir, voilà, merci.
05:27 Non, ce dont j'ai envie de parler, c'est la place de la souffrance dans la woke culture.
05:30 On l'a vu, la woke culture, dans son idéologie même,
05:33 il y a le fait de vouloir corriger les inégalités et donner de la force aux minorités.
05:37 Donc dans cette culture-là, avoir un statut de victime,
05:40 donc victime d'inégalités, victime d'injustice, victime d'oppression du système,
05:45 ça fait qu'on va vous protéger, on va vous donner la parole, on va se battre pour vous.
05:49 Ça vous donne une certaine protection en fait, c'est le principe même du truc.
05:52 Une des manifestations de ça, c'est le trigger warning.
05:54 Vous voyez, genre, devant certains posts ou certains tweets, il y a "TW" avec un mot.
05:59 Par exemple, "TW 100", "Trigger warning agression" ou pire, "Trigger warning viol".
06:06 L'idée, c'est que les personnes qui ont des traumatismes en rapport avec ces thématiques
06:09 puissent être prévenues dès le début du post, et donc ne pas lire le post,
06:13 ou bien mieux, elles ont des bloqueurs en fait, qui vont bloquer des mots,
06:17 et donc vu qu'on met ces mots-là dans les trigger warnings,
06:20 leur feed, donc leur fil d'actualité, va être safe.
06:24 C'est-à-dire qu'elles vont pas se sentir oppressées sur le réseau social.
06:26 Il y a un vrai lien entre être une victime et le fait de souffrir.
06:30 Parce que la souffrance légitime le statut de victime.
06:33 Et plus on est une victime, et plus quelque part on est légitime dans son combat.
06:36 Typiquement, tout ce que je dis là, dans une logique woke, je suis pas du tout légitime pour en parler.
06:40 Parce que je suis un homme blanc hétérosi-genre, donc a priori je suis pas une victime,
06:44 donc je ne suis pas concerné, donc j'ai pas à en parler.
06:46 C'est comme ça que je suis perçu en tout cas.
06:48 Et ça m'a fait penser à un extrait de l'émission Arrêt sur image, qui avait fait beaucoup parler de lui.
06:53 Le plateau est très blanc aussi.
06:55 Notre collectif Stop Opinion Washing d'ailleurs est mêlé par...
07:00 Il va nous dire qu'il est pas blanc.
07:02 Bah non, je suis à moitié libanais.
07:06 D'accord.
07:08 Donc Yel nous dit "je ne suis pas blanc, je suis à moitié libanais".
07:12 Et j'ai trouvé ça hyper intéressant en fait.
07:16 Je me suis mis dans sa logique et ça m'a posé beaucoup de questions.
07:19 Parce que personnellement j'ai pas une goutte de sang blanc.
07:21 Et donc j'en ai parlé avec des potes arabes, dont je tairai le nom parce que si je me fais cancel,
07:26 je les emporterai tous avec moi dans ma tombe.
07:28 Donc j'en ai pas envie.
07:30 Et je leur ai demandé "ouais, est-ce que tu me considères blanc ou iranien ?"
07:34 Parce que je suis 100% iranien, mes deux parents sont iraniens.
07:37 Et d'ailleurs c'est marrant parce que la réponse à cette question dépend de à qui je pose la question.
07:44 Lui en l'occurrence il m'avait dit qu'il me considérait iranien.
07:47 Et c'est vrai que mon état civil, la culture de ma famille,
07:51 la manière avec laquelle j'ai appris la culture française,
07:53 la manière avec laquelle j'ai appris la langue française,
07:56 font que j'ai peut-être d'une certaine manière, sur certains points,
08:01 été désavantagé par rapport à un blanc.
08:04 J'imagine que par blanc on veut dire personne occidentale.
08:07 Bref, je suis resté juste dans la logique de l'extrait.
08:09 Mais c'est vrai, ça se trouve j'ai été désavantagé, j'en sais rien.
08:11 Peut-être même pour des recherches d'appart, ce genre de choses, je saurais jamais.
08:15 Mais sauf que le truc c'est que, quand on me croise dans la rue, je suis blanc.
08:20 On me voit là, je suis blanc.
08:22 Même moi je me considère comme blanc en fait, la plupart du temps.
08:25 Donc c'est quoi l'intérêt que j'aurais à dire "non je suis pas blanc" ?
08:29 Ce serait soit si j'ai une dengue contre les blancs, donc ça c'est raciste je crois,
08:33 soit c'est si je suis extrêmement fier des trahianiens,
08:36 ou alors c'est pour dire "regardez, je ne suis pas privilégié".
