Hamidou Thiaw, président du parti MPR, décline son programme pour l'emploi et tance les libéraux.

  • l’année dernière
Hamidou Thiaw, président du parti MPR, décline son programme pour l'emploi et tance les libéraux.

24 ans au pouvoir.
En effet depuis l’an 2000, le Sénégal est dirigé par les libéraux. Une gestion entachée par des scandales financiers, des décisions de justice contestées et des manifestations avec un bilan macabre.

Néanmoins, nous les félicitons pour les réalisations faites sur le plan infrastructurel.
Aujourd'hui le Sénégal possède des infrastructures enviées par le reste de l'Afrique que ce soit des routes, des hôpitaux, des universités, l'accès à l'eau ou l'accès à électricité.
Nous félicitons également Macky Sall pour sa décision de ne pas se présenter aux prochaines élections présidentielles prouvant à nouveau que le Sénégal est un modèle de démocratie en Afrique.
Aujourd'hui pour la première fois de notre histoire, il n'y aura peut-être pas de vote sanction.

En contrepartie les libéraux que ce soit le PDS ou l'APR, ont malheureusement échoué sur le plan immatériel.
Plus que jamais les Sénégalais continuent de prendre les pirogues. Nous en profitons pour rendre hommage aux 300 Sénégalais disparus tragiquement au large des îles Canaries.
Plus que jamais les Sénégalais souffrent du chômage. Une pauvreté chronique s'est installée au Sénégal, les habitants sont désespérés, désœuvrés et désemparés. Ils peinent à assurer les repas quotidiens ou à se soigner. Cela a engendré une amertume envers le pouvoir que la population a montré à travers les dernières élections ou manifestations.

Il est plus que nécessaire aujourd’hui d’améliorer les conditions économiques et sociales pour que personne ne soit contraint de risquer sa vie dans une quête désespérée.

Moi, Hamidou Thiaw, Président du parti MPR, je propose l'emploi comme solution contre la pauvreté.
Ce plan pour permettre de créer des emplois se déclinent en 3 points :
1-Mettre les conditions pour que les entreprises sénégalaises puissent émergées.
Cela est possible en les protégeant des multinationales étrangères plus précisément les sociétés dont le capital est détenu à a plus de 50% par les étrangers. Ces entreprises ont accès aux capitaux et ont un pouvoir de négociation dont nos entreprises ne disposent pas encore. Mais malgré tout cela ils peuvent venir investir au Sénégal et non compétir parce qu’un transfert de compétence ou l’emploi de certains jeunes peuvent mener le pays à la prospérité.
Pour aider les entreprises à prospérer, il faut aussi qu’on diminue la bureaucratie et qu’on allège les charges fiscales des entreprises.
2-Former et accompagner les nationaux
Beaucoup de nos compatriotes ne disposent pas de compétence ou ne savent comment lever des fonds. Nous allons les former à travers les structures de l’état qui sont déjà présentes dans le territoire et allons lancer un programme national d’insertion à la vie professionnelle où les personnes seront formées dans les métiers à forte croissance. Je vais restructurer la DER et l’adapter par rapport au besoin des Sénégalais afin qu’i

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00:00 je suis jusqu'à présent parce que en 2023, Sénégalais, comme Américains, nous nous sommes baisés il y a 300 ans.
00:07 On a des enfants et des enfants ont des enfants. Il faut qu'on les aide. En 2023, nous nous sommes baisés 3 mois sur 12.
00:15 Les Adonais, ils se sont baisés 12 mois sur 12. Le problème de l'eau, ils l'ont jamais réglé. Si nous, nous, nous avons réglé le gouvernement pendant 12 ans,
00:24 et que vous venez de Sénégal, vous avez réglé ça, vous avez dit des choses qui sont inutiles. C'est ce qu'on a.
00:30 L'emploi, ils ont échoué. C'est pour ça que je vous dis que le problème Sénégalais, le problème d'emploi, on est réunis.
00:36 C'est pour ça que nous avons une partie impaire, nous proposons un emploi.
00:38 Les premières choses, il y a la concurrence déloyale des étrangers. Quand je parle des étrangers, je parle des sociétés étrangères.
00:47 Quand je parle des sociétés étrangères, je parle des sociétés qui ne sont pas enregistrées au Sénégal, je parle des sociétés qui ont le capital détenu à plus de 50% par des étrangers.
00:55 C'est ce que je veux dire. Nous sommes des multinationales, nous pouvons négocier. Il y a des prix, le commerçant Sénégalais peut négocier.
01:01 Nous allons soutenir les gens sur tous les plans. Mais il y a des commerçants Sénégalais qui sont des patriotes.
01:06 Parce qu'ils ont encore vu le tabasco. Ils veulent nous soutenir à ces prix.
01:12 Si nous voulons soutenir les gens, nous devons faire ce qu'il faut.
01:17 Nous devons faire en sorte que les Sénégalais aient des compétences.
01:24 Notre richesse première n'est pas le pétrole ou le gaz.
01:28 Ce sont des pétroles qui seront développés par Venezuela.
01:31 Venezuela a pris le pétrole dans le monde et n'a pas développé le gaz.
01:36 C'est une ressource très importante pour notre pays.
01:42 Nous devons nous former.
01:44 Surtout au Sénégal avec sa jeunesse.
01:46 Nous n'avons pas utilisé cette jeunesse.
01:49 Pour utiliser cette jeunesse, il faut nous former.
01:52 Malheureusement, nous l'avons fait. Nous devons nous former pour que les gens ne compétissent plus.
01:57 Les Sénégalais peuvent faire des téléphones, des voitures, des téléphones pour les exportations.
02:03 Mais c'est déjà présent qu'ils commencent à se former sur les dommages.
02:07 Les gens qui sont là, ils doivent se former.
02:10 Ils doivent avoir un accompagnement.
02:11 L'accompagnement est derrière ce qu'ils doivent faire.
02:14 Nous devons faire des états garantis au niveau des banques.
02:17 Nous devons former au niveau des chambres des métiers.
02:20 Nous devons pouvoir nous amasser, créer, travailler.
02:22 Parce que travailler, ce n'est pas forcément un travail, c'est créer.
02:25 J'ai une connexion à partir.
02:27 Djang a un master en comptabilité.
02:30 Il n'y a pas de travail.
02:31 Il est venu dans une entreprise pour déposer des monnaies.
02:35 Tout ce qui est BRS, VRS, question sociale et IPRES.
02:39 Il a fait 30 000.
02:41 Parce qu'il y a eu beaucoup de bureaucratie.
02:43 30 000, c'est pas beaucoup.
02:45 La compagnie n'est pas d'accord.
02:47 Aujourd'hui, il y a seulement 40 compagnies qui font ce qu'ils font.
02:50 Aujourd'hui, ils n'ont pas d'emplois.
02:52 Il faut qu'on en parle.
02:53 C'est-à-dire que, travailler, si on a de l'argent, on doit le créer parfois.
02:57 Il faut qu'on a une espèce de créativité, de force, pour pouvoir créer des emplois.
03:02 Il faut qu'on nous accompagne.
03:04 C'est pourquoi on a mis nos plans sur le côté des emplois.
03:07 Et les emplois, si on les régle, ceux qui ont de l'argent, de l'argent, de l'argent,
03:11 qui peuvent se nourrir, qui peuvent faire du tabac, ils sont tous là.
03:14 C'est ce que nous proposons.

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