08:41 Et comme dans le système pour l'affaire courte, on est soit privilégié, soit victime,
08:45 si je ne suis pas dans le camp des privilégiés, nécessairement je suis dans le camp des victimes.
08:49 J'essaie de rajouter "victime d'un système" à chaque fois, et pas utiliser le mot "victime" seul,
08:53 parce que je veux bien comprendre que quand je parle de victime, je parle de victime d'un système.
08:57 Le mot "victime", parfois il est associé à faible, à loser, à quelqu'un dont on a pitié, etc.
09:05 C'est pas du tout cet imaginaire-là dont je parle, c'est pas de ça dont je parle,
09:09 je parle vraiment de victime de système, et donc qui pourrait très bien être en lutte,
09:14 elle peut être en lutte malgré leur statut de victime.
09:17 Donc on en vient à se définir comme victime du système,
09:20 et qu'est-ce qui enterrine le fait qu'on est victime ? C'est la souffrance.
09:24 Donc plus je souffre et plus dans cette culture-là j'ai ma place, et je vais aller plus loin,
09:28 plus je souffre et plus j'ai raison, ou on me donne raison.
09:32 C'est pour ça que dans cette culture-là, par exemple, si vous n'êtes pas concerné par la souffrance qu'un sujet procure,
09:36 votre avis n'intéresse pas. Il n'y a que les concernés qu'on a envie d'entendre.
09:40 Alors l'avantage c'est que ça laisse de l'espace à des personnes qu'on n'a pas entendues pendant trop longtemps,
09:44 et à qui on n'a pas donné assez d'espace d'expression safe,
09:47 c'est-à-dire des espaces où elles se sentent bien et en sécurité.
09:50 C'est très important d'écouter les victimes, parce que le système ne le fait pas assez.
09:53 Mais le truc c'est que parfois, une victime, ou une personne qui fait partie d'une minorité,
09:58 bah... elle se trompe quoi. Elle a tort.
10:03 Ça arrive.
10:05 Et l'autre souci c'est que comme on ne veut pas écouter les autres,
10:15 on se retrouve dans des mini-sociétés hyper-segmentées.
10:18 C'est même pas "le gars parle et on s'en branle".
10:20 Non, c'est juste "le fait que tu parles, ça m'offense".
10:24 Comme je suis offensé, j'ai raison.
10:27 Donc ma souffrance est instrumentalisée par moi ou par un groupe,
10:32 et donc la souffrance devient une arme.
10:34 Alors maintenant qu'on a dit tout ça, pourquoi je pense que c'est un problème ?
10:37 Je pense que c'est un problème parce que ça donne du poids à la souffrance.
10:39 Ça fait qu'on se concentre dessus.
10:41 On en fait presque l'apologie.
10:43 Et du coup, au lieu de devenir le moteur d'un changement,
10:47 parfois elle devient la locomotive du mal-être.
10:49 Et je le dis non pas à l'échelle de l'individu,
10:51 parce qu'effectivement c'est à chacun de gérer sa souffrance comme il ou elle l'entend,
10:55 et voilà, je ne me permettrais pas de commenter ça.
10:58 Non, je le dis à l'échelle sociétale, à l'échelle de culture.
11:02 C'est pas le fameux "t'es triste, arrête".
11:04 Tu es triste ?
11:07 Arrête.
11:09 C'est pas à l'échelle de l'individu, c'est à l'échelle sociétale.
11:14 Si on absorbe une culture qui fait que plus on souffre, plus on a raison,
11:18 on s'expose à des dérives de victimisation
11:21 qui font du mal aux causes pour lesquelles ces mêmes personnes se battent.
11:25 Le problème des inégalités et de l'oppression, il est systémique.
11:28 Donc c'est tout le système qui doit se pencher dessus pour trouver des solutions.
11:31 Et je suis pas sûr qu'on y arrive quand le système, il est rejeté de la discussion,
11:34 et que la souffrance est une clé.
11:36 Typiquement, le fait que moi, sur ma chaîne YouTube,
11:38 j'ose pas trop en parler parce que je me dis "Gros, tu souffres pas de ça, donc ferme ta gueule",
11:42 je pense que c'est quelque chose que le combat doit dépasser.
11:46 Et d'ailleurs, quand je dis ça, on pourrait penser que cette vidéo,
11:48 c'est un "ouin ouin, Cyrus North se plaint de pas pouvoir parler de ce dont il veut".
11:55 Non, non, c'est pas ça, parce que je peux parler en fait de ce que je veux,
12:00 et je pense que cette vidéo en est la preuve.
12:02 C'est vraiment une réflexion que j'avais, que je voulais partager,
12:04 et qui pour moi dépasse ma propre expérience.
12:07 Maintenant, je pense aussi qu'il est fortement possible
12:09 que ce qu'on vive là, ce soit juste un stade en fait.
12:12 Un stade dans lequel on est obligé de passer.
12:14 Parce qu'avoir la reconnaissance du statut de victime par la société,
12:17 c'est un passage important, et très sûrement nécessaire,
12:20 pour amorcer un changement et se définir autrement.
12:23 Alors voilà, j'ai pas vraiment de solution à apporter,
12:25 c'est juste un élément qui me gêne dans la woke culture,
12:29 parce que je trouve que c'est une logique un petit peu toxique,
12:32 qui peut desservir la cause générale.
12:34 Après c'est pas forcément un état ou un stade dans lequel elle s'enferme,
12:37 mais peut-être un stade dans lequel le système l'enferme,
12:41 justement en ne laissant pas assez de place aux victimes.
12:44 Et donc utiliser la souffrance en tant qu'arme,
12:46 c'est leur manière de réagir à ça.
12:48 Voilà, c'était une vidéo un peu particulière,
12:49 parce que d'habitude je vous balance des chiffres, des études, etc.
12:52 Là c'est vraiment juste quelque chose de très personnel.
12:55 Après si vous voulez creuser le sujet, il y a plein de ressources sur internet,
12:58 notamment en anglais, et je pense que c'est la transition parfaite
13:01 pour le sponsor du jour, Cambly.
13:04 Cambly c'est une plateforme qui permet de rentrer en contact
13:07 directement avec des tuteurs anglophones.
13:10 C'est une plateforme avec laquelle vous allez pouvoir bosser votre anglais
13:12 conversationnel, donc à l'oral,
13:14 et vous avez plein de fonctionnalités trop cool.
13:15 Par exemple vous pouvez choisir l'accent du tuteur,
13:18 vous voulez préparer un road trip par exemple en Angleterre,
13:21 bah bim, vous bossez l'accent anglais, plutôt que l'accent américain.
13:24 Ou vous faites un road trip en Australie,
13:27 si chanceux, vous pouvez bosser l'accent australien.
13:31 Vous pouvez aussi répéter des oraux ou des présentations en anglais,
13:35 bref, ce genre de choses, même des examens,
13:38 c'est très utile pour ce genre de trucs.
13:40 Vous pouvez aussi choisir par thématique conversationnelle,
13:43 par exemple sur l'environnement, sur la parentalité,
13:46 sur les séries, donc voilà, très cool aussi
13:49 si vous voulez bosser des chants lexicaux, ce genre de trucs.
13:51 Et évidemment c'est hyper flexible,
13:53 donc vous apprenez à votre rythme, etc.
13:55 Et il y a un code promo, eh oui,
13:57 SirusCambly60, vous avez 60% de réduction
14:01 sur l'offre de 12 mois, vous avez un cours gratuit
14:05 de 15 minutes, et le tout jusqu'au 31 mars.
14:08 Je vous mets un lien dans la description pour retrouver tout ça.
14:11 Je les remercie beaucoup parce que c'est, voilà,
14:13 ça commence à être un partenaire de longue date,
14:15 de certaine manière, sur la chaîne,
14:17 et c'est très cool d'avoir des partenaires réguliers comme ça.
14:19 Donc voilà, n'hésitez pas vraiment à aller checker.
14:22 Une des manières de me soutenir, c'est aussi de vous intéresser
14:24 à mes partenaires, et en plus c'est des partenaires cools
14:26 parce qu'on reste dans la transmission.
14:28 Et ça, ça me plaît.
14:29 J'espère que cette vidéo vous a plu,
14:30 merci à Cambly d'avoir sponsorisé cette vidéo,
14:32 et merci à vous de l'avoir regardée jusqu'au bout.
14:34 Malgré mes efforts pour transmettre mon opinion
14:37 de la meilleure manière possible,
14:39 il est très probable qu'au moment où vous regardez cette vidéo,
14:41 je sois cancel.
14:42 C'est possible, franchement c'est possible.
14:44 Mais ça n'enlève rien au fait que je trouve ce sujet passionnant, quoi.
14:47 Donc voilà, et j'espère que ça vous a intéressé.
14:50 Et ça peut être cool d'en débattre dans les commentaires,
14:52 de manière... avec des arguments et tout,
14:55 qui est de vraies discussions,
14:57 voilà, qui est un espace de dialogue, quoi.
15:01 Ça peut être chanmé.
15:02 On se retrouve la semaine prochaine, love, peace, ciao.
15:06 Ce outil est très confortable.

